Le Buisson-de-Cadouin

Le Buisson-de-Cadouin est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. De 1960 à 2015, la commune a été le chef-lieu d'un canton.

Pour les articles homonymes, voir Le Buisson et Cadouin (homonymie).

Le Buisson-de-Cadouin

La gare ferroviaire du Buisson.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Marie-Lise Marsat
2020-2026
Code postal 24480
Code commune 24068
Démographie
Gentilé Caduniens
Population
municipale
1 943 hab. (2018 )
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 46″ nord, 0° 54′ 37″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 248 m
Superficie 50,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Le Buisson-de-Cadouin
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Le Buisson-de-Cadouin
Géolocalisation sur la carte : France
Le Buisson-de-Cadouin
Géolocalisation sur la carte : France
Le Buisson-de-Cadouin
Liens
Site web lebuissondecadouin.fr

    Géographie

    La Dordogne au pont de Vic, entre Le Buisson-de-Cadouin (à gauche) et Saint-Chamassy.

    La commune du Buisson-de-Cadouin est bordée par la Dordogne.

    Accès SNCF par la gare du Buisson et par la route départementale 710 (ancienne route nationale 710).

    Le Buisson-de-Cadouin est un nœud ferroviaire, au croisement entre la ligne de Niversac à Agen et la ligne de Libourne au Buisson.

    Communes limitrophes

    Carte du Buisson-de-Cadouin et des communes avoisinantes en 2015.

    Le Buisson-de-Cadouin est limitrophe de onze autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 860 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Buisson-de-Cadouin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), zones agricoles hétérogènes (24,8 %), prairies (7,5 %), zones urbanisées (3,3 %), terres arables (2,6 %), eaux continentales[Note 5] (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre concernant donc la zone basse du territoire du Buisson-de-Cadouin[20],[21].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Lo Boisson de Cadonh[22].

    Histoire

    En 1893, la commune de Cabans prend le nom de Le Buisson.

    En 1960, les communes de Cussac et Le Buisson fusionnent sous le nom de Le Buisson-Cussac.

    En 1974, les quatre communes de Cadouin, Le Buisson-Cussac, Paleyrac et Urval s'associent sous le nouveau nom de Le Buisson-de-Cadouin.

    Urval est rétablie en 1989.

    Cadouin et Paleyrac conservent le statut de communes associées et, à ce titre, élisent chacune un maire délégué qui siège obligatoirement au conseil municipal du Buisson-de-Cadouin.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Cabans est rattachée au canton de Cadouin qui dépend du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac. Cabans devient Le Buisson en 1893, puis Le Buisson-Cussac en 1960 et enfin Le Buisson-de-Cadouin en 1974[23]. À cette date, le canton change de nom, devenant le canton du Buisson-de-Cadouin.

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[24]. La commune est alors rattachée au canton de Lalinde, lui aussi dépendant de l'arrondissement de Bergerac.

    Intercommunalité

    Début 2002, Le Buisson-de-Cadouin intègre dès sa création la communauté de communes de Cadouin. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[25],[26].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs de Cabans, puis du Buisson, puis du Buisson-Cussac, puis du Buisson-de-Cadouin
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1944 1945 Paul Borie[27] PCF  
             
     ?  ? Fernand Fromentières SFIO puis PS Instituteur
    Conseiller général du canton du Buisson-de-Cadouin (1960-1979)
             
    avant 1981 1983 Albert Élie Castanet DVG  
    1983 1995 Pierre Chaussade MRG puis SE Préfet honoraire, ancien président de la Lyonnaise des eaux
    Conseiller général du canton du Buisson-de-Cadouin (1979-1995)
    1995 janvier 2002
    (décès)
    Bernard Lucas[Note 6] DVD Vétérinaire
    Conseiller général du canton du Buisson-de-Cadouin (1996-2002)
    mars 2002 mars 2008 Françoise Wolters DVG (app. PS) Retraitée de l'Éducation nationale
    Conseillère générale du canton du Buisson-de-Cadouin (2002-2011)
    mars 2008 mars 2014 Mérico Chies SE[28] puis PS Retraité de La Poste
    mars 2014[29] mai 2020 Jean-Marc Gouin SE puis DVD [30] Chef d'entreprise
    Vice-président de la CC des Bastides Dordogne-Périgord (depuis 2014)
    mai 2020[31] En cours Marie-Lise Marsat PS Conseillère départementale du canton de Lalinde (depuis 2015)

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Le Buisson-de-Cadouin relève[32] :

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[33].

    Démographie

    Avant la fusion des communes de 1974

    La commune de Cabans change de nom et devient « Le Buisson » en 1893. Elle devient « Le-Buisson-Cussac » lors de la fusion entre Le Buisson et Cussac en 1960.

    Évolution démographique de Cabans, puis Le Buisson, puis Le-Buisson-Cussac
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    9528979559011 1541 1431 1261 157
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
    1 2491 2651 3141 2031 1621 1371 2091 258
    1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
    1 2561 2191 3121 2751 2961 3741 4461 406
    1936 1946 1954 1962 1968 - - -
    1 3811 4281 3611 4761 529---
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[23].)

    Après la fusion des communes

    Le , Le Buisson-Cussac devient « Le Buisson-de-Cadouin » lorsqu'elle s'associe à trois autres communes : Cadouin, Paleyrac et Urval, cette dernière reprenant son autonomie en 1989.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2018, la commune comptait 1 943 habitants[Note 7], en diminution de 6,27 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    2 1872 0612 0032 0752 1142 0941 9621 943
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Famille

    • Étudiants : 4,05 %
    • Familles monoparentales : 10,39 %

    Économie

    Emploi

    En 2015[37], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 793 personnes, soit 39,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (141) a augmenté par rapport à 2010 (119) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 271 établissements[38], dont 169 au niveau des commerces, transports ou services, 37 dans la construction, 31 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 18 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et 16 dans l'industrie[39].

    Entreprises

    Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, l'« Entreprise Guy » (travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment) située au Buisson-de-Cadouin se classe en 46e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 552 k€[40].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • La halle de Cadouin classée au titre des monuments historiques en 1976[41].
    • Le manoir de Bellerive.
    • Le manoir de la Bourgonie des XVe, XVIIe et XVIIIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques en 1965 pour ses façades et toitures[42].
    • Les grottes de Maxange, ouvertes au public, offrent de remarquables concrétions excentriques.
    • La grotte de Cussac, ornée de nombreuses gravures du Paléolithique supérieur, non ouverte au public, est classée au titre des monuments historiques en 2002[43].
    • Le Jardin de Planbuisson, plus grande collection européenne de bambous et de graminées.
    • La ville du Buisson possède le cinéma rural « Le Lux », avec le plus d'entrées en France.

    Patrimoine religieux

    • L'abbaye de Cadouin  et son église abbatiale Notre-Dame-de-la-Nativité  ancienne abbaye cistercienne en partie classée (en 1840, 1898 et 1976) et en partie inscrite (en 1927 et 1984) au titre des monuments historiques[44].
    • L'église Saint-Barthélémy de Salles, inscrite en 1974 au titre des monuments historiques[45].
    • L'église Saint-Pierre-ès-Liens de Cabans, inscrite en 1970 au titre des monuments historiques[46].
    • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Paleyrac[47].
    • L'église Saint-Pierre-ès-Liens du Buisson a été construite dans un style néogothique par l’architecte bordelais Jean-Jacques Valleton (1841-1916). C’est le maître verrier Jean Besseyrias qui a réalisé le projet des vitraux, avec l’accord du curé Purrey de l’époque.

    Patrimoine naturel

    Partagée avec les communes de Bouillac et Saint-Avit-Rivière, la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II de la « forêt de la Bessède » s'étend sur plus de 7 500 hectares[48],[49], dont une partie importante concerne le territoire du Buisson-de-Cadouin.

    Cette ZNIEFF héberge onze espèces d'oiseaux protégées sur le territoire national[48],[50] : le Busard cendré (Circus pygargus), le Busard Saint-Martin (Circus cyaneus), la Bondrée apivore (Pernis apivorus), la Buse variable (Buteo buteo), la Chouette effraie (Tyto alba), la Chouette hulotte (Strix aluco), l'Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), le Faucon hobereau (Falco subbuteo), la Fauvette pitchou (Sylvia undata), la Linotte mélodieuse (Carduelis cannabina) et la Locustelle tachetée (Locustella naevia).

    Au niveau de sa flore, deux espèces de plantes sont également protégées au niveau national : la Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia) et la Laîche fausse (Carex pseudobrizoides), cette dernière étant considérée comme espèce déterminante[48].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Écartelé, au 1, d'azur à un aviron d'or posé en barre la pelle vers la pointe, soutenu par une rivière d'argent, au 2, d'argent au cognassier terrassé de sinople fruité d'or, accosté de deux fleurs de lys de même,au 3, d'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre pals d'or, à la bordure cousue de gueules chargée de dix besants d'or, au 4, d'azur à un ours passant d'or sur une terrasse de gueules surmonté d'un croissant d'argent.
    Détails
    Armes parlantes.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Décédé en fonctions.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Buisson-de-Cadouin et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Buisson-de-Cadouin et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. PPR inondation - 24DDT20070002 - Dordogne Centre, DREAL Aquitaine, consulté le 17 février 2019.
    21. [PDF] Le Buisson-de-Cadouin - Dordogne centre - Plan de prévention du risque inondation p. 4, DREAL Aquitaine, consulté le 17 février 2019.
    22. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 12 février 2014.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 29 août 2020.
    26. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 octobre 2020.
    27. notice BORIE Paul, Joseph, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 16 février 2009.
    28. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 12.
    29. Anne-Marie-Sopkowitz, « Un nouveau président à l'intercommunalité », Sud Ouest, édition Dordogne, , p. 20.
    30. http://www.rassemblonsladordogne.fr/lecanton.php?id=8 « Copie archivée » (version du 23 juillet 2015 sur l'Internet Archive),
    31. « Marie-Lise Marsat succède à Jean-Marc Gouin », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 15.
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    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Dossier complet - Commune du Buisson-de-Cadouin (24068) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 août 2018.
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    40. « BTP », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 37.
    41. « Halle de Cadouin », notice no PA00082421, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 décembre 2020.
    42. « Manoir de la Bourgonie », notice no PA00082422, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 décembre 2020.
    43. « Grotte ornée souterraine de Cussac », notice no PA24000033, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 décembre 2020.
    44. « Ancienne abbaye de Cadouin », notice no PA00082415, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 décembre 2020.
    45. « Église Saint-Barthélémy de Salles », notice no PA00082418, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le * L'église Saint-Pierre-ès-Liens du Buisson a été construite dans un style néogothique par l’architecte bordelais Jean-Jacques Valleton (1841-1916). C’est le maître verrier Jean Besseyrias qui a réalisé le projet des vitraux, avec l’accord du curé Purrey de l’époque.
    46. « Église de Cabans », notice no PA00082417, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 décembre 2020.
    47. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 167.
    48. [PDF] Forêt de la Bessède, INPN, p. 2 et 18, consulté le 16 septembre 2020.
    49. Carte de localisation de la ZNIEFF 720000930, INPN, consulté le 16 septembre 2020. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
    50. Arrêté du fixant la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection, consulté le 16 septembre 2020.
    51. André Boissière sur memoiredeshommes - base des fusillés du Mont Valérien
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