Montreuil-sur-Thérain

Montreuil-sur-Thérain est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

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Pour les articles homonymes, voir Thérain (homonymie).

Montreuil-sur-Thérain

Rue de St-Antoine à Montreuil.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes Thelloise
Maire
Mandat
Alain Arnold
2020-2026
Code postal 60134
Code commune 60426
Démographie
Gentilé Montreuillois
Population
municipale
243 hab. (2018 )
Densité 165 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 52″ nord, 2° 11′ 39″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 147 m
Superficie 1,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Montreuil-sur-Thérain
Géolocalisation sur la carte : Oise
Montreuil-sur-Thérain
Géolocalisation sur la carte : France
Montreuil-sur-Thérain
Géolocalisation sur la carte : France
Montreuil-sur-Thérain

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Commune bâtie à 81 mètres du niveau de la mer, le point culminant de la commune, 142 m, se trouve aux carrières de Novalles. Le village compte environ 20 % de sa superficie en bois[1].

    Le village est desservi par la gare de Montreuil-sur-Thérain sur la ligne de Creil à Beauvais.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Montreuil-sur-Thérain[2]
    Bailleul-sur-Thérain
    Warluis
    Villers-Saint-Sépulcre

    Hydrographie

    La commune est limitée à l'est par le Thérain et ses étangs.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 661 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[10] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Montreuil-sur-Thérain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,7 %), terres arables (20 %), eaux continentales[Note 6] (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), mines, décharges et chantiers (1 %), prairies (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le lieu s'est appelé Monstroel-de-l'tertre en 1142, et, à la même époque Monstrolium super Tharam, rappelant le caractère du village édifié en hauteur au-dessus du Thérain[1].

    Histoire

    Les dîmes dues par les villageois étaient réparties entre l'abbaye Saint-Germer-de-Fly et la collégiale Notre-Dame-du-Châtel de Beauvais[1].

    L'exploitation de la carrière de Novalles, dont les pierres servirent entre autres à la construction du château de Merlemont, a longtemps assuré la prospérité du village[1].

    Rattachée à Villers-Saint-Sépulcre en 1825, elle redevint commune après réclamation de ses habitants par ordonnance royale en 1835[22]. Une statistique de 1831 indique qu'à cette date, il y avait 115 habitants, 37 maisons (4 couvertes en chaume, 9 en tuile et chaume et 24 en chaume). 24 enfants fréquentaient l'école, on comptait 58 illettrés.

    Le village comptait en 1900 trois cafés-épiceries[1].

    Politique et administration

    L'ancienne communauté de communes du pays de Thelle dans le département de l'Oise.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Noailles[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Chaumont-en-Vexin.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[23], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[24],[25].

    La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [26].

    Liste des maires

    Mairie de Montreuil-sur-Thérain.
    Liste des maires successifs[1]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      2001 Pierre Doligé    
    mars 2001[27] En cours
    (au 23 novembre 2016)
    Alain Arnold   Ouvrier qualifié retraité[28]
    Réélu pour le mandat 2014-2020[29]

    Population

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2018, la commune comptait 243 habitants[Note 7], en diminution de 1,62 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    122119113114115117126119120
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    129128110112104106105107119
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1078690717368677377
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    10089115145182220226231247
    2018 - - - - - - - -
    243--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (14,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,2 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,1 %, 15 à 29 ans = 9,5 %, 30 à 44 ans = 23,3 %, 45 à 59 ans = 32,8 %, plus de 60 ans = 16,4 %) ;
    • 49,8 % de femmes (0 à 14 ans = 25,2 %, 15 à 29 ans = 7,8 %, 30 à 44 ans = 27 %, 45 à 59 ans = 27,8 %, plus de 60 ans = 12,2 %).
    Pyramide des âges à Montreuil-sur-Thérain en 2007 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    6,9 
    75 à 89 ans
    3,5 
    9,5 
    60 à 74 ans
    8,7 
    32,8 
    45 à 59 ans
    27,8 
    23,3 
    30 à 44 ans
    27,0 
    9,5 
    15 à 29 ans
    7,8 
    18,1 
    0 à 14 ans
    25,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    L'école a fermé en 1987 et la commune est membre d'un regroupement pédagogique. Les enfants sont scolarisés en 2016 à l'école de Warluis[1].

    Économie

    En 2016, le village ne compte plus de commerces, mais accueille un artisan en câblage électrique. Les trois étangs de la commune sont loués, deux à l'association des pêcheurs et un à un particulier[1].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église de l'Assomption.

    Montreuil-sur-Thérain ne compte aucun monument historique classé ou inscrit sur son territoire. On peut toutefois noter :

    • Église de l'Assomption-de-Notre-Dame : elle suit un plan très simple, qui est largement répandu dans le Beauvaisis au XIIe siècle : une nef unique suivie par un chœur de deux travées, dont la première sert de base au clocher. L'église de Montreuil est datable de la première moitié du XIIe siècle, mais le chœur et la partie adjacente de la nef ont été refaits au XIIIe siècle et voûté d'ogives. L'abside est à cinq pans et suit un plan outrepassé, presque hexagonal, afin d'obtenir la largeur souhaitée du sanctuaire malgré la contrainte qu'impose la largeur de la base du clocher. Les arcades brisées de part et d'autre de cette dernière sont remarquables pour leur forme particulièrement aiguë. Elles sont simplement biseautés et retombent sur des demi-colonnes adossées aux piliers, mais sont accompagnées de doubleaux secondaires d'un profil torique, retombant sur de fines colonnettes. Les chapiteaux sont décorés de crochets ou de feuilles découpées enroulées aux angles.
    Du côté du chevet, les ogives retombent sur les chapiteaux de colonnettes en délit. Elles sont fixées contre les murs par des bagues. Tout en restant simple, ce chœur est une construction de qualité soigneusement conçue. Les fenêtres affichent la même forme aiguë que les doubleaux, et elles sont décorées à l'extérieur par une simple moulure biseautée. Les baies du clocher sont par contre presque en plein cintre. Au nombre de deux par face, elles s'inscrivent dans des archivoltes toriques et sont dépourvues de colonnettes. Les murs du chœur et du clocher se terminent par des corniches de corbeaux. La façade occidentale n'est pas cohérente avec le style gothique primitif de l'église : elle ne date que de 1635, quand la nef a été raccourcie[35]. L'église bénéficie par ailleurs d'une récente restauration.
    • Les étangs dans la plaine du Thérain sont également à voir.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Philippe Delattre, « Tout savoir sur le village de Montreuil-sur-Thérain : Vingt-deuxième opus de notre série d'articles consacrés aux villages de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la Ruraloise qui vont fusionner », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3421, , p. 5.
    2. « Communes limitrophes de Montreuil-sur-Thérain » sur Géoportail..
    3. « Communes limitrophes de Montreuil-sur-Thérain » sur Géoportail..
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    10. « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Montreuil-sur-Thérain et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    24. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    25. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    26. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
    27. P. C., « Maires élus ou réélus », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Alain Arnold, 47 ans, ouvrier, succède à Pierre Dolige. Le nouveau maire a fait de « l'amélioration de la communication » un des objectifs prioritaires de son mandat ».
    28. « Extrait de la fiche de M. Alain Arnold », sur http://www.lesbiographies.com, (consulté le ).
    29. « Montreuil-sur-Thérain », Cartes de France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. « Évolution et structure de la population à Montreuil-sur-Thérain en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    34. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    35. Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Canton de Noailles, Pays de Bray, Pays de Thelle et Vallée de Thérain, Beauvais, s.d., 32 p., p. 16.
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