Les Mambo Kings

Les Mambo Kings ou Les Rois du Mambo au Québec est un film américain d'Arne Glimcher sorti en 1992.

Les Mambo Kings
Réalisation Arne Glimcher
Scénario Cynthia Cidre
Acteurs principaux
Sociétés de production Alcor Films
Canal+
New Regency Productions
Warner Bros.
Pays d’origine France
États-Unis
Genre Drame, film musical
Durée 104 minutes
Sortie 1992


Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

1952. Les États-Unis vivent au rythme du mambo, dont les sonorités sensuelles enfièvrent les corps et les cœurs. Cesar et Nestor Castillo sont des musiciens de La Havane venus tenter leur chance à New York. Les deux frères cubains ont un caractère très différent. Cesar est un macho sûr de lui, tandis que Nestor est fragile et sentimental. Si leurs querelles et affrontements sont nombreux, la musique balaye tous les malentendus lorsque, une fois sur scène, ils deviennent les rois du mambo

Fiche technique

Premier assistant : Benjamin Rosenberg
Deuxième assistant : Michael Samson
Producteur exécutif : Steven Reuther (en)
Productrice associée : Anna Reinhardt
Coproducteur : Jack B. Bernstein
Directeur de production : Mark Allan

Distribution

L'orchestre des Mambo Kings : Pablo Calogero, Scott Cohen, Mario Grillo, Ralph Irizarry (VQ : Guy Nadon), Pete MacNamara, Jimmy Medina, Marcos Quintanilla (VQ : Pierre Auger), J.T. Taylor (VQ : Gilbert Lachance), William Thomas, Jr. et Yul Vazquez

Sources : Version française (VF) sur RS Doublage[1] et Version québécoise (VQ) sur Doublage Québec[2]

Musique et chansons du film

par les Mambo All-Stars : Sunny Ray, Tanga, Beautiful Maria of my soul, Tea For Two, Mambo Gallego, Ponce.

Autour du film

Commentaires

Si Arne Glimcher situe son premier long métrage dans les années 1950, c'est que, selon lui, il s'agit « de la dernière période d'innocence et d'insouciance qu'ait vécue l'Amérique ». Avant que Fidel Castro ne prenne le pouvoir, la musique cubaine, et plus généralement latino-américaine, enthousiasmait les Nord-Américains. Cette musique typique et sensuelle a conservé tout son rythme entraînant, et les décors sont absolument superbes, conformes aux vœux du réalisateur : « Je ne suis pas minimaliste. Je voulais un film riche, des images opulentes, qu'il s'agisse d'un abattoir regorgeant de viandes rouges ou d'un night-club enfumé où se pressent de splendides danseurs de mambo. »

Notes et références

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