Salses-le-Château

Salses-le-Château est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Salséens.

Pour la commune de la Lozère, voir Les Salces.

Salses-le-Château

Route principale traversant la ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Communauté de communes Corbières Salanque Méditerranée
Maire
Mandat
Jean-Jacques López
2020-2026
Code postal 66600
Code commune 66190
Démographie
Population
municipale
3 511 hab. (2018 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 50′ 01″ nord, 2° 55′ 11″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 354 m
Superficie 71,28 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Salses-le-Château
(ville isolée)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Agly
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Salses-le-Château
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Salses-le-Château
Géolocalisation sur la carte : France
Salses-le-Château
Géolocalisation sur la carte : France
Salses-le-Château
Liens
Site web salses-le-chateau.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune de Salses-le-Château se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 15 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à km de Rivesaltes[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Laurent-de-la-Salanque[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Opoul-Périllos (5,5 km), Saint-Hippolyte (6,7 km), Rivesaltes (8,0 km), Fitou (8,3 km), Claira (8,6 km), Saint-Laurent-de-la-Salanque (8,8 km), Espira-de-l'Agly (9,2 km), Pia (9,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Salses-le-Château fait partie des Corbières maritimes et de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659, date du traité des Pyrénées qui délimita la frontière avec le Royaume de France, comme en témoigne le château, forteresse la plus septentrionale des Rois de Majorque, jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790. Un monument sous forme de sculpture moderne, la Porte des Pays catalans, a d'ailleurs été érigé environ km au nord de l'aire d'autoroute du Château de Salses.[5],[6].

    Salses est considérée comme la limite nord du catalan.

    Carte de la commune.

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie entre 0 et 354 mètres[8].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Hydrographie

    La commune borde l'étang de Salses[7].

    Le village est traversé par le Còrrec de Santa Coloma[7].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10],[11].

    Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[16] :

    • le « château de Salses », d'une superficie de 3 ha, abrite de nombreuses espèces patrimoniales : Grand Rhinolophe, Murin à Oreilles échancrées, Petit Murin, Murin de Capaccini et Minioptère de Schreibers[17] ;
    • le « complexe lagunaire de Salses », d'une superficie de 7 818 ha, une zone littorale associant des milieux dunaires caractéristiques du littoral roussillonnais et des milieux humides littoraux. Elle comporte plusieurs bassins différemment alimentés en eau ce qui favorise l'installation de formations végétales très variées, tant aquatiques, herbiers de Zostère naine, tapis de charas, que palustres, sansouires, roselières, scirpes, jonçaies[18] ;

    et au titre de la directive oiseaux[16]

    • les « basses Corbières », d'une superficie de 29 495 ha, sont un site important pour pour la conservation des rapaces : l'Aigle de Bonelli, l’'Aigle royal, le 'Grand-duc d’Europe, le 'Circaète Jean-le-Blanc, le 'Faucon pèlerin, le 'Busard cendré, l’'Aigle botté[19] ;
    • le « complexe lagunaire de Salses-Leucate », d'une superficie de 7 701 ha, comprend un ensemble de zones humides périphériques plus ou moins salées (sansouires, roselières) et plusieurs îlots suffisamment isolés et quelques espaces dunaires qui constituent des espaces de grand intérêt pour la nidification de diverses espèces de grand intérêt patrimonial (Butor étoilé, Sterne naine...).[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[21] :

    • les « Camp militaire du Maréchal Joffre » (609 ha), couvrant 2 communes du département[22] ;
    • l'« étang de Salses-Leucate » (4 964 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aude et quatre dans les Pyrénées-Orientales[23] ;
    • le « Fort de Salses » (3 ha)[24] ;
    • les « garrigues de Fitou et de Salses-le-château » (5 457 ha), couvrant 5 communes dont trois dans l'Aude et deux dans les Pyrénées-Orientales[25] ;
    • les « sagnes d'Opoul et del Dévès » (638 ha), couvrant 2 communes du département[26] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[21] :

    • le « complexe lagunaire de Salses- Leucate » (7 769 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aude et quatre dans les Pyrénées-Orientales[27] ;
    • les « Corbières orientales » (30 263 ha), couvrant 19 communes dont 12 dans l'Aude et sept dans les Pyrénées-Orientales[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Salses-le-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[29],[30],[31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Salses-le-Château, une unité urbaine monocommunale[32] de 3 501 habitants en 2017, constituant une ville isolée[33],[34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[35],[36].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[37]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[38],[39].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (43,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (44,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (36,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,7 %), eaux maritimes (12,8 %), zones humides côtières (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), forêts (4,4 %), zones urbanisées (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), zones humides intérieures (1,2 %), terres arables (0,8 %), mines, décharges et chantiers (0,3 %)[40].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par l'autoroute A9 du nord au sud, dont la sortie la plus proche est celle de Leucate[7].

    Elle est également traversée par la route départementale D 900 du nord au sud, en provenance de Fitou et en direction de Rivesaltes. La route départementale D 5 traverse l'ouest de la commune du nord au sud, en provenance d'Opoul-Périllos et en direction de Rivesaltes[7].

    La ligne 503 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Salses[41].

    Le nom de Salses vient de ses sources magnésiennes, dite salées, au pied du massif des Corbières. Une station est déjà signalée par les Romains sur la voie domitienne sous les noms de Salsulae fons (Ier siècle) et Salsulis (IIIe siècle). On trouve aussi le nom de villa Salsinas en 943, puis Salsans en 1047[42].

    En 1793 ou 1801, on trouve encore utilisés indifféremment Salces ou Salses. La commune prend officiellement le nom de Salses-le-Château en 1986[8].

    Histoire

    La Cova de l'Esperit, une grotte près de Vespella, à l'ouest sur le territoire de la commune, est l'un des plus anciens habitats de l'époque néolithique dans le département des Pyrénées-Orientales, dont la datation probable se situe entre 5500 et 5000 av. J.-C. Les vestiges livrés par le site démontrent une alimentation à base de chasse, pêche et collecte de coquillages, mais pas d'agriculture, ainsi qu'une possible domestication de la chèvre et la pratique de la poterie[43].

    Avec ses salines, le territoire de Salses est le point de départ du Cami Salié préhistorique courant au pied des Pyrénées jusqu'aux Salies-du-Salat et de Béarn. Située sur un axe de passage fréquenté dès l'Antiquité (emprunté par les troupes d'Hannibal, ce chemin devient la voie Domitienne), Salses a par la suite une importance stratégique, aux limites des royaumes de France et d'Espagne.

    La ville est prise par le général français Guichard d'Albon de Saint-André le et sa garnison massacrée[44]. Après avoir récupéré la ville par traité, Ferdinand II d'Aragon fait construire (1497-1502), à proximité de ce qui fut un castrum romain, une forteresse unique en son genre, dernier avatar du château fort cherchant à s’adapter à l’artillerie : la forteresse de Salses.

    La ville est prise puis perdue par les Français en 1639 (siège de Salses), puis en 1642.

    À la Révolution française, la paroisse de Garrieux est rattachée à la commune de Salses[45].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs de Salses-le-Château[46]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1792 Joseph Pams    
    1792 1792 Jean Vaquer    
    1792 1796 Thomas Pams    
    1796 1797 Marc-Joseph Barthe    
    1797 1799 Jean Claret    
    1799 1802 Jean-Baptiste Lajou    
    1802 1803 Joseph Pams    
    1803 1808 Raphaël Vaquer    
    1808 1811 Bonaventure Vidal    
    1811 1812 Jacques Vidal    
    1812 1814 Joseph Pams    
    1814 1830 Marc Barthe   Reconduit par la préfecture en mai 1815 lors de l'épisode des Cent-Jours[47].
    1830 1843 Jean Vidal-Estrade    
    1843 1848 Alexandre Barthe    
    1848 1848 Honoré Trilles    
    1848 1850 Joseph Castell    
    1850 1851 Joseph Bertrand    
    1851 1851 Jean Vidal-Estrade    
    1851 1855 Gaspard Daudiès    
    1855 1858 François Castell-Ayrolles    
    1858 1861 André Baron    
    1861 1870 Bonaventure Vidal-Angles    
    1870 1871 Joseph Castell    
    1871 1876 Bonaventure Vidal-Angles    
    1876 1877 Joseph Lanes-Claret    
    1877 1878 Laurent Calmon    
    1878 1878 Adolphe Cambriels    
    1878 1896 Jean Baron-Castany    
    1896 1900 Frédéric Parazols    
    1900 1905 Ernest Castell-Forner    
    1905 1906 Paul Crouzet    
    1906 1914 François Montagne    
    1914 1917 François Carrère    
    1917 1919 François Montagne    
    1919 1941 Fernand Brégoulat PRS Conseiller général du canton de Rivesaltes (1913 → 1937)
    1941 1942 Jean Tardiu    
    1942 1944 Alphonse Barrau    
    1944 1947 Jean Torrent    

    (démission)
    Arthur Conte[48] SFIO puis UDR Journaliste et écrivain
    Député des Pyrénées-Orientales (1951 → 1962 puis 1968 → 1973)
    Conseiller général du canton de Latour-de-France (1951 → 1964)
    René Comes    
    Marie-Claude Grégoire DVD  
    Sylvain Dagues    
    Marie-Claude Grégoire DVD  
    En cours Jean-Jacques Lopez[49],[50] PS Conseiller général du canton de Rivesaltes (1998 → 2015)
    1er vice-président du conseil général des Pyrénées-Orientales (? → 2011), Président de la Communauté de communes depuis 2020

    Politique environnementale

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1355 1359 1365 1378 1470 1515 1553 1709 1720
    94 f145 f94 f69 f33 f10 f14 f53 f106 f
    1730 1755 1767 1774 1789 1790 - - -
    79 f97 f428 H79 f100 f666 H---
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

    En 2018, la commune comptait 3 511 habitants[Note 7], en augmentation de 7,21 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6105717498608329551 1401 2111 353
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4961 6031 7041 7452 1502 6412 3752 2072 054
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1112 0551 9311 9611 9131 9921 9981 7051 725
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 8722 0092 0532 0982 4222 5132 7813 1553 504
    2018 - - - - - - - -
    3 511--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[54] 1975[54] 1982[54] 1990[54] 1999[54] 2006[55] 2009[56] 2013[57]
    Rang de la commune dans le département 31 28 38 30 36 38 35 37
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale et communale : 3 août[58].

    Sport

    Il y a une équipe et une école de rugby à XIII.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 23 312 [59].

    Entreprises et commerces

    L'économie est surtout basée sur la viticulture.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Patrimoine environnemental

    • La Font Estramar, une source salée, a été explorée en plongée autonome jusqu'à -205 m.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'azur à saint Étienne au naturel, sur une terrasse d'or, tenant de sa main dextre une palme de sinople et de sa senestre un livre d'argent accompagné de six fleurs de lis d'or rangées en pal, trois à dextre et trois à senestre.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Salses-le-Château », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Salses-le-Château et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Salses-le-Château et Rivesaltes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Salses-le-Château », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    11. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    12. « l'« étang de Salses » », sur le site du conservatoire du littoral (consulté le )
    13. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Salses-le-Château », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « site Natura 2000 FR9101464 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « site Natura 2000 FR9101463 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « site Natura 2000 FR9110111 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR9112005 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Salses-le-Château », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « Camp militaire du Maréchal Joffre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF l'« étang de Salses-Leucate » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « Fort de Salses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « garrigues de Fitou et de Salses-le-château » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « sagnes d'Opoul et del Dévès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « complexe lagunaire de Salses- Leucate » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF les « Corbières orientales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Unité urbaine 2020 de Salses-le-Château », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    33. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    34. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
    36. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    38. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    39. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    41. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    42. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    43. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 1, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 1-573 p. (ISBN 2904610014).
    44. Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, vol.12, Paris, Arthus-Bertrand, (lire en ligne), p. 61.
    45. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
    46. Maires GenWeb
    47. Fabricio Cardenas, Salses, le 31 mai 1815, 10 février 2014
    48. L'Indépendant, L'écrivain-historien Arthur Conte, ancien maire de Salses, est décédé, 26 décembre 2013
    49. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    50. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    54. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    55. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    56. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    57. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    58. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    59. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    60. Zéphirin.eu, section Salses
    61. « Eglise paroissiale Saint-Etienne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    • Portail des communes de France
    • Portail des pays catalans
    • Portail des Pyrénées
    • Portail des Pyrénées-Orientales
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.