Sainte-Trie

Sainte-Trie est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Sainte-Trie

L'église Saint-Trojan de Sainte-Trie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort
Maire
Mandat
Claude Turbant
2021-2026
Code postal 24160
Code commune 24507
Démographie
Gentilé Saint-Trojannais
Population
municipale
110 hab. (2018 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 49″ nord, 1° 12′ 02″ est
Altitude Min. 167 m
Max. 276 m
Superficie 10,91 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton Haut-Périgord noir
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Sainte-Trie
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Sainte-Trie
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Trie
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Trie

    Géographie

    Généralités

    Le Dalon en limites de Sainte-Trie et Boisseuilh.

    Limitrophe du département de la Corrèze et située à l'extrême nord-est du département de la Dordogne, la commune de Sainte-Trie s'étend sur 10,91 km2. Elle est bordée au sud et au sud-ouest par le Dalon, un affluent de l'Auvézère. Au nord, la rive sud de l'étang de Born fait partie du territoire communal.

    L'altitude minimale, 167 mètres, se trouve à l'extrême ouest, là où le Dalon quitte la commune et sert de limite entre celles de Boisseuilh et Génis. L'altitude maximale avec 276 mètres est localisée au nord-est, entre les lieux-dits la Brugère et la Machardie, en limite de la commune corrézienne de Segonzac.

    Au niveau géologique, le sol se compose principalement de grès et d'argile permiens, sauf dans la partie sud du territoire, en vallée du Dalon, composée de roches métamorphiques paléozoïques[1].

    Le bourg de Sainte-Trie, à l'intersection des routes départementales (RD) 72E2 et 72E3, se situe, en distances orthodromiques,six kilomètres au nord-est de Hautefort.

    Le territoire communal est également desservi au sud par la RD 72.

    Communes limitrophes

    Carte de Sainte-Trie et des communes avoisinantes.

    Sainte-Trie est limitrophe de six autres communes dont deux dans le département de la Corrèze. Son territoire est limitrophe sur moins de 300 mètres de celui de Juillac au nord-est.

    Communes limitrophes de Sainte-Trie
    Génis Salagnac Juillac
    (Corrèze)
    Segonzac
    (Corrèze)
    Boisseuilh Teillots

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 047 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lubersac », sur la commune de Lubersac, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 23 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 152,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 30 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Trie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,2 %), prairies (26,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,7 %), terres arables (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La première mention écrite connue du lieu concerne son église et date de l'an 1047 sous la forme Ecclesia Sancti Trojani[21].

    Le nom de la commune se réfère à saint Trojan, évêque de Saintes au VIe siècle[21]. Le nom initial « Trojan » a été déformé en °Troja, puis °Truia avant d'aboutir à la francisation « Trie »[21].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Trían[22].

    Histoire

    L'église de Sainte-Trie est mentionnée dès 1047, antérieurement à la fondation de l'abbaye de Dalon en 1114[21].

    Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793, ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne.

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Trie-Argileux[23], ou Trie l'Argileuse[21].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de Sainte-Trie a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.

    En 1793, elle est rattachée au canton de Genis qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne, jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton de Genis est supprimé et la commune est rattachée au canton d'Excideuil dépendant de l'arrondissement de Périgueux[23].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[24]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord noir.

    En 2017, Sainte-Trie est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[25],[26].

    Intercommunalité

    En 2009, Sainte-Trie rejoint la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1989 juin 1995 Roger Géraud    
    juin 1995 novembre 2020 Laurent Monteil[Note 5] SE[29] Exploitant agricole
    novembre 2020 juin 2021 Marc Chapon   Premier adjoint faisant fonctions de maire
    juin 2021[30] En cours Claude Turbant    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Sainte-Trie relève[31] :

    Démographie

    Les habitants de Sainte-Trie se nomment les Saint-Trojannais[32].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2018, la commune comptait 110 habitants[Note 6], en diminution de 3,51 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    400234312320426457440440458
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    415414406371364373372349348
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    366355346294253232258217183
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    154146134136118148130128125
    2013 2018 - - - - - - -
    114110-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[36], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante personnes, soit 45,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatre) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 7,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte dix-sept établissements[37], dont cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans la construction, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois au niveau des commerces, transports ou services, et un dans l'industrie[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    L'étang de Born en forêt domaniale de Born. La rive boisée située à droite se trouve sur Sainte-Trie.

    Au nord, la forêt domaniale de Born, une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 remarquable pour sa flore, se situe principalement sur les communes de Salagnac et de Saint-Mesmin mais deux petites zones au sud de l'étang de Born et au nord-est du lieu-dit chez Tuillas, dont la surface cumulée représente environ six hectares, se trouvent sur Sainte-Trie[45],[46].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Décédé en fonctions.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Lubersac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Sainte-Trie et Lubersac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Lubersac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Sainte-Trie et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 383.
    22. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 8 avril 2014.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    26. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    27. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
    28. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
    29. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 8.
    30. Michel Pitout, « Claude Turbant est le nouveau maire », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 26.
    31. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    32. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 27 février 2017.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. Dossier complet - Commune de Sainte-Trie (24507) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.
    37. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    38. Dossier complet - Commune de Sainte-Trie (24507) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.
    39. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 97.
    40. Sainte-Trie, extrait de Excideuil et son pays, p. 179-180, de Jean-Jacques Joudinaud, notice placardée à l'intérieur de l'église de Sainte-Trie, vue le 19 février 2017.
    41. « Abbaye de Dalon », notice no PA00082905, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 22 février 2017.
    42. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 45-46.
    43. « dalle funéraire (gisant) », notice no PM24000376, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 22 février 2017.
    44. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 113.
    45. [PDF] Forêt domaniale de Born sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 février 2017.
    46. Carte de localisation de la forêt domaniale de Born sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 février 2017.
    47. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 920.
    48. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 139.
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