Saint-Père-Marc-en-Poulet

Saint-Père-Marc-en-Poulet, anciennement nommée Saint-Père jusqu'en , est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne et peuplée de 2 315 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Saint-Père.

Saint-Père-Marc-en-Poulet

L'église Saint-Pierre.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Saint-Malo Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Francis Richeux
2020-2026
Code postal 35430
Code commune 35306
Démographie
Gentilé Péréen
Population
municipale
2 315 hab. (2018 en augmentation de 3,72 % par rapport à 2013)
Densité 117 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 16″ nord, 1° 55′ 26″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 56 m
Superficie 19,74 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dol-de-Bretagne
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Saint-Père-Marc-en-Poulet
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Saint-Père-Marc-en-Poulet
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Saint-Père-Marc-en-Poulet
Liens
Site web www.ville-saint-pere.fr

    Géographie

    Localisation

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 715 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Méloir », sur la commune de Saint-Méloir-des-Ondes, mise en service en 1989[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 751,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950 et à 10 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[13], à 11,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Père-Marc-en-Poulet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,1 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), prairies (13,1 %), forêts (8 %), zones urbanisées (6,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %), zones humides côtières (0,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    La première partie de son nom est en réalité une déformation de Saint-Pierre, la seconde partie proviendrait de marck, mot franc qui signifie « frontière ». Saint-Père se situait à la limite de la paroisse du Poulet et de l'évêché de Saint-Malo[26].

    Pendant la Révolution, la paroisse prend le nom de Père-en-Poulet[27].

    La commune est renommée Saint-Père-Marc-en-Poulet en [28].

    Le gentilé est Péréen.

    Histoire

    Saint-Père-Marc-en-Poulet est l'une des plus anciennes paroisses du Clos-Poulet. La fondation de ce petit village se trouvant dans le canton de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine remonterait au VIe ou VIIe siècle.

    Au XVe siècle, le bourg est un domaine de haute-justice car il détient à la fois la prison, l'auditoire et les ceps de vigne de la seigneurie de Saint-Père.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Saint-Père-Marc-en-Poulet appartient à l'arrondissement de Saint-Malo et au canton de Dol-de-Bretagne depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, la commune était rattachée au canton de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la septième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Gilles Lurton (LR). Auparavant, elle a successivement appartenu à la deuxième circonscription de Saint-Malo (IIIe République) et à la 6e circonscription (1958-1986).

    Intercommunalité

    Depuis 2001, date de sa création, Saint-Père-Marc-en-Poulet appartient à Saint-Malo Agglomération.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1789 1795 Pierre Sauvage    
    1795  ? François Sauvage
    (fils du précédent)
       
    1796  ? Pierre Sauvage
    (fils du précédent)
       
    1800  ? Augustin Tasset père    
    1808  ? Augustin Tasset fils    
    1815 1826 Noël Bouesnel    
    1826 1831 François Tasset    
    1831 1855 François Olivier    
    1855 1863 Joseph Méhouas    
    1863 1874 Félix Rougeul    
    1874 1876 Eugène Magon de la Villehuchet    
    1876 1893 Félix Rougeul    
    1893 1919 Pierre Sauvage-Deschamps    
    1919 1928 Pierre Auffray    
    1928  ? Louis Provost    
    Les données manquantes sont à compléter.
    [31] [32]
    (décès)
    Francis Poirier   Retraité de la Police nationale
    [33] Louise Leretrait[34]    
    [35] En cours Jean-Francis Richeux[36] UDI-AC Commerçant
    Conseiller général du canton de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine (1994 → 2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

    En 2018, la commune comptait 2 315 habitants[Note 7], en augmentation de 3,72 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4611 4021 5911 8061 8861 9581 9681 9802 003
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9311 8381 8171 8111 8351 7391 7201 7151 622
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5671 5141 5081 3471 2811 2471 1891 1741 250
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1451 0551 0801 2471 5161 7502 1262 1782 229
    2013 2018 - - - - - - -
    2 2322 315-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments civils

    Malouinière de Launay-Ravilly

    Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis le [41].

    Malouinière Le Bois Martin

    Le corps principal de cette malouinière date des années 1725-1730 et le bâtiment a été construit à l'emplacement de l'ancienne chapelle dans les années 1970. À propos de la chapelle, Théodore Chalmel écrivait: « La chapelle domestique du Bois-Martin, construite par N. H. écuyer Jean Martin, sieur de la Chapelle, est contemporaine du château du même nom. C'est un édifice quadrilatéral, situé à l'ouest et à environ dix mètres du château. L'entrée unique se trouve au sud, l'abside au nord, fenêtres à droite et à gauche, prenant toute la hauteur, du sol au plafond. Ce sanctuaire était dédié à la Sainte Vierge, sous l'invocation de Notre-Dame du Bois-Martin. L'intérieur est voûté. Quatre nervures se croisent au sommet. Sur l'autel, encore en place, on remarque un crucifix, deux chandeliers en cuivre ciselé, de valeur artistique. La pierre sacrée, les vases précieux, les ornements sacerdotaux ont été donnés à l'église de Saint-Père par madame la comtesse de Cheffontaines. Aujourd'hui, la chapelle est désaffectée ».

    À l'est de la demeure existante, un bâtiment a été remanié aussi vers 1970. Sur les cadastres de 1809 et 1848 un colombier, surmonté d'un campanile, est représenté au fond du jardin. Sont également figurées des douves entourant partiellement la cour. Au nord-est, se trouvent la métairie et le parc composé d'allées et de ronds-points, déjà mentionnés au cadastre de 1809. Pour Théodore Chalmel, le parc est « Le plus important forme dépendance du Bois-Martin. Il contient 22 ha divisés en parcelles que limitent allées et ronds-points savamment tracés. Ici, les taillis sont les survivants d'arbres futaies. Les essences y sont le chêne et le châtaignier ».

    Théodore Chalmel nous apprend également que la propriété était, jadis, appelée le Bois-Bouvier et qu'elle relevait de Bonaban. Il précise que le domaine appartenait à écuyer René Martin et Modeste Cécile Gris (1700-1737), à écuyer Jean-Baptiste Le Gobien et Marie-Modeste Martin (1724-1768).

    D'après la tradition orale, il aurait été occupé par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Depuis août 1987, le Bois Martin accueille l'école Sainte-Marie.

    Fort de Saint-Père

    Le fort.

    C'est à la suite de la guerre de Sept Ans, sous Louis XV que ce fort fut construit. Il était destiné à protéger Saint-Malo d'une attaque anglaise par les terres et est aujourd'hui utilisé en tant que site du festival La Route du Rock.

    La chapelle Saint-Roch

    C'est en 1626 que fut édifiée cette chapelle. Elle était destinée à l'origine à faire face à une épidémie de peste qui perdurait depuis la fin du XVIe siècle. Elle prit le nom de saint Roch, saint invoqué par les fidèles contre ce genre de maladie.

    La chapelle fut détruite à la Révolution, puis reconstruite à partir de 1897.

    Le moulin du Beauchet

    Le moulin en 2008.

    Le moulin à marée du Beauchet est en fait une reconstruction de 1882 à la suite d'un incendie, il se situe au bas de la côte du Lyonnais. Composé de pierre et de schiste, il a été construit à l'emplacement d'anciens moulins qui, jusqu'en 1789, servaient aux habitants du canton de Châteauneuf pour moudre leur blé.

    C'est en 1957 que l'énergie électrique remplace la force des marées pour son fonctionnement. Aujourd’hui ce moulin est une propriété privée, que l’on peut voir dominant l’étang du même nom, l'étang du Beauchet.

    Il est inscrit en tant que monument historique depuis 1986[42].

    Lieux et monuments religieux

    Église Saint-Pierre

    L'église Saint-Pierre[43] possède un vitrail comportant des fragments du XIVe siècle, classé monument historique en tant qu'objet[44], remontés par le maître verrier Charles Lorin de Chartres dans les années 1920.

    Prieuré Saint-David de la Mare de Saint-Père-Marc-en-Poulet

    Le prieuré Saint-David de la Mare de Saint-Père-Marc-en-Poulet a été possédé par R. Chauvel (en 1470), J. Paulmier (1500), Th. de la Boullaie (en 1505), frère Alain de Saint-Jean (1528) et Louis Dupont du Grippel (1657). Il dépendait à l'origine de l'abbaye Saint-Magloire de Léhon, puis par la suite de l'abbaye Notre-Dame du Tronchet[45].

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    La commune est jumelée avec Nandrin (province de Liège, Belgique)

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Méloir - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Père-Marc-en-Poulet et Saint-Méloir-des-Ondes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Méloir - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Père-Marc-en-Poulet et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Source : "Histoire" sur le site de la commune
    27. Le patrimoine d'Ille-et-Vilaine, Éditions Flohic, Paris, 2000.
    28. Décret no 2018-956 du 5 novembre 2018 portant changement du nom de communes, publié au JORF du .
    29. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    30. Les maires de Saint-Père, sur le site Geneawiki
    31. « Élections de maires », Ouest-France,
      « ST-PÈRE-MARC-EN-POULET  : M. Francis Poirier, élu ».
    32. Avis d'obsèques du paru dans Ouest-France
    33. « Louise Leretrait, nouveau maire », Ouest-France,
      « Ainsi, le 6 octobre, Louise Leretrait est-elle devenue « madame le Maire », la deuxième du canton de Châteauneuf après l'élection de 1983 au Tronchet ».
    34. « Les femmes-maires », Ouest-France,
      « Saint-Père-Marc-en-Poulet (1 259 hab.) : Louise Leretrait, conseillère en 1977, premier adjoint en 1983, maire en 1984. ».
    35. « Sénatoriales : Jean-Francis Richeux candidat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. Réélection 2014 : « Une élection sans surprise du maire et de ses cinq adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. Notice no PA00132552, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Moulin du Beauchet », notice no PA00090878, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00130811, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Verrières : scènes de la Résurrection et du Jugement dernier », notice no PM35000641, base Palissy, ministère français de la Culture.
    45. Archives départementales de la Loire-Inférieure, B.841, liasse, 15 pièces, parchemin.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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