Ormoy (Essonne)

Ormoy[1] (prononcé [ɔʁmwa] ) est une commune française située à trente-deux kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Ormoy.

Ormoy

L’hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Évry
Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Essonne
Maire
Mandat
Jacques Gombault
2020-2026
Code postal 91540
Code commune 91468
Démographie
Gentilé Ulméens
Population
municipale
2 076 hab. (2018 )
Densité 1 104 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 34″ nord, 2° 26′ 48″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 88 m
Superficie 1,88 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Mennecy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Ormoy
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Ormoy
Géolocalisation sur la carte : France
Ormoy
Géolocalisation sur la carte : France
Ormoy
Liens
Site web ormoy.fr

    Ses habitants sont appelés les Ulméens[2].

    Géographie

    Situation

    Position d’Ormoy en Essonne.
    Occupation des sols.
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 37,4 % 70,61
    Espace urbain non construit 9,0 % 17,00
    Espace rural 53,6 % 101,10
    Source : Iaurif[3]

    Ormoy est située à trente-deux kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame[4], point zéro des routes de France, sept kilomètres au sud d'Évry[5], quatre kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes[6], douze kilomètres au nord-est de La Ferté-Alais[7], quinze kilomètres à l'est d'Arpajon[8], quinze kilomètres au sud-est de Montlhéry[9], dix-neuf kilomètres au nord de Milly-la-Forêt[10], vingt-deux kilomètres au sud-est de Palaiseau[11], vingt-sept kilomètres au nord-est d'Étampes[12], trente-trois kilomètres au nord-est de Dourdan[13]. Elle est par ailleurs située à soixante-douze kilomètres au sud-est d'Ormoy en Eure-et-Loir[14], cent huit kilomètres au nord-ouest d'Ormoy dans l'Yonne[15] et deux cent soixante-douze kilomètres au nord-ouest d'Ormoy dans la Haute-Saône[16].

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière l'Essonne.

    Communes limitrophes

    Climat

    Ormoy est située en Île-de-France, elle bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et aux étés doux, en étant régulièrement arrosée sur l'ensemble de l'année. En moyenne brute annuelle, la température s'établit à 10,8 °C, avec une moyenne maximale de 15,2 °C et une moyenne minimale à 6,4 °C. Les températures moyennes mensuelles extrêmes relevées sont de 24,5 °C en juillet au maximum et 0,7 °C en janvier au minimum, mais les records enregistrés s'établissent à 38,2 °C le et −19,6 °C le . Du fait de la moindre densité urbaine entre Paris et sa banlieue, une différence négative de un à deux degrés Celsius se fait sentir, surtout en début de journée. L'ensoleillement est comparable à la moyenne des régions du nord de la Loire avec un total de 1 798 heures par an, une moyenne haute à deux cent quarante heures en juillet et basse à cinquante trois heures en décembre. Les précipitations sont également réparties sur l'année, avec un total annuel de 598,3 millimètres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.

    Données climatiques à Ormoy.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,7 1 2,8 4,8 8,3 11,1 13 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4
    Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8
    Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,6 11,4 14,6 18,6 21,8 24,5 24,2 20,8 15,8 9,9 6,8 15,2
    Ensoleillement (h) 59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798
    Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[17],[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Ormoy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[22] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

    Toponymie

    Anciennement Gormeium, Ulmetum, Ulmeium, Urmeium[27], Urmeia, Ormetum, Hurmeium[28][Quand ?], Ulmaya en 1352, Ormeyo au XIIIe siècle[29].

    La commune fut créée en 1793 sous le nom d'Ormoy-lès-Essonnes, le Bulletin des lois de 1801 introduisit l'orthographe actuelle[30].

    Ormoy, du latin ulmus, signifie « lieu planté d'ormes »[31].

    Histoire

    Moyen Âge

    Des témoignages écrits attestent que village d'Ormoy s'est développé à l'époque carolingienne, au cours du Haut Moyen Âge[32],[33]. Il s'établit définitivement autour de son église, qui date du XIIe siècle[34], et devient un village fortifié pendant le Moyen Âge central[32]. D'anciens plans du village, datant de 1764, font état de la présence de deux portes de fortifications aux extrémités est et ouest de la rue principale ainsi que de la présence d'un ancien donjon[33].

    XVIe siècle

    Blason de Germain de Valenciennes[35].

    Au début du XVIe siècle, Germain de Valenciennes, écuyer et essayeur général de la Chambre des monnaies, est seigneur des fiefs d'Ormoy, de Villabé et de Coupeau (un fief de Villabé, écrit aussi Coupeaux ou Couppau)[36],[37]. Il avait acheté au roi la justice de ces lieux. Mais, à la même époque, sous François Ier, le seigneur engagiste de Corbeil fait des poursuites pour la lui reprendre[37]. Germain de Valenciennes possédait aussi à Paris l'hôtel dit de Petite-Bretagne que son père, Jean de Valenciennes, avait acheté avant 1449[38].

    Germain de Valenciennes est mort en 1520. Il a été inhumé dans l'ancienne église Saint-Thomas-du-Louvre, située à proximité de l'hôtel de la Petite-Bretagne, aux côtés du corps de sa première femme, Antoinette Budé, petite fille de Dreux Budé. Près du porche de l'église, on pouvait lire l’épitaphe de Germain de Valenciennes[39] :

    «  Cy-gist noble homme Germain de Valenciennes, en son vivant escuyer, (Sr) d'Ormoy, Coupeaulx et Villabé, et général essayeur du Roi, nostre sire, en sa chambre des monnoyes à Paris ; qui trespassa l'an 1520, le mardi 15e mars.

    Et aussy gist noble damoiselle Anthoinette Budé, jadis sa première femme, laquelle décéda le mardy 21e d'avril 15..., après Pasques.  »

    À la mort de Germain de Valenciennes, l'hôtel de la Petite-Bretagne devient la possession de son fils Jean, de 1530 à 1565, puis d'Anne, Claude et Germain II de Valenciennes, les enfants de Jean de Valenciennes. L’hôtel de Petite-Bretagne est alors nommé hôtel de Coupeau car Germain II de Valenciennes est aussi seigneur d'Ormoy et de Coupeau.

    En 1551, Anne de Valenciennes, fille de Pierre de Valenciennes, un descendant de Germain de Valenciennces, notaire et Secrétaire du roi et seigneur d'Ormoy, épouse Louis Budé, écuyer, seigneur de Montgeron et descendant lui aussi de Dreux Budé[40]. Le contrat de mariage indique que Pierre donne à sa fille des terres du terroir d'Ormoy, près de Corbeil, et aux environs[41]. Plus tard, dans un acte du daté du 22 avril 1573, Germain II de Valenciennes, écuyer, seigneur d'Ormoy et des Copeaux en partie, fait une donation à Claude de Troye, écuyer d'écurie du Roi et du duc de Nemours, son cousin issu de germain et à ses enfants des terres et seigneuries d'Ormoy (près de Corbeil), des Copeaux (près de Villabé), de Villoison (près de Villabé), d'Écharcon et de Montceaux (près de Corbeil), avec les droits qui y sont attachés[42]. Ainsi, à la fin du XVIe siècle, les terres d'Ormoy sont la propriété de différents descendants de Germain de Valenciennes et de Dreux Budé.

    XVIIe siècle

    Nicolas V de Neufville de Villeroy, 1er duc de Villeroy, possesseur de la terre d'Ormoy.

    La seigneurie de Villeroy, dont les terres se situaient sur la rive droite de l'Essonne entre Fontenay-le-Vicomte et Mennecy, est devenue la possession de Nicolas III de Neufville de Villeroy, Secrétaire d'État, vers 1580. Villeroy était au Moyen Âge une cure issue d'un démembrement de celle de Villabé détenue par les abbesses de l’abbaye de Yerres. Nicolas III de Neufville détient les trois hautes justices des villages de Villeroy, Fontenay-le-Vicomte et Mennecy. Vers 1597, il étend sa possession sur toutes les terres de la cure de Villeroy qui cesse d'être une paroisse[43]. La seigneurie Villeroy est érigée en châtellenie en septembre 1610 en faveur de Nicolas IV de Neufville de Villeroy ; le fief d'Ormoy y est rattaché en . Puis, en janvier 1615, la seigneurie et châtellenie de Villeroy est érigée en marquisat.

    En septembre 1651, le roi Louis XIV érige le marquisat de Villeroy en duché-pairie en faveur du maréchal de France Nicolas V de Neufville de Villeroy, en récompense des services rendus au roi et à sa mère Anne d'Autriche, notamment lorsqu'il était gouverneur du jeune Louis. Les fiefs et paroisses environnants de Ballancourt, Chevannes et Villabé sont rattachés au duché de Villeroy en 1655. Ormoy devient ainsi une possession des ducs de Villeroy jusqu'à la Révolution. Le dernier duc, Gabriel Louis François de Neufville de Villeroy, est guillotiné le 28 avril 1794.

    XVIIIe siècle

    Jusqu'au milieu XVIIIe siècle, les villages d'Ormoy et de Villabé ne forment qu'une seule et même paroisse nommée Ormoy-Villabé. Ces deux villages sont séparés en deux paroisses distinctes par l’arrêt du Conseil du roi du 16 octobre 1759 pour la perception de la taille[44]. Les deux paroisses appartenant ensemble à la subdélégation de Corbeil dans la généralité de Paris[45].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].

    En 2018, la commune comptait 2 076 habitants[Note 3], en augmentation de 6,63 % par rapport à 2013 (Essonne : +3,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    190208185168186229257236247
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    210228246260250271256273316
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    302271268239258303313287335
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3934487087159041 2411 6851 7461 929
    2017 2018 - - - - - - -
    2 0462 076-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Ormoy en 2009 en pourcentages[49].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,6 
    2,6 
    75 à 89 ans
    3,3 
    8,4 
    60 à 74 ans
    8,0 
    19,3 
    45 à 59 ans
    17,5 
    26,9 
    30 à 44 ans
    27,0 
    17,4 
    15 à 29 ans
    17,5 
    25,3 
    0 à 14 ans
    26,1 
    Pyramide des âges en Essonne en 2009 en pourcentages[50].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,8 
    4,4 
    75 à 89 ans
    6,7 
    11,3 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,9 
    45 à 59 ans
    20,0 
    21,9 
    30 à 44 ans
    21,4 
    20,6 
    15 à 29 ans
    19,2 
    21,7 
    0 à 14 ans
    20,0 

    Politique et administration

    Politique locale

    La commune d'Ormoy est rattachée au canton de Mennecy, représenté par les conseillers départementaux Patrick Imbert (UMP) et Caroline Parâtre (UMP), à l'arrondissement d’Évry et à la deuxième circonscription de l'Essonne, représentée par le député Franck Marlin (UMP).

    L'Insee attribue à la commune le code 91 2 16 468[51]. La commune d'Ormoy est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 104 684. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[52].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[53]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Inconnue Etienne René Ravot    
    Raymond Gombault    
    Serge Germain    
    Jacques Maraninchi    
    Jean-Michel Houy[54]    
    en cours Jacques Gombault DVD Ingénieur[55]
    Vice-président de la CC du Val d'Essonne (2002 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Tendances et résultats politiques

    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

    Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

    Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

    Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

    Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

    Référendums :

    Enseignement

    Les élèves d'Ormoy sont rattachés à l'académie de Versailles. La commune dispose sur son territoire de l'école maternelle de l'Aune et de l'école élémentaire Louis Pasteur[71].

    Jumelages

    La commune d'Ormoy n'a développé aucune association de jumelage.

    Vie quotidienne à Ormoy

    Lieux de culte

    L'église Saint-Jacques.

    La paroisse catholique d'Ormoy est rattachée au secteur pastoral de La Ferté-Alais-Val d'Essonne et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Jacques[72].

    Médias

    L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

    Économie

    Emplois, revenus et niveau de vie

    En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 22 628 , ce qui plaçait la commune au 1 108e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent troisième rang départemental[73].

    Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
      Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d’entreprise
    Cadres et professions
    intellectuelles supérieures
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    Ormoy - - - - - -
    Zone d’emploi d’Évry 0,3 % 4,0 % 20,2 % 29,6 % 28,2 % 17,7 %
    Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
    Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
      Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
    entreprises
    Services aux
    particuliers
    Ormoy - - - - - -
    Zone d’emploi d’Évry 0,9 % 13,5 % 5,4 % 14,6 % 16,2 % 6,9 %
    Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
    Sources : Insee[74],[75],[76]

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine environnemental

    Les berges de l'Essonne au nord et le bois qui les borde ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil départemental de l'Essonne[77].

    Patrimoine architectural

    Héraldique

    Les armes d'Ormoy se blasonnent : D'azur au chevron d'or accompagné de trois croisettes ancrées du même, au chef ondé aussi d'azur soutenu d'un filet ondé d'argent chargé de trois coquilles du même.[78]

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Ormoy », p. 615–616

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Fiche d'Ormoy dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 06/08/2012.
    2. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 08/04/2009.
    3. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 11/11/2010.
    4. Orthodromie entre Ormoy et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    5. Orthodromie entre Ormoy et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    6. Orthodromie entre Ormoy et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    7. Orthodromie entre Ormoy et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    8. Orthodromie entre Ormoy et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    9. Orthodromie entre Ormoy et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    10. Orthodromie entre Ormoy et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    11. Orthodromie entre Ormoy et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    12. Orthodromie entre Ormoy et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    13. Orthodromie entre Ormoy et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    14. Orthodromie entre Ormoy (91) et Ormoy (28) sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    15. Orthodromie entre Ormoy (91) et Ormoy (89) sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    16. Orthodromie entre Ormoy (91) et Ormoy (70) sur le site lion1906.com Consulté le 05/11/2012.
    17. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur le site de lameteo.org (consulté le ).
    18. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    23. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. abbé Gauthier, Pouillé du diocèse de Versailles, page 19.[Où ?].
    28. Hippolyte Cocheris, « Anciens noms des communes de Seine-et-Oise », Corpus Etampois, (lire en ligne, consulté le ).
    29. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 1254
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux en France : essai de toponymie, Errance, coll. « Hesperides », , 340 p. (ISBN 978-2-87772-371-8 et 2-87772-371-2), p. 212.
    32. Daniel Delattre, L'Essonne, les 196 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 224 p. (ISBN 978-2-36464-040-5), p. 143.
    33. M. Leroy, « Monographie d'Ormoy », sur le site internet des archives départementales de l'Essonne, circa 1899 (consulté le ).
    34. « Église d'Ormoy », notice no PA00087983, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 13 avril 2015.
    35. Revue nobiliaire, héraldique et biographique, Paris, J. B. Dumoulin, (ISSN 1280-4908, notice BnF no FRBNF32860925, lire en ligne), p. 27 (note 1: « de sinople, semé de billettes d'or, au lion de même, brochant sur le tout »).
    36. Adolphe Berty, Topographie historique du vieux Paris., Paris, Imprimerie impériale, puis nationale, 1866-1897 (notice BnF no FRBNF30098605, lire en ligne), p. 322.
    37. L'Abbé Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris. : Paroisse d'Ormoy, t. IV, Paris, Librairie de Féchoz et Letouzey, (lire en ligne), p. 256-260.
    38. Adolphe Berty et (continué par) Henri Legrand, Topographie historique du vieux Paris. Région du Louvre et des Tuileries., Paris, Imprimerie nationale, (notice BnF no FRBNF30098606, lire en ligne), p. 80.
    39. Adolphe Berty et Henri Legrand, op. cit., p. 101, lire en ligne
    40. Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. 3, Paris, (lire en ligne), p. 43.
    41. Émile Campardon et Alexandre Tuetey, Inventaire des registres des insinuations du Châtelet de Paris, règnes de François Ier et de Henri II, Paris, Imprimerie nationale, (notice BnF no FRBNF31902209, lire en ligne), p. 508 (acte 4033).
    42. « Châtelet de Paris. Insinuations », sur portail internet des Archives nationales, (consulté le ).
    43. L'Abbé Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris. : Paroisse de Villeroy, t. IV, Paris, Librairie de Féchoz et Letouzey, (lire en ligne), p. 244-243.
    44. Auger, Traité sur les tailles et les tribunaux qui connoissent de cette imposition, t. 3, Paris, Barrois, (notice BnF no FRBNF30038038, lire en ligne), p. 1598.
    45. Auger, Traité sur les tailles et les tribunaux qui connoissent de cette imposition, t. 1, Paris, Barrois, (notice BnF no FRBNF30038038, lire en ligne), p. XCVII.
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    49. Pyramide des âges à Ormoy en 2009 sur le site de l'Insee. Consulté le 06/08/2012.
    50. Pyramide des âges de l’Essonne en 2008 sur le site de l’Insee. Consulté le 07/07/2012.
    51. Fiche communale sur le site de l'Insee. Consulté le 12/01/2010.
    52. Fiche entreprise de la commune d'Ormoy sur le site verif.com Consulté le 20/04/2011.
    53. Liste des maires successifs sur la base de données mairesgenweb.org (consulté le 8 juin 2009)
    54. Le SIEP Val d'Essonne : l'action des élus de l'Essonne face aux propositions de l'État, p. 3, 1991.
    55. Fiche de la commune sur le site du conseil général de l'Essonne (consulté le 11 mai 2010)
    56. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
    57. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
    58. Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.
    59. Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
    60. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
    61. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2012.
    62. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
    63. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
    64. Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/10/2010.
    65. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
    66. Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/04/2010.
    67. Résultats de l'élection cantonale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
    68. Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 24/01/2013.
    69. Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 16/08/2009.
    70. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/08/2009.
    71. Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 27/09/2010.
    72. Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 25/11/2009.
    73. « Résumé statistique national sur le site de l’Insee. »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) Consulté le 26/10/2009.
    74. « %5CCOM%5CDL_COM91468.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) Consulté le 20/06/2010.
    75. « %5CDL_ZE19901147.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi d'Évry sur le site de l'Insee. »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) Consulté le 20/05/2010.
    76. Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
    77. Carte des ENS d'Ormoy sur le site du conseil départemental de l'Essonne. Consulté le 03/2019.
    78. Blasonnement sur le site de Gaso, la banque du blason. Consulté le 17/09/2009.
    • Portail de l’Essonne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.