Petit-Couronne

Petit-Couronne est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Couronne#Autres.

Petit-Couronne

La maison de Pierre Corneille.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Joël Bigot
2020-2026
Code postal 76650
Code commune 76497
Démographie
Gentilé Couronnais
Population
municipale
8 655 hab. (2018 )
Densité 676 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 11″ nord, 1° 01′ 42″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 108 m
Superficie 12,8 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand-Quevilly
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Petit-Couronne
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Petit-Couronne
Géolocalisation sur la carte : France
Petit-Couronne
Géolocalisation sur la carte : France
Petit-Couronne
Liens
Site web ville-petit-couronne.fr

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 806 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 805,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 13 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Petit-Couronne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (47,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,8 %), zones urbanisées (21 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %), eaux continentales[Note 7] (5,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,3 %), prairies (2,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Voies de communication et transports

    Réseau de transports

    Le bus 27, le bus 6 passent par la ville de Petit-Couronne, avec des itinéraires différents.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Curtehulm, Curtehulmi, Curte hulmi vers 1025 (archives de la Seine-Maritime, H 26); Curthelmi (charte de Richard II de Normandie); Corhulma entre 1032 et 1035[24], Corolme vers 1040 et 1050[25]; Coroma, Corona fin XIIe siècle[26]; Corone 1261 - 1270[27].

    Il s'agit d'un type toponymique scandinave, composé de deux éléments. Le second -hulma représente vraisemblablement l’ancien scandinave holmr « petite île, ilot », trouvé fréquemment dans la toponymie normande en composition (cf. Thorholmus, ancien nom de l'île d'Oissel) ou en usage autonome (cf. les nombreux le Hom[me], le Houlme, etc.)[24]. Le premier élément Curt(e)- est obscur[24], cependant on peut le rattacher au nom de personne anglo-saxon Cort[26]. Ça ne semble pas nécessaire puisque l'ancien scandinave possède l'anthroponyme Kurt emprunté au vieux bas allemand[28] et qu'il existe par ailleurs un adjectif kurtr, kortr « court » également emprunté au germanique occidental[29], dont le -t- entre les deux -r- se serait amuï de manière précoce pour donner naissance à une forme *Corrholme (Corhulma 1032), devenu Corolme par assimilation du [h] ou [x]. Le sens global serait celui d’« îlot de Kurt ou Cort » ou plus vraisemblablement, d’« îlot peu étendu ». À l'origine, ce nom de lieu s'appliquait à une île située en face de Petit-Couronne et rattachée depuis à la commune. Au XIIe siècle, le toponyme étant devenu opaque, il est tombé dans l'attraction du français couronne[26].

    Le composé Milthuit (Milquetuit ou Miqueltuit 1239; Miquetuit 1507 - 1612 ; Mictuit 1734) reconnu dans le nom du Bois de Milthuit, sur la commune et celle de Grand-Quevilly, est d'origine scandinave, puisqu'il contient l'élément -thuit signifiant « essart », appellatif toponymique issu de l'ancien scandinave þveit (autrement noté thveit) de même sens. Le premier élément Mil- représente vraisemblablement l'ancien scandinave mikill « grand », d'où le sens global de « grand essart »[26]. Homonymie avec Micklethwaite, Angleterre[26].

    La scission entre Petit-Couronne et Grand-Couronne a dû se produire vers le XIIe siècle, vers la même époque que celle de Grand-Quevilly et Petit-Quevilly[24].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Lors des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste menée par Joël Bigot, jusqu'alors maire adjoint de Dominique Randon  qui ne se représentait pas  a été la seule liste candidate et a donc été élue au premier tour, marqué par 71,80 % d'abstention[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1864   M. de Saint-Vulfran    
    1929   Victor Bernard    
    1945   Jean Grenier    
        Gaston Piolé    
    1977 juillet 2004 Gérard Letailleur PS puis PG  
    juillet 2004 mars 2008 Claude Piolé PS  
    mars 2008 mai 2020[31] Dominique Randon PS Cadre administratif,
    conseiller général de Grand-Couronne (2002 → 2015)
    mai 2020[32],[33] En cours
    (au 10 août 2020)
    Joël Bigot PS Syndicaliste, retraité de Shell et Pétroplus

    Jumelages

    La commune de Petit-Couronne entretient des accords de coopération[34] avec :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 8 655 habitants[Note 8], en diminution de 4,86 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5101 1909841 5991 5891 5851 612985982
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    889850810737715756802771740
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7658169141 1431 1682 2282 5532 7623 574
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    3 9014 8615 6866 3408 1228 6218 6999 2098 742
    2018 - - - - - - - -
    8 655--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    La commune abrite le centre régional jeunesse et sport (C.R.J.S)

    Économie

    Centre de recherche Shell. Doit fermer fin 2009.

    Un bac permet de traverser la Seine et de rejoindre Val-de-la-Haye.

    La raffinerie de Petit-Couronne (anciennement Pétroles Jupiter) a été construite en 1929. Elle se situe entre Petit-Couronne et Grand-Couronne. Le propriétaire actuel, Petroplus, a décidé en 2012 de vendre la raffinerie, placée en redressement judiciaire.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Site classé

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Corneille, écrivain, résidait dans la commune
    • Marcelly, Marcel Jules Turmel, chanteur de Music-hall (1882-1966)
    • Germaine Beaumont (1890-1983), fille de Annie de Pène, écrivaine, journaliste, née dans la commune
    • André Cloarec, cycliste, participe au Tour de France 1961. Champion de Normandie. Vainqueur du Maillot des As de Paris Normandie en 1960, de Paris-Rouen et Paris-Caen. 3e aux championnat de France dés indépendants en 1959. Licencié à l'A.C. Sotteville avec Jacques Anquetil. Né dans la commune.
    • Jean Boudehen, médaille d'argent aux Jeux olympiques en canoé-kayak à Tokyo en 1964. Champion du monde en descente à Macon en 1969. Né dans la commune.

    Équipements culturels

    Héraldique

    Les armes de la commune de Petit-Couronne se blasonnent ainsi :

    D’azur à l’ancre de marine d’argent, aux deux flambeaux d’or passés en sautoir, brochant sur le tout, surmontés de trois têtes de lions arrachées cousues de gueules, rangées en chef, soutenues d’un filet ondé aussi d’argent.[41]

    (création : Robert Louis, adoptée par délibération du conseil municipal du 27 juin 1986)

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Guy Pessiot, Histoire de l’agglomération rouennaise : la rive gauche, Rouen, éd. du P’tit Normand, , 287 p. (ISBN 978-2-906258-22-8, OCLC 463515558)
    • Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 264 p., broché (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Petit-Couronne et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Petit-Couronne et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 87.
    25. Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite), p. 240.
    26. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 65.
    27. Joseph Reese Strayer, The Royal Domain in the Baillage of Rouen, Princeton, Princeton University Press, 1936, p. 35.
    28. Site de Nordic Names : Kurt (lire en anglais)
    29. Old Norse Kurtr / kortr sur Online Etymology Dictionary (lire en anglais)
    30. « Petit-Couronne 76650 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    31. « Dernier conseil municipal pour le maire Dominique Randon à Petit-Couronne : Le dernier conseil municipal de la mandature a permis d’adopter le buget primitif de la Ville, présenté par l’adjointe aux finances. Hommage a été rendu au maire qui s’en va », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    32. Pascale Bertrand, « Municipales 2020 : Joël Bigot, adjoint à la mairie de Petit-Couronne, aspire à devenir maire : Après quatre mandats de premier adjoint, Joël Bigot aspire à devenir maire. Histoire d’« aller au fond des choses ».... Petit-Couronne. Après quatre mandats de premier adjoint, Joël Bigot aspire à devenir maire. Histoire «d’aller au fond des choses».… », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « À 64 ans, Joël Bigot tente une nouvelle aventure, devenir maire. Déjà premier adjoint - «avec trois maires différents» - il n’a qu’un pas à faire d’autant plus qu’aucune autre liste ne s’est encore déclarée à Petit-Couronne ».
    33. « Municipales 2020. Joël Bigot, élu maire à Petit-Couronne : Lors de la séance d’investiture, Joël Bigot a remercié ses collèges pour leur énergie et leur motivation. Petit-Couronne. Le conseil municipal d’investiture s’est tenu mercredi à huis clos au Sillon. Dominique Randon a passé le flambea », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Jumelage(s) de Petit-Couronne », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Musée Pierre Corneille sur le site du Conseil départemental de Seine-Maritime
    40. « La Pierre d'État, menhir situé dans la forêt domaniale de Rouvray », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
    41. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f76497 « Copie archivée » (version du 18 février 2015 sur l'Internet Archive).
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