Laval-Roquecezière

Laval-Roquecezière est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Laval.

Laval-Roquecezière

Rocher de la Vierge à Roquecezière.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Monts, Rance et Rougier
Maire
Mandat
Patrice Viala
2020-2026
Code postal 12380
Code commune 12125
Démographie
Gentilé Rocacéziérois(e)
Population
municipale
280 hab. (2018 )
Densité 9,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 28″ nord, 2° 38′ 55″ est
Altitude Min. 329 m
Max. 932 m
Superficie 30,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Laval-Roquecezière
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Laval-Roquecezière
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Laval-Roquecezière
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Laval-Roquecezière

    Géographie

    Localisation

    La commune est limitrophe du département du Tarn.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le village occupe une position dominante par son altitude de 930 mètres.

    Au nord-est, le rougier du Camarès, le Saint-Affricain, Roquefort, les falaises de Millau. Au sud-est, les monts de Lacaune. Au sud-sud-ouest, les Pyrénées.

    Hydrographie

    Le Rance, le ruisseau de Luzer et le ruisseau de Vignals sont les principaux cours d'eau traversant la commune.

    Réseaux hydrographique et routier de Laval-Roquecezière.

    La commune est drainée par le Rance, le Ruisseau d'Avène, le ruisseau de Sibot, le ruisseau de Cayla, le ruisseau de Vignals et par divers petits cours d'eau[2].

    Le Rance, d'une longueur totale de 63,5 km, prend sa source dans la commune de Murasson et se jette dans le Tarn à La Bastide-Solages, après avoir arrosé 12 communes[3].

    Le Ruisseau d'Avène, d'une longueur totale de 10,9 km, prend sa source dans la commune de Saint-Sever-du-Moustier et se jette dans le Rance à Combret, après avoir arrosé 2 communes[4].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 047 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[7]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Albi le Sequestre, qui se trouve à 44 km à vol d'oiseau de la commune[8], où la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[9], à 13,4 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[11].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[13],[14],[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Laval-Roquecezière comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 2],[16] :

    • les « Bois et landes de Combret et laval-Roquecezière » (1 674 ha), couvrant 3 communes du département[17]
    • les « Landes de Roquecezière » (41,5 ha), couvrant 2 communes du département[18];
    • les « Rochers de Roquecezière » (439,4 ha)[19]

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] :

    • le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[20];
    • la « Vallée du Rance » (2 781 ha), qui s'étend sur 12 communes dont 11 dans l'Aveyron et 1 dans le Tarn[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Laval-Roquecezière est une commune rurale[Note 4],[22]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Laval-Roquecezière.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,6 %), zones agricoles hétérogènes (35,3 %), prairies (16,3 %), terres arables (0,8 %)[27].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Monts, Rance et Rougier, dont la commune est membre[28].

    La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[29].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Laval-Roquecezière est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[30],[31].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Laval-Roquecezière.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Rance. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[32]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du « Rance »[33], approuvé le 9 octobre 2015[34].

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité moyenne[35].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Laval-Roquecezière est classée à risque moyen à élevé[36]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[37] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].

    Histoire

    Période romaine

    En 54 avant Jésus Christ, Jules César passe à Roquecézière, y établit un camp et y laisse une garnison pour surveiller les Ruthènes libres qui se trouvent au Nord du Rance.

    Première exploitation du minerai de fer : fours, galeries, mâchefer... retrouvés sur les lieux dans les années 1990.

    Moyen Âge

    En , Raimond Béranger III, comte de Barcelone reçoit en alleu (terres libres exemptes de toute redevance, ne relevant d'aucun seigneur, par opposition au fief) le château de Laroquecézière {"Le château de Laroquecézière" de Gaujal, page 54)

    En 1146, le château appartient aux seigneurs de Roquecézière. En 1252, Bertrand de Roquecézière meurt sans descendance et lègue la nue-propriété de ses biens à l'Abbaye Notre-Dame de Bonnecombe. En contrepartie, il sera enseveli dans l'église de ce monastère (Barrau, tome III, page 88).

    Le fief est légué aux comtes de Toulouse.

    En 1271, le château de Roquecézière revient par héritage au roi de France.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    L'ermitage fut réuni à la commanderie des Templiers de Montels. En 1312, lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem revendiquèrent ce monastère.

    Guerre de Cent Ans : invasion anglaise

    Au XIVe siècle, Roquecézière est le chef-lieu d'un bailliage qui regroupe 98 paroisses du Rouergue (ville plus importantes que Saint-Sernin sur Rance) De Gaugal, tome 2, page 178

    En 1369, Roquecézière, occupé par les Anglais, est repris par le comte de Vendôme. Roquecézière est à nouveau réuni à la couronne et donné en fief au Comte de Vendôme.

    En 1446, la Seigneurie de Roquecézière est donnée par Charles VII à Agnès Sorel, Dame de Beauté-sur-Marne et de La Roquecézière (acte concernant la redevance signé par Agnès Sorel, au musée de Saint-Crépin).

    On peut lire sur son tombeau : « Ci-Gît noble demoiselle Agnès Saurelle Dame de Beauté et Roche-Césaire... Laquelle trépassa le ... »

    Guerres de Religion

    En , les catholiques reprennent Roquecézière aux protestants, et y mettent le feu.

    Le , cette place catholique se rend au comte de Montgomery, chef protestant, ainsi que le château de la Bastide, et le fort de La Verdolle.

    En 1625, le duc de Rohan s'en empare à nouveau au nom des protestants.

    Le , le prince de Condé la reprend aux protestants.

    En 1629, Richelieu, après la paix d'Alès (fin des guerres de religion) fait démolir le château et le village pour plus de sécurité. La démolition aurait duré trois ans et n'aurait épargné qu'une maison du village. L'évêque de Vabre déclara à cette époque : « il n'y a pas eu de diocèse en France si travaillé et affligé que celui-ci. »

    Époque moderne

    Jusqu'à la Révolution, aucun événement historique ne retient l'attention. La région connaît une paix sans faille ; seules quelques épidémies et disettes sont à noter pour cette époque.

    En 1789, la Révolution à Roquecézière sera surtout subie par les paysans, qui en déplorent davantage les effets qu'ils n'apprécie les avantageuses réformes.

    En 1800, Montfranc est réuni à la commune de Roquecézière jusqu'en 1816. La même année, Combret est également rattaché, et ceci jusqu'en 1832.

    En 1849, le , création de la paroisse de Roquecézière.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Laval-Roquecezière est membre de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[39], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Belmont-sur-Rance. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[40].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[39]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[39], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[41].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Laval-Roquecezière, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[42] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[43]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[44] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 65,07 %[45]. Patrice Viala, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [46].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[47]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[48].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792   Jean Bousquet    
    1960 1966 Bernard Terres    
    1966 2001 Georges Castan   Agriculteur
    2001 en cours Patrice Viala[49],[50]   Agriculteur sur grande exploitation
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52].

    En 2018, la commune comptait 280 habitants[Note 5], en augmentation de 8,53 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7501 3633 1522 9332 8211 7981 6561 7161 722
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6831 7041 6161 4581 5921 6171 5691 5871 423
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5441 5891 5401 2501 1701 0921 024918794
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    751656596474391340313310259
    2017 2018 - - - - - - -
    282280-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Panorama et table d'orientation depuis le rocher de la Vierge à Roquecezière.

    Monastère Notre-Dame d'Orient

     Inscrit MH (1978)[55]

    D'après la tradition, le monastère fut construit à l'emplacement de la découverte d'une statue en terre cuite de la Vierge, enfouie sous terre.

    Chevet de l'église Saint-Jacques de Roquecezière.
    • Église Saint-Jacques de Roquecezière.
    • Église de l'Immaculée-Conception de la Verdolle.
    • Église Saint-Crépin de Saint-Crépin.
    • Église du monastère Notre-Dame d'Orient.
    • Église Saint-Maurice de Saint-Maurice.
    • Musée Damien Bec, au village de Saint-Crépin sur la commune, avec deux locaux d'exposition. " L'Ostal de Sant-Crespin " évoque la vie rurale traditionnelle. L'autre réunit une dizaine de statues-menhirs (originaux ou moulages), datant du chalcolithique (environ 2 500 ans avant J.-C.).
    • Col de Peyronnenc (879 m).

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Sent-Sarnin : Balaguièr, Brasc, Combret, Copiac, La Bastida-Solatges, La Sèrra, La Val-Ròca-Cesièira, Martrinh, Montclar, Montfranc, Plasença, Postòmis, Sant-Jòri / Christian-Pierre Bedel et les habitants del canton de Sent-Sarnin, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 232 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-10-6, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF35529736)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Fiche communale de Laval-Roquecezière », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    3. Sandre, « le Rance »
    4. Sandre, « le ruisseau d'Avène »
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
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