Miniac-Morvan

Miniac-Morvan est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne, peuplée de 4 040 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Morvan.

Miniac-Morvan

L'église Saint-Pierre et le monument aux morts.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Saint-Malo Agglomération
Maire
Mandat
Olivier Compain
2020-2026
Code postal 35540
Code commune 35179
Démographie
Population
municipale
4 040 hab. (2018 en augmentation de 6,79 % par rapport à 2013)
Densité 130 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 53″ nord, 1° 54′ 00″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 68 m
Superficie 31,03 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Miniac-Morvan
(ville isolée)
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dol-de-Bretagne
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Miniac-Morvan
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Miniac-Morvan
Géolocalisation sur la carte : France
Miniac-Morvan
Géolocalisation sur la carte : France
Miniac-Morvan
Liens
Site web www.miniac-morvan.fr

    Géographie

    Miniac-Morvan est située à 20 km de Saint-Malo sur la quatre voies Rennes-Saint-Malo.

    Hameaux, écarts, lieux-dits

    • Beillac * Boutry * Caridan * Casse Noe
    • Champveau * Couabel * Gouillon * L'Angle
    • L'Ouche * La Barre * La Barre Guineheuc * La Besnard
    • La Binellerie * La Blainerie * La Bouexiere * La Bouglaie
    • La Brizardiere * La Butte * La Chalandiere * La Chambre
    • La Costardais * La Croix de Villebret * La Croix des Gues * La Croix Durand
    • La Gaudiniere * La Haute Folie * La Herlise * La Janais
    • La Lande des Gues * La Landelle * La Maison Neuve * La Mare
    • La Mettrie * La Noe * La Nouette * La Potenne
    • La Roussaie * La Saboterie * La Salle * La Salle Es Beaugeard
    • La Sauvagere * La Touche Aux Vanais * La Touesse * La Tresse
    • La Verrerie * La Viette * La Ville Aubry * La Ville Blanche
    • La Ville Boutier * La Ville Es Genils * La Ville Es Tues * La Ville Mauny
    • La Ville Oger * Launay * Launay Beliard * Launay Boulen
    • Launay Guibert * Launay Robidou * Le Bas Gouillon * Le Bas Miniac
    • Le Bas Rocher * Le Bois Guyot * Le Bois Hamon * Le Bourg
    • Le Breginal * Le Chatelier * Le Chene * Le Chiendent
    • Le Clos de la Croix * Le Clos Hiard * Le Clos Pierre * Le Clos Sauvage
    • Le Domaine * Le Domaine d'Amelie * Le Freche * Le Gavre
    • Le Grand Bois Hamon * Le Haut Boutry * Le Haut Gouillon * Le Haut Miniac
    • Le Haut Rocher * Le Havre * Le Moulin Faruel * Le Pas Pecet
    • Le Petit Angle * Le Petit Bois Hamon * Le Petit Rochambaud * Le Point du Jour
    • Le Porche * Le Port Besnard * Le Pre Malouin * Le Pron
    • Le Rimbriant * Le Rocher * Le Rocher Aux Merles * Le Rocher Pleureur
    • Le Rocheret * Le Verger * Les Champbriants * Les Champs d'Avenais
    • Les Chesnaies * Les Colettes * Les Conais * Les Corbinieres
    • Les Epines Meliauds * Les Gues * Les Hervelins * Les Jardins d'Amelie
    • Les Jardins d'Elise * Les Marvatieres * Les Mettras * Les Noes
    • Les Rivières * Les Tertres * Montloie * Moulin du Tertre Guy
    • Mousson * Robidou * Rochambaud * Saint Gre
    • Saint Gregoire * Sevin

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 700 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Méloir », sur la commune de Saint-Méloir-des-Ondes, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 751,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950 et à 14 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Miniac-Morvan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Miniac-Morvan, une unité urbaine monocommunale[17] de 3 931 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), prairies (19,3 %), forêts (10,3 %), zones urbanisées (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Miniac au XIe siècle, Miniacum en 1142[24].

    Miniac est issu du latin Minius et du suffixe gallo-romain acum[25] et de morvan, signifiant « homme de mer », en vieux breton[réf. nécessaire]

    Histoire

    La paroisse de Miniac-Morvan faisait partie du doyenné de Dol relevant de l'évêché de Dol et est placée sous le vocable Saint-Pierre.

    La paroisse existait déjà au XIIe siècle. Cependant, il existe des vestiges gallo-romains dans la commune.

    D'après une légende, l'ermite saint Colomban aurait construit au VIIe siècle un oratoire dans une forêt. Cet oratoire est remplacé par la suite par un prieuré qui disparaît vers la fin du XVIIe siècle. Ce prieuré, qui dépend avant 1245 de l'abbaye Saint-Florent de Saumur en Anjou, est rétrocédé à l’abbaye Notre-Dame du Tronchet[26], dont l'abbé possédait le trait qu'il assigne en 1337 à ses religieux pour subvenir à leurs dépenses[27].

    Vers 1200, Alain de La Chapelle, avec Raoul et Godefroy de Miniac sont témoins de la cession du domaine Saffredi à l'abbaye Notre-Dame du Tronchet, par Godefroy, fils de Main, avec le consentement de ses héritiers, dont Thomas Taon, chevalier[28].

    En 1295, les religieux du Tronchet concluent un accord au sujet d'une pièce de terre sise à Miniac, avec Amicie, veuve de Jourdain de Gouillon (Goyllon). Cet arrangement est scellé du sceau de Châteauneuf-la-Noë et de l'écusson des de Rochefort, vairé, avec lambel à trois pendants[29]. Les dîmes de la paroisse et le bailliage du Gavre, étaient au bénéfice de cette abbaye[30].

    L'activité économique traditionnelle de Miniac-Morvan était à la fois liée à l’agriculture et à la pêche :

    • jusqu'au XIXe siècle, le chanvre était particulièrement cultivé dans la commune, avec également un grand nombre de tisserands. Cette activité disparait vers 1880.
    • jusqu'au début du XXe siècle, de nombreux hommes de la commune participent aux campagnes de pêche à Terre-Neuve. Ainsi, chaque mois de décembre, les patrons de navires venaient pour recruter leurs équipages lors de la « louée de la mer »[26].

    L’organisation des fêtes révolutionnaires témoigne de l’accueil favorable de la population de Miniac-Morvan aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur :

    Héraldique

    Le blason est celui de la famille Le Clavier, seigneur du château de Miniac pendant plusieurs siècles.

    Blasonnement :
    De gueules aux deux clefs d'or posées en sautoir[33].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    novembre 1789 juin 1791 Jacques Josèph Le Courtois   Notaire
    1791 décembre 1792 Guillame Goger    
    décembre 1792 avril 1800 Louis Renard   Chirurgien
    avril 1800 octobre 1815 Pierre Roger    
    octobre 1815 décembre 1824 Marie-Joseph de France   Châtelain de Miniac
    janvier 1825 octobre 1829 Pierre Daubancourt    
    novembre 1829 septembre 1830 Achile Marie Ulrick, comte de Laubespin   Châtelain de Gouillon
    septembre 1830 septembre 1848 Pierre Louis Malo Brossard    
    septembre 1848 juin 1853 Achile Marie Ulrick, comte de Laubespin    
    juin 1853 juillet 1855 Henri Marie François Colas   Notaire
    juillet 1855 septembre 1860 Pierre Simonet    
    octobre 1860 mai 1865 Guillaume François Noury    
    mai 1865 mai 1871 François Cron    
    mai 1871 août 1904 Léonel Mouchet de Battefort, comte de Laubespin   Châtelain de Gouillon (fils d'Achille)
    1904 novembre 1919 Pierre Mouchet de Battefort   Châtelain de Gouillon (fils du précédent)
    décembre 1919 août 1929 Charles Cron    
    août 1929 septembre 1947 François Agenais    
    septembre 1947 avril 1953 Henri Mordrelle   Cultivateur
    mai 1953 avril 1961 Émile Goger   Retraité Marine Marchande
    mai 1961 avril 1971 Yves Destais   Docteur en médecine
    mai 1971 mars 1983 Jean Fantou CD Exploitant en bois
    mars 1983 juin 1995 Pierre Porcon   Retraité Marine nationale
    juin 1995[35] mars 2014 Roger Chapon DVD Agent du Trésor public
    mars 2014[36] mai 2020 M. Dominique Louvel[37] DVD Retraité
    mai 2020[38] En cours Olivier Compain DVC Chef d’entreprise de maçonnerie

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

    En 2018, la commune comptait 4 040 habitants[Note 7], en augmentation de 6,79 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3642 5922 7203 0073 0413 0653 1073 1923 270
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 2853 3323 2643 1243 2263 2403 1813 0993 098
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9782 8922 8462 5622 4382 4982 5052 4122 235
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2 2902 2442 1612 5952 8152 7843 2123 7053 881
    2018 - - - - - - - -
    4 040--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Patrimoine classé

    La commune compte un monument historique :

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Pierre (église paroissiale).
    • Chapelle Notre-Dame-de-Toute-Puissance du château de Miniac (1654-1656), démolie pendant la Ligue, reconstruite.
    • Ancienne chapelle de Bourgneuf, dont la donation est approuvée par Jean, évêque de Dol (1190-1199) à l'abbaye de Marmoutier.
    • Ancienne chapelle de Langle, près de la Mare.
    • Ancienne chapelle du Frêche (XVIe siècle - XVIIe siècle située près du village du Hâvre, aujourd'hui disparue.
    • Ancienne chapelle Notre-Dame-de-Grâce, construite au Vieux-Bourg avec les pierres de l'ancienne église.
    • Ancienne chapelle de l'Immaculée-Conception, chapelle moderne des Filles de la Sagesse, bénite en 1842.
    • Ancienne chapelle de la Bouglaye, route de Châteaunef d'Ille-et-Vilaine, aujourd'hui disparue.
    • Ancienne église du Vieux-bourg (XIVe siècle - XVe siècle: porte (vestiges).
    • Prieuré Saint-Colomban de la Mare devenu manoir de la Mare-Ferron. Le premier prieuré fut la propriété de l'abbaye Saint-Florent de Saumur déjà en 1186, abandonné, il est en 1245, rétrocédé par Étienne, évêque de Dol à l'abbaye Notre-Dame du Tronchet, et reconstruit au XVe siècle et au XVIIe siècle. Il conserve une chapelle avait un clocher-arcade à une baie, la porte en arc brisé, moulurée, datée de 1649. Devenu la propriété de Michel Ferron en 1480, il est transformé en manoir et prend le nom de la Mare-Ferron.
    • Prieuré Saint-Grégoire de Miniac, dépendait de l'abbaye de Saint-Sulpice-des-Bois, près de Rennes, (moniales). En 1161, le pape Modèle:Souvrain2 confirme les religieuses dans cette possession. Aujourd'hui une croix marque l'emplacement de l'église priorale.
    • Croix à L'Angle (1804).
    • Calvaire du château (XVe siècle).
    • La maison de charité, elle était au lieu-dit la Motte ou les Vieux Cimetières, fondée en 1757, desservie par les sœurs de la Sagesse.

    Patrimoine civil

    • Le château de Bas-Miniac, (XVe, XVIIe et XVIIIe siècles) : ultime berceau de la famille de Miniac, le château est édifié sur les restes d'une motte féodale, probablement construite autour de l'an mil alors qu'apparaît la forme la plus ancienne du nom Miniac, Méniac.
    • Le château de Gouillon, sur la route de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine, (XVe siècle) incendié et reconstruit. Propriété successive des familles du Breil, de Québriac (1513), Gaultier (1658), Uguet, Laubespin.
    • Manoir de Launay-Quinouart, situé route de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine. Appartenant en 1480 à Thomas Quinouart.
    • Ancien manoir du Bas-Gouillon ou du Bois-Gouillon, route de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine, propriété d'Olivier de Hirel en 1480.
    • Ancien manoir de Bishamon, sur la route de Châteauneuf-d'Ille-et-Vilaine, propriété de la maison de Bohier, puis de Québriac, seigneurs de la Hirelays en 1513.
    • Ancien manoir de la Jambonnière, propriété de la maison Ferron en 1513.
    • Ancien manoir de la Barre-Guéhéneuc, possédait jadis une chapelle, propriété des Guéhéneuc en 1513.
    • Ancien manoir de la Ville-Blanche, propriété de la maison de la Monneraye en 1513.
    • Malouinère de Launay-Guibert (1731) avec un colombier.
    • Léproserie au Village de la Maladrerie.
    • Moulin du Bas-Miniac, moulin à eau.
    • Moulin de Beillac, moulin à vent.
    • Moulin de Guillon, moulin à vent.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Méloir - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Miniac-Morvan et Saint-Méloir-des-Ondes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Méloir - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Miniac-Morvan et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Miniac-Morvan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. « Etymologie et Histoire de Miniac-Morvan », infobretagne (consulté le ).
    25. Ernest Nègre -Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 485.
    26. Inventaire préliminaire du patrimoine
    27. Voir l'article Abbaye Notre-Dame du Tronchet
    28. Michel Pelé, Les établissements religieux dolois, les bénédictins du Tronchet, Combourg, Rennes, 1975-2009, p. 5.
    29. Michel Pelé, ops, cit. p. 7.
    30. Déclarations de 1685 & 1790
    31. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399
    32. Dubreuil, Fêtes..., p. 401
    33. « Miniac-Morvan Ille-et-Vilaine », sur GASO, la banque du blason (consulté le ).
    34. D'après Joël Sorette, "Miniac-Morvan".
    35. « Départ de Roger Chapon, après 31 ans de vie communale », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. « Dominique Louvel est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. « Dominique Louvel est le nouveau maire », Ouest-France, 1er avril 2014.
    38. « Miniac-Morvan. Sans surprise, Olivier Compain est élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. Notice no PA00090630, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Annuaire des Côtes-du-Nord, 1848, page 144.
    45. Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine, 1934, page 114.
    46. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 139.

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