Penne (Tarn)
Penne est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Penne.
Penne | |||||
Centre du village de Penne. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn | ||||
Arrondissement | Albi | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Cordais et du Causse | ||||
Maire Mandat |
Laurence Poillerat-Zeganadin 2020-2026 |
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Code postal | 81140 | ||||
Code commune | 81206 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
584 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 9,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 04′ 41″ nord, 1° 43′ 52″ est | ||||
Altitude | 114 m Min. 93 m Max. 489 m |
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Superficie | 64,04 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Carmaux-2 Vallée du Cérou | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
Penne se situe dans le nord-ouest du département du Tarn, à 31 km au nord-est de Montauban et à 24 km au nord-ouest de Gaillac[1]. Elle est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne.
S'accrochant à un piton rocheux qui surplombe la rive gauche de l'Aveyron, dans la partie la plus pittoresque de son cours, le vieux bourg de Penne, dominé par les ruines de son château, occupe un site remarquable.
Hydrographie
L'Aveyron, le Ruisseau de Font Bonne et le Ruisseau de Merdarié sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune
Communes limitrophes
La commune de Penne jouxte sept autres communes dont quatre sont situées dans le département de Tarn-et-Garonne[2].
Voies de communication et transports
Aucun service de transport en commun ne dessert la commune. Les gares les plus proches sont la gare de Cordes - Vindrac ou la gare de Caussade.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montricoux », sur la commune de Montricoux, mise en service en 1999[8]et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 740,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, dans le département de Tarn-et-Garonne, mise en service en 1885 et à 31 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[12] à 14 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Penne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,4 %), prairies (17,7 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de Penne proviendrait d'un nom pré-latin probablement ligure penna signifiant « hauteur rocheuse plus ou moins pointue », qui a donné son nom à d'autres communes et lieux-dits principalement dans le sud de la France[20].
Histoire
Abri des Battuts
L'abri des Battuts, connu depuis les fouilles de Victor Brun au XIXe siècle et fouillé de façon extensive par l'équipe de H.L. Movius de 1958 à 1963[21], se trouve dans les gorges de l'Aveyron en rive droite (côté sud-est) qu'il surplombe d'environ 80 m[22]. La topographie du lieu semble assez complexe, avec la grotte des Battus en contrebas de 3 m et à 25 m en aval de l'abri des Battus ; un petit abri au pied de la falaise à peu près à peu près à l'aplomb de l'abri des Battuts, et qui a reçu des déblais provenant du remplissage de l'abri des Battuts[23], et plusieurs installations post-proto-historiques (Antiquité ? Moyen-Âge ?) dont une citerne perchée en hauteur et divers aménagements[24].
Creusé dans une large strate de calcaires bajocien, il mesure 6 × 8 m[23]. Il a livré des niveaux aurignaciens (couches 2 et 3 selon Alaux 1973[25] - en 1996 Bosselin attribue la couche 2 au proto-magdalénien et la couche 3 au Périgordien VI[21]), périgordiens[23] (couches 3-4 : faciès Noaillien inférieur et moyen, couche 4 : Noaillien inférieur, moyen et supérieur, couche 5 : Périgordien moyen[21]) et post-paléolithiques (couche 13, du deuxième âge du fer au Moyen-Âge)[26].
Grotte de la Magdeleine des Albis
Située dans les gorges de l'Aveyron en rive gauche (côté nord-ouest), près de l'actuel lieu-dit La Madeleine au sud-ouest de Penne[2], la grotte de la Magdeleine des Albis est célèbre pour les deux Vénus — figures féminines sculptées en bas-relief — découvertes en 1952 par Henri Bessac[27]. La grotte ornée surplombe de quelques mètres un gisement de plein air dit « La Magdeleine-La Plaine » dont l'art mobilier (six plaquettes gravées dont une plaquette calcaire avec quatre figures féminines schématiques de type Lalinde-Gönnersdorf (en)) et l'abondante industrie lithique sont attribués au Magdalénien supérieur, contrairement à l'art pariétal de la grotte des Vénus qui relève plutôt du Magdalénien moyen. En l'état des recherches, le groupe humain qui a fréquenté le gisement de plein air ne semble pas apparenté à celui qui avait occupé la grotte longtemps auparavant[28].
Grotte du Courbet
L'art mobilier magdalénien s'illustre également dans la commune par la grotte du Courbet où ont été découverts de nombreux outils décorés, plusieurs plaquettes calcaires gravées et une petite statuette féminine.
Grotte de la Pyramide
Le Néolithique est représenté par les niveaux chasséens de la grotte de la Pyramide[réf. souhaitée].
Le Cuzoul d'Armand
Dès le milieu du XIXe siècle, Jean-Baptiste Noulet a fouillé la grotte dite « Le Cuzoul d'Armand » à Penne, datant de l'âge du bronze. Plusieurs objets sont conservés au muséum de Toulouse.
Moyen Âge et Renaissance
En 580, à l'époque des premiers seigneurs de Penne, une église est construite sous l'impulsion de saint Salvy, évêque d'Albi.
Aux XIIe et XIIIe siècles est construite l'église actuelle, orientée à l'est et intégrée à l'enceinte fortifiée du village. L'abside dominait le fossé qui occupait la place actuelle.
En 1562, lors des guerres de religion, les protestants de Penne et ceux de Monflanquin battent Charry, un lieutenant de Monluc. Blaise de Monluc, à la tête de l'armée royale et des catholiques, prend la ville et sept cents protestants y sont massacrés, y compris les femmes qui avaient défendu la ville[29].
En 1568, le chef protestant Philippe de Rabastens prend la ville restée catholique. L'église est en partie détruite[30].
Une fois la paix religieuse revenue, l'église est restaurée dans le style gothique occitan. Une porte est alors ouverte à l'est sur le fossé maintenant comblé, et l'église est « retournée » (orientée à l'ouest).
XIXe et XXe siècles
La ligne de Lexos à Montauban traversait la commune. Elle fut construite entre décembre 1853 et le , date de son inauguration. La ligne est intensément utilisée durant six années jusqu'à l'ouverture de la ligne Lexos-Toulouse via Vindrac, Tessonières et Albi qui lui fait concurrence[31].
En 1930, une ligne autobus relie Penne à la gare de Vindrac en passant par Vaour. Le service passager de la ligne de chemin de fer est interrompu en 1935 pour être renouvelé en 1940 et définitivement arrêté en 1955[31].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2018, la commune comptait 584 habitants[Note 4], en augmentation de 1,04 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Sainte-Catherine de Penne. L'édifice et le beffroi ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1954[36].
- Église Notre-Dame de Roussergue.
- Chapelle de Haute-Serre.
- Chapelle Sainte-Madeleine-des-Albis de La Madeleine. Ancien prieuré de l'abbaye de Septfonds puis possession des templiers de Vaour avec les moulins d'Auriol, actuel lieu-dit La Madeleine sur la rive droite de l'Aveyron[37],[38].
- Église Saint-Pantaléon de Belaygue.
- Église Saint-Paul de Saint-Paul-de-Mamiac.
- Église Saint-Vergondin-de-Saliès de La Brégarié.
- Le territoire de la commune porte de nombreux mégalithes préhistoriques, dont au moins 1 menhir, 1 ciste, 1 alignement et près d'une dizaine de dolmens.
- Penne, village médiéval construit sur un éperon rocheux.
- Église du XIIIe siècle intégrée aux remparts, d'orientation inversée (vers l'ouest).
- Château-fort de Penne domine la vallée de l'Aveyron.
- Église Sainte-Catherine de Penne
- Place de l'église.
- Penne vu de la route forestière de la forêt de Grésigne.
- Penne vu de la RD 33 sur le causse.
- Ruines du château de Penne d'Albigeois.
- Penne 2007
- Penne 2011
- Penne 2014
Personnalités liées à la commune
- Jean Sarrazin (1770-1848), général français de la Révolution et de l'Empire né à Penne.
- Fernand Verdeille, homme politique, né à Penne et maire de la commune de 1947 à 1965.
- Noël Arnaud a acheté sa première maison à Penne à la fin des années 1940. D'abord estivant, il s'installa dans le village définitivement à sa retraite en 1980, et y résidera jusqu'à sa mort en 2003.
- Alain Carcenac (1945 - 2014), ancien reporter-photographe au quotidien Les Nouvelles calédoniennes[39] ; devenu ermite dans le Tarn, son squelette a été découvert par des spéléologues en prospection, dans une grotte près de Penne le samedi [40].
- Georges Herment (1912-1969), poète, pendant plus de 20 ans facteur à Penne.
Une personnalité hors du commun : le Terrrrrrrrrrrrrrrrrrrible de Penne
Alexandre Viguier est une figure emblématique de Penne qui a laissé une trace dans l'histoire locale sous le nom de Terrrrrrrrrrrrrrrrrrrible de Penne. La consonne r est répétée 19 fois pour expliquer qu'il était un républicain du XIXe siècle.
Né en 1835, il exerce le métier de géomètre. Il est aussi conseiller juridique pour les populations rurales voisines grâce à ses connaissances en droit et en code civil. Il est célèbre localement et respecté par les habitants.
Il se marie à 39 ans avec Marie Justine Roussel, âgée de 17 ans et issue d'une classe aisée. La gestion catastrophique de sa fortune personnelle incite l'épouse dix années plus tard à demander la séparation des biens.
Alexandre Viguier quitte définitivement la ferme familiale de Cousines. Il change définitivement d'apparence. Jusqu'à son décès, il refuse de se raser ou de se couper les cheveux. Mû par la volonté de supprimer toutes les misères du monde, il dédie sa vie entière à un combat déterminé contre toutes les institutions et la justice. Il est toujours représenté accompagné d'une lanterne destinée de manière symbolique à éclairer sa lutte radicale.
Il échoue à toutes les élections législatives auxquelles il se présente. Il a même l'occasion de se présenter face à Jean Jaurès à Carmaux en 1896. Il décide de se rendre à Paris pour porter ses idées vers les plus hautes sphères du pouvoir. Ses comportements sont jugés tellement iconoclastes qu'il est interné à l'hôpital Sainte Anne et est renvoyé dans sa ville natale. Il vit alors d'expédients, comme un marginal en solitaire. Il réside au château de Penne (dans la salle des gardes) où il décède à l'âge de 76 ans en 1911.
L'origine de l'adjectif pour qualifier ce personnage n'est pas clairement établie. Certains avancent l'hypothèse que son physique « terrible » explique son surnom. D'autres suggèrent son intelligence des affaires bien que ses échecs financiers agricoles n'appuient pas cette explication.
Héraldique
Blason | D'azur à la plume d'or, au chef cousu de gueules chargé de trois fleurs de lys aussi d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- [Cabié 1908] Edmond Cabié, « Les seigneurs de Penne aux XIe et XIIe siècles », Revue historique, scientifique et littéraire du département du Tarn, , p. 77-89 (lire en ligne [sur gallica], consulté le Date invalide (/01/2021)).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Notes de type "Carte"
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- « Infos, distance et photos de Penne », sur voldoiseau.com (consulté le ).
- « Penne (Tarn), carte IGN interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Penne et Montricoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météofrance Montricoux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Penne et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 517..
- [Bosselin 1996] Bruno Bosselin, « Contribution de l'Abri Pataud à la chronologie du Gravettien français », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 93, no 2, , p. 183-194 (lire en ligne [sur hal.archives-ouvertes.fr]), p. 183.
- [Alaux 1967] J.-F. Alaux, « Burins du type "Le Raysse" de l'abri des Battuts (Tarn) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 64, no 8, , p. 242-247 (lire en ligne [sur persee]).
- [Alaux 1969] Jean-François Alaux, « Note préliminaire sur l'abri périgordien des Battuts (Tarn) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 66, no 1, , p. 10–15 (DOI 10.3406/bspf.1969.10322, lire en ligne [sur persee]), p. 10.
- « Pisolithes de goethite à Penne », sur capa-archeo.fr, Centre Archéologique des Pays Albigeois, (consulté le ) : compte-rendu d'une expédition à la recherche de sites-sources de minerai de fer dans les environs. Cette page donne un plan et des photos du site des Battus, incluant l'emplacement de diverses structures médiévales.
- [Alaux 1973] Jean-François Alaux, « Pointes de la Font-Robert, en place, dans le Périgordien à burins de Noailles de l'abri des Battuts (commune de Penne, Tarn) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 70, no 2, , p. 51–55 (DOI 10.3406/bspf.1973.8219, lire en ligne [sur persee]).
- Alaux 1973, p. 52.
- [Bétirac 1954] Bernard Bétirac, « Les Vénus de la Magdeleine », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 51, no 3, , p. 125–126 (DOI 10.3406/bspf.1954.3072, lire en ligne [sur persee], consulté le ).
- [Ladier 2001] Edmée Ladier, « Nouvelles figures féminines schématiques de type Lalinde-Gönnersdorf dans la vallée de l'Aveyron », Paléo, no 13, , p. 265-274 (lire en ligne [sur journals.openedition.org]).
- Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, lire en ligne)., p. 234.
- Source : Panneau présent dans l'église.
- Édouard Minard, La saga d'un rocher : Penne du Tarn, , 174 p..
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Eglise Sainte-Catherine », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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- [Rossignol 1865] Élie-A. Rossignol, Monographies communales ou Étude statistique, historique et monumentale du département du Tarn, t. III, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 199-201.
- « Le mystère de l'ermite photographe play boy », sur a-l-oeil.info (consulté le ).
- « Penne. Le reporter était devenu ermite : son squelette retrouvé dans une grotte », sur ladepeche.fr (consulté en ).
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