Péguilhan

Péguilhan (Peguilhan en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Péguilhan

L'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges
Maire
Mandat
Céline Laurenties Barrere
2020-2026
Code postal 31350
Code commune 31412
Démographie
Gentilé Péguilhanais
Population
municipale
276 hab. (2018)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 56″ nord, 0° 42′ 29″ est
Altitude Min. 218 m
Max. 345 m
Superficie 18,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Gaudens
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Péguilhan
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Péguilhan
Géolocalisation sur la carte : France
Péguilhan
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Péguilhan
Liens
Site web peguilhan.fr

    C'est depuis le une commune nouvelle après sa fusion avec Lunax, devenue commune déléguée[1].

    Géographie

    Commune située dans le Comminges à 35 km au Nord de Saint-Gaudens. C'est une commune limitrophe avec le département du Gers par la Gimone.

    Communes limitrophes

    Communes voisines.

    Depuis 2017, la commune touche Saint-Blancard à la suite de l'absorption de Lunax.

    Hydrographie

    La Gesse son affluent le Ruisseau de Larjo et la Gimone dont une partie du lac de la Gimone passent sur la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 892 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 861,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, dans le département du Gers, mise en service en 1985 et à 38 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[12] à 13,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Péguilhan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Toponymie

    Péguilhan vient de Puy Guilhem, c'est-à-dire : "Puy Guillaume".

    Histoire

    Des vestiges romains attestent un habitat de cette époque hypothétiquement du début de l'ère chrétienne.

    Le village de Péguilhan fut au Moyen Âge la première baronnie de Comminges et plus tard un comté.

    Le premier seigneur connu de Péguilhan est Astorg de Péguilhan né vers 1125. La branche initiale de ces premiers seigneurs de Péguilhan s'est éteinte au début du XIIIe siècle. À cette époque, la terre de Péguilhan était possédée en indivision par le comte de Comminges et par les seigneurs de Montpezat et de Coarraze.

    Lors de son mariage en 1380 avec Belle de Cédons, c'est Bernard de Coarraze - également co-seigneur d'Encausse - qui est cité comme seigneur de Péguilhan. Son fils Raymond-Garcie de Coarraze meurt avant lui.

    C'est la fille de Raymond-Garcie de Coarraze - Jeanne de Coarraze - qui transmet en 1420 par contrat la terre de Péguilhan à son mari Aymery V de Comminges. Il est vraisemblable qu'il s'agit de la dot de Jeanne de Coarraze.

    C'est un descendant d'Aymery V de Comminges - Roger de Comminges - qui fit ériger en 1613 la terre de Péguilhan en comté par lettres patentes.

    La famille de Comminges-Péguilhan est une des cinq grandes familles françaises qui - dit-on - pourraient prétendre au trône de France, si leur filiation ne comportait pas de manques[réf. nécessaire]. Cette illustre famille se distingua au cours des croisades. Ses racines remontent au IXe ou Xe siècle

    Avant la Révolution, le village actuel de Saint-Ferréol faisait partie de Péguilhan. C'est pour cela qu'une partie de la population vivant aujourd'hui en Péguilhan, au quartier des Lurines, est administrativement de Péguilhan mais toujours inhumée à Saint-Ferréol.

    C'est depuis le une commune nouvelle après sa fusion avec Lunax, devenue commune déléguée[1].

    Chapelle Sainte-Germaine

    C'est dès l'origine sainte Camellie, qui imprime au quartier son nom de Camelle. La Révolution française la fit détruire presque entièrement et la renomma Notre-Dame-de-la-Gimone. Ce fut vers 1860 que sa reconstruction fut acquise dans l'élan conjugué de la canonisation de sainte Germaine de Pibrac, et fut définitivement dédiée et connue en Sainte Germaine. Elle est ouverte au culte et des cérémonies y sont célébrées à la demande.

    Politique et administration

    Mairie de Péguilhan

    Le la commune a fusionné avec Lunax[1].

    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Péguilhan
    (siège)
    31412CC Cœur et Coteaux du Comminges18,48218 (2014)12
    Lunax31307CC du Boulonnais5,1066 (2014)13

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Boulonnais et du canton de Saint-Gaudens (avant le redécoupage départemental de 2014, Péguilhan faisait partie de l'ex-canton de Boulogne-sur-Gesse et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du Boulonnais).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1944 1959 Marcel Teulé    
    mars 1959 1965 Aimé Adam    
    mars 1965 1972 Marcel Carrère    
    mars 1972 1977 Jean Cestac    
    mars 1977 2008 Alex Castex    
    mars 2008 juin 2020 Michel Brocas   Retraité
    juin 2020 En cours Céline Laurentis-Barrere   Retraité

    population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2018, la commune comptait 276 habitants[Note 4].

    Évolution de la population  [modifier]
    2015 2016 2017 2018
    295295286276
    (Sources : Insee à partir de 2015[19].)

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21],[Note 5].

    En 2014, la commune comptait 218 habitants, en diminution de −12,45 % par rapport à 2009 (Haute-Garonne : 6,59 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

               Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    672650647669805763785800810
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    780675655688669644631600551
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    532527512409439441427403364
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    355334259250232221222249218
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[24] 1975[24] 1982[24] 1990[24] 1999[24] 2006[25] 2009[26] 2013[27]
    Rang de la commune dans le département 173 228 271 310 305 360 344 361
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Les archives communales attestent que la population de Péguilhan, au début du XIXe siècle dépassait les 800 habitants. On note, pour cette période, quelques cas d'émigration vers l'Espagne ou l'Amérique du Sud. source = INSEE[28].

    Économie

    Le moulin de Péguilhan en 1900.
    Le château de Villeneuve.
    La chapelle Sainte-Germaine.

    Elle est essentiellement rurale. L'agriculture et l'élevage constituent un fort potentiel d'activité pour de jeunes agriculteurs qui maintiennent des exploitations ancestrales, nécessairement mécanisées pour être compétitives. Cultures céréalières, pâturages, élevages bovins, ovin. De nouvelles orientations attestent d'un engagement vers des modes de production biologiques. La volonté municipale soutenue par la population a permis de créer une zone artisanale au fort potentiel de salariés. L'habitat ancien qui avait été abandonné, fut peu à peu acquis par de nouveaux venus du nord de l'Europe. Ce regain de population et de cultures différentes revitalise le pays et fait naitre aujourd'hui des projets de constructions nouvelles. C'est la vocation du PLU - Plan Local d'Urbanisme - en cours d'élaboration. Grâce au partage consenti entre agriculture, petites industries et artisanat, s'insère la zone artisanale géographiquement à mi-chemin entre Toulouse et Tarbes, deux grands pôles économiques de Midi-Pyrénées. Diverses activités y ont été créées, à savoir :

    • Transports Barrère,
    • Garage réparations automobiles,
    • Station de lavage,
    • Centrale à béton,
    • Entreprise S.A.T.O.B. spécialisée dans le concept de maisons et structures à ossatures bois,
    • CUMA des Coteaux, Silos UAC.(antenne de Péguilhan)

    Enseignement

    Péguilhan fait partie de l'académie de Toulouse.

    Manifestations culturelles et festivités

    Sur le site de la chapelle Sain- Germaine, l'association "CAMEL'ARTS" génère, sur ce lieu bucolique, d'importantes activités culturelles et artistiques (renseignements à la mairie). Les mois de juillet et août, tous les week-ends, les amateurs d'arts, (peinture, sculpture, décoration et autres) tout comme ceux qui aiment la musique et le chant, viennent proposer leurs talents et savoir-faire. C'est là le cadre d'activités culturelles estivales canton en juillet et août, tous les week-ends.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'intérieur de l'église.
    • Au nord du village se dresse le château de Bonrepos XIVe siècle, ayant appartenu à l'ancienne famille de Saint Pastou. L'antique demeure est aujourd'hui restaurée par son nouveau propriétaire ;(privé).

    Au centre du bourg est un autre château du XVIIIe siècle avoisinant de l'église, dit le château de Villeneuve (privé). fut la résidence des Haget et puis celle des de Villeneuve. trois membres de cette famille furent maires de Péguilhan. Pons de Villeneuve fut également préfet de la Corrèze et des Hautes-Pyrénées.

    • L'Église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge de Péguilhan fut remaniée au XIXe siècle. La voûte à croisées d'ogives est entièrement décorée sur le thème de la feuille d'acanthe sur fond bleu marial. Cette commande de la fabrique fut, très probablement exécutée par les frères Pedoya, spécialistes de ce style que l'on retrouve dans bien d'autres églises de la région.
    Fonts baptismaux en pierre (classés Monument historique décoré de figures humaines et animalières curieuses. La grande cuve, à huit pans coupés, est posée sur le socle d'un autel votif romain trouvé dans le village voisin. Les trois personnages sculptés figurent la famille.
    Fresques modernes dans le chœur, réalisées en 1951[Note 6]. Vierge en pied peinte par Jacques Fauché. L'église est dédiée à la Nativité de la Vierge Marie, et c'est en cela que la fête patronale du village est toujours fixée au premier dimanche de septembre. Autre peinture latérale dans le chœur représentant l'Arbre de Jessé en son entier, fresque exceptionnelle dans ses dimensions et par l'exhaustivité du récit biblique, exécutée par Pierre Igon, Jacques Fauché et Pierre Saint-Paul[Note 7]. Ils sont tous trois fraichement sortis des Beaux Arts de Toulouse, par la suite Jacques Fauché y sera professeur puis directeur. Ces trois peintres, de l'école toulousaine des années 50, ont réalisé à Péguilhan leurs plus grandes fresques[Note 8].
    • Chapelle castrale avec vitraux armoriés du XIXe siècle dont celui de la famille de Villeneuve dont le château est contigu. Un autre vitrail nous présente le blason du pape Pie IX.
    • Chapelle Sainte-Germaine de Péguilhan.
    • Chapelle dite de Bétis d'Ambrosi.
    • Autel votif en marbre blanc des Pyrénées conservé à Péguilhan à la chapelle de Bétis (propriété privée).
    • Au début du XXe siècle il fut réutilisé et creusé en manière de bénitier pour la dite chapelle. La dédicace de ce dieu des « chars » (en patois local un char se dit car, transporter se dit « caréjar ») peut être assimilée au fameux "Saint-Christophe" tombé en désuétude.
    • Au cimetière, chapelle funéraire de la famille de Villeneuve. Il s'agit en fait du chœur, inachevé, de la première église du village église. Bel autel en pierre de Péguilhan. Piliers latéraux et colonnes engagées donnent à penser que le projet était vaste et grandiose pour un petit village. La commune possédait une carrière de pierre qui servit à édifier de nombreuses constructions dans le village, comme aussi l'église de Boulogne-sur-Gesse ou la chapelle de Saint-Sabin à Escanecrabe.

    Autres pièces remarquables : Pietà en bois peint, probablement du XVe siècle (IMH) (propriété privée), ainsi que le fragment d'autel votif dit "le bénitier de Bétis". Il s'agit de la partie haute d'un autel romain dont on a modifié et réutilisé en manière de bénitier, placé à l'entrée de la dite chapelle de Bétis (privée) au hameau d'Ambrosi. Ce petit bloc de marbre de Saint-Béat, porte la dédicace "Carpinto Deo". Les moines de l'abbaye de Nizors, près de Boulogne, possédaient dès le XIe siècle les fermes des Busquets à Péguilhan. BUSQUET-d'EN-HAUT et BUSQUET-d'EN-BAS.

    • Moulin à eau sur la Gesse, origine XIVe. Il possédait une scierie, et du XIXe au milieu du XXe siècle il possédait une boulangerie. Le moulin à vent au nord-est du village fut détruit au début du XXe siècle.
    • Au centre du village un ancien local possède un grand four à pain qui ferait suite au four banal du Moyen Âge.
    • La carrière de la "Houme" exploitée par la famille Benac après 1880, connut une forte activité avec plus de 25 employés.
    • Au quartier de la Camelle, la famille Escoubas, fit prospérer une tuilerie qui connut un essor d'une cinquantaine d'années, seulement, dans la première moitié du XIXe siècle.
    • Lac de la Gimone.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D’argent à la croix cléchée et pommetée de douze pièces d’or, remplie de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    6. Voir inscription derrière l'autel.
    7. Voir signatures sur la fresque.
    8. C'est un peu faux pour Pierre Saint-Paul, puisqu'il avait déjà travaillé avec Nicolas Greschny et par la suite avec Jean Lurçat. À noter, que durant cette période, il signait parfois "Patrice Sicre".

    Références

    1. « Arrêté du 17 novembre 2016 portant réorganisation de postes comptables des services déconcentrés de la direction générale des finances publiques », sur legifrance.
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Péguilhan et Castelnau-Magnoac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Péguilhan et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
    24. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. Péguilhan sur le site de l'Insee
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