Nonac

Nonac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Nonac

L'église de Nonac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Maguy Blanchard
2020-2026
Code postal 16190
Code commune 16246
Démographie
Gentilé Nonacais
Population
municipale
271 hab. (2018 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 17″ nord, 0° 03′ 25″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 178 m
Superficie 20,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Nonac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Nonac
Géolocalisation sur la carte : France
Nonac
Géolocalisation sur la carte : France
Nonac
Liens
Site web www.nonac.fr

    Ses habitants s'appellent les Nonacais et les Nonacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Nonac est une petite commune rurale du Sud Charente, située km à l'ouest de Montmoreau, chef-lieu de son canton, à km au sud-est de Blanzac et à 27 km au sud d'Angoulême.

    Culture du maïs au long de la D 141, au nord du bourg.

    Le bourg est aussi à 16 km au nord de Chalais, à 16 km au sud de Mouthiers-sur-Boëme et à 17 km à l'est de Barbezieux[2].

    La route principale est la D 10, qui va d'Aubeterre à Cognac, et plus localement de Montmoreau à Blanzac, mais elle passe à km au nord-est du bourg. Celui-ci est desservi par les D 74 et D 141. La D 24 de Montmoreau à Barbezieux passe au sud de la commune et la D 7 de Brossac et Chalais à Blanzac et Angoulême passe à l'ouest[3].

    La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    Comme dans de nombreuses communes charentaises, Nonac possède un habitat dispersé et compte de nombreuses fermes formant de petits hameaux : Chez Mancière, le Merle, Chez Texier à l'ouest, Lavidaud, le Sablon au sud, Chez Grelet, la Chassagne, Chez Revers à l'est, Chez Bellac et la Sicile au nord, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune est située dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du Crétacé supérieur, comme toute la moitié sud du département de la Charente.

    On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la surface communale (Maastrichtien au sud-est). Les sommets sur les bordures nord, sud-est et sud de la commune sont recouverts de dépôts du Tertiaire (Lutétien et Cuisien) composés de galets, sables et argiles, propices aux bois de châtaigniers.

    Les sommets et certains flancs de vallées sont occupés par des formations de recouvrement et colluvions issues de la roche en place et datant du Quaternaire (Pléistocène), principalement au nord du territoire communal. La vallée de l'Arce est occupée par des alluvions récentes[4],[5],[6].

    Le territoire communal est assez vallonné et compose la Champagne charentaise[7], et les coteaux du Montmorélien. Son point culminant est à une altitude de 178 m, situé sur la limite nord à Bellevue, mais les crêtes entourant la commune dépassent souvent les 160 m. Le point le plus bas est à 73 m, situé en limite sud-ouest le long de l'Arce. Le bourg, construit sur une hauteur dominant la vallée de l'Arce, est à 130 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune est parcourue d'est en ouest par l'Arce, affluent du , sous-affluent de la Charente. La limite sud-est de la commune se trouve sur la ligne de partage des eaux entre Charente et Garonne.

    L'Arce (orthographié aussi autrefois l'Herse[8]) compte de petits affluents qui prennent naissance dans la commune, comme le ruisseau de l'Étang Limot sur sa rive gauche, ou le ruisseau des Marceaux sur sa rive droite et qui est la limite de commune au nord-ouest.

    La commune est également traversée par le ruisseau du Plain et le ruisseau de la Font Désirade.

    Nonac compte aussi de nombreux petits étangs comme l'Étang Limot, l'Étang de la Croix, l'Étang du Randeau ou les étangs de chez Rigallaud, et quelques sources et fontaines comme la fontaine des Marands à l'est et la fontaine de la Coudre à l'ouest[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Nonac est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,3 %), zones agricoles hétérogènes (26,4 %), forêts (21,7 %), cultures permanentes (3,5 %), prairies (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Nonaco au XIIIe siècle[15].

    L'origine du nom de Nonac remonterait à un nom de personne gallo-romain Nonnus auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Nonnacum, « domaine de Nonnus »[16],[17].

    Histoire

    Le château de la Léotardie, un kilomètre à l'est du bourg, aurait été construit au XIIIe siècle par Hélie Léotard, archidiacre de Bourges, qui était un des principaux conseillers d'Hugues le Brun, comte d'Angoulême et mari d'Isabelle Taillefer, ex-reine d'Angleterre.

    Lors des guerres de religion, un des possesseurs de la Léotardie, le chevalier de Nonac, se fit remarquer par sa haine contre les protestants.

    Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par deux moulins à blé sur l'Arce : le moulin de Bellac et le moulin du Merle[8].

    Administration

    Mairie de Nonac.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 1989 Fernand Thillard    
    1989 2008 Jean-Paul Pérot    
    2008, réélue en 2014 2020 Martine Gallais SE Animatrice
    2020 En cours Maguy Blanchard    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2018, la commune comptait 271 habitants[Note 2], en diminution de 10,56 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 1371 2121 1351 1321 1341 0441 0011 015973
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    974904840849815799720645651
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    649651615537533486474461415
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    414389327290315308307306303
    2018 - - - - - - - -
    271--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Nonac en 2007 en pourcentage[22].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    0,7 
    9,4 
    75 à 89 ans
    7,4 
    17,7 
    60 à 74 ans
    22,8 
    21,8 
    45 à 59 ans
    22,8 
    20,9 
    30 à 44 ans
    24,3 
    13,6 
    15 à 29 ans
    8,8 
    15,9 
    0 à 14 ans
    13,2 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[23].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Les entreprises locales sont dans les secteurs de la culture et la production animale, les activités immobilières, les travaux de construction spécialisés, la fabrication de meubles ainsi que le commerce et la réparation d'automobiles et de motocycles[24].

    Appellations d'origine contrôlée

    Comme une grande partie du département, la commune de Nonac est située sur le territoire des appellations d'origine contrôlée (AOC) pour le beurre Charentes-Poitou, le pineau des Charentes blanc, rosé et rouge, le cognac et l'Esprit de Cognac[25]. La commune est classée dans les Fins Bois[26].

    Indications géographiques protégées

    Nonac se trouve aussi dans le périmètre des indications géographiques protégées (IGP) pour le veau du Limousin, l'agneau de Poitou-Charentes, le porc du Limousin, le jambon de Bayonne, ainsi que les vins de pays charentais blanc, rosé et rouge[25].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école était en 2012 un RPI entre Deviat et Nonac. Deviat accueillait l'école élémentaire et Nonac l'école primaire, qui comporte une classe de maternelle et une classe d'élémentaire[27]. Ces deux écoles ont respectivement fermé en et en .

    Le secteur des écoles[28] comme celui du collège est Montmoreau-Saint-Cybard[27].

    Lieux et monuments

    Église Saint-Hilaire de Nonac

    L'église paroissiale Saint-Hilaire romane date du XIIe siècle. Elle a été remaniée par la suite (clocher, nef). Elle possède une crypte et des peintures murales exceptionnelles : crucifixion du XIVe siècle remarquablement bien conservée, dans la crypte, et scènes de la vie du Christ au XVIe siècle, dans le chœur. La cloche qui date de 1661, fêlée, a bénéficié en 2013 d'une restauration[29]. La voûte a également été restaurée en 2013. L'église est classée monument historique depuis le [30]. Elle appartient à la commune.

    L'église Saint-Hilaire se distingue par son haut clocher qui domine le bourg. Il s'agit d'une des rares églises où les peintures murales médiévales ont été conservées. Soumis à l'autorité de l'évêque de Saintes, l'église a été édifiée dans la seconde moitié du XIIe siècle. Elle n'a pas été épargnée par les nombreux conflits qui éclatèrent dans la région, ni par l'effet du temps. Ainsi elle a été de nombreuses fois restaurée, notamment au XIXe siècle : voûtement en brique en 1862, reconstruction du clocher en 1861 et réfection de la flèche en 1900.

    L'enveloppe architecturale, plutôt sobre, de l'édifice contraste avec le décor intérieur. L'église est en effet ornée de nombreuses scènes peintes, en partie effacées mais qui permettent de se faire une idée de la richesse décorative d'origine. La scène la plus étonnante est la Crucifixion, visible dans la crypte, que le visiteur découvre après avoir franchi une trappe et emprunté un petit escalier.

    Le monument roman a adopté le traditionnel plan en croix latine : une nef unique, un transept à absidiole et un chevet en hémicycle. La nef, sans doute voûtée en pierre à l'origine, est aujourd'hui couverte de briques. La croisée du transept possède une coupole sur pendentifs et le chevet est couvert en cul-de-four. Les murs du sanctuaire sont ornés d'une élégante arcature qui met en valeur cet espace et contraste avec la sobriété des autres parties de l'édifice. De petits passages pratiqués dans les bras du transept permettent de faire communiquer la nef et le sanctuaire sans avoir à franchir l'espace de la croisée du transept. Ces mêmes passages qui se retrouvent non loin d'ici à Puypéroux, Pérignac et Conzac constituent une curiosité. Sous le sanctuaire, prend place une petite crypte de plan rectangulaire.

    L'église possède un bel ensemble de peintures murales :

    • Sur la voûte du sanctuaire : le décor du sanctuaire est entièrement dédié à la vie du Christ. De gauche à droite, plus ou moins abîmées, figurent en bandeau : l'Annonciation, la Visitation, la Nativité, l'Adoration des mages, la Crucifixion, la flagellation. Au centre de la voûte, en partie effacé, se trouve le Christ en gloire "entouré des quatre symboles des évangélistes l’ange de Matthieu, l'aigle de Jean, le bœuf de Luc et le lion de Marc. Le traitement stylistique et iconographique permet de dater ces peintures de la fin du XIIIe siècle.
    • Dans la crypte : sur le chevet plat de la crypte, à portée du regard, se déploie une autre scène de Crucifixion. Sur un fond parsemé de fleurs, cinq personnages sont représentés : le Christ, la Vierge Marie, saint Jean et les deux larrons (le bon et le mauvais, hirsute, accompagné d'un démon). Contrairement aux peintures du sanctuaire dans lesquelles les personnages sont traités avec hiératisme et majesté, ici, les protagonistes s'humanisent et leurs sentiments, notamment la souffrance, deviennent visibles : le Christ crucifié par trois clous est figuré les yeux fermés, agonisant ; le chagrin de la Vierge est perceptible. Ce pathétisme est caractéristique de la période gothique. Un indice stylistique permet de dater cette peinture du XIVe siècle : la présence de cernes noires qui bordent les personnages. Cette Crucifixion n’est pas l'œuvre d'un maître mais plutôt d'un artiste populaire. Néanmoins, elle n'en demeure pas moins émouvante. Le classement de la scène en 1920 et son relevé en 1933 afin de figurer au musée des Monuments français, à la Cité de l'architecture et du patrimoine de Chaillot à Paris, démontrent l'intérêt de cette œuvre.

    Abbaye du Bournet

    • L'ancienne abbaye du Bournet est en limite de commune, implantée dans celle de Courgeac.

    Patrimoine civil

    Le vieux puits.

    Situé à km à l'est du bourg, la Léotardie est l'un des plus beaux châteaux de la Charente[31]. Il fut un ensemble fermé et fortifié autour d'une cour, construit sous Hélie Léotard, archidiacre de Bourges, au XIIIe siècle, attaché à la maison d'Hugues le Brun, comte d'Angoulême. Il a été agrandi et remanié les siècles suivants. Il est inscrit monument historique en 1944[32] pour ses façades et ses toitures. Il appartient au domaine privé.

    Catastrophes naturelles et risques répertoriés

    Parmi les risques répertoriés sur la commune, on a les feux de forêt et le risque industriel.

    La commune a subi les catastrophes naturelles suivantes : les mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols du 1er juillet au ainsi que des inondations et coulées de boue du 25 au (tempête Martin) et du 8 au [33].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
    7. Michel Vigneaux, Aquitaine occidentale, Paris, Masson, , 223 p. (ISBN 2-225-41118-2, lire en ligne), p. 48, 79
    8. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 263
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 192
    16. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 499.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Evolution et structure de la population à Nonac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    23. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    24. Secteurs d'activités à Nonac, consulté le 9 novembre 2013
    25. « IGP/AOC par commune »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) sur le site de l'INAO, consulté le 24 novembre 2013.
    26. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    27. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    28. « Tude et Dronne, les écoles », sur www.tude-et-dronne.fr (consulté le )
    29. Restauration de la cloche en 2013, article Sud Ouest du 19 septembre 2013
    30. « Église de Nonac », notice no PA00104447, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. Robert Dexant, Châteaux de Charente, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 30 p., p. 18
    32. « Château de la Léotardie », notice no PA00104446, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. Annuaire des mairies, Nonac

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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