Méharicourt

Méharicourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Méharicourt

Mairie de Méharicourt
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes Terre de Picardie
Maire
Mandat
Claire Fournet
2020-2026
Code postal 80170
Code commune 80524
Démographie
Gentilé Méharicourtois, Méharicourtoises
Population
municipale
591 hab. (2018 )
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 58″ nord, 2° 43′ 58″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 94 m
Superficie 7,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Méharicourt
Géolocalisation sur la carte : Somme
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Méharicourt
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Méharicourt

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Localisation

    Méharicourt est située dans une des parties les moins accidentées du Santerre.

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol de la commune est constitué du limon des plateaux sous lequel on trouve la craie.

    Relief, paysage, végétation

    Son territoire est situé sur un plateau dont le point culminant est à 87 m. Au centre se trouve une légère dépression occupée en partie par le village . Cette dépression continue vers l'ouest par un vallon presque toujours à sec : c' est la continuation de la vallée supérieure de la Luce. Le point le plus bas de ce vallon est à 78 m d'altitude.

    La superficie du territoire communal est de 701 ha.

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique.

    Urbanisme et aménagement du territoire

    Le village reconstruit pendant l'entre-deux-guerres présente un habitat groupé.

    Activité économique et de services

    L'agriculture reste l'activité dominante de la commune.

    Transports et voies de communication

    • Transport en commun routiers : la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 59, Harbonnières - Péronne)[1].

    Communes limitrophes

    Cliquer sur la carte pour agrandir.

    Urbanisme

    Typologie

    Méharicourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,2 %), zones urbanisées (6,8 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Comme toutes les communes, Méharicourt a vu son nom évoluer au fil des siècles. En 1135, on trouvait « Mahéricourt », puis , ce nom a évolué vers « Maharicourt »[9]. Au cours des siècles suivants, on est passé de « Méhatincourt » à « Méharicours en Sangter », la forme définitive n'était plus très loin.

    Méharicourt est un terme de formation germano-romane. Le radical « court », dérive du terme latin Curtis désignant une cour de ferme, une ferme puis un village. Le préfixe « Méhari » serait dérivé du nom germanique d'un des propriétaires du lieu après les Invasions barbares des Ve siècle et VIe siècle[10].

    Histoire

    Antiquité

    L'histoire de Méharicourt remonte à des temps très anciens car on a trouvé entre le village et Lihons des cercueils romains. Il devait probablement y avoir un camp romain sur le plateau nord-est de la commune[9].

    Dans les temps un peu moins éloignés, la légende dit que les Huns sont venus jusque Méharicourt mais, de cela, il ne reste aucune trace[9].

    Moyen Âge

    Le village a sûrement souffert de la Guerre de Cent Ans, qui a subi les ravages des Anglais et des Bourguignons, surtout au XVe siècle[9].

    Epoque moderne

    Aux XVIe et XVIIe siècles, ce furent la guerre de la Ligue et les invasions espagnoles qui touchèrent Méharicourt[9].

    Méharicourt est un ancien lieu de pèlerinage à saint Candide et saint Flamidien, martyrs de la Légion thébaine. Leurs reliques furent rapportées de Rome par le comte de Marcellus en 1688 qui les donna à M. de Blicourt, comte de Tincourt qui lui-même en fit présent à l'église Saint-Martin de Méharicourt. Ces reliques furent cachées pendant la Révolution française[9].

    Le XVIIIe siècle est une époque de prospérité et dès 1719, les habitants furent autorisés à travailler la laine.

    Epoque contemporaine

    En 1790, Méharicourt fut chef-lieu de canton mais il perdit ce titre au profit de Rosières[réf. nécessaire].

    XIXe siècle

    Au terme de l'épopée napoléonienne, le XIXe siècle débuta par l'invasion des Cosaques qui atteignirent Méhéricourt en 1814-1815.

    En 1830, lors de la conquête de l'Algérie par la France, un dénommé Dumont de Méharicourt planta le drapeau français sur les ruines fumantes d'Alger[9].

    1840 est une année de grande disette mais c'est à cette date que furent élaborées les rues du village au moyen d'une souscription de 3 000 F en faveur des ouvriers sans travail. À cette même époque, l'église est restaurée. Elle était jusqu'alors composée de différentes constructions élevées successivement et sans harmonie, selon le besoin progressif de la population. En 1842, le clocher, qui avait été bâti en 1607, est reconstruit. En 1863, une école de filles et une salle d'asile sont établies de façon définitive à Méharicourt.

    À la fin du XIXe, il n'y avait pas de bois ni de friche car chaque petit bout de terre était cultivé. Le gibier était peu abondant. Le village était surtout industriel et avait l'aspect d'un petit bourg. Il n'y avait pas de cours d'eau, on comptait tout au plus quelques mares qui étaient bien souvent à sec tandis que les eaux sauvages (pluie, neige) s'écoulaient vers Vrely par un petit ravin, causant notamment une inondation en 1856.

    En 1899, Méharicourt comptait trois usines à vapeur pour le tissage de la laine. Elles occupaient 500 ouvriers et produisaient des bas, des chaussettes et des gilets de chasse[9].

    Première Guerre mondiale

    Le village de Méharicourt est touché par la Première Guerre mondiale et subit d'importantes destructions[11],[12],[13],[14],[15],[16],[17].

    Entre-deux-guerres

    La commune fut décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [18]. La reconstruction du village et de son église se déroula durant l'entre deux guerres.

    Seconde Guerre mondiale

    Un terrain d'aviation militaire avait été construit pendant la Première Guerre mondiale entre Méharicourt et Rosières. Il fut réaménagé en 1939 par l'armée anglaise et utilisé durant la Seconde Guerre mondiale par l'armée allemande comme « Flugplatz  Rosières En Santerre » sous le n° de code 510, et de à sous le n° 281. Les pistes furent aménagées avec les briques et les pierres de l'hôtel de ville de Rosières.

    Les Allemands y construisent :

    • trois pistes de 1620 m, bétonnées, balisées et équipées de rampes d’approche Lorenz et de moyens de percée ;
    • deux zones de dispersion totalisant 59 abris pour avions ;
    • un bataillon de Flak comprenant une batterie de 6 canons de 88 mm et 8 sections de 4 à 6 canons de 20 et 37 mm, qui assure la défense antiaérienne du terrain[19],[20],[21].

    Politique et administration

    Rattachement administratifs et électoraux

    La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[22]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Rosières-en-Santerre[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[24].

    Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[25],[26],[27]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [28], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [29].

    Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Claude Lasalle    
    mars 2008[32] 2020 Françoise Deflandre   Réélue pour le mandat 2014-2020[33]
    2020 En cours
    (au 4 août 2020)
    Claire Fournet    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2018, la commune comptait 591 habitants[Note 2], en augmentation de 4,23 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0051 1619591 0771 0911 0901 1021 1601 140
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0211 0501 0521 0251 0061 0311 0931 1701 123
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0981 028888400479447422366393
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    424429485512480538586570585
    2018 - - - - - - - -
    591--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Le village dispose d'une école primaire de 156 élèves à la rentrée 2017[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, rue Gaillandre. Une niche abrite une statue de saint Pierre et la tête de saint Martin, issue de la démolition de l'église en 1914[42].
    • Monument aux morts : situé en face de l'église, il fut offert par un couple d'Américains amis de la France ; il s'agit d'une fontaine sous forme d'obélisque entouré d'un bassin octogonal. Il honore la mémoire des morts de la commune au cours des deux guerres mondiales.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre-Charles Étévé, né en 1782 à Méharicourt, sergent au 6e régiment de la garde impériale, chevalier de la Légion d'honneur.
    • Emile-Irénée-Léon Lefèvre, né en 1838 à Méharicourt, sous-lieutenant et porte-étendard du 5e régiment de hussards sous le Second Empire, chevalier de la Légion d'honneur.
    • Philippe-Ambroise-Lucien Dumont, né en 1878 à Méharicourt, sous-lieutenant de tirailleurs marocains, Afrique du Nord de 1896 à 1912, campagne contre l'Allemagne 1914-1918, chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre avec palme et étoile d'argent.

    Bibliographie

    • Olivier Garcin, Le Santerre à l'amont de la Luce, histoire des origines à 1900, tome second : Rosières-en-Santerre et ses alentours, Mortagne-au-Perche, La Vague verte, 2016 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 081 - 5).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Delahaye, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens.
    10. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969 pp. 71-72
    11. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. La poste », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    12. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Un coin du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    13. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. La mairie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    14. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Une rue ; ruines », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    15. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Soldats au cantonnement », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    16. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Un poste de commandement », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    17. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. Un tissage incendié », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    18. Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17583.
    19. « Rosières-en-Santerre », Anciens aérodromes (consulté le ).
    20. « Aérodrome de Rosières/Méharicourt », B87 Rosières-en-Santerre, sur https://www.geocaching.com (consulté le ).
    21. (en) « Rosières/Méharicourt », Abandoned, Forgotten & Little known airfields in Europe, (consulté le ).
    22. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur http://www.prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france/, (consulté le ).
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    25. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    26. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    27. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    28. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    29. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
    30. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    31. « Les maires de Méharicourt », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    32. « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    33. « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « L'école sur le site du ministère de l'éducation nationale ».
    38. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Méharicourt (Canton de Rosières), d'après nature,  », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    39. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. L'église ; intérieur », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    40. Section photographique de l'armée, « Photo : Méharicourt. L'église ; intérieur », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    41. https://www.pop.culture.gouv.fr/search/list?mainSearch=%22M%C3%A9haricourt%22
    42. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 246 (ASIN B000WR15W8).
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