Saint-Julien (Var)

Saint-Julien[1], localement nommée Saint-Julien-le-Montagnier, est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Julien.

Saint-Julien
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté de communes Provence Verdon
Maire
Mandat
Emmanuel Hugou
2020-2026
Code postal 83560
Code commune 83113
Démographie
Gentilé Saint-Juliennois, Saint-Juliennoises
Population
municipale
2 406 hab. (2018 )
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 31″ nord, 5° 54′ 28″ est
Altitude Min. 297 m
Max. 596 m
Superficie 75,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Manosque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Saint-Julien
Géolocalisation sur la carte : Var
Saint-Julien
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien
Liens
Site web ville-saint-julien-le-montagnier.fr

    Géographie

    Situation

    La commune de Saint-Julien est située au nord-ouest du département du Var, sur la rive gauche du Verdon, à la hauteur des basses gorges et du lac d'Esparron. Le village, perché sur une butte isolée, domine les plans de Haute-Provence, succession de plateaux rocheux, couverts d'une maigre végétation arbustive, sur lesquels de place en place une petite agglomération forme le centre d'une surface bien cultivée où dominent quelques céréales, la vigne, la lavande et les oliviers.

    La commune de Saint-Julien est incluse dans l'aire du parc naturel régional du Verdon.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Saint-Julien est arrosée par un petit ruisseau qui le traverse du sud-est au nord-ouest et s'échappe par l'étroit vallon de Malaurie pour se jeter dans le Verdon, et par son affluent le vallon de Goure. La commune est traversée selon une diagonale perpendiculaire par l'ancien canal du Verdon et le canal de Provence, tous deux en grande partie souterrains, qui se détachent du Verdon au lac d'Esparron et se dirigent vers Aix-en-Provence et la côte méditerranéenne.

    Voies de communication et transports

    Le village est desservi par plusieurs routes départementales qui rayonnent autour du hameau de Saint-Pierre, au pied du village, et le relient à Gréoux-les-Bains, Vinon-sur-Verdon, Ginasservis, la Verdière et Montmeyan. L'ancienne route vers Esparron-de-Verdon est noyée. L'ancienne route nationale 554 reliant la rivière Durance au centre du département du Var passe au sud de la commune.

    Hameaux et lieux-dits ou « quartiers »

    Le village ancien sur son promontoire, ne regroupe qu'une partie de la population. Le reste est réparti en vingt-huit hameaux : les Bernes, Boisset[2], les Bourdas, les Campaux, le Clos du Loup, le Courcoussier, l'Éclou, les Garduères, les Gillets, les Gillets/Tonnets, les Guis, le Jas des Hugou, les Jonquiers, Malaurie, la Mantuane, les Mayons, les Maurras, la Mouroye, le Pas de la Colle, les Peyres, le Pilantier, Phéline, les Pontiers, les Puits Neufs, Regagnole, la Ricarde, les Rouvières, Saint-Pierre.

    Les principaux hameaux sont Saint-Pierre, au pied du village, Boisset, au nord-ouest, et les Rouvières, à l'est[3].

    Il y a aussi de nombreux lieux isolés, bastides, fermes : la Baraque, la Bastide Neuve, la Jauffrette, les Ollagniers, les Palets, la Paludette, le Pardigaou, le Plan, les Portes, Sainte-Anne.

    Sismicité

    La commune de Saint-Julien est en zone sismique de faible risque Ib[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Julien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,5 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,7 %), terres arables (3,9 %), zones urbanisées (2,1 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %), prairies (0,6 %), cultures permanentes (0,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Saint-Julien s'écrit Sant-Julian-lou-Mountagnié en occitan provençal de norme mistralienne et Sant Julian lo Montanhier dans la norme classique[12].

    Histoire

    À l’époque préhistorique, plusieurs grottes ont connu une occupation humaine, plus ou moins longue : la grotte Sauzade (dans le canyon de Quinson, où l’on a retrouvé les restes de chevaux et de bouquetins consommés sur place[13] ; dans la grotte du Chêne Boulé, on n'a retrouvé que des restes de bouquetin ; celle de Malavalasse a aussi été occupée[14],[15].

    La commune de Saint-Julien est située au nord-ouest du département du Var, sur la rive gauche du Verdon, à la hauteur des basses gorges et du lac d'Esparron.

    Le bourg, perché sur une butte isolée, s'appuie à l'est et à l'ouest sur des falaises de roches grises et domine les plans de Haute-Provence. Village atypique, puisque ce vieux village accroché sur sa montagnette (576 m) domine de vastes plateaux sur lesquels on compte aujourd'hui 28 hameaux, environ 2 200 habitants sur 7 700 hectares ; vous pouvez consulter sur ce site une page dédiée pour chaque hameau.

    Le hameau le plus important Saint-Pierre, est devenu en 1929, le centre administratif de la commune, jusque-là situé au vieux village ; ce déperchement fut à l'époque, à l'origine de vives controverses, mais était pleinement justifié car le nombre d'habitants dans la plaine en 1926 était de 593 contre 77 au village perché !

    De nombreux vestiges retrouvés dans plusieurs grottes et abris rocheux attestent de l'occupation du site depuis le néolithique, -7000 à -2500.

    On recense les vestiges de quatre oppida, dont l'oppidum de l'Autavès pour lequel un chantier de préservation fait partie de nos projets.

    Occupé sans discontinuer depuis cette époque,de l'âge du Bronze, -1800 à -800, à celui du fer, -800 à -50, occupé par de populations de Ligures, de Celtes et de Gaulois vers -700 ; en -122, les Romains créent plusieurs villes, notamment « Aquae sextiae » devenue Aix-en-Provence et s'établissent dans la région.

    Traversant ainsi les âges, le village s'entoura de fortifications, offrant aux villageois l'abri dont ils avaient besoin.

    Au XIIIe siècle, des documents comptables des frères hospitaliers qui avaient succédé aux frères templiers, attestent qu'à cette époque, Saint-Julien était le terroir qui présentait le meilleur rapport. On y pratiquait alors l'élevage du mouton, la culture des céréales, des oliviers, des amandiers des cultures vivrières, etc. Le bourg était habité par des artisans et des marchands.

    À partir du XVIIIe siècle, la sécurité dans les campagnes s'améliore et les hameaux voient leur nombre d'habitants grossir d'agriculteurs proches de leurs cultures.

    Politique et administration

    Tendances et résultats politiques

    Lors des élections municipales et communautaires de 2014, trois listes étaient candidates : la liste divers droite l'a emporté avec 799 suffrages exprimés (45,06 %) suivie par deux listes « divers gauche » qui ont recueilli chacune 283 suffrages exprimés (20,73 %)[16].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1929 Émile Philibert[17] SFIO Ancien secrétaire de mairie
    Conseiller d'arrondissement du canton de Rians (1919 → ?)
    Réélu en 1912, 1919 et 1925
    1929 1957 Albert Buerle SFIO Cultivateur puis commerçant
    Décédé en fonctions
    1957 Fernand Pellas
    (1904-1992)
       

    (décès)
    Maurice Janetti[18] PS Instituteur et directeur d'école
    Sénateur du Var (1978 → 1986)
    Député du Var (1986 → 1988, élu au scrutin proportionnel)
    Député de la 6e circonscription du Var (1996 → 1999)
    Conseiller général du canton de Rians (1973 → 1999)
    Réélu en 1971, 1977, 1983, 1989 et 1995
    Francis Gillet[19] DVG Trufficulteur
    Chevalier du Mérite agricole (2010)
    Réélu en 2001 et 2008
    en cours Emmanuel Hugou DVD Ingénieur chercheur CEA
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2015

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[20] :

    • total des produits de fonctionnement : 2 185 000 , soit 973  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 2 020 000 , soit 900  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 313 000 , soit 139  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 1 131 000 , soit 504  par habitant.
    • endettement : 2 948 000 , soit 1 313  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 8,61 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 18,14 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 74,11 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

    En 2018, la commune comptait 2 406 habitants[Note 4], en augmentation de 5,34 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3901 4061 4921 5221 5281 4311 3541 3171 296
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2451 2241 2301 1831 1271 0981 0501 0011 004
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    949933841688670542491495449
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    3964216118251 1491 2801 5691 9832 345
    2018 - - - - - - - -
    2 406--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Coopérative vinicole La Montagnière[25].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Une porte de l’enceinte du XIIe siècle, encadrée par le départ de deux tronçons de la courtine et des remparts sont les témoins de cette ancienne place forte aux nombreuses maisons anciennes[26].
    Porte de Gourdane, au nord-ouest du village.
    • L’église paroissiale, de la fin du XIe et du début du XIIe siècle[27], est, selon Raymond Collier, une des plus belles de Haute-Provence et exemplaire de la transition entre art roman primitif et art roman classique. Elle est composée d’une nef centrale élevée, aux quatre travées étroites, couvertes d'un berceau soutenu par des doubleaux, est encadrée de deux bas-côtés : celui du nord, du XVIe siècle, est voûté sous croisée d’ogives, celui du sud, voûté en berceau, date de la construction de l’église. Le faux transept est formé d’une travée de chœur et des deux dernières travées des bas-côtés. L'abside en cul-de-four est encadrée de deux absidioles[28]. Elle possède un maître-autel en bois doré du XVIIe siècle et une poutre de gloire, bien conservée. Le chœur est éclairé par un rocher carré formant lanterne[29]. Les cloches datent de 1726[30] et 1782[31].
    • Le panorama depuis le château d'eau embrasse sept départements
    • Les moulins situés sur le plateau[32], au nord-ouest du vieux village[33],[34].
    • Le lavoir de Saint-Pierre[35].
    • Monuments commémoratifs[36] :
      • Plaque commémorative sur le mur de l'église,
      • Monument aux morts dans le cimetière,
      • Monument aux morts du hameau des Rouvières,
      • Monument aux morts du souvenir Français du hameau de Saint-Pierre.
    • La chapelle de l'Annonciade, située sur l'aire de Gourdane où se trouvent les moulins.
    Chapelle de l'Annonciade.

    Personnalités liées à la commune

    • Charles Maurras (1898-1952): écrivain, poète et académicien, polémiste royaliste, sa famille est originaire du hameau des Maurras.
    • Paul Blanc, peintre, graveur a habité à Saint-Julien de 1889 à 1901.
    • Yves Conte (1946-): artiste-peintre et homme de lettres, d'une vieille famille de Saint -ulien (plusieurs lieux-dits), les Pellas, de Pellas, de Pellas de Maillanne.
    • Maurice Janetti : maire de 1965 à 1999 et parlementaire, mort en .
    • Jean-Marie Martin (1922-2012), artiste peintre a vécu à Saint-Julien de 1981 à 2008.

    Blasonnement

    Les armoiries de Saint-Julien se blasonnent ainsi : « De gueules à la tour crénelée de cinq pièces, ouverte de sable, donjonnée de trois tourelles, le tout d'or, ajouré aussi de sable, posée sur un rocher d'argent mouvant de la pointe[37]. »

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références


    1. Nom officiel de la commune selon le Code officiel géographique de la République française, publié par l'Insee.
    2. « bourg castral de Boisset », notice no IA83001266, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    3. 28 hameaux, village atypique (lescheminsdupatrimoine)
    4. sismicité du Var sur le site de la préfecture
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Manosque », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Henri Ribot, Toponymie de Saint-Julien-le-Montagnier, Verdon no 1, estieu 1999, p. 45-55 ; et Verdon no 2.
    13. Jean Gagnepain, Préhistoire du Verdon, Alpes-de-Haute-Provence et Var : des origines à la conquête romaine, Édisud, Aix-en-Provence, 2002. (ISBN 2-7449-0347-7). Préface de Jean Courtin, p. 56
    14. Présentation du village (lescheminsdupatrimoine)
    15. vieux_village (lescheminsdupatrimoine)
    16. « VAR (83) - Saint-Julien », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    17. La fiche biographique de PHILIBERT Émile sur le Maitron en ligne
    18. La fiche biographique de JANETTI Maurice sur le Maitron en ligne
    19. « Élus et monde agricole unis dans l'hommage rendu à Francis Gillet, maire de Saint-Julien le Montagnier », Var-Matin, (lire en ligne).
    20. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 22 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « coopérative vinicole La Montagnière », notice no IA83001372, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
    26. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 301
    27. « Eglise », notice no PA00081707, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. Raymond Collier, op. cit., p. 69-70
    29. Église romane du vieux village (lescheminsdupatrimoine)
    30. Notice no PM83000474, base Palissy, ministère français de la Culture cloches de l'église paroissiale de la Sainte-Trinité, dite aussi église Saint-Julien
    31. Notice no PM83000475, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Nom-de-Jésus-des-Rouvières
    32. Les moulins de Saint Julien le Montagnier
    33. Les moulins
    34. L'aire de Gourdane et les moulins (Les chemins du patrimoine)
    35. Le lavoir de Saint Pierre
    36. Monuments commémoratifs
    37. Verdon Mont-Major : Saint-Julien le Montagnier, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    • Portail des communes de France
    • Portail du Var
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.