Rodrigo Arenas

Rodrigo Arenas est un dirigeant associatif français, ancien coprésident de la Fédération des conseils de parents d'élèves première fédération de parents d'élèves de 2018 à juillet 2021, .

Rodrigo Arenas
Fonctions
Ancien co-Président de la Fédération des conseils de parents d'élèves

(2 ans, 9 mois et 28 jours)
Membre du CESER Île-de-France

(4 ans, 11 mois et 30 jours)
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Valparaiso (Chili)
Parti politique EELV (2010-2016)
Profession Conseiller en communication
Site web rodrigoarenas.fr

Biographie

Famille et jeunesse

Né à Valparaiso au Chili[1] en 1974, Rodrigo Arenas est arrivé en France à l’âge de 4 ans[2]. Il est le fils d’exilés politiques chiliens[2]. Son père s’est inscrit au Parti communiste chilien en France[3], où ses parents ont travaillé dans le bâtiment et comme femme de ménage puis ont repris leurs études à la Maison de l'Amérique latine[2], avant de trouver du travail comme directeurs de centres de loisirs dans le Val-de-Marne[3], puis éducateurs spécialisés à Fontenay-sous-Bois et à Bondy[3]. Athée[2], leur fils a adhéré aux Jeunesses communistes lorsqu'il était lycéen. Puis il a effectué des études d’économie (un mastère en Économie de développement et développement international), aux termes desquelles il cesse d'adhérer au Parti communiste, se tournant quelques années plus tard vers le parti Europe Ecologie-Les Verts[2].

Engagements politiques

Habitant de Sevran puis Montfermeil, communes populaires de Seine-Saint-Denis, Rodrigo Arenas a renoué avec la politique lors des régionales de 2010, au cours desquelles lui est confiée la direction de la campagne de Stéphane Gatignon, maire PCF de Sevran de 2001 à 2018, commune de 50 000 habitants prise à la droite en 2001, et tête de liste Europe Ecologie, Les Verts (EELV) en Seine-Saint-Denis [4], après s'être s'éloigné progressivement de la ligne officielle du PCF à partir de 1989[5].

Rodrigo Arenas se présente ensuite aux Élections cantonales françaises de 2011 et base sa campagne sur « les visites dans les quartiers et les réunions d'appartement », face à l'UMP Raymond Coënne, maire de Coubron. Battu sur l'ensemble du canton, il arrive cependant en tête, avec 51 % des voix, sur la commune de Montfermeil[4]. Lors des municipales de 2014, il est battu au premier tour avec 19,07 % des voix, à Montfermeil[6].

Carrière et responsabilités à la FCPE

Rodrigo Arenas travaille comme cadre administratif au conseil départemental de Seine Saint-Denis[1]. Père de quatre enfants[2], il milite dans une fédération de parents d'élèves, la Fédération des conseils de parents d'élèves. Président de la fédération en Seine-Saint-Denis, il se fait élire coprésident de la FCPE à la fin [1]. Une autre élue des parents de banlieue[7], Carla Dugault, ancienne vice-présidente, devient coprésidente avec lui[8].

Raymond Artis, son prédécesseur depuis , avait démissionné la semaine précédente, en reconnaissant que « la FCPE traverse une crise depuis longtemps » et deux membres du bureau national avaient demandé un renouvellement. Lors du congrès qui tente de permettre ce renouvellement, tenu à Grenoble, Rodrigo Arenas dénonce « les réformes trop axées sur la gestion, et l’homogénéisation », opérées par les gouvernements successifs[9],  une politique selon lui globalement liée au manque de coopération entre les parents les politiques[9], car selon lui cette façon de gérer et de réformer l'Education nationale « ne prépare pas » les élèves « au monde que nous leur laisserons, demain »[9]. Bien que la FCPE soit implantée exclusivement dans les écoles publiques[10], Rodrigo Arenas est régulièrement interviewé par la presse catholique.

Prises de position concernant les revendications islamiques

Un an plus tard, Rodrigo Arenas organise la  campagne de rentrée de la FCPE, en , avec un tract montrant une femme voilée participant à une sortie scolaire. Cette affiche de campagne, est titrée « Oui, je vais en sortie scolaire, et alors ? La laïcité, c’est accueillir à l’école tous les parents, sans exception.» [2], accompagnée d'un slogan « Votez FCPE »[11], déclenche des réactions de protestation. Il se pose alors en défenseur des mères qui portent le foulard[11].

Dès son lancement, « le standard de la FCPE a explosé », selon Le Monde. Plusieurs sections départementales de la FCPE (le Bas-Rhin, la Corse-du-Sud) ont exprimé leur désaccord face à cette affiche[11]. Le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer intervient dans les médias pour dénoncer une « erreur » susceptible de flatter des « logiques communautaristes » et le caractère électoraliste de l'affiche[2].  La campagne n'a cependant pas modifié le score, selon les résultats publiés le [11], alors que la FCPE avait rassemblé 42 % des suffrages des parents d’élèves en collège et lycée lors de l'élection précédente. Entre-temps, Rodrigo Arenas a défendu cette décision dans une tribune libre au Monde [12], où le parent d'élève de Sevran, en Seine-Saint-Denis dénonce une « incapacité persistante de nos institutions » à prendre conscience de l'ampleur des fractures au sein de la société, quelles soient territoriales, sociales ou culturelles, qui selon lui se sont fortement creusées au sein du territoire français depuis déjà plusieurs décennies[12]. Cette laïcité plus « inclusive » est selon Le Point largement soutenue par de multiples associations proches des Frères musulmans[13].

Cette prise de position lui vaut d'être critiqué, peu avant cette tribune libre dans le quotidien du soir, dans un livre publié par l'ex-inspecteur général de l'Education nationale Jean-Pierre Obin, auteur en 2004, d'un rapport éponyme sur « Les signes et manifestations d’appartenance religieuse dans les établissements scolaires »[14],[15] Jean-Pierre Obin accuse plusieurs organisations de gauche dont la FCPE d'être entrées dans l'orbite « islamo-gauchiste » à la faveur de la prise de pouvoir de militants d'extrême gauche épaulés par « l'entrisme » d'activistes proches des Frères musulmans, et Rodrigo Arenas, en particulier, d'avoir « donné des gages aux islamistes sur lesquels il s'appuyait pour gouverner la fédération du 93 »[13]. Rodrigo Arenas considère que Jean-Pierre Obin « ment » et a décidé de porter plainte pour diffamation[13].

Confinement de 2020

Lors du confinement décidé au début du printemps 2020 pour freiner l'épidémie de coronavirus, puis lors du déconfinement qui suit, Rodrigo Arenas fait partie des acteurs de la communauté éducative qui dénoncent les risques de mauvaise préparation, à l’approche de la rentrée scolaire[16]. Il demande en particulier au gouvernement français de mieux « appliquer les consignes du conseil scientifique »[17] et lui reproche une situation où les investissements ont été insuffisants, alors que selon lui environ « 30 % des écoles n’ont pas de sanitaires adaptés en temps normal ». Il estime dans une interview dans le Huffigton Post qu'il faut au moins, en attendant, installer des sanitaires mobiles[17].

Dès juillet, il sonne l'alarme, estimant qu'on « ne peut plus continuer comme avant » car « l'école s'est effondrée pendant le confinement »[18]. En tant que coprésident de la FCPE, il a fait état de difficultés à communiquer avec certaines familles de parents d'élèves, qui n'ont pas d'ordinateur mais ont dû gérer l'absence de l'école de leurs enfants. Il a sensibilisé les médias à la question de la vie quotidienne de ces élèves, confinés dans des appartements exigus. Il a au même moment, dans un interview sur Europe 1, témoigné d'énormément de remontées de violences conjugales" depuis le début de la décision prise par le gouvernement, notamment pour « les enfants qui au bout de la chaîne s’en prennent plein la figure, quand ça craque »[19].

Souhaitant aussi parler du positif, avec le professeur en sciences de l’éducation Philippe Meirieu, il participe à une tribune commune dans « Libération » du , titrée « Pour une école de l’entraide et de la coopération » [20]. Le texte met en avant « les formes d’entraide et de collaboration » entre élèves et entre parents, apparues depuis quelques semaines et souligne que de nombreux parents ont pendant cette période de confinement, alors terminée, « découvert, tout à la fois, le rôle irremplaçable des enseignants et ce qu’ils pouvaient apporter, de leur côté, à leurs enfants pour les accompagner au mieux » quand ils font leurs devoirs, afin de réussir leur scolarité. En se basant sur cette expérience nouvelle, il souhaite ainsi encourager les professeurs et associations de parents d'élèves à « renforcer les mécanismes de solidarité au sein d'une même classe » et envisage d'aller même vers des systèmes « de tutorat entre pairs », permettant d'associer des enfants de niveau scolaire inégaux au sein d'une même classe et renforcer ainsi la solidarité entre élèves[21], selon une enquête de Loys Bonod, professeur certifié de lettres classiques au lycée Chaptal à Paris[22], créateur du blog d'informations éducatives La Vie moderne[23].

Fin , au cours du congrès national de la FCPE, placé sous le thème de la santé, il dénonce une gestion « très chaotique »[24] de la crise sanitaire dans les établissements scolaires, en particulier la disparité des moyens mis à disposition de leurs directeurs[24].

Débat sur les réglements intérieurs dans les lycées

En , dans une interview à Ouest-France au moment du débat sur les réglements intérieurs plus restrictifs mis en place par certains lycées[24], Rodrigo Arenas est interrogé sur la petite phrase du ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer sur la « tenue républicaine » au collège et se déclare contre les règlements intérieurs « qui contreviennent à la règle, qui contreviennent au droit, qui contreviennent à la loi ». Jean-Michel Blanquer avait déclaré sur RTL que « chacun peut comprendre qu'on vient à l'école habillé d'une façon républicaine », mais différents points de vue au sein du gouvernement avaient nuancé cette position au cours d'un débat qui avait duré plusieurs semaines fin septembre[25].

Livre sur l'avenir de l'école publique

Le mercredi , Rodrigo Arenas publie le livre Dessine-moi un avenir[26], qui prône « une éducation à l'Être, à soi, aux autres et à la planète ». L'ouvrage prend position pour l'instauration de cours de droit simplifiés dès la fin de la maternelle et préconise aussi des vacances scolaires plus courtes ou encore la fin de la prise en charge par l'Etat des salaires des écoles privées, des idées qui ne font pas partie du programme de sa fédération de parents d'élèves[3].

Régulations des réseaux sociaux

Rodrigo Arenas est un militant de la régulation des réseaux sociaux. Selon lui, « plus les parents seront éduqués, parfois même à travers les enfants », plus les familles vont apprendre à zapper plus rapidement quand le contenu n'est pas approprié[27] car l'école École est « peut-être le seul lieu » où les enfants peuvent apprendre à se protéger des flux internet reçus à la maison.

Il estime que les polémiques sur la laïcité et la religion « prennent d’autant plus d’ampleur » dans le monde de 2020 qu'une grande partie d'entre elles transitent désormais à la vitesse de l'électronique sur les réseaux sociaux, sur les téléphones portables, qui bien souvent sont « devenus une source d’information à part entière pour certains »[10].

Alerte de la mairie avant l'attentat de Conflans Sainte-Honorine

Une semaine avant l'Attentat de Conflans-Sainte-Honorine, il a reçu de différents parents en régions, une vidéo d'un père d'élève appelant à la haine contre le professeur Samuel Paty, qui sera quelques jours plus tard assassiné[28]. Rodrigo Arenas fait alors état d’un père extrêmement énervé[29].

Alarmé par la viralité de cette vidéos de ce père d'élève, c'est en tant que coprésident au niveau national de l'association de parents d'élèves FCPE que Rodrigo Arenas a décidé d'alerter dès le la mairie de Conflans-Sainte-Honorine[30],[31],[32], qui lui a dit avoir prévenu l'Education nationale[32], qui prenait les choses en main[31]. « Une enquête interne doit suivre ce signalement pour savoir ce qui s'est vraiment passé », a-t-il déclaré au quotidien Le Figaro[31].

Interrogé ensuite par les médias, il a rappelé les problèmes et risques causés par le laisser-faire sur les réseaux sociaux. Selon, lui, « toute menace, insulte ou diffamation contrevient au droit » qu'elle soit par courrier, physiquement ou en ligne. Les plateformes hébergeant les contenus internet « devraient être contraintes d'intervenir, de fermer le compte, signaler l'infraction afin que l'auteur du contenu délictueux soit identifié et condamné »[28]  et l’urgence est « de se dresser face à l’obscurantisme, qui n’aura jamais raison de la République »[33]. Cécile Ribet-Retel, présidente d'une des associations de parents d'élèves du collège, affiliée à l'autre fédération, la PEEP, a estimé elle aussi que cette affaire questionne sur le rôle des réseaux sociaux."[32]

Pour Rodrigo Arenas, « cette histoire s’est enflammée sur les réseaux sociaux »[30], nécessitant d'« apprendre le discernement aux élèves »[30] mais aussi d'« enseigner le droit et la philosophie dès la maternelle »[30], en recourant à des méthodes adaptées, alors que l'EMC (enseignement moral et civique) dispose souvent de trop peu de temps, à un âge où certains élèves n'y sont plus trop ouverts[30].

Médiation, droit et guide de la laïcité

Président de la FCPE, il a développé les formations à ses adhérents sur la thématique de la laïcité[10]. Dans le sillage du "Guide de la laïcité" édité en 2015 par le ministère de l’Education nationale, pour réagir aux attentats contre Charlie Hebdo, il a décidé de publier pour la rentrée 2020 une version rédigée dans un langage plus accessible, pour éviter le jargon trop législatif[10]. Selon lui, la la confusion est créée par l'habitude prise de « parler des religions, à tort et à travers », dans le monde politique, associatif ou commercial[10].

Il estime que les conseils de parents élus un peu partout dans les écoles sont bien placés pour être aux côtés des enseignants confrontés à la remise en cause de la laïcité et s'impliquer dans la médiation concrète, dans chaque école, quand des familles s’opposent à la « manière d’enseigner la liberté d’expression, la laïcité et le blasphème »[10]. Bien que bénévole, il est lui-même intervenu dans plusieurs conflits, comme médiateur, au sujet des paroles d’une chanson qu'une famille de parents dans une école primaire estimaient contraire à leurs principes religieux[10], ou lors de la projection d’un film américain inspiré de Roméo et Juliette, contesté dans l'enseignement secondaire[10]. Il prône le recours au droit pour bien faire comprendre aux parents concernés que le désir d'imposer ses préceptes est illégal[10], et dans son livre publié en prône l'enseignement de quelques notions de droit très tôt aux enfants[10]. Parmi les principes de base de ce droit élémentaire, le fait qu'un parent d’élève « ne peut pas fournir un certificat médical pour interdire à sa fille d’aller à la piscine pour des raisons religieuses »[10].

Polémique autour du qualificatif « Islamo-gauchiste »

En 2020, Jean-Pierre Obin, ancien inspecteur général de l'Éducation nationale, écrit dans son livre Comment on a laissé l'islamisme pénétrer l'école (éditions Hermann, 2020)

« On observe aujourd'hui que plusieurs organisations 'historiques' de gauche (la LDH, l'Unef, la FCPE, par exemple), touchées par la crise du militantisme traditionnel, sont entrées dans l'orbite islamo-gauchiste à la faveur de la prise de pouvoir de militants d'extrême gauche épaulés par 'l'entrisme' d'activistes proches des Frères musulmans. Ainsi, Rodrigo Arenas, responsable de sa fédération de Seine-Saint-Denis, a-t-il ramassé en 2019 le pouvoir vacant dans une FCPE en pleine déliquescence. Très vite, il a donné des gages aux islamistes sur lesquels il s'appuyait pour gouverner la fédération du 93. »[34].

Rodrigo Arenas porte plainte pour diffamation [35]. Le , il est débouté en première instance par la 17ème chambre correctionnelle. Il peut encore faire appel [34].

Tribunes libres et livres

  •  « Sur la question des mères accompagnatrices voilées, islamistes et laïcs radicaux ont partie liée », tribune de Rodrigo Arenas dans 'Le Monde du  [12].
  •  Avec le professeur en sciences de l’éducation Philippe Meirieu,  « Pour une école de l’entraide et de la coopération », tribune  dans Libération du [36].
  • Dessine-moi un avenir : Plaidoyer pour faire entrer le 21ème siècle dans l'école par Rodrigo Arenas, Edouard Gaudot, et Nathalie Laville, aux Editions Actes Sud Nature 2020 

Portraits

  • " Rodrigo Arenas, nouvel homme fort de la FCPE" par Caroline Beyer, dans Le Figaro du   [1]
  • "Rodrigo Arenas, un militant derrière le voile", par Mattea Battaglia et Camille Stromboni, dans Le Monde du .
  • "Rodrigo Arenas, le coup du foulard" par Virginie Bloch-Lainé, dans le quotidien Libération, le .

Notes et références

  1. " Rodrigo Arenas, nouvel homme fort de la FCPE" par Caroline Beyer, dans Le Figaro du 4 janvier 2019  
  2. "Rodrigo Arenas, le coup du foulard" par Virginie Bloch-Lainé, liberation.fr, 7 novembre 2019
  3. " FCPE : Rodrigo Arenas, un parent d'élève très cash", parMarie Quenet, dans Journal du Dimanche le 13 octobre 2020  
  4. "Rodrigo Arenas (EELV) veut réveiller Montfermeil", Le Parisien 23 novembre 2013
  5. "Stéphane Gatignon, du rouge au vert" par Luc Bronner, le 8 mars 2010
  6. Résultats dans Le Monde
  7. Article de Christel Brigaudeau dans Le Parisien du 9 octobre 2020
  8. "Parents d’élèves. Un homme et une femme à la tête de la FCPE" dans Ouest-France le 26/11/2018 
  9. Article de Isabelle CALENDRE dans le Dauphiné Libéré du 12 juin 2019  
  10. “Imposer sa vision personnelle à un enseignant, c’est être hors-la-loi”, interview par Estelle Couvercelle le 20 octobre 2020 sur Le pèlerin
  11. Mattea Battaglia et Camille Stromboni, "Rodrigo Arenas, un militant derrière le voile, lemonde.fr, 12 novembre 2019
  12. « Sur la question des mères accompagnatrices voilées, islamistes et laïcs radicaux ont partie liée », tribune de Rodrigo Arenas dans Le Monde du  15 octobre 2020 
  13. Camille Victor et Alice Pairo-Vasseur, Le président de la FCPE ne veut pas être traité d'islamo-gauchiste, lepoint.fr, 12 décembre 2020
  14. Luc Cédelle, "Islamisme à l’école : retrouver le sens des proportions", lemonde.fr, 9 octobre 2020
  15. Jean-Pierre Obin, Comment on a laissé l’islamisme pénétrer l’école, Editions Hermann, 2020
  16. "Covid-19 : la communauté éducative s’inquiète à l’approche de la rentrée scolaire" par Violaine Morin, dans Le Monde du 19 août 2020, article reprenant ses déclarations au Huffigton Post .
  17. Interview par Anthony Berthelier dans le Huffigton Post du .
  18. Interview sur Europe 1 sur «  Europe 1 » le 2 juillet 2020 .
  19. "Confinement : il y a "énormément de remontées de violences conjugales", rapporte le co-président de la FCPE", dépêche AFP dans le quotidien régional La Provence .
  20. « Pour une école de l’entraide et de la coopération », tribune libre de Philippe Meirieu et Rodrigo Arenas dans « Libération » du 24 juin 2020 .
  21. "Une École si distante", par Loys Bonod, professeur certifié de lettres classiques au lycée Chaptal à Paris, le 1er septembre 2020 dans "La Vie moderne" .
  22. "Un professeur piège ses élèves et prouve qu'ils recopient sur internet", dépêche AFP du 23 mars 2012 , reprise sur l'édition en ligne de 20Minutes .
  23. Interview de Loys Bonod, enseignant et créateur du blog La vie moderne .
  24. Interview de Rodrigo Arenas à Ouest-France, propos recueillis par Jean-Philippe Nicoleau, le 25/09/2020
  25. Article de Marcelo Wesfreid, dans Le Parisien du 21 septembre 2020
  26. "Dessine-moi un avenir: Plaidoyer pour faire entrer le 21ème siècle dans l'école" parRodrigo Arenas, Edouard Gaudot, et Nathalie Laville, aux Editions Actes Sud Nature 2020 
  27. "Programmes jeunesse : "Le premier contrôle parental, ce sont les parents"Réécouter Programmes jeunesse : "Le premier contrôle parental, ce sont les parents". Interview dans l'émission de Fiona Moghaddam sur France Culture, le 12 décembre 2019
  28. " Parents, réseaux et école, le nouveau trio infernal ?" par Stéphanie Combe le 22/10/2020 dans La Vie  
  29. Professeur décapité. « Il faut résister » : l’hommage des collégiens à Samuel Paty, Dépêche AFP dans Ouest-France le 17/10/2020 
  30. "Après l'assassinat de Samuel Paty, les enseignants veulent poursuivre leur mission sans autocensure" par Faïza Zerouala dans Médiapart le 17 octobre 2020
  31. "Yvelines : un professeur d'histoire décapité par un islamiste, le parquet antiterroriste saisi" par Christophe Cornevin, Angélique Négroni et Jean-Marc Leclerc le 16 octobre 2020 dans Le Figaro le
  32. Comment une campagne haineuse sur les réseaux sociaux a conduit au meurtre d'un enseignantpar Caroline Pailliez, Sybille de La Hamaide et Thierry Chiarello, pour l'Agence Reuters, le 17 octobre 2020 
  33. "Rodrigo Arenas, coprésident de la FCPE : « L’obscurantisme n’aura jamais raison de la République » par Alexandra Chaignon, dans L'Humanité du 19 Octobre 2020
  34. « Jean-Pierre Obin : "La FCPE doit revenir à une position plus laïque" », sur LExpress.fr, (consulté le )
  35. Nadjet Cherigui, « « Islamo-gauchisme » : Jean-Pierre Obin soutenu au tribunal par Manuel Valls », sur Le Point, (consulté le )
  36.  « Pour une école de l’entraide et de la coopération », tribune libre de  Philippe Meirieu et Rodrigo Arenas dans Libération du 24 juin 2020

Voir aussi

Articles connexes

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