Saint-Folquin

Saint-Folquin (Sint-Volkwin en flamand) est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Saint-Folquin

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité Communauté de communes de la Région d'Audruicq
Maire
Mandat
Yves Engrand
2020-2026
Code postal 62370
Code commune 62748
Démographie
Gentilé Saint-Folquinois
Population
municipale
2 303 hab. (2018 )
Densité 128 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 56′ 49″ nord, 2° 07′ 24″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 10 m
Superficie 17,95 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Folquin
(ville-centre)
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marck
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Saint-Folquin
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Saint-Folquin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Folquin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Folquin
Liens
Site web www.mairie-saint-folquin.fr

    Géographie

    La commune est arrosée par l'Aa et le Mardick à l'est, par le canal de Calais au sud et, sur quelques dizaines de mètres, par la rivière d'Oye au nord. Le hameau de Mannequebeurre est situé le long du Mardick.

    Communes limitrophes

    Le village se situe entre Gravelines, Bourbourg, Audruicq, Oye-Plage, dans le canton d'Audruicq.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Folquin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Folquin, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 3 343 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,1 %), zones urbanisées (5 %), prairies (2,9 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    La commune porte le nom de l'évêque Folquin qui était cousin de l'empereur Charlemagne et vécut au IXe siècle. Il devint évêque de Therouanne en 816 et se distingua en particulier en défendant son diocèse face aux Vikings. Après sa mort, sa notoriété fut importante en particulier chez les moines de l'abbaye Saint-Bertin à Saint-Omer.

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Le Bas-Morin[11].

    Histoire

    Saint-Folquin faisait autrefois partie du Pays de Langle qui comprenait quatre communes : Saint-Folquin, Sainte-Marie-Kerque, l'actuel hameau de Saint-Nicolas, (Bourbourg) et Saint-Omer-Cappelle. Le nom de Pays de l'Angle venait du fait qu'il se trouvait dans une langue de terre formée par le confluent de trois rivières : l'Aa, la Hem et le Mardyck[12].

    Le Pays de l'Angle relevait de la châtellenie de Bourbourg du XIe siècle à la moitié du XIIIe siècle date à laquelle il fut érigé en châtellenie autonome[13].

    La châtellenie du Pays de l'Angle reçut en 1240 du Comte de Flandres Thomas II de Piémont (Thomas de Savoie) et de son épouse Jeanne de Constantinople une keure ou charte donnant des droits et privilèges identique à celles données aux châtellenies de Bourbourg, Bergues, Furnes[13]. En 1241, ils donnent le produit des tailles (impôts) levées dans le Pays de l'Angle irait à la châtellenie et en 1244 la Comtesse Marguerite de Constantinople défendit aux hommes de Bourbourg de prendre quoi que ce soit dans le Pays de l'Angle (l'interdiction formulée laisse supposer que ce rappel était nécessaire)[13].

    La châtellenie du Pays de l'Angle passa ensuite dans les biens des Comtes de Guînes : en 1248, Arnoul III de Guînes rend hommage à Robert Comte d'Artois (Robert Ier d'Artois) pour la forteresse et le Comté de Guînes, la baronnie d'Ardres et la châtellenie de l'Angle (Robert d'Artois avait reçu de Saint Louis son frère en 1237 à sa majorité l'Artois érigé en Comté en application de la volonté de leur père Louis VIII)[14]. Et en 1248, Robert d'Artois confirma les privilèges concédés au Pays de l'Angle (une certaine autonomie administrative, droit de justice et autres droits attachés à la châtellenie)[14].

    En 1402, la canalisation de l'Aa sépara de façon plus nette Bourbourg du Pays de l'Angle, accentuant ainsi la séparation entre la Flandre et l'Artois[14].

    Saint-Folquin et le Pays de l'Angle furent disputés, conquis, perdus, reconquis pendant des siècles entre Anglais, Espagnols, Français jusqu'en où par le traité de Nimègue ils furent définitivement rattachés à la France[12].

    En 1790, Saint-Folquin devint chef-lieu de canton des quatre communes du Pays de l'Angle jusqu'en 1801, date de son rattachement au canton d'Audruicq[12].

    Première guerre mondiale

    Pendant la première guerre mondiale, Saint-Folquin dépend du commandement d'étapes (élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du groupement , en arrière du front), ayant son siège à Nouvelle-Église[15]. Le , un brigadier de gendarmerie du poste de Saint-Folquin a conduit au camp anglais d'Audruicq, deux indochinois déserteurs[16].

    Le commandement d'étapes est transféré à Saint-Folquin le , coordonnant dès lors les stationnements de troupes sur Guemps, Vieille-Église, Nouvelle-Église, Sainte-Marie-Kerque, Pont d'Oye (hameau d'Oye-Plage), Bourbourg, Saint-Pierre-Brouck, Capelle-Brouck, Offekerque, Saint-Omer-Capelle, jusqu'à Coppenaxfort. Il va y rester jusqu'au [17].

    Malgré la censure qui surveille ce que prévoient de publier les journaux avant que ceux-ci ne sortent, le commandement d'étapes reçoit parfois l'ordre de faire saisir un journal en raison d'articles estimés litigieux, ainsi le , le journal L'Éveil du , le , le journal Le Pays du [18], etc. Le 1er janvier 1918, l'ordre reçu consiste à faire saisir une carte de France imprimée à Paris qui indique le secteur occupé par les troupes américaines[19]. Le 11 février 1918, ce sont des journaux russes qu'il faut saisir[20]. Et dans les semaines qui suivent, de tels ordres de saisie de journaux continuent régulièrement.

    Le commandement d'étapes reçoit régulièrement des avis de raids d'avions ennemis ce qui provoque l'extinction des feux, il semble qu'il y ait plus souvent de messages d'alertes que de raids effectifs (alertes levées au bout de 10-20 minutes, etc.[17].

    À Saint-Folquin, stationnent entre autres une section de D.C.A. (défense contre l'aviation) anglaise[21] ainsi qu'un poste de gendarmerie belge[19].

    Un ouragan s'est abattu dans la nuit du 15 au 16 janvier 1918 sur Saint-Folquin et les communes environnantes. La tempête a arraché plusieurs arbres tombés sur les routes et bloquant la circulation. Des watergangs (watringues) ont débordé et ont envahi les champs et même les chaussées. La circulation d'abord suspendue a pu reprendre le 16 vers 11 heures. Aucun accident de personne n'est à déplorer[22].

    Le 26 janvier 1918, deux gendarmes du poste de Saint-Folquin, ont poursuivi pendant trois heures sur les territoires des communes de Saint-Folquin, Saint-Omer-Capelle et Vieille-Église un belge réfractaire à la loi militaire. Pris par les gendarmes, il a été conduit à Bourbourg pour être remis à l'autorité militaire belge[23].

    Des avions ennemis ont fait une incursion dans le commandement d'étapes au cours de la nuit du 25 au 26 janvier 1918. Les alliés ont tiré sur eux et une partie de la fusée d'un obus allié est tombé sur une maison habitée par Mr. Fontaine fils, instituteur à Saint-Folquin. L'éclat a pénétré par le toit et est tombé dans la chambre à coucher où il a brisé un poêle. Les dégâts sont estimés à 45 francs. Cette même nuit, deux bombes sont tombées dans la plaine sur le territoire de Saint-Folquin, à proximité de l'Aa côté sud juste en face du Guindal[23].

    Le 2 mars 1918, vers 14 h 00, a été trouvé, sur la commune de Saint-Folquin, accroché à un arbre, un ballon d'essai allemand . Un paquet était fixé au ballon et contenait vingt exemplaires de la Gazette des Ardennes du 14 février 1918. Le ballon et tous les exemplaires ont été saisis par le poste de gendarmerie de Saint-Folquin et adressés par lui au lieutenant de gendarmerie commandant la Prévôté des Étapes à Gravelines[24].

    Lorsqu'un raid aérien ennemi est annoncé, le responsable du commandement d'étapes fait prévenir toutes les communes qui font partie du groupe afin que soit appliquée la principale consigne donnée dans cette situation : masquer les lumières. Le 22 mars, ce responsable signale, il l'avait déjà fait le 21 janvier 1918, qu'il ne peut prévenir par téléphone trois communes : Nouvelle-Église, Guemps et Offekerque, et ne dispose donc d'aucun moyen efficace pour faire parvenir le signal. À la date du 22 mars, les sécheries de chicorée situées sur les trois communes ne fonctionnent plus, ce qui rend moins essentiel de pouvoir faire parvenir le message d'alerte[25]. La situation ne va pas s'arranger, le 26 mars 1918, le chef e bataillon responsable du commandement d'étapes signale que depuis le 24 mars, les communications téléphoniques sont interrompues avec le central de Vieille-Église, et que de ce fait, il est complètement isolé[26].

    Une bombe est tombée dans la nuit du 21 au 22 mars à Saint-Folquin. Elle a fait quelques dégâts matériels mais ni blessé ni tué[27].

    Depuis 1945

    Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement de Saint-Omer pour intégrer l'arrondissement de Calais[28].

    Politique et administration

    Saint-Folquin dans son canton et dans l'arrondissement de Saint-Omer.
    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1968 1989 Alain Lambert   Commerçant
    mars 1989 En cours Yves Engrand
    Réélu pour le mandat 2020-2026[30]
    DVD Entrepreneur de travaux agricoles
    Réélu pour le mandat 2014-2020[31],[32]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Sint-Volkwin en flamand[33].

    Les habitants de la commune sont appelés les Saint-Folquinois[34].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2018, la commune comptait 2 303 habitants[Note 3], en augmentation de 6,03 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9008209269941 0271 0681 0761 1741 235
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2951 2911 4431 4331 4241 4281 3421 3401 356
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4501 4921 6071 4961 5301 5281 4901 4331 455
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 4151 3351 3831 7541 9732 0622 2422 2672 167
    2017 2018 - - - - - - -
    2 2482 303-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (13,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,2 %, 15 à 29 ans = 16,9 %, 30 à 44 ans = 23,5 %, 45 à 59 ans = 24,7 %, plus de 60 ans = 12,7 %) ;
    • 50,2 % de femmes (0 à 14 ans = 20,2 %, 15 à 29 ans = 18,5 %, 30 à 44 ans = 22,2 %, 45 à 59 ans = 24,4 %, plus de 60 ans = 14,6 %).
    Pyramide des âges à Saint-Folquin en 2007 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,1 
    2,8 
    75 à 89 ans
    4,1 
    9,7 
    60 à 74 ans
    10,4 
    24,7 
    45 à 59 ans
    24,4 
    23,5 
    30 à 44 ans
    22,2 
    16,9 
    15 à 29 ans
    18,5 
    22,2 
    0 à 14 ans
    20,2 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église saint-Folquin, à deux nefs, est construite en 1644 par Gaston d'Orléans, détruite partiellement par Turenne et restaurée en 1661. Un reliquaire de saint Folquin du XVe siècle, la cloche et un retable du XVIIIe siècle, ainsi que plusieurs statues sont classés monuments historiques à titre d'objets. Une pietà, monument aux morts de la paroisse, date de 1921 et les vitraux de 1939.
    • Le monument aux morts commémore les morts des guerres 1914-1918 et 1939-1945, et aussi les victimes belges du bombardement de .
    • Une statue de la Vierge à l'Enfant de 1944.
    • Quatre séchoirs à chicorée, une filature de chanvre et de jute, une briquetterie, une scierie et une brasserie sont inventoriés dans la base Mérimée.

    Langues

    Le flamand était encore parlé jusqu'au XIXe siècle[40].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    Parti, au premier de gueules à l’évêque de carnation, vêtu d’or, crossé, nimbé, mitré du même et bénissant de sa dextre et au second vairé d’or et d’azur.

    Ces armes évoquent à la fois saint Folquin et les armoiries de la maison de Guînes, seigneur du pays de Langle jusqu'au XIIIe siècle.

    Le 24 janvier 1964, le conseil municipal adopta officiellement ce blason qui reçut l'approbation de la commission d'héraldistes spécialisés des archives nationales.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Saint-Folquin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. « Saint Folquin », sur Communauté de Communes de la Région d'Audruicq.
    13. Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Editions Galaad Graal, , p. 18.
    14. Georges Dupas option citée page 19
    15. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    16. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 32, lire en ligne.
    17. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    18. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 7 et 10, lire en ligne.
    19. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 32, lire en ligne.
    20. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 71, lire en ligne.
    21. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 27, lire en ligne.
    22. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 47, lire en ligne.
    23. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 56, lire en ligne.
    24. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p.92, lire en ligne.
    25. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 111, lire en ligne.
    26. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 115, lire en ligne.
    27. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 112, lire en ligne.
    28. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur http://www.pas-de-calais.gouv.fr/, (consulté le ).
    29. Histoire de Saint-Folquin - Les maires de Saint-Folquin
    30. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21597855
    31. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    32. Chloé Tisserand, « Saint-Folquin : le béguinage inauguré, la maison médicale en attente : Comme elle l’a fait avec les bilans des maires avant les élections, « La Voix du Nord » propose une série consacrée cette fois à leurs projets. Quels engagements ? Quels grands chantiers ? Les réponses d’Yves Engrand, maire de Saint-Folquin », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    33. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    34. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « Évolution et structure de la population à Saint-Folquin en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    40. Annales du Comité flamand de France, tome III, 1856-1857..
    • Portail du Nord-Pas-de-Calais
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.