Padirac

Padirac est une commune française située dans le département du Lot, en région Occitanie.

Cet article possède des paronymes, voir Madirac et Sadirac.

Padirac

Le château.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
André Andrzejewski
2020-2026
Code postal 46500
Code commune 46213
Démographie
Gentilé Padiracois
Population
municipale
155 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 33″ nord, 1° 45′ 15″ est
Altitude 340 m
Min. 318 m
Max. 426 m
Superficie 8,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Biars-sur-Cère - Saint-Céré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gramat
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Padirac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Padirac
Géolocalisation sur la carte : France
Padirac
Géolocalisation sur la carte : France
Padirac
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont les Padiracois et les Padiracoises. En occitan, le village s’appelle localement [pɔðiˈra] et ce nom s'écrit Padirac.

    La commune est connue en particulier pour le gouffre de Padirac qui attire de nombreux visiteurs.

    Géographie

    Commune située dans le causse de Gramat sur la RD 673 entre Gourdon et Saint-Céré.

    La commune est desservie par la gare de Rocamadour-Padirac sur la ligne de Brive-la-Gaillarde à Toulouse-Matabiau via Capdenac et située sur la commune de Rocamadour.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Padirac[1]
    Gintrac
    Miers Loubressac
    Thégra

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 122 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaulieu S/dor. », sur la commune de Beaulieu-sur-Dordogne, mise en service en 1952[7]et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 145,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].

    La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[21],[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[23] : les « pelouses sèches et bois de la partie Nord du causse de Gramat et rivière souterraine de Padirac » (3 605 ha), couvrant 10 communes du département[24] et les « prairies naturelles et boisements de la combe Molière et du Bos del Moussur » (178 ha), couvrant 4 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[23] : le « plateau et bassin d'alimentation du système karstique de Padirac » (10 133 ha), couvrant 11 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Padirac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[27],[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (54,3 %), prairies (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), forêts (3,6 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Padirac est basé sur l'anthroponyme latin ou roman Palerius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[33].

    Histoire

    La commune a été créée en 1828 par détachement de sections de Miers[33].

    Politique et administration

    La mairie de Padirac.
    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1829 1830 Jean Viroles    
    1830 1844 Jean François Calle    
    1844 1851 Auguste Viroles    
    1852 1870 Jean Calle    
    1870 1871 Antoine Clarety    
    1871 1878 Auguste Viroles    
    1878 1888 Jean Calle    
    1888 1892 Vignes De Salvagnac    
    1892 1901 François Calle    
    1901 1904 Edmond Vignes De Salvagnac    
    1904 1912 Baptiste Bouzou    
    1912 1925 Jean Tournie    
    1925 1935 Baptiste Bouzou    
    1935 1943 William Beamish    
    1944 1959 Augustin Tournie    
    1959 1983 Robert Montbertrand    
    1983 2008 Marie-hélène Malaurie    
    2008 2014 Jérôme Pinquie    
    2014 2019 Pierre Chamagne   Décédé en cours de fonction
    2019 2020 Intérim    
    2020 2026 André Andrzejewsk    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36]. En 2018, la commune comptait 155 habitants[Note 7], en diminution de 13,41 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861
    380186357383383391378373357
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    334306313274280259256226232
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    226196190190186166229224177
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018 -
    162148160168185185159155-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sites et monuments

    • Gouffre de Padirac : Padirac est célèbre pour sa cavité naturelle de 35 mètres de diamètre sous laquelle coule une rivière souterraine à 103 m sous terre. La grotte est ouverte au public sur une grande partie de l'année des vacances de Pâques aux vacances de Toussaint. Le film de spéléologie Padirac, rivière de la nuit de Marcel Ichac (1948) y a été tourné.
    • Insectopia : musée des insectes
    • Le Château de Padirac

    Dolmens

    Padirac possède un riche patrimoine mégalithique. En 1930, Armand Viré avait recensé 13 dolmens sur la commune, tous avaient été précédemment violés et les fouilles n'y révélèrent aucun mobilier ; plusieurs étaient déjà dans un état de délabrement assez avancé[40].

    • Dolmen d'Andrieu appelé aussi Dolmen du Champ de Monsieur : 44° 51′ 22″ N, 1° 44′ 29″ E
    • Dolmen d'Escurettes : 44° 51′ 18″ N, 1° 44′ 38″ E
    • Dolmen de Bougoulat : 44° 51′ 54″ N, 1° 45′ 30″ E
    • Dolmen des Calcas appelé aussi Dolmen de Penot : 44° 51′ 04″ N, 1° 45′ 33″ E
    • Dolmen des Claouzelles : 44° 50′ 31″ N, 1° 45′ 10″ E
    • Dolmens dits des Pendus: 2 dolmens 44° 51′ 20″ N, 1° 45′ 24″ E 44° 51′ 15″ N, 1° 45′ 19″ E

    Personnalités liées à la commune

    • Auguste Monton.
    • Armand Bouat est un homme politique français.
    • Joseph de Laroussilhe, curé de Padirac autour de 1889, qui a participé à la découverte du gouffre de Padirac (le "trou du diable"), par Edouard-Alfred Martel, l'inventeur de la spéléologie moderne: « Lors de ses expéditions, Martel bénéficiait de l'appui du curé du village, l'abbé de Laroussilhe, un homme érudit, qui renseignait les villageois sur ce que cet étranger faisait au fond du trou. Plus tard, il va expliquer à ces mêmes gens qu'on ne pouvait pas garder ces découvertes souterraines pour soi et qu'elles devraient avoir des retombées dans tout le pays, pour cela il faut qu'ils acceptent de vendre leurs terres situées au-dessus de la cavité… » [41]

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Beaulieu S/dor. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Padirac et Beaulieu-sur-Dordogne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Beaulieu S/dor. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Padirac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    15. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    20. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    22. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Padirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « pelouses sèches et bois de la partie Nord du causse de Gramat et rivière souterraine de Padirac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « prairies naturelles et boisements de la combe Molière et du Bos del Moussur » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « plateau et bassin d'alimentation du système karstique de Padirac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne)
    34. « Les maires de Padirac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Église paroissiale Saint-Julien », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    40. Armand Viré, « Monuments mégalithiques et habitations romaines de la commune de Padirac (Lot). Leur inventaire. », Bulletin de la Société préhistorique de France, no Tome 27, N.4, , pp. 229-240 (lire en ligne).
    41. La Depêche du Midi: https://www.ladepeche.fr/article/2015/03/29/2076627-comment-edouard-alfred-martel-decouvert-gouffre-padirac.html

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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