Montaut (Landes)

Montaut est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Montaut.

Montaut

Vue de Montaut et de l'église Sainte-Catherine.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes Chalosse Tursan
Maire
Mandat
Anne-Marie Larrère
2020-2026
Code postal 40500
Code commune 40191
Démographie
Gentilé Montalde
Population
municipale
617 hab. (2018 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 44′ 30″ nord, 0° 39′ 18″ ouest
Altitude Min. 25 m
Max. 121 m
Superficie 14,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chalosse Tursan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Montaut
Géolocalisation sur la carte : Landes
Montaut
Géolocalisation sur la carte : France
Montaut
Géolocalisation sur la carte : France
Montaut
Liens
Site web montaut.org

    Géographie

    Localisation

    Commune située à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Mont-de-Marsan.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Montaut[1]
    Toulouzette Saint-Sever
    Hauriet Banos
    Saint-Aubin,
    Maylis
    Doazit

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 119 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Benquet », sur la commune de Benquet, mise en service en 1972[8]et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 005,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et à 21 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Montaut est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,5 %), forêts (20,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), zones urbanisées (2,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Préhistoire

    L'important atelier de taille de silex à Arcet, souvent cité comme le site de Montaut, se trouve sur un plateau à 1,3 km à l'est de Montaut. Il est associé à une carrière[21]. Découvert en 1889 par F. Mascaraux[22], il révèle une présence importante au Solutréen[23], mais a aussi livré des traces de Gravettien, d'Aurignacien et d'Azilien[24].

    Quelques années après Mascaraux, Pierre-Eudoxe Dubalen réalise des fouilles assez étendues au centre du gisement[23] et y collecte une série lithique importante[24]. Lui succèdent J. Delaporterie et Letailleur[24], M. Neuville[24] et plusieurs autres fouilleurs. L'exploitation de ce gisement se termine à la fin des années 1960[25] mais les recherches continuent sur le matériel recueilli, dont celles de Merlet (1980[26]).

    Le site comporte deux loci d'ateliers et des vestiges d'occupation. Le silex travaillé est d'origine locale[25].

    En 2006 Michel Lenoir et Jean-Claude Merlet publient leurs recherches d'inventaire et d'étude des pièces conservées[25]. Les pointes du site ont donné naissance à une typologie nouvelle : la pointe de « type Montaut »[27], que l'on retrouve — pour une pièce foliacée asymétrique — jusqu'à la grotte de Roquecourbère à Betchat (à environ 200 km au sud-est[28], 23 km à l'est de Saint-Gaudens en Ariège[29]). La pointe de Montaut est illustrée par une sculpture monumentale en métal (cuivre ?) de Michel Pozier au milieu du rond-point créé entre 1989 et 2008 (maire Gérard Labadie)[30].

    Lenoir et Merlet déterminent aussi que les pointes à cran présentes sur le site seraient plutôt du Gravettien que du Solutréen. Leur étude conclut que le site ne présente pas de Solutréen « typique » ; ils trouvent également des pièces curieuses, qu'ils nomment « Solutréen gascon »[25].

    Temps modernes

    Entre 1790 et 1794, Montaut absorbe la commune éphémère d'Arcet[31].

    Époque contemporaine

    Le , la commune passe dans la région Nouvelle-Aquitaine suite à la fusion de son ancienne région l'Aquitaine avec les régions Poitou-Charentes et Limousin.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Jean Constans    
    1983 1989 Roger Dupouy    
    mars 1989 2008 Gérard Labadie    
    mars 2008 2020 Mme Claude Boisseau Deschouarts   Cadre de direction retraitée
    mai 2020 En cours Anne-Marie Larrère    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[32].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34]. En 2018, la commune comptait 617 habitants[Note 6], en diminution de 2,22 % par rapport à 2013 (Landes : +3,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1488651 0601 3721 4071 3011 1801 2271 205
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2281 1351 1071 0621 0501 1041 0331 0351 219
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    956964962909856819812811758
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    794766704556592604567562556
    2013 2018 - - - - - - -
    631617-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Lavoir Saint-Vincent, quartier d'Arcet.
    • Le Hameau de Brocas : Cet ancien fief appartenait au XIVe siècle à la famille de Brocas. Il était une paroisse rattachée à Montaut.
    • L'église Saint-Pierre de Brocas date du XIIIe siècle. Elle est inscrite aux Monuments historiques par arrêté du [37].
    • L'église Sainte-Catherine du XIVe siècle est inscrite aux Monuments historiques par arrêté du [38].
    • Les arènes : Tous les villageois ont participé à leur construction. Situées en contrebas de l'église Sainte-Catherine, les arènes sont la fierté du village.
    • Le chêne centenaire : Sur la place de l'église, se tient un arbre en pleine vigueur dont le tronc fait six mètres de circonférence.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1er d'or à la tour flanquée à senestre d'une échauguette (église Sainte-Catherine de Montaut), au trait de sable, au 2d de gueules à l'église du lieu (église Saint-Pierre de Brocas) au trait de sable, au silex taillé au trait de sable brochant en chef sur la partition[39].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Montaut
    Fascé d'or et de gueules.
    Armes attribuées par Charles d'Hozier en 1696.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Église Saint-Pierre de Brocas par l'abbé Raphaël Lamaignère, 1943.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Benquet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Montaut et Benquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Benquet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Montaut et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Montaut, carte centrée sur Arcet et la carrière » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle sur l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
    22. Lenoir & Merlet 2013, résumé.
    23. [Lenoir & Merlet 2013] Michel Lenoir et Jean-Claude Merlet, « Un faciès solutréen particulier en Aquitaine : le Solutréen de Montaut (Landes) », Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, no 47 « Le Solutréen 40 ans après Smith’66 », , p. 419-429 (lire en ligne [sur persee]), p. 420, 427.
    24. [Lenoir & Merlet 2006] Michel Lenoir et Jean-Claude Merlet, « Le solutréen de Montaut (Landes). Données anciennes et acquis récents », dans Préhistoire du Bassin de l'Adour (actes du colloque de Saint-Étienne-de-Baïgorry, 19 janvier 2002), Saint-Étienne-de-Baïgorry, éd. Izpegi de Navarre, , 303 p. (résumé, présentation en ligne).
    25. [Merlet 1980] Jean-Claude Merlet, Montaut, le gisement préhistorique d'Arcet, Dax, Guy Barrouillet, .
    26. Lenoir & Merlet 2013, p. 427.
    27. « Trajet et distance Montaut / Betchat », sur google.fr/maps (consulté en ).
    28. « Betchat (Ariège), carte interactive » sur Géoportail.
    29. Michel Rozier, « Rond-Point de Montaut », représentation monumentale en cuivtr (?) d'une « pointe de Montaut », sur michel-rozier.com (consulté en ).
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Arcet », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    31. Site des villes et villages fleuris, consulté le 15 janvier 2021.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Église de Brocas de Montaut », notice no PA00083985, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Eglise de Sainte-Catherine de Montaut », notice no PA00083984, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « 40191 Montaut (Landes) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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