Parfums Christian Dior

Parfums Christian Dior est une entreprise créée après la Seconde Guerre mondiale par Marcel Boussac et le couturier Christian Dior. De nos jours, la marque de parfums et cosmétiques appartient au groupe LVMH, lui-même propriété du holding Christian Dior SE.

Parfums Christian Dior

Création 1947 (lancement du parfum Miss Dior)
Dates clés 1969, création de Christian Dior Cosmetics
1988, rachat par Bernard Arnault au sein de LVMH[1]
Fondateurs Marcel Boussac
Serge Heftler-Louiche
Personnages clés Présidents-directeurs généraux :
Maurice Roger (de 1982 à 1996)[2]
Patrick Choël (de 1996 à 1997)[3]
Jacques Liget (de 1997 à 1998)[4]
Berndt Beetz (de 1998 à 2000)[5],[6]
Claude Martinez (depuis 2001)[7]
Parfumeur-créateur :
François Demachy[8](depuis 2006)
Siège social France
Direction Claude Martinez depuis 2004
Actionnaires LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton
Activité Fabrication de parfums et de produits pour la toilette

APE 2042Z

Produits Miss Dior
Poison
J'adore
Capture
Dior Addict
Société mère LVMH (division Parfums & Cosmétiques)
Sociétés sœurs Guerlain
BeneFit
Effectif 2 704 en 2018
SIREN 552065187

Fonds propres 848 685 900 € fin 2018
Chiffre d'affaires 1 773 270 400 € en 2018
Résultat net 448 616 900 € en 2018

Historique

L'entreprise

En 1946 Christian Dior s'installe au 30, avenue Montaigne[9], l'ouverture de la Maison[10] a lieu en décembre. L'année suivante, soutenant financièrement le couturier depuis ses débuts, Marcel Boussac[n 1] fonde, la Société Christian Dior parfums, SARL nommée alors plus communément Dior Parfums[n 2], dans laquelle Moët et Chandon acquiert des parts quelques années plus tard[11]. Serge Heftler Louiche, ami du couturier, et natif de Granville comme lui, ayant travaillé pour Coty durant 25 ans, en prend la direction[12]. En , de l'autre côté de l'Atlantique est fondé par l'association financière de Christian Dior, Heftler Louiche, et Boussac Christian Dior Perfumes New York ; des eaux de toilette apparaissent spécifiquement, pour ce marché. Brièvement fabriqués en sous-traitance, les parfums sont produits dans l'usine de l'entreprise à partir de 1949.

En 1957, seulement deux ans environ avant Serge Heftler-Louiche, Christian Dior meurt.

Dès 1962, le Crédit Lyonnais tire la sonnette d'alarme auprès de Marcel Boussac : l'entreprise Boussac va mal[13].

Afin de renflouer un peu l'entreprise, le , un accord est signé par l’entreprise Moët & Chandon pour l'acquisition à Boussac de 50 % de Dior Parfums SA[14], tandis que le groupe textile conserve la Couture. En 1971, la part de Moët & Chandon, devenu MHD, dans Parfums Christian Dior passe de 50 à 70 %, ce qui permet à Boussac d'obtenir des liquidités[15]. MHD devient propriétaire de la totalité du capital par la suite.

Serge Lutens, qui a travaillé au développement du maquillage en 1967, prend la direction artistique de l'entreprise de parfums l'année suivante. Christian Dior Cosmetics naît en 1969 avec la première ligne de maquillage intitulée Explosion de couleurs. 1967 voit le lancement de la ligne prêt-à-porter Christian Dior Monsieur.

À la fin des années 1970, le groupe Boussac est toujours en difficultés : il est mis en redressement judiciaire en et racheté par la Société fiduciaire et financière Agache Willot (qui deviendra Financière Agache par la suite) puis renommé Compagnie Boussac Saint-Frères. Marcel Boussac meurt en . En juin de l'année suivante, Boussac-Saint Frères est en redressement judiciaire et intéresse Maurice Bidermann entre autres ; Bernard Arnault, par l'intermédiaire du groupe immobilier Ferret-Savinel, achète en l'entreprise, toujours propriétaire entre autres de la marque Christian Dior (couture, hors parfums), et apporte 400 millions de francs au capital de la société[16],[n 3].

En , Moët & Chandon devient LVMH en fusionnant avec la maison de cognac Hennessy et le maroquinier Louis Vuitton[n 4].

Deux ans après, Bernard Arnault, qui a pris possession de LVMH via la Financière Agache, rassemble sous ce qui deviendra le holding Christian Dior les deux filiales parfums et couture[n 5],[17]. En 1997, LVMH fait l'acquisition de la chaine de distribution Sephora qui deviendra une « force de frappe » pour les parfums du groupe.

Les produits

La première fragrance, aux accents chyprés, s'appelle Miss Dior, elle est présentée le jour du premier défilé de la maison, le . Ne seront diffusés que 283 exemplaires de ce premier flacon en cristal de Baccarat en , quelques mois après la présentation des lignes Corolle[9] et En 8, surnommées New Look par Carmel Snow, rédactrice en chef de Harpers' Bazaar. Pour Christian Dior, qui prête une grande attention aux parfums et aux accessoires ayant compris très tôt l'importance de la diversification, le parfum « est le complément indispensable de la personnalité féminine, c’est la finishing touch d'une robe. » Diorama[n 6] sort à la suite en 1949[18], c'est le premier parfum créé pour Dior par Edmond Roudnitska qui collaborera avec la marque pendant de nombreuses années, jusqu’à la déclinaison d’ Eau sauvage extrême en 1984[19].

En 1955 sort le parfum Eau Fraîche, premier parfum unisexe. Le quatrième parfum de Dior, Diorissimo, inspiré du muguet et vendu dans un flacon dessiné par le couturier sort l'année suivante ; ce dernier rencontre immédiatement le succès.

La Crème Abricot qui fortifie les ongles apparait en 1963, la même année que le parfum Diorling. Après plusieurs années d'élaboration, Eau sauvage est commercialisé en 1966[20]. Il sera suivi de Eau Sauvage Extrême en 1984.

Les lancements se succèdent : la ligne de maquillage Diormatic, le parfum Diorella signé de nouveau par Edmond Roudnitska, avec comme souvent une affiche dessinée par René Gruau, est commercialisé en 1972 ; celui-ci se voulait le pendant féminin d’Eau Sauvage. La première gamme de soin Hydra Dior est mise sur le marché l'année suivante, puis Dior-Dior sort en 1976, signé encore par Roudnitska, et Dioressence suit trois ans après.

Les années 1980 débutent avec la sortie du parfum pour homme Jules qui marque la dernière publicité du fidèle René Gruau. Poison suit en 1985, le produit de soin Capture sort l'année suivante, et le parfum pour homme Fahrenheit est lancé en 1988.

Le parfum féminin Dune, qui sera suivi de Dune pour homme six ans plus tard, est commercialisé en 1991, Tendre Poison, déclinaison légère de Poison en 1994, Dolce Vita[21], Eau Svelte et le soin Capture Rides en 1995, la ligne de solaires Dior Bronze en 1997[22], Hypnotic Poison et sa touche de réglisse en 1998.

Enfin, le parfum J’adore est lancé en 1999, il deviendra un des best sellers des Parfums Christian Dior. Son nom qui évoque une émotion spontanée s’inspire des « Oh ! J’adore ! » lancés par Monsieur Dior lorsqu’il était satisfait d’une robe que lui présentaient ses ouvrières , et de cette célèbre phrase de Jean Cocteau : « Dior, ce génie léger propre à notre temps dont le nom magique combine Dieu et Or[23]. »

Le flacon reprend les courbes sensuelles du New Look, déjà présentes dans la forme amphore des premiers parfums de la maison[24]. Il s’inspire aussi des colliers Massaï[25] qui apparaissent régulièrement dans les collections Dior à la fin des années 1990. Enfin, le nom n’apparaît pas sur le flacon, comme pour créer une atmosphère de secret, une intimité entre la fragrance et celle qui la porte[26].

Le jus de J’adore est un bouquet floral et fruité où la rose et le muguet, fleurs fétiches de Christian Dior, se marient avec le magnolia, la violette, l’orchidée, l’œillet, et une touche de prune légèrement alcoolisée[25]. François Demachy, parfumeur créateur de la maison, évoque ainsi sa complexité : « C'est un parfum évident, mais pas simple, qui harmonise la parfumerie moderne et ancienne en mariant des produits de synthèse très pointus (telles des aldéhydes aux notes de muguet) à des essences naturelles classiques[27]. »

Cet ensemble complexe compose une fragrance lumineuse et gaie, qui exprime le rayonnement d’une féminité libre et épanouie, jeune et solaire[28]. Avec une esthétique aussi sensuelle et hédoniste, il constitue une révolution dans le monde du parfum : à sa sortie, il marque une rupture nette avec les jus aux allures austères qui dominent alors le marché[27]. Les publicités qui l’ont mis en scène mettent en valeur ces dimensions de luxe presque démesuré et de sensualité assumée. Dans la première, le mannequin Karmen Kass se plonge dans un bain d’or. Puis c’est Charlize Theron qui devient l’égérie du parfum en 2004, apportant à l’image de J’adore une touche de glamour hollywoodien. Pour la campagne de 2011, elle défile dans le château de Versailles, vêtue d’une robe très sexy, croisant sur son passage Marlene Dietrich, Marilyn Monroe et Grace Kelly[25]. Enfin, en 2014, un nouveau film la met en scène s’élevant hors de la galerie des glaces vers une ville futuriste[29].

J’adore est aujourd’hui un classique de la parfumerie. Il a connu de nombreuses déclinaisons. En 2007, François Demachy crée une variation plus intense avec J’adore l’absolu, J’adore l’or en 2010, puis une variante plus légère avec J’adore voile de parfum en 2013[27]. En 2014 enfin, la ligne J’adore pour le bain est complétée par une huile sèche pour le corps.

Les années 2000 débutent avec la sortie de Remember Me. Lancement du parfum pour homme Higher en 2001, de Forever and Ever, du rouge à lèvres Dior Addict et d’accessoires de maquillage la même année, suivi du parfum I Love Dior, puis Dior Addict conçu par Thierry Wasser en 2002 et qui s'inspirera de Bardot pour sa publicité dix ans plus tard[30],[31]. Chris 1947 et Higher Energy sortent en 2003. Hedi Slimane, alors chez Dior Homme, signe avec le nez Olivier Polge[32] trois eaux de Cologne : Cologne Blanche, Eau Noire et Bois d'argent en 2004 ; elles feront toutes trois partie plus tard de la collection Couturier Parfumeur, renommée par la suite Collection Privée, ligne de parfums diffusée uniquement dans les boutiques Dior et qui comprend Grand Bal, Patchouli Impérial, Ambre Nuit, Leather Oud, New Look 1947, Cologne Royale, Granville, Milly-la-Forêt, Gris Montaigne, Mitzah, Vetiver, Oud Ispahan et Cuir Cannage[33].
Toujours en 2004, apparition de Dior Me, Dior Me Not, Pure Poison, et de l'eau parfumée Sweet Sun, qui sera arrêtée en 2010. Le parfum Dior Homme sort en 2005 toujours sous la direction artistique d'Hedi Slimane, Miss Dior Chérie, et Diorskin Airflash un fond de teint sous forme de brumisateur sortent tous deux la même année. Forever and Ever Dior est commercialisé en 2006, Fahrenheit 32 en 2007, année de transition entre Slimane et Kris Van Assche chez Dior Homme, la même année que Midnight Poison signé par François Demachy, parfumeur créateur exclusif de la maison.
En , pour l'anniversaire des dix ans de Galliano dans la maison, Dior édite une collection limitée de trois parfums dans un flacon en forme d’amphore, Passage no 9, Passage no 8 et Passage no 4[34].

Escale à Portofino est lancé en 2008 puis Escale à Pondichéry[35] en 2009, suivi l'année d'après de Escale aux Marquises[36], tous trois signés François Demachy. Escale à Parati existe également depuis et vient compléter la ligne des Escales de Dior. Fin 2009, sort une nouvelle eau de Cologne, Ambre Nuit[37], toujours par François Demachy. La collection de « Cologne » est complétée également par Oud Ispahan[38].

Les parfums Christian Dior, avec Eau sauvage (3e parfum masculin en France[39]), l'ancien Miss Dior, Poison datant de 1985 et récompensé deux ans plus tard d'un FiFi Awards, ou J'adore créé en 1999 et première vente de parfum en France, sont des produits essentiels de la marque Dior.

Dior est une des rares maisons à employer en interne un parfumeur-créateur exclusif[40] en la personne de François Demachy. Travaillant comme parfumeur depuis plus de trente-cinq ans, il entre chez Dior en 2006 et est aujourd’hui décrit comme « l’un des nez les plus respectés[41] ». Évoquant les fragrances qu’il crée pour Dior et les matières premières qu’il utilise, il explique « les fleurs sont les plus intéressantes, car elles composent le côté romantique de mon métier[42] ». François Demachy a notamment signé les trois Escales, la Collection Privée Christian Dior, Dior Homme Sport et de nouvelles versions de J’adore, Miss Dior, Dior Addict et Eau Sauvage.

« Voilà pourquoi je suis devenu aussi parfumeur, pour qu’il suffise de déboucher un flacon pour voir surgir toutes mes robes[43]. » — Christian Dior

Depuis le lancement de Rouge Dior, le premier rouge à lèvres de la maison, en 1953[44], le maquillage est aussi un des piliers des Parfums Christian Dior. Le vernis Dior, lancé en 1962[45], la palette 5 Couleurs pour les yeux en 1987[46], les rouges à lèvres Diorific, en 1997[47], et Dior Addict en 2001[48], la ligne de teint Diorskin en 2002 sont désormais des produits emblématiques, régulièrement réinventés et revisités. Depuis , Peter Philips est le directeur de la création et de l’image du maquillage Dior[49].

Égéries publicitaires, parfum et cosmétiques

Feminins


Egéries:

Mannequins :

Masculins

Egéries:

Mannequins :

Notes et références

Notes de contenu

  1. Cette année-là,le CIC qui regroupe toutes les sociétés de l'entreprise Boussac devient une SARL dont Marcel Boussac est l’actionnaire unique.
  2. La même année, l'entreprise Boussac fonde également Christian Dior New York, Inc. filiale américaine pour la couture, ainsi que d'autres filiales par la suite pour les Antilles, l'Amérique du Sud, ou l’Angleterre avec « Christian Dior Models Limited » en 1952.
  3. En fait, en juin 1991, Bernard Arnault sera condamné, par la Commission européenne, à payer à l'État français la somme de 356 millions de francs. Ceci en remboursement d'une partie des aides financières versées par l'État à l'époque, pour le soutien de Boussac et la préservation des emplois, par l'intermédiaire de l’Institut pour le développement industriel : IDI. Ces aides se chiffreront à 900 millions de francs, puis 560 millions au moment du rachat où Bernard Arnault obtient également l'effacement des créances dont une première fois 380 millions de francs, qui représentent une petite partie des dettes. Ceci afin, selon Bernard Arnault, de « maintenir la survie du groupe en évitant son démantèlement ».
  4. Parfums Givenchy, autre maison de parfums française importante, entre également dans le groupe LVMH
  5. De nos jours, la Couture appartient à 100 % au holding Christian Dior SE. 40.9 % de LVMH (possédant les parfums) appartiennent à ce même holding par l'intermédiaire de la Financière Goujon.
  6. Diorama est également le nom d'une robe de la collection automne-hiver 1947

Références

  1. « bernard arnault premiere fortune de france », sur lefigaro.fr, Archives Nationales
  2. « dune mis nu revival d'un classique », sur graindemusc.blogspot.fr, Archives Nationales
  3. « Patrick Choël », sur lesechos.fr, Archives Nationales
  4. « Jacques Liget Thibault Ponroy Elisabeth Desvignes », sur lesechos.fr, Archives Nationales
  5. « Claude Martinez nouveau pdg de parfums Christian Dior », sur strategies.fr, Archives Nationales
  6. « Berndt Beetz pdg des parfums Christian Dior. », sur strategies.fr, Archives Nationales
  7. « Claude Martinez est nommé président-directeur-général de Parfums Christian Dior », sur lvmh.fr, Archives Nationales
  8. « the embodiment_of_creation », sur dior.com, Archives Nationales
  9. Christian Dior, « Christian Dior et moi, », Vuibert, Paris, .
  10. « L’ouverture de la boutique n’a lieu qu’en 1955 », sur dior.com
  11. « Groupe Boussac », sur archivesnationales.culture.gouv.fr, Archives Nationales (consulté le )
  12. Élisabeth de Feydeau, Dictionnaire amoureux du Parfum, Plon, , 622 p. (ISBN 978-2-259-27765-5, lire en ligne).
  13. P. Lamm, « 5. Marcel Boussac », sur lesechos.fr, (consulté le )
  14. « Répertoire Boussac », sur archivesnationales.culture.gouv.fr, Archives Nationales (consulté le )
  15. « Journal de l'année Édition 1971 », sur larousse.fr, Éditions Larousse (consulté le )
  16. Bernard Arnault, Yves Massarovitch,, « Bernard Arnault, la passion créative, , », Plon, Paris, .
  17. « Bénéfices historiques pour Christian Dior », sur lsa-conso.fr, LSA, (consulté le )
  18. « Mémo-parfum:Diorama », sur osmoz.fr
  19. « Fiche parfum Eau Sauvage Extrême »
  20. Stéphane Reynaud, « 1968, Eau Sauvage de Christian Dior », sur lefigaro.fr, Madame Figaro, (consulté le )
  21. Alain Jemain, « LVMH-L'oréal, Affrontements industriels pour deux parfums », sur usinenouvelle.com, L'Usine nouvelle, (consulté le )
  22. « L’officiel, maison Christian Dior »
  23. L’officiel, « Maison Christian Dior »
  24. « Les parfums que les Français adorent : bénéficiant des moyens de LWMH, Dior s'impose en tête des ventes », Challenges, no 285, , p. 33
  25. Jérôme Hanover, Dior, Assouline, Paris, 2012
  26. e-marketing, « J’adore exalte la Dior attitude »
  27. « Le Parfum J’adore a dix ans », L’Express Styles, no 285, (lire en ligne)
  28. Origines, « J’adore »
  29. « Charlize Theron éblouit dans la nouvelle campagne de J'adore de Dior », L’Express Styles, (lire en ligne)
  30. [image] « Et Dior créa la femme », Publicité, sur blended.fr, (consulté le )
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  33. « La Collection privée Christian Dior »
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  35. Lydia Bacrie, « Escale à Pondichéry ou le retour des Indes chez Dior », Styles, sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le )
  36. Hélène Tahi, « Invitation au voyage », Beauté, sur stiletto.fr, (consulté le )
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  38. Yasmine Meurisse, « Le nouveau sillage des Cologne… », L'Express Styles, no 3201, , p. 64 (ISSN 0014-5270)
  39. « Eau Sauvage », Challenges, no 285, , p. 5 (ISSN 0751-4417)
  40. « Les grandes marques s’arrachent leurs nez »
  41. « François Demachy nez voyageur Dior »
  42. « Le parfum habit de l’âme »
  43. « « Les parfums Christian Dior », », dossier complémentaire au catalogue de l’exposition Christian, l’autre lui-même, au musée Richard-Anacréon de Granville,
  44. « Rouge Dior »
  45. « 1962 »
  46. « 5 Couleurs »
  47. « Diorific »
  48. « Dior Addict »
  49. « Peter Philips »
  50. Margault Antonini, Edson Pannier, « Dior, le bal des actrices », sur lofficielmode.com, L'Officiel, (consulté le )
  51. Élisabeth Gouslan, « Charlize Theron, énervante ? Non, sublime surdouée ! », sur lefigaro.fr, Madame Figaro, (consulté le )
  52. Marion Dupuis, « Charlize Theron égérie de la Dior VIII » Madame Figaro, 12 mai 2011
  53. Richard Gianorio, « Rencontre avec Monica Bellucci », sur lefigaro.fr, Madame Figaro, (consulté le )
  54. Kate Moss, égérie chez Dior ELLE, 15 février 2011
  55. Valentine Pétry, Natalie Portman, une Miss Dior Chérie, L'Express Styles, 22 février 2011
  56. Ingrid Bernard, « Mélanie Laurent, nouvelle égérie de Dior », France-Soir,
  57. par Charlotte Deprez, « JOY de Dior: Jennifer Lawrence incarne le nouveau parfum dans une campagne étincelante », sur Marie Claire, (consulté le )
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  59. Géraldine Dormoy, « Alain Delon replonge dans La Piscine pour Eau Sauvage », sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le )
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  61. Jude Law pour Dior Le Parisien, 06 septembre 2010
  62. Thomas Lapointe, « Quand la pub de luxe se paie les pointures du 7e art », Culture, sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le )
  63. Anaïs Giroux, « Robert Pattinson, nouvelle égérie des parfums Dior », Styles, sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Chandler Burr et Vincent Leret (photogr. Terri Weifenbach), Dior : Les parfums, New York/Paris/London etc./Paris, Rizzoli New York, , 285 p. (ISBN 978-0-8478-4460-9)

Articles connexes

Liens externes

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