Sainte-Marie-Kerque

Sainte-Marie-Kerque est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Marie.

Sainte-Marie-Kerque

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité Communauté de communes de la Région d'Audruicq
Maire
Mandat
Carole Duytsche
2020-2026
Code postal 62370
Code commune 62756
Démographie
Gentilé Sainte-Marie-Kerquois
Population
municipale
1 653 hab. (2018 )
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 54′ 00″ nord, 2° 08′ 19″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 5 m
Superficie 18,47 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Audruicq
(banlieue)
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marck
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Sainte-Marie-Kerque
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Sainte-Marie-Kerque
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Marie-Kerque
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Marie-Kerque
Liens
Site web www.mairie-saintemariekerque.fr

    Géographie

    Sainte-Marie-Kerque se situe entre Calais, Dunkerque et Saint-Omer, et près de Audruicq et Bourbourg au milieu du marais de l'Angle, parsemé de watergangs.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Marie-Kerque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Audruicq, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[4] et 9 666 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,7 %), zones urbanisées (4,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Mariakerke en flamand[11].

    Histoire

    Une première église date de 1114. La cure est citée dans un texte de 1224 de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer.

    Un château féodal appartenait à la famille des châtelains de Bourbourg. Puis Sainte-Marie-Kerque suivit le sort des autres communes du pays de l'Angle (voir Saint-Folquin).

    Entre 1224 et 1395, a existé au lieu-dit Bonham, sur le territoire de la commune, une abbaye fondée par Béatrix III de Bourbourg, (famille de Bourbourg) héritière de la châtellenie de Bourbourg, épouse du comte de Guînes Arnould II de Guînes. La première abbesse fut une fille du couple, et Béatrice III de Bourbourg s'y est fait enterrer à sa mort en 1224. Son fils Baudouin III de Guînes, comte de Guînes et châtelain de Bourbourg, va en 1244, accorder un droit de pâture sur des terres qu'il y possède aux religieuses dites de « Leibistade » ou Bounham; le comte avait eu un château à Bounham[12]. Le petit-fils de Béatrix III, le comte Arnould III de Guînes va lui aussi favoriser le monastère en 1270[13]. L'abbaye dure jusqu'en 1395, date à laquelle, ruinée par les guerres et les inondations, les religieuses sont transférées à l'abbaye Sainte-Colombe de Blendecques[14].

    En 1224, Adam évêque de Thérouanne, sur la proposition de l'abbé et des religieux de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer, admet le prêtre Simon à desservir pendant cinq ans la cure de Sainte-Marie-Kerque (l'église de Sainte-Marie-Kerque dépendait alors de l'abbaye)[15].


    En 1822, la commune absorbe celle voisine de Saint-Nicolas[16] peuplée, au recensement de 1821, de 310 habitants[17] ; cette commune avait, durant la Révolution, porté le nom de Libre-sur-Aa[17].

    Première guerre mondiale

    Pendant la première guerre mondiale, Sainte-Marie-Kerque dépend du commandement d'étapes ayant son siège à Nouvelle-Église, (élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement d'étapes en arrière du front)[18]. En , se trouvent ainsi à Sainte-Marie-Kerque, une formation sanitaire de 280 personnes et un dépôt de chevaux malades (deux cents chevaux)[19].

    Le commandement d'étapes est transféré le à Saint-Folquin[20].

    En , a été arrêté par un brigadier de gendarmerie à Sainte-Marie-Kerque, un déserteur anglais ayant fui sa batterie depuis un mois; le déserteur a été conduit au camp anglais d'Audruicq[21]. Le même brigadier a interpellé quelques jours plus tard deux insoumis belges[22].

    Le , sont arrivés dans le village les équipages d'un bataillon de Sénégalais[23].

    Le 28 février 1918, la commune est en émoi à propos de cet accueil de troupes : une dame Dourdent, cabaretière au pont de la Bistade, a été assassinée par des auxiliaires militaires anglais (chinois) à coups de couteau[24].

    Depuis 1945

    Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement de Saint-Omer pour intégrer l'arrondissement de Calais[25].

    Politique et administration

    Sainte-Marie-Kerque dans son canton et dans l'arrondissement de Saint-Omer.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981  ? Joseph Delepouve    
    mars 2001 mars 2014[26] Jean Vasseur    
    mars 2014[27],[28],[29] En cours
    (au 25 février 2015)
    Carole Duytsche    

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Sainte-Marie-Kerquois[30].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2018, la commune comptait 1 653 habitants[Note 3], en augmentation de 5,29 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6866067127331 0841 1281 0901 1601 132
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2101 2241 2921 3371 4321 4551 4321 5651 643
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6361 6321 5951 5021 5371 5111 5021 3911 390
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2751 2281 2241 3231 3221 4121 5131 5211 640
    2018 - - - - - - - -
    1 653--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 26,1 %, 15 à 29 ans = 17 %, 30 à 44 ans = 25 %, 45 à 59 ans = 19,3 %, plus de 60 ans = 12,6 %) ;
    • 50,1 % de femmes (0 à 14 ans = 24,5 %, 15 à 29 ans = 16,8 %, 30 à 44 ans = 24,8 %, 45 à 59 ans = 16 %, plus de 60 ans = 18 %).
    Pyramide des âges à Sainte-Marie-Kerque en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    1,5 
    2,5 
    75 à 89 ans
    6,3 
    10,1 
    60 à 74 ans
    10,2 
    19,3 
    45 à 59 ans
    16,0 
    25,0 
    30 à 44 ans
    24,8 
    17,0 
    15 à 29 ans
    16,8 
    26,1 
    0 à 14 ans
    24,5 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Enseignement

    Sports

    Il y a un terrain de tennis et un terrain de football. La piscine de la CCRA se trouve à Audruicq.

    Économie

    Le projet d'extension, sur le territoire de la commune, d'un centre d'enfouissement de déchets ménagers par la société Opale Environnement est actuellement contesté[36],[37],[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame datant du XIVe siècle, dont deux fenêtres du chœur remontent au XIIe siècle. La flèche crénelée a une hauteur de 50 m. Les cloches, un autel et la table de communion sont classés monuments historiques au titre d'objets.
    • Le monument aux morts, commémorant les victimes de toutes les guerres depuis 1870.
    • Petit patrimoine religieux : la chapelle Notre-Dame-du-Marais, un oratoire rue Raepe, et une croix de chemin en fer forgé.
    • Patrimoine économique : quatre séchoirs à chicorée, une brasserie et une sucrerie sont inventoriés dans la base Mérimée.
    • La ferme fortifiée du Weez, qui conserve une cloche datée de 1737.

    Personnalités liées à la commune

    • En 1458, Amoury du Wez (la famille du Wez a son siège à Saint-Pierre-Brouck) dit Rifflart, est héritier de son frère Guillaume du Wez, seigneur de Sainte-Marie-Kerque. Ils possèdent la seigneurie dite de l'Escoutedom située à Saint-Georges-sur l-'Aa, dans la châtellenie de Bourbourg[39].
    • En 1631, Marie de Louvers, épouse de Henri de Hesnin, seigneur de Lesquin, La Motte, est dame de Sainte-Marie-Kerque (les hommes sont dits seigneur de, les femmes, fille ou veuve, sont dites dame de). Ils possèdent également la seigneurie de l'Escoutedom[39].
    • En 1789, Marie Madeleine Françoise de Wazières, dame de La Rive, Tilloy-les-Hermaville, Sainte-Marie-Kerque, domiciliée à Armentières, est l'héritière de Pierre Auguste Marie de Wazières, comte de Wazières et de Roncq. Elle détient la seigneurie de l'Escoutedom[39].

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    Écartelé, au premier et au quatrième contre-écartelé d’or à l’aigle bicéphale de gueules et d’or à l’ours en pied de sable, au deuxième et au troisième d’azur à la bande d’or accompagnée de six besants ordonnés en orle.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 d'Audruicq », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    12. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome IV, Année 1244.
    13. A. Wauters, option citée, Tome V, Année 1270.
    14. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy, Paris, 1631, pp.162-164, lire en ligne
    15. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Année 1224.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Nicolas », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    18. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    19. Journal d'opérations du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p.15, lire en ligne.
    20. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    21. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 28, lire en ligne.
    22. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 31, lire en ligne.
    23. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 55, lire en ligne.
    24. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 91, lire en ligne.
    25. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur http://www.pas-de-calais.gouv.fr/, (consulté le ).
    26. Jean-Marc Szuba, « Le bilan du maire de Sainte-Marie-Kerque : « le maire, c’est l’homme à tout faire » : Jean Vasseur n’annoncera que lors de la cérémonie des vœux s’il se représentera en 2014 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    27. « À Sainte-Marie-Kerque, une ère nouvelle commence avec Carole Duytsche : Dimanche, un nombreux public a souhaité voir se concrétiser la volonté radicale de changement manifestée le 23 mars. Élue avec plus de 67 % des suffrages, la liste « L’avenir ensemble » s’est imposée, contraignant Jean Vasseur, le maire sortant, et trois de ses colistiers à jouer les utilités. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    29. Jean-Marc Szuba, « Les projets du maires de Sainte-Marie-Kerque, élue avec « un groupe impliqué » : Élue avec Jean Vasseur en 2001, Carole Duytsche l’a emporté haut la main en mars avec ses colistiers, devant la liste du maire sortant. Elle souhaite privilégier le travail d’équipe et aimerait relancer l’animation, notamment en organisant des Intervillages. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    30. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Évolution et structure de la population à Sainte-Marie-Kerque en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    35. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    36. « Après Notre-Dame-des-Landes, notre carte des 50 projets d'aménagement ciblés par les zadistes » sur lefigaro.fr.
    37. « Nouveau projet du centre d’enfouissement : la maire de Sainte-Marie-Kerque en colère » sur lavoixdunord.fr.
    38. « Ces projets qui suscitent la fronde dans les Hauts-de-France » sur lavoixdunord.fr.
    39. Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 117.
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