Mazan (Vaucluse)

Mazan est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Mazan.

Mazan

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin
Maire
Mandat
Louis Bonnet
2020-2026
Code postal 84380
Code commune 84072
Démographie
Gentilé Mazanais
Population
municipale
6 127 hab. (2018 )
Densité 162 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 03′ 27″ nord, 5° 07′ 44″ est
Altitude 197 m
Min. 111 m
Max. 450 m
Superficie 37,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Avignon
(banlieue)
Aire d'attraction Carpentras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pernes-les-Fontaines
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Mazan
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Mazan
Géolocalisation sur la carte : France
Mazan
Géolocalisation sur la carte : France
Mazan

    Géographie

    Localisation

    Mazan se situe à km de Carpentras, l'une de ses communes voisines, et à 30 km d'Avignon.

    La ville est située au cœur de l'ancien Comtat Venaissin, proche du flanc sud du mont Ventoux.

    Communes limitrophes

    Relief et géologie

    Le vieux village est construit sur une petite colline.

    La commune est apposée sur une plaine légèrement vallonnée avec de petits reliefs boisés au sud-est (Les Pointes, 448 m) et au sud-ouest (Piémarin, 220 m).

    Hydrographie

    L'Auzon y est le cours d'eau principal et passe en bordure du vieux cœur du village. Huit moulins, à huiles et à grains, installés le long de son cours, ont assuré l'indépendance alimentaire de Mazan, pendant plusieurs siècles.

    Quelques ruisseaux intermittents.

    Plusieurs fontaines.

    Climat

    La commune, située dans la zone d’influence du climat méditerranéen, est soumise à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches, dont une brève en fin d'hiver, une très longue et accentuée en été ; deux saisons pluvieuses, en automne, avec des pluies abondantes sinon torrentielles, et au printemps. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare[1].

    Mois
    JanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 10 12 16 18 23 27 30 30 25 20 13 10 19,75
    Températures minimales moyennes (°C) 2 3 6 8 12 15 18 18 14 11 6 3 9,6
    Températures moyennes (°C) 6 7,5 11 13 17,5 21 24 24 19,5 15,5 8,5 7,5 14,7
    Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 36,5 23,3 24,9 47,5 45,6 25,4 20,9 29,1 65,8 59,6 52,8 34,0 465,4
    Source : Données climatologiques de Mazan 2000-2007
    • Le mistral

    Dans cette commune qui produit des ventoux (AOC) aucun vigneron ne se plaint du mistral - même violent, car celui-ci a des avantages bénéfiques pour le vignoble. Appelé le « mango-fango », le mangeur de boue, il élimine toute humidité superflue après les orages, dégage le ciel et lui donne sa luminosité, préserve les vignes de nombre de maladies cryptogamiques et les débarrasse d'insectes parasites[2].

    Cependant, le mistral y est beaucoup moins fort que dans la plaine se situant de l'autre côté de Carpentras (grâce à la protection des dentelles de Montmirail et au mont Ventoux).

    Accès routiers

    Du nord, la commune est accessible par la route départementale 70 et la 163. Toutes deux repartent au sud-est. De l'ouest, depuis Carpentras, la route départementale 942 qui continue à l'est. Enfin, au sud, la route départementale 1. L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7 :
     23 Avignon-Nord à 24 km
     22 Orange-Sud à 28 km

    Transports en commun

    Plusieurs lignes de bus passent par Mazan partent toutes de Carpentras

    • Ligne B Carpentras - Place Terradou à Mazan-Garrigues.

    Les gares les plus proches sont la gare de Carpentras, Avignon TGV et Avignon-Centre.

    Urbanisme

    Typologie

    Mazan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon, une agglomération inter-régionale regroupant 59 communes[6] et 455 711 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carpentras dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (61,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), forêts (9,8 %), zones urbanisées (9,5 %), mines, décharges et chantiers (2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Occupation néolithique. Territoire des Mémini, dont la capitale est Carpentoracte, qui deviendra Carpentras.

    Les premières traces archéologiques des vins produits sur le terroir viticole des Ventoux (AOC) ont été découvertes à Mazan, au lieu-dit le Jonquier. Les fouilles, menées sous la direction de Dominique Carru ont permis de mettre au jour l’atelier d’un potier où furent fabriquées les premières amphores vinaires connues en France. Il a été daté par les archéologues du Ier siècle avant notre ère[13].

    Du Ier siècle au IVe siècle, existence d'une nécropole au vicus de Saint-Andéol[Laquelle ?].

    Moyen Âge

    Vignoble de Mazan.

    Mazan est citée en 982 sous le nom de "Villa Madazano", puis "Maazano" en 1302.

    La tradition veut que Bénézet d'Avignon soit passé trois fois à Mazan. Alors que généralement le constructeur du pont d'Avignon ne buvait pas de vin, une intervention miraculeuse changea à chaque fois l'eau en vin pour lui et ses compagnons[14].

    Co-seigneurie divisée en deux parties : l'une aux Retronchin, puis aux Sade, l'autre aux d'Astouaud, puis aux Vincens de Causans.

    En 1357, l’arrivée de l’archiprêtre dans la région provoque une vague de constructions de fortifications : Mazan commence à construire un mur d’enceinte en mars 1359[15].

    Période moderne

    Francesco Barberini représenté en cardinal - Andrea Sacchi, 1631-1633, Römisch-Germanisches Museum, Cologne.

    En 1562, le bourg est pillé par le baron des Adrets.

    En 1580, la tour du château de Philippe Saignet d'Astouaud est rasée par ordre du Parlement, car celui-ci est accusé de complicité dans le meurtre d'un Grimaldi.

    Épidémies de peste en 1588-1589 et en 1629.

    Vers 1725 naît le Càrri (le char) de Mazan. Il s'agit d'une journée des revendications accordée au peuple par les deux co-seigneurs et qui se perpétue encore tous les vingt ans sous la forme d'un défilé historique en costumes d'époque[16].

    À la fin du XVIIIe siècle se tient à Mazan le premier festival de Provence, organisé par le célèbre marquis de Sade, coseigneur de Mazan. Il s'agissait de représentations théâtrales de pièces d'auteurs nationaux joués sur les grands boulevards à Paris ou à Marseille.

    1789, les habitants souffrent de la Révolution, mais l'Empire remettra un peu d'ordre[16].

    Période contemporaine

    Les guerres aussi n'épargneront pas la commune. Le village commence à se repeupler à partir de 1950.

    Le 5 mai 2013, l'actrice britannique Keira Knightley, qui habite Mazan, y épouse le musicien britannique James Righton[16].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 M. Couren fils
    -
    Chirurgien, premier maire de Mazan
    ? Alexis Xavier Laugier
    -
    1803 ? M. Bouvard
    -
    1812 ? Jean Baptiste Quinquin
    -
    1833 ? 1839 ? Antoine Dominique Bagnol
    -
    1840 ? Simon Dupont
    -
    1842 ? Bernard Pompé
    -
    Les données manquantes sont à compléter.
    1852 1865 ? François Martin
    -
    1867 1871 Nicolas Sautel
    -
    1872 1888 ? Joachim Marie Ripert
    -
    1889 ? 1901 Alexis Saurel
    -
    1901 1912 ? Jean-Baptiste Charrasse
    Act.lib.
    Docteur en médecine
    Conseiller général du canton de Carpentras-Sud (1910 → 1919)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1936 ? ? M. Royer
    -
    Les données manquantes sont à compléter.
    Léonce Barras[17]
    UDF-Rad.
    Conseiller général du canton de Carpentras-Sud (1964 → 1982)
    Francis Michel
    -
    Georges Blum
    DVG
    Chirurgien-dentiste, maire honoraire
    [18] Aimé Navello
    DVD
    Enseignant retraité
    4e vice-président de la CA Ventoux-Comtat Venaissin
    Chevalier des Palmes académiques
    En cours
    (au 3 juillet 2020)
    Louis Bonnet[19]
    DVD
    Ancien cadre

    Résultats de l'élection présidentielle française de 2012

    Résultats des élections européennes 2014

    • 1er Front National 37,89 %, 2e UMP 21,61 %, 3e Parti soc 11,72 %.

    Résultats des élections municipales

    Résultats de l'élection présidentielle française de 2017

    Jumelages

     Moudon (Suisse) dans le canton de Vaud, depuis le [21]. En plus des échanges traditionnels entre communes, sont organisés des échanges entre écoles, des rencontres théâtrales et sportives.

    Environnement

    Dans le cadre de la communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin :

    • collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés,
    • protection et mise en valeur de l'environnement.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2018, la commune comptait 6 127 habitants[Note 3], en augmentation de 5,35 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +1,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 0783 2563 3823 4883 8514 0504 0044 0303 837
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 7793 6603 3303 2602 8842 7302 5292 4282 268
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1402 0572 0061 7991 7911 7551 7301 7051 916
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 0212 3202 8963 7294 4594 9435 4455 5155 585
    2013 2018 - - - - - - -
    5 8166 127-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • École primaire La Condamine - 350 élèves.
    • École maternelle La Condamine - 170 élèves.
    • École privée Saint-Dominique[26] - 142 élèves.
    • Collège André-Malraux - entre 800-860 élèves.

    Sports

    • Équipement sportif : salle omnisports appelée COSEC et deux stades de football.

    Quatre terrains de tennis, parcours VTT et cyclo-touristiques.

    • Club d'équitation (poney).

    Santé

    • Cabinet médical dont nombreux médecins.
    • Deux pharmacies.
    • Laboratoire d'analyses.

    Équipements ou services

    La ville est très proche de la ville de Carpentras, laquelle, en plus d'être un centre administratif important, est aussi un lieu de travail pour beaucoup.

    • espace jeunes.
    • salle des fêtes.
    • bibliothèque municipale.

    Vie locale

    Marché hebdomadaire le lundi.

    Cultes

    Le clocher de l'église Saint-Nazaire-Saint-Celse.

    La commune dispose d'un lieu de culte : l'église Saint-Nazaire-Saint-Celse

    Économie

    Emplois, revenus et niveau de vie

    Le taux de chômage à Mazan en 2011 est de 12,9 % de sa population active 15/64 ans / moyenne des villes 9,7 %.

    Industrie

    Au XVIIIe siècle, une industrie liée au textile est présente sur la commune, avec le tissage de chanvre et de soie.

    Usine Siniat d'exploitation de gypse du groupe Etex France BP avec l'un des plus importants gisements à ciel ouvert de gypse au monde et la plus grande carrière à ciel ouvert d'Europe avec un gypse d'une pureté exceptionnelle (90 %)[27].

    Une zone artisanale à l'ouest du bourg, compte de nombreux artisans.

    Entreprises et commerces

    Tous commerces sur place + supermarchés U express, SPAR.

    Agriculture

    Bouteille de ventoux AOC de Mazan.
    Bouteille de Sautel, mistelle élaborée par la cave coopérative Canteperdrix.

    La période de paix, à partir du XVIIe siècle, permet un grand développement de l'agriculture sur la commune, notamment dans les domaines céréaliers (blé, seigle et orge), oléicoles et viticoles[28]. La culture fruitière tient également une part importante, pour la consommation locale, et la production des fruits entrant dans la composition des treize desserts : amandiers, noyers, figuiers.

    Au XVIIIe siècle, des cultures plus industrielles voient le jour sur la commune : culture du chanvre, pour la fabrication de toiles ; essai de culture de la garance, par Jean Althen ; mûriers pour la culture du ver à soie, le safran.

    De nos jours, on peut noter de nombreux oliviers permettant la fabrication d'huile d'olive, des cerisiers, des chênes pour le bois et pour les truffes, des vignes et une cave vinicole pour la production de vin AOC « côtes-du-ventoux » (100 000 hl annuels), etc. Les vignerons de Canteperdrix, depuis 1997, ont repris l'élaboration et la commercialisation d'un vin apéritif, le Sautel, créé en 1796 par un négociant en vin du village.

    Productions du terroir : volailles, pisciculture et miel.

    Tourisme

    La situation géographique de Mazan, entre Carpentras et mont Ventoux permet un développement touristique de la commune, et constitue l'un des points important de l'économie locale. Sont à noter : gîtes ruraux, campings, camping à la ferme, chambres et tables d'hôtes, restaurants, etc.

    Culture et patrimoine

    Patrimoine civil

    Château Astoaud Caussans.
    • Portail Renaissance (1515) + autres portes anciennes
    • Château de Mazan (1730)
    • Ancien château des Sade
    • Ancien château des Astoaud/Causans
    • Ferme fortifiée des Tourettes (XVIe siècle)
    • Vieilles fontaines de Bisque et des Rossignols
    • Grande fontaine (1841)
    • Musée municipal, Musée de France, « Mémoire de la commune »
    • Vestiges d'anciens moulins le long de l'Auzon
    • Le cimetière qui contient des sarcophages gallo-romains : 64 sarcophages monolithiques[29].
    • La nécropole

    Patrimoine religieux

    • l'église, et quartier Saint-Andéol.
    • Église paroissiale romane Saint-Nazaire-et-Saint-Celse, des XIIe et XVe siècles.
    • Chapelle rurale Notre-Dame-du-Bon-Remède XVIIIe siècle
    • Chapelle votive Saint-Roch (XVIIe siècle)
    • Chapelle Notre-Dame-de-Pareloup (XIe siècle)
    • Chapelle Notre-Dame-la-Brune (origine romane)
    • Chapelle des Pénitents Blancs (XVIIe siècle)
    • Croix, niches

    Cabanes en pierre sèche

    Les cabanes de la commune ont été décrites dans une monographie communale à la fin des années 1970 par Pierre Fayot et Camille Tiran, lequels indiquent que « les dates relevées de 1875 au Limon, de 1865 à la Boissière sont des dates moyennes de leur construction. »[30].

    Mazan possède un sentier de la pierre sèche depuis 2017. Au quartier de La Boissière, on y découvre une bâtisse en forme de tour quadrangulaire terminée par une plateforme bordée de créneaux que dessert un escalier extérieur. Les villageois la surnomment la « cabane d'Adam » ou « la chapelle » car une croix de pierre se dressait autrefois sur un arceau au sommet de la façade. Au-dessus de l'arc de l'entrée, une pierre arbore le millésime 1865 inscrit dans un cartouche en creux. Une deuxième pierre, tombée au sol en même temps que la croix, porte le nom du propriétaire, un dénommé GRAS, de son prénom Adam. Le G est fermé, si bien que l'on peut lire également ORAS (« tu pries »)[31].

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'azur à la main appaumée d'argent, accompagnée en chef à dextre d'un soleil d'or et à senestre d'une lune aussi d'argent.

    Devise : in manu Dei omnia sunt (tout tient en la main de Dieu).


    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. La climatologie du Vaucluse
    2. Jean-Pierre Saltarelli, Les Côtes du Ventoux, origines et originalités d'un terroir de la vallée du Rhône, A. Barthélemy, Avignon, 2000, (ISBN 2879230411), p. 14.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 d'Avignon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Carpentras », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Jean-Pierre Saltarelli, op. cit., p. 22.
    14. Renée Lefranc, Et le pâtre Bénezet fit un pont pour Avignon, sous la direction de Dominique Vingtain, Conservateur du Palais des Papes, Avignon, Ed. RMG-Palais des Papes, 2000, p. 13. (ISBN 2-906647-35-7).
    15. Germain Butaud, « Villages et villageois du Comtat Venaissin en temps de guerre (milieu XIVe-début XVe siècle) », in Christian Desplat, Les villageois face à la guerre : XIVe-XVIIIe siècle, Actes des XXIIe Journées internationales d’histoire de l’abbaye de Flaran, 8, 9, 10 septembre 2000, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 2002, (ISBN 2-85816-603-X), p. 55.
    16. Mazan : historique
    17. « Hommage à Léonce Barras, maire de Mazan de 1971 à 1983 », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne)
    18. « "Atteint par la limite d’âge", le maire de Mazan ne se représente pas », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne)
    19. « Stratégie gagnante pour Louis Bonnet : le nouveau maire déjà controversé », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne)
    20. « Mazan (84380) : résultats des élections municipales, présidentielle, législatives, régionales, sénatoriales et européennes », sur Francetvinfo.fr (consulté le ).
    21. Jumelage Mazan Moudon sur le site de Moudon
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. écoles primaire (Vaucluse - 84)
    27. « site sur la carrière de gypse »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    28. "Un village au pied du Ventoux : Mazan" (éditions du Boumian, Monaco)- p. 25.
    29. Les sarcophages de Mazan
    30. Pierre Fayot et Camille Tiran, Mazan, histoire et vie quotidienne d'un village comtadin à travers les siècles, Le nombre d'or, Carpentras, 1978, en part. pp. 297-301.
    31. Grande cabane dite « la Chapelle » ou « la cabane d'Adam » à Mazan (Vaucluse), pierreseche.com, 15 juin 2003.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Pierre Fayot et Camille Tiran, Mazan, histoire et vie quotidienne d'un village comtadin à travers les siècles, Le nombre d'or, Carpentras,
    • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, 1986, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
    • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
    • Jean-Pierre Saltarelli, Les Côtes du Ventoux, origines et originalités d'un terroir de la vallée du Rhône, Le Pontet, A. Barthélemy, Avignon, 2000, , 207 p. (ISBN 2-87923-041-1)

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