Mauzac-et-Grand-Castang

Mauzac-et-Grand-Castang est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Mauzac-et-Grand-Castang

Le monument aux morts et la mairie de Mauzac-et-Grand-Castang.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Florent Farge
2020-2026
Code postal 24150
Code commune 24260
Démographie
Gentilé Mauzacois
Population
municipale
865 hab. (2018 )
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 52″ nord, 0° 47′ 52″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 207 m
Superficie 15,85 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Mauzac-et-Grand-Castang
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Mauzac-et-Grand-Castang
Géolocalisation sur la carte : France
Mauzac-et-Grand-Castang
Géolocalisation sur la carte : France
Mauzac-et-Grand-Castang

    Géographie

    Généralités

    Le pont ferroviaire de Mauzac sur la retenue du barrage.

    Au sud du département de la Dordogne, en Périgord pourpre, et en bordure du Périgord noir, la commune de Mauzac-et-Grand-Castang est entièrement située en rive droite de la Dordogne qui la limite à l'ouest et au sud-ouest. Au niveau du village de Mauzac, le barrage de Mauzac forme une retenue de 250 hectares propice aux sports nautiques. Il permet également d'alimenter en eau du canal de Lalinde qui longe la Dordogne à une distance maximale de 400 mètres.

    L'altitude minimale, 35 mètres, se trouve au sud, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Lalinde et Badefols-sur-Dordogne. L'altitude maximale avec 207 mètres est localisée au nord-ouest, près de la route départementale 36 et du lieu-dit la Sarmade.

    Le village de Mauzac se situe, en distances orthodromiques, cinq kilomètres au nord-est de la bastide de Lalinde et neuf kilomètres à l'ouest-nord-ouest du Buisson-de-Cadouin. Il est desservi par la route départementale 31.

    La commune est également desservie par les routes départementales 8, 36 et 703, ainsi que par la ligne ferroviaire de Libourne au Buisson par autorail Espérance en gare de Mauzac.

    Le chemin de grande randonnée GR 6 longe la Dordogne puis le canal de Lalinde en direction de Lalinde.

    Communes limitrophes

    Carte de Mauzac-et-Grand-Castang et des communes avoisinantes.

    Mauzac-et-Grand-Castang est limitrophe de sept autres communes.

    Communes limitrophes de Mauzac-et-Grand-Castang
    Pressignac-Vicq Sainte-Foy-de-Longas Pezuls
    Trémolat
    Lalinde Badefols-sur-Dordogne Calès

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 849 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Notamment liées à la présence de la Dordogne, plusieurs zones naturelles du territoire communal sont protégées.

    Natura 2000

    Au fond, sur la droite de la Dordogne, les coteaux du cingle de Trémolat, sur la commune de Mauzac-et-Grand-Castang.

    Deux zones Natura 2000 sont délimitées sur le territoire de Mauzac-et-Grand-Castang :

    • la Dordogne[14], protégée pour différentes espèces de poissons ;

    Sur la commune, elle s'étend sur près d'un kilomètre carré et demi en un seul site, bordant la Dordogne en rive droite.

    ZNIEFF

    Oiseaux en aval du barrage.

    La commune présente trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I :

    • appelé « cingle de Trémolat », le large méandre qu'effectue la Dordogne présente en rive droite une paroi calcaire ensoleillée d'une centaine de mètres de hauteur où nichent des milans noirs et où peut s'épanouir une flore de type méditerranéen[17],[18].
    • en limite des communes de Lalinde et Pressignac-Vicq, une petite partie du territoire communal, sur près de 70 hectares, à l'ouest de Saint-Meyme-de-Rozens fait partie de la Combe de Foulissart, forêt de chênes pubescents (Quercus pubescens) de 460 hectares, refuge de la grande faune et de plusieurs espèces de rapaces[21],[22].

    Protection du biotope

    Comme l'ensemble des communes du département de la Dordogne baignées par la Dordogne, Mauzac-et-Grand-Castang est soumis à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons[23].

    Un autre arrêté préfectoral de 1984 protège sur une quinzaine d'hectares les îles immédiatement en aval du barrage de Mauzac et les espèces d'oiseaux aquatiques qui y prospèrent[24].

    Sites remarquables

    Le cingle de Trémolat présente deux sites naturels protégés, aussi bien terrestres qu'aquatiques, en partie sur le territoire de Mauzac-et-Grand-Castang :

    • un site inscrit depuis 1965[25],[26], depuis le lieu-dit les Combes jusqu'au Ginestal en passant par Millac et le Moulinet ;
    • plus récemment, un site classé en 1985[27],[28], depuis les abords immédiats du village de Mauzac en remontant vers le nord jusqu'aux lieux-dits Millac et Périnou.

    Urbanisme

    Typologie

    Mauzac-et-Grand-Castang est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), prairies (10,3 %), terres arables (10,1 %), eaux continentales[Note 5] (3,8 %), zones urbanisées (2,4 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre concernant donc la zone basse du territoire de Mauzac-et-Grand-Castang[35],[36]. Ce plan concerne également le risque de mouvements de terrain aux abords du canal de Lalinde, même si à la date d'approbation de ce plan, aucun mouvement de terrain n'avait été constaté sur le territoire communal[36].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Mausac e Grand Castanh[37].

    Histoire

    En 1793, les anciennes communes de Mauzac et de Saint-Meyme-de-Rozens fusionnent sous le nom de Mauzac-et-Saint-Meyme-de-Rozens.

    Mauzac-et-Saint-Meyme-de-Rozens et la commune de Grand-Castang fusionnent en 1973 sous le nom de Mauzac-et-Grand-Castang[38].

    Grand-Castang conserve le statut de commune associée et, à ce titre, élit un maire délégué qui siège obligatoirement au conseil municipal de Mauzac-et-Grand-Castang.

    La prison de Mauzac a servi de centre d'épreuve pour les relégués après l'abolition du bagne, des années 1940 à 1970[39].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune de Mauzac, puis Mauzac-et-Saint-Meyme-de-Rozens, a été rattachée au canton de Limeuil qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Lalinde dépendant de l'arrondissement de Bergerac[40]. En 1973, elle devient Mauzac-et-Grand-Castang en s'associant avec Grand-Castang.

    Intercommunalité

    Fin 2002, Mauzac-et-Grand-Castang intègre dès sa création la communauté de communes Entre Dordogne et Louyre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[41],[42].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    janvier 1973 janvier 2007 André Goustat[43] SE puis CPNT Directeur général de la CCI de Bergerac
    mars 2007 mars 2008 Marcel Labrot    
    mars 2008 mai 2020 Patrice Masneri SE[44] Retraité du ministère de la Défense
    mai 2020 En cours Florent Farge    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Mauzac-et-Grand-Castang relève[45] :

    Démographie

    Avant la fusion des communes de 1973

    Jusqu'en 1972, les communes de Grand-Castang et de Mauzac-et-Saint-Meyme-de-Rozens étaient indépendantes.

    Après la fusion des communes

    Le , les deux communes fusionnent sous le nom de Mauzac-et-Grand-Castang.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].

    En 2018, la commune comptait 865 habitants[Note 6], en diminution de 3,24 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018
    688772958868844842896864865
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[49], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 201 personnes, soit 22,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (41) a augmenté par rapport à 2010 (33) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 20,4 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quarante-huit établissements[50], dont vingt-six au niveau des commerces, transports ou services, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, cinq dans la construction, et trois dans l'industrie[51].

    Le principal employeur de la commune est, de très loin, son centre de détention.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Roch de style néogothique, XIXe siècle, à Mauzac
    • Église Saint-Pierre Saint-Paul de Grand-Castang. Anciennement, elle était sous le vocable de Saint-Cloud[52].
    • Barrage de Mauzac et sa retenue.
    • Canal de Lalinde et son écluse, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1996[53].
    • Château des Baudies, à Mauzac, propriété de la famille d'Abbadie d'Arrast[54].
    • Castrum de Milhac, à Mauzac, aussi appelé château de Branthomme, près du lieu-dit Périnou, sur une colline dominant le vallon du Moulinet, qui appartenait aux archevêques de Bordeaux depuis son achat par Clément V avant d'être détruit par les seigneurs de Limeuil, de Saint-Alvère, de Longa et autres nobles, en 1442[55],[56].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Coupé, au premier parti d’or au châtaignier de sinople fruité de douze pièces et de sinople à l’église de Rozan d’or, au second d’azur à la barque à voile carrée d’argent.
    Détails
    Le châtaignier représente la paroisse de Grand Castang, l'église celle de Saint-Meyme-de-Rozens et la barque celle de Mauzac.
    Statut officiel, blason présent sur la page de Mauzac-et-Grand-Castang du site du Pays du Grand Bergeracois[58].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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    10. « Orthodromie entre Mauzac-et-Grand-Castang et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    53. « Écluse de Mauzac », notice no PA24000006, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 2 décembre 2011.
    54. Mauzac d'hier et d'aujourd'hui, espritdepays.com, consulté le 17 janvier 2018.
    55. Jean Secret, Notes sur les ruines du castrum de Milhac-de-Mauzac, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1939, tome 66, p. 331-336 (lire en ligne)
    56. Albert Vigié, Possessions des archevêques de Bordeaux en Périgord et principalement dans le Sarladais, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1910, tome 37, p. 357-401, p. 444-456
    57. Anne-marie Siméon, Le Périgord de Maurice Chevalier, Sud Ouest du 6 mars 2012.
    58. Page de Mauzac-et-Grand-Castang sur le site du Pays de Bergerac.
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