Orschwihr

Orschwihr est une commune française située en Alsace, dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Orschwihr

Orschwihr vu du vignoble.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Thann-Guebwiller
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Guebwiller
Maire
Mandat
Marie-Josée Staender
2020-2026
Code postal 68500
Code commune 68250
Démographie
Population
municipale
1 039 hab. (2018 )
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 56′ 08″ nord, 7° 13′ 59″ est
Altitude Min. 225 m
Max. 573 m
Superficie 7,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Guebwiller
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Orschwihr
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Orschwihr
Géolocalisation sur la carte : France
Orschwihr
Géolocalisation sur la carte : France
Orschwihr

    Ses habitants sont appelés les Orschwihrois et les Orschwihroises.

    Le , le nom de la commune est transformé de Orschwir en Orschwihr.
    La commune est jumelée avec Kerlouan, dans le Finistère.

    Géographie

    Orschwihr (en allemand Orschweier) est situé au pied des Vosges au cœur du vignoble alsacien dans un vallon bordé à l'est par le Bollenberg, promontoire légendaire[1] qui s'étale vers la plaine et vers l'est vers les contreforts montagneux de l'oberlinger-Liberberg.

    Orschwihr fait partie de l'arrondissement de Thann-Guebwiller et du canton de Guebwiller. Le village est situé à km de Guebwiller et à 26 km de Colmar et de Mulhouse également. Les communes les plus proches sont Bergholtz et Bergholtz-Zell au sud, Rouffach à l'est, Soultzmatt et Westhalten au nord et Guebwiller et Buhl à l'ouest.

    C'est une des 188 communes[2] du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.

    Lieux-dits et écarts

    • Baumwerk ;
    • Effenberg ;
    • Kraheneck ;
    • Lippelsberg ;
    • Neuberg ;
    • Paradis ;
    • Pfingstberg (vignoble grand cru) ;
    • Schild ;
    • Sonnengläntzle ;
    • Untere ;
    • Untere Luft.

    Toponymie

    • Alswilre, 1284 ;
    • Olswilre, 1371 ;
    • Orsweiler, 1531 ;
    • Orswier, 1550 ;
    • Orschweier, 1627.

    Urbanisme

    Typologie

    Orschwihr est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,9 %), cultures permanentes (30,9 %), zones urbanisées (8,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), terres arables (1,1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Histoire

    Le centre du village.
    La place des jeux et au loin les coteaux de vignes.
    Le village.
    Panneaux vantant les grands crus dans le village.
    Un vieux pressoir exposé sur la place des jeux[10].
    Porche d'une ancienne maison vigneronne (1582) transformée aujourd'hui en hôtel-restaurant.

    Otalswilre est le nom le plus ancien que l'on rencontre concernant Orschwihr, dans un acte de donation du comte Eberhard d'Eguisheim au couvent de Murbach en l'année 728[11]. À partir du XIIe siècle, le village est rattaché au Mundat supérieur de l'évêque de Strasbourg.

    Une famille noble possédait le village

    Une famille noble portait le nom du village. On rencontre en 1245 le nom de Rodolphe d'Alswilre, puis en 1279 le nom de Werner d'Alswilre, chevalier de l'ordre teutonique. Vers 1265 un moine prêcheur à Bâle, Henri d'Alswilre portait également le nom de ce village. Il n'existe cependant aucune preuve que cette famille ait habité la localité.

    Le village passe aux Habsbourg

    Une cour colongère appartenait dès 1282 aux Habsbourg qui s'étendait en 1467 sur les bois, les prés et les pâturages.Cette cour est donnée en fief à partir de 1418 à la famille d'Andlau.

    Guillaume Wolf, proche du roi Maximilien obtint en 1513 cette cour à titre de don, puis s'empressa de la vendre à l'évêque. En 1523 ce dernier céda l'ensemble de cette cour aux bourgeois d'Orschwihr contre mille florins des forêts à saint-Gangolphe, près de l'Oerlin Rain et de la vallée de Soultzmatt et l'étang de Saint-Wolfgang et la cour franche avec les terres y attenant.

    Le village pillé en 1375

    En 1375, le village, alors propriété de Hermann de Schœnau, est pillé par les bandes d'Enguerrand VII de Coucy (1339-1397). Il resta dès lors à l'état de ruines.

    Un village de vignerons

    Dès l'origine, le village vit surtout de la vigne car il bénéficie de collines bien exposées, surtout au Bollenberg et au Pfingstberg. Cette prospérité est attestée par les nombreuses maisons vigneronnes des XVIe et XVIIIe siècles, surtout dans le bas du village, le haut étant surtout occupé par les ouvriers et les petits vignerons. Les vignes du Lippelsberg et les impositions de la cour domaniales représentaient pour l'administration de Rouffach une intéressante source de revenus au Moyen Âge.

    Mathias Grunewald

    Meister Matthysen dit Mathias Grünewald, peintre, venait souvent peintre ses tableaux dans le village. Il utilisait à cet effet la carrière d'Orschwihr. Mathias Grünewald est l'auteur du retable d'Issenheim dont le village est proche des lieux.

    La démographie

    En 1801, le village compte 1 023 habitants et connaît un maximum démographique en 1851 avec 1358 habitants. Depuis ce temps là, la population a baissé de façon continue jusque dans les années 1960. La crise de la viticulture à la fin du XIXe siècle a provoqué un fort exode rural vers les villes de la région. Aucune industrie ne s'est implantée dans le village où le travail de la vigne conserve encore une grande importance. Une grande partie du terroir est désormais classé parmi les grands crus d'Alsace, témoignant ainsi de la qualité de la production locale. Orschwihr a perdu depuis un siècle une grande partie de sa population. De 1 285 habitants en 1871 elle est tombée à 817 en 1975.

    La baisse a été régulière. Mais depuis 1968, 1970 et 1975 quelques lotissements ont été construits ce qui a fait remonter la démographie dans le village. Ce sont surtout de jeunes couples travaillant dans les grandes agglomérations (Guebwiller, Soultz, Mulhouse, Soultzmatt, Rouffach et Colmar) qui se sont installés dans le village.

    Économie et société

    Orschwihr reste un village essentiellement agricole. Les deux versants du vallon produisent des vins de qualité. Les 214 ha de vigne occupent près de la moitié de la surface agricole totale du village. Le cadastre établi en 1828 recense 396 propriétaires. En 1980, sur 363 ha de superficie agricole utilisées, 69 ha le sont pour des céréales. Le nombre de viticulteurs est de 40 dont 34 qui commercialisent leur production. En 1977, Orschwihr comptait plus de 53 ouvriers-paysans et une seule entreprise de construction avec plus de dix ouvriers.

    Héraldique

    Les armes d'Orschwihr se blasonnent ainsi :
    « De gueules à la croix pattée allésée d'argent, soutenue d'un serpent contourné du même, ondolant en fasce, la tête levée vers le chef. »[12]

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2014

    Mairie.

    En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[13] :

    • total des produits de fonctionnement : 728 000 , soit 689  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 621 000 , soit 588  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 973 000 , soit 920  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 774 000 , soit 732  par habitant.
    • endettement : 368 000 , soit 348  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 10,51 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,17 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 46,49 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mai 2020 Alain Grappe UMP Conseiller général
    mai 2020 En cours Marie-Josée Staender [14]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[16].

    En 2018, la commune comptait 1 039 habitants[Note 2], en diminution de 1,8 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +0,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0409451 1981 1821 3061 2821 2311 3391 358
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 2441 2931 3301 2851 2181 1971 1741 2001 143
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1471 1541 105946917912885830784
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7687808178128499209729791 052
    2017 2018 - - - - - - -
    1 0431 039-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Église Saint-Nicolas

    Église Saint-Nicolas.
    Anciennes tombes des curés d'Orschwihr (XVIIe-XVIIIe siècle) à côté de l'église.
    Chapelle Saint-Wolfgang.
    Intérieur de la chapelle Saint-Wolfgang.
    Les restes du château d'Orschwihr.
    Restes du château d'Orschwihr - Entrée du château.

    La première église mentionnée à Orschwihr date de l'année 1335. Depuis, l'édifice a été reconstruit, notamment entre 1547 et 1577. Au Moyen Âge, l'église-mère du Bollenberg, située sur la crête orientale, servait de lieu de culte à six communes, dont Orschwihr[19]. Des fouilles entreprises en 1894 près de l'ancien chœur ont permis de mettre à la surface une série de tombes de la première ère chrétienne. L'un des sarcophages est actuellement exposé au Musée historique de Mulhouse.
    Le projet de construire une nouvelle église dans le village même devait avoir l'approbation du seigneur, Nicolas Bollwiller. En 1550, l'église paroissiale devint indépendante, le village relevant auparavant de l'église-mère du Bollenberg. Le sanctuaire de style gothique se composait d'un clocher-porche, d'une nef charpentée et d'un chœur vouté. L'église étant trop petite pour accueillir les fidèles, elle fut reconstruite entre 1778 et 1782. On garda juste le clocher. La tour porte encore les dates de 1576 et 1577.

    L'orgue de tribune a été réalisé par Stiehr-Mockers, facteur d'orgues à Seltz, et sa construction achevée le [20],[21],[22],[23].

    La crèche de Noël d'Orschwihr

    La crèche de Noël de l’église Saint-Nicolas d’Orschwihr a été achetée en 1919 auprès de la menuiserie Adolf Eydt de Elzach en Forêt Noire en Allemagne par le Curé Ernest Meyer (curé à Orschwihr de 1917 à 1954). Les menuisiers des Ets Eydt ont réalisé l'étable de la crèche. Les statues de très grandes qualités artistiques qui ornent la crèche sont en bois. Elles ont été réalisées par des sculpteurs de la Sté Insam et Prinoth de Sankt Ulrich dans le Tyrol du Sud. La crèche sera montée pour la première fois pour Noël 1920.[réf. nécessaire]

    Chapelle Saint-Wolfgang

    Située route de Soultzmatt, la version actuelle de la chapelle remonte à 1850. Elle est citée depuis 1394. Elle est vendue en 1793 comme bien national, puis détruite en 1798 et rebâtie au même emplacement en 1850. La paroisse érigea cette chapelle sous le vocable de la Sainte-Croix, puis plus tard sous saint-Wolfgang, patron des vignerons. Les deux statues de saint Nicolas et de saint Urbain (XVIe siècle) qui s'y trouvaient autrefois sont depuis conservées au presbytère[24],[25].

    Chapelle des Sorcières

    La chapelle du Bollenberg ou chapelle Sainte-Croix appelée aussi chapelle Sainte-Appolonia ou simplement chapelle des Sorcières (ici "Haksekapel")[26],[27]. L'endroit est en effet, selon la tradition, un lieu de prédilection pour le sabbat des sorcières de la région[28] .

    Chaire

    Chaire à prêcher[29].

    La Vierge à l'enfant (XVIIIe siècle)

    Statue "Vierge à l'Enfant"[30].

    Monument funéraire de l'abbé François Xavier Schall

    Monument funéraire érigé en 1807[31].

    Maisons vigneronnes

    Le service régional de l'inventaire a procédé à un inventaire complet des maisons de vignerons[32].

    Ancien presbytère

    Maison-presbytère, Le mur de clôture et la porte datée 1564 [33],[34].

    Croix de chemin

    Lors de la rénovation de l'église en 1978, le curé François Juncker enlèvement beaucoup d'ornements et tableaux dans l'église ainsi que les tableaux du chemin de croix. Ses tableaux sont maintenant stocké dans le clocher.

    Les châteaux forts

    Deux châteaux forts existaient autrefois sur la banc de la commune[35],[36],[37].

    Château d'Orschwihr

    Il existait un manoir dont l'origine remonte au XVe siècle. Les Andlau le tenait en fief jusqu'en 1524, puis cédèrent l'ensemble à Jean de Rixheim une famille noble. Vingt ans plus tard cette propriété est cédée aux nobles d'Erdmannsdorf, puis parviendra par mariage aux Truchsess de Rheinfelden. En 1722, le château est incendié, puis reconstruit. Après sa reconstruction il passa entre les mains de Griset. Son dernier propriétaire fut François Willemann, conseiller à la chambre de compte des évêques, qui renonça en faveur de son seigneur à ses droits. Vendu pendant la Révolution comme bien national, le château et ses dépendances furent transformés en exploitation agricole. Victime d'un nouvel incendie en 1934, il ne subsiste plus de nos jours que des anciennes fortifications, les restes de deux tours et un pont en pierre enjambant l'ancien fossé[38].

    Château du Stettenberg

    Le vieux château connu sous le nom de Stettenberg était situé en dehors du village dans le vallon du Quirenbach. Il remonte probablement au XIIe siècle. Au XIIIe siècle, il appartenait à la branche bâloise de la famille Mönsch. En 1375, il fut pillé par les bandes d'Enguerrand de Coucy, alors qu'il était passé entre les mains de Hermann de Schœnau. Il se composait d'un donjon carré aux murs habillés d'un parement à bossage récupéré ensuite par les habitants des lieux. Des bâtiments annexes s'y trouvaient à proximité. Depuis cette date, le château resta en ruine. Les ruines sont acquises en 1522 par le village[39],[40].

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Le nom de Bollenberg, peut-être ancien lieu de sacrifices druidiques, proviendrait du dieu romain Apollon ; il aurait existé autrefois un temple dédié à Apollon sur la colline. Le lieu a également été considéré comme fréquenté par des dames blanches et des sorcières. (Mentionné par Auguste Stoeber, Légendes d'Alsace, collecte choisie et présentée par Françoise Morvan, Éd. Ouest-France, 2010 (ISBN 978-2-7373-4850-1)).
    2. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Le pressoir à fleur
    11. « Village », notice no IA00055105, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    12. « Archives Départementales du Haut-Rhin »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    13. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    14. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    19. Saint Nicolas et ses morts...
    20. Notice no PM68000919, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue
    21. Notice no PM68000917, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune
    22. Notice no PM68000917, base Palissy, ministère français de la Culture église catholique Saint-Nicolas
    23. L'orgue Stiehr-Mockers d'Orschwihr
    24. « Chapelle Saint-Wolfgang », notice no IA00054888, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. Petite chapelle rue du Paradis : chapelle Saint-Wolfgang
    26. La chapelle des Sorcières
    27. « Chapelle Sainte-Croix », notice no IA00054890, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. abbé C. Braun, Légendes du Florival, ou la Mythologie allemande dans une vallée d'Alsace, Guebwiller, J. B. Jung, (lire en ligne), p. 171.
    29. Notice no IM68000515, base Palissy, ministère français de la Culture Chaire à prêcher
    30. Notice no IM68000524, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : Vierge à l'Enfant
    31. Notice no IM68000507, base Palissy, ministère français de la Culture Monument funéraire de Franz-Xavier Schall
    32. Inventaire des Maisons de vignerons
    33. « Maison », notice no IA00054999, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Presbytère », notice no IA00054883, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Ancien château », notice no PA00085576, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Dolmen de la Gastée », notice no PA00081562, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Château fort de Stettenberg dit Altschloss », notice no IA00054887, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Le château d'Orschwihr
    39. Le château de Stettenberg, (ou Altschloss)
    40. Le château du Stettenberg, victime de la guerre de cent ans
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