Louis-Lazare Zamenhof

Ludwik Lejzer Zamenhof[1] (en yiddish : אליעזר לוי זאַמענהאָף, Eliezer Lewi Zamenhof ; en polonais : Ludwik Łazarz Zamenhof ; en russe : Лю́двик Ла́зарь За́менгоф, Lioudvik Lazar Zamengof[2] ; en allemand : Ludwig Lazarus Samenhof ; en espéranto : Ludoviko Lazaro Zamenhof), dit en français Louis-Lazare Zamenhof, est un médecin ophtalmologiste né le à Białystok dans l'Empire russe et mort le à Varsovie.

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Né dans une famille juive, ses langues d’usage sont le yiddish, le russe et le polonais[3]. Il est connu pour avoir élaboré la langue construite espéranto dans son ouvrage Langue Internationale, publié en russe le sous le pseudonyme Doktoro Esperanto (« le docteur qui espère »). Il fut nommé une douzaine de fois au prix Nobel de la paix[4].

Biographie

L’enfance

Zamenhof en 1879

Louis-Lazare Zamenhof naquit le , à Białystok, actuel chef-lieu de la voïvodie de Podlachie au Nord-Est de la Pologne, sa langue paternelle était le russe et maternelle le yiddish. À l'époque, la Pologne n'existait pas en tant qu'État mais était partagée entre l’Autriche, la Prusse et l'Empire russe. La ville cosmopolite de Białystok faisait alors partie de l'Empire russe (gouvernement de Grodno) et était habitée par des Polonais, des Allemands et des Russes de religions diverses. Ville de 30 000 habitants, Białystok héberge quatre communautés et quatre langues qui forment des barrières sociales : le russe (4 000), polonais (3 000), allemand (5 000) et yiddish (18 000)[5].

Avec une telle diversité de nationalités, de religions, de langues et de mœurs, Białystok est le théâtre permanent de tensions et de graves incidents, tel le pogrom de Białystok. Louis Lazare en vient dès son enfance à s’interroger sur le moyen d’éradiquer les préjugés de race, de nationalité et de religion.

Né dans une famille juive, fils de Markus, professeur d’allemand et de français, auteur de manuels très renommés de langues et de géographie, rigoureux, très attaché à la culture du savoir, et de Rozalia (Liba), une mère sensible et profondément humaine, le jeune Zamenhof se passionne vite pour les langues. Il pense qu’au sein de chacune des communautés qu’il côtoie se trouvent des gens avec lesquels tout problème peut trouver une solution honorable. Il pense que l’impossibilité de communiquer joue un grand rôle dans cette situation et qu'une passerelle linguistique ouvrirait la voie à des relations plus constructives.

Le premier projet de langue internationale

Unua libro - 1887

Alors qu’il aime la langue russe, Louis-Lazare voit pourtant cet état d’esprit, à l’échelle du monde, à travers une langue n’appartenant à aucun pays dominant, sans lien avec quelque nation que ce soit. Il s’attèle donc sans tarder à la tâche. Il n’a que 19 ans lorsqu’il présente un projet baptisé « Lingwe Uniwersala » à ses camarades de lycée[6].

Il se retrouve vite seul, et les circonstances vont quelque peu perturber ses projets. Son père l’envoie étudier la médecine à l’université de Moscou. Hostile à des activités qu’il juge chimériques et craignant que des documents qui puissent sembler être chiffrés n’attirent des ennuis à son fils, il lui fait promettre de ne pas s’occuper de cela durant ses études, et garde les notes et manuscrits sous clé.[réf. souhaitée]

L’étudiant

À Moscou, les études de médecine n’empêchent pas Louis-Lazare de toujours s’intéresser aux langues. À vingt ans, il rédige la première grammaire yiddish, restée non publiée[7]. Il tient malgré tout sa promesse quant au projet qui lui tient pourtant à cœur.

De par ses origines, la question juive le préoccupe aussi. Il prend part à des activités sionistes visant à établir une colonie, voire un pays, où le peuple juif pourrait vivre sa propre vie. Il se rendra compte, après son retour à Varsovie, de la contradiction entre un tel projet et ses aspirations à unir les peuples, d’autant plus que certains comportements excessifs l’inquièteront. Il décidera par la suite de se mettre avant tout au service de l’humanité tout entière, conscient que c’est seulement ainsi qu’il servira le mieux son peuple et lui restituera sa dignité.

Après deux ans d’études, il revient à Varsovie, certain que son père, homme scrupuleux, a conservé ses manuscrits en lieu sûr et qu’il pourra enfin reprendre ses travaux linguistiques. Mais sa mère lui révèle alors que son père a tout détruit. L’amertume et la rancœur cèdent vite la place à la détermination. Quoi qu’il en soit, Louis-Lazare se sent désormais libre et se remet à l’ouvrage. Sa mémoire lui permet de reconstituer l’essentiel de sa langue. Il lui apporte des modifications et des améliorations. On sait qu’il effectua ses observations de linguistique comparée lors de ses études de médecine à Moscou, ceci grâce aux contacts directs qu’il avait avec des étudiants venus de toutes les régions linguistiques du vaste empire russe[8].

Le docteur

Louis-Lazare termine ses études à Varsovie puis s’installe comme généraliste. Ses premiers pas dans la vie professionnelle sont particulièrement pénibles. Il exerce sa profession dans des milieux défavorisés.

La douleur physique et morale de ses patients le bouleverse au point qu’il ne peut plus tenir. Il décide alors de changer de métier, et de se spécialiser en ophtalmologie. La pratique de cette spécialité, toujours dans des quartiers très pauvres à Kherson, près de la mer Noire, à Grodno, en Lituanie, puis à Varsovie, lui permet de vivre plutôt mal que bien. Il lui arrive bien souvent de renoncer à faire payer ses consultations et ses soins. Le jour, il soigne. La nuit, il travaille sur la nouvelle langue.

1887 : année de la chance

Le , après bien des difficultés, parmi lesquelles la censure et les obstacles financiers, résolus grâce à son futur beau-père, Louis-Lazare parvient à publier un premier manuel en russe sous le titre Langue Internationale. Il adopte alors le pseudonyme de « Doktoro Esperanto ». C’est par le biais de ce pseudonyme que nait le nom sous lequel la Langue Internationale se fera peu à peu connaître du grand public.[réf. souhaitée]

Il se marie le avec Klara Silbernik (1863-1924). Compagne enthousiaste, enjouée, dévouée, collaboratrice efficace, elle a épousé l’homme et partage l'aventure de cette création. Alexandre Silbernik, le père de Klara, sera toujours là lorsque surviendront des difficultés, partageant lui aussi l’idéal de son gendre et l’enthousiasme de sa fille.

Il travaille toujours intensivement, malgré bien des épreuves. Il écrit en prose et en vers et réalise de nombreuses traductions, afin que la Langue Internationale soit éprouvée, rodée, qu’elle n’ait rien à envier aux autres sur les plans de l’expression, de la précision, de l’esthétique. Des avis favorables se manifestent peu à peu : American Philosophical Society en 1889, Max Müller, l’un des plus éminents linguistes de l’époque, et Léon Tolstoï en 1894. En 1889 paraît la première liste de mille adresses ; il y en aura 5 567 en 1900, 13 103 en 1905[9].

La censure du régime tsariste n’est pas parvenue, en 1895, à empêcher l’essor de la langue qui a déjà franchi les frontières de l’Empire russe et qui gagnera les autres continents au début des années 1900. La littérature espérantophone se développe et des sociétés d’espéranto se fondent : 44 en 1902, 308 en 1905

1905 : premier congrès mondial d'espéranto

Plaque apposée sur la maison de Genève dans laquelle Zamenhof séjourna en 1905-1906.

Du 5 au , Boulogne-sur-Mer accueille le premier congrès mondial d'espéranto avec 688 participants de 20 pays. Preuve est faite que l’espéranto utilisé jusqu’alors essentiellement par écrit, fonctionne parfaitement. Pendant ce congrès, Zamenhof fonde une instance linguistique, le Lingva Komitato (comité linguistique), qui deviendra l'Akademio de Esperanto. Le Fundamento, qui fixe les 16 règles fondamentales de la langue, est adopté lors du congrès mondial de Boulogne.

Les congrès se suivront ensuite chaque année : 1906 à Genève, ville dans laquelle Zamenhof séjourna dès 1905, puis Cambridge, Dresde, Barcelone, Washington, Anvers, Cracovie (l’un des plus importants), Berne.

Le , tout est prêt pour accueillir à Paris 3 739 congressistes originaires de 50 pays. Ce congrès n’aura malheureusement pas lieu ; la Première Guerre mondiale vient d’éclater, et Zamenhof n’en verra pas la fin.

Ses talents

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La tombe de Zamenhof, à Varsovie

Zamenhof maîtrisait le russe, le polonais, l’allemand, l’hébreu, le yiddish et l'espéranto.[10] Il connaissait bien le latin, le grec ancien, l’anglais et le français, assez bien l’italien, et avait aussi quelques connaissances d’araméen, ce qui lui donnait une certaine connaissance de douze langues. Il avait en outre étudié le volapük, projet de langue internationale élaboré par Johann Martin Schleyer en 1879 qui échoua après une courte période de succès. Cette période dura suffisamment longtemps toutefois (1879-1889) pour ne pas discréditer l’idée de langue internationale construite.

Contrairement au fondateur du volapük[11], Zamenhof ne s’est pas comporté en propriétaire. Il avait renoncé à ses droits d'auteur et en 1912 lors du congrès de Cracovie, il avait déclaré qu’il ne serait plus jamais devant les congressistes, mais parmi eux. Il avait compris qu’une langue ne pouvait être l’affaire d’un seul homme, ni même d’un comité de linguistes[11]. Celle qu’il proposait au monde devait être capable de vivre sa propre vie, sans dépendre de son initiateur. [style à revoir]

Funérailles de Zamenhof à Varsovie

De 1912 à sa mort, il s’attacha surtout à des traductions et aussi à la réalisation pour les religions de ce qu’il avait fait pour les langues : extraire le meilleur d’entre elles pour en faire percevoir l’esprit plutôt que la lettre.

En 1984, on découvrit en Allemagne, que Zamenhof avait obtenu un brevet d’invention pour une machine à écrire. Faute d’argent pour la mettre sur le marché, il n’en profita pas. D’autres hommes eurent la même idée et l’exploitèrent.

Louis-Lazare Zamenhof est enterré au cimetière juif de Varsovie.

Homme d’abord

Zamenhof représenté en 1917

Zamenhof s’est toujours montré attentif à l’aspect humain des choses[non neutre]. Sans violence, il s’est battu sans autres armes qu’une inébranlable force morale afin que tous les peuples puissent retrouver leur dignité et dialoguer pacifiquement.

Les adversaires de Zamenhof, dont certains au sein du mouvement, se moquaient de lui en le traitant de « prophète juif » en raison de son rêve, qu’il appelait « l’idée interne », de réconcilier un jour l’humanité. Pour ces intellectuels, l’espéranto était uniquement à considérer comme un projet linguistique et ils ne songeaient qu’à discuter de questions de grammaire pour définir la marque du pluriel ou l’infinitif. Mais c'était justement cette idée interne qui enthousiasmait les simples adhérents voyant en elle le moyen d’arriver à une meilleure communication internationale[réf. nécessaire]. Cette opposition éclata lors du Congrès de Boulogne. Les dirigeants à qui Zamenhof avait communiqué le texte de son discours furent scandalisés de son ton messianique et prédirent une tempête de sifflets. En fait, ce discours fut accueilli par de longs applaudissements plusieurs fois répétés, tandis que les opposants, perdus dans la foule, se contentaient de prendre des mines de désapprobation. Le clivage se concrétisa par la suite, lors de la « crise de l’Ido » : un certain nombre d’intellectuels adhérèrent à cette nouvelle langue qui satisfaisait mieux leurs conceptions théoriques, mais seule une minorité d'espérantophones les suivirent et l'Ido finira par décliner.

Postérité

Un peu après la fondation de la Société des Nations (SDN), 13 pays incluant ensemble environ la moitié de la population mondiale, dont la Chine, l'Inde et le Japon recommandent , en , d'utiliser l'espéranto comme langue de travail additionnelle de l'institution. Cette recommandation se heurte au véto de la France dominé alors par une majorité conservatrice qui pense maintenir ainsi le statut du français comme première langue diplomatique.Néanmoins l'espéranto devient, particulièrement à partir de ce moment, la langue internationale auxiliaire de référence.

À partir des années 30 les espérantistes vont être fortement réprimés par les dictatures, particulièrement hitlérienne et stalinienne.

Rue Zamenhof à Tel Aviv (Israël)

Le 15 décembre est considéré comme le Jour de Zamenhof par de nombreux espérantistes. Il s'agit de l'anniversaire de Zamenhof, mais aussi le jour où à 19 ans il présenta à ses amis les ébauches de ce qui allait devenir l'espéranto. Les espérantistes profitent généralement de l'occasion pour se réunir.

De nombreux objets à travers le monde portent le nom de Zamenhof ou de l'Espéranto. Ces objets sont appelés ZEO (Zamenhof/Esperanto objektoj) et sont généralement des rues, mais peuvent être des bateaux, des bustes, des monuments, voire des astéroïdes[12]. Une liste sur la version Espéranto de Wikipédia compte notamment (en ) pour la France, 95 rues, places, ponts, squares…... portant le nom de Zamenhof, ainsi que cinq monuments lui étant dédiés. À cela s'ajoutent les rues, monuments, arbres dédiés à l'Espéranto ainsi que le musée national de l'espéranto à Gray (Haute-Saône), unique en France[13].

Parmi les bustes, on cite celui qui fut réalisé par l'artiste-peintre espérantiste Ludovic-Rodo Pissarro et exposé au Salon des indépendants de 1935[14].

Parmi les adeptes de l'Ōmoto, issue du shintoïsme, il est considéré comme un dieu. Cette religion reconnait de nombreux dieux (kamis) mais qui seraient les différents aspects d’un seul.[réf. souhaitée]

Jusqu'à son décès en 2005, le Japonais Itō Kanji a continué de réunir les écrits et discours de Zamenhof (49 volumes, soit plus de 20 000 pages) sous le pseudonyme de Ludovikito.[15]

Umberto Eco a déclaré, quant à lui, à propos de l’espéranto : « J’ai constaté que c’est une langue construite avec intelligence, et qui a une histoire très belle ».[16]

Le centenaire de la mort de Zamenhof est marqué le , par la clôture de l'année Zamenhof au siège de l'UNESCO[17].

Enfants

Famille du créateur Zamenhof, 1925

Louis-Lazare Zamenhof et sa femme Klara ont eu trois enfants : un fils Adam et deux filles Sofia et Lidia. Lidia Zamenhof devient enseignante de l'espéranto, voyageant en Europe et aux États-Unis et devient baha'ie. Les trois enfants de Louis-Lazare Zamenhof sont assassinés lors de l'Holocauste. Louis-Christophe Zaleski-Zamenhof, fils de Adam Zamenhof et seul petit-enfant de Louis-Lazare Zamenhof sera le seul survivant de la famille.

Adolf Hitler avait écrit dans Mein Kampf :

« Tant que le Juif n’est pas devenu le maître des autres peuples, il faut que, bon gré mal gré, il parle leur langue ; mais sitôt que ceux-ci seraient ses esclaves, ils devraient tous apprendre une langue universelle (l'espéranto, par exemple), pour que, par ce moyen, la juiverie puisse les dominer plus facilement[18]. »

Si bien qu'après l'invasion de la Pologne, la Gestapo de Varsovie reçoit l'ordre de « prendre soin » de la famille Zamenhof. Adam est donc tué dans un camp en 1940 et les deux sœurs sont assassinées dans le camp d'extermination de Treblinka en 1942[19].

Notes et références

  1. L'orthographe initiale de son nom en alphabet latin est Samenhof, conformément à la prononciation de l'allemand ; il le réécrit ensuite Zamenhof conformément à la prononciation de l'espéranto.
  2. Initialement Ла́зарь Ма́ркович Заменгоф, Lazar Markovitch Zamengof.
  3. Voir biographie : A. Zakrzewski, E. Wiesenfeld.
  4. « Espéranto, la langue qui se voulait "universala" », sur franceinter.fr, (consulté le )
  5. (en) Joshua A. Fishman, Language expansion and linguistic world order, Mouton de Gruyter, , p. 58.
  6. « Si je n'étais pas un Juif du ghetto, l'idée d'unir l'humanité ou bien ne m'aurait pas effleuré l'esprit, ou bien ne m'aurait pas obsédé si obstinément pendant toute ma vie. Personne ne peut ressentir autant qu'un Juif du ghetto le malheur de la division humaine. Personne ne peut ressentir la nécessité d'une langue humainement neutre et anationale aussi fort qu'un Juif, qui est obligé de prier Dieu dans une langue morte depuis longtemps, qui reçoit son éducation et son instruction d'un peuple qui le rejette, et qui a des compagnons de souffrance sur toute la terre, avec lesquels il ne peut se comprendre », Leteroj de Zamenthof, nº 92, p. 105, lettre du 21 février 1948 à Alfred Michaux, Éd. SAT, 1948
  7. Honoré Dutrey: Louis Lazare Zamenhof, in Hayom, 42, 2011
  8. Source
  9. Alain LELLOUCH, « Le docteur Zamenhof (1859-1917) : un médecin "qui espère" ! », sur https://www.biusante.parisdescartes.fr/ (consulté le )
  10. « Le Docteur Louis-Lazare Zamenhof, ou « le Docteur Espéranto » - Espéranto-France », sur esperanto-france.org (consulté le )
  11. Le créateur du volapük déclarait qu'il était l'unique propriétaire de la langue et la seule personne à pouvoir autoriser des changements. Dès lors, le volapük se dispersa, plusieurs réformes donnèrent naissance à des projets concurrents et le volapük perdit peu à peu la plupart de ses locuteurs.
  12. Voir l'article ZEO ou sur la version Espéranto de Wikipédia eo:Zamenhof-esperanto-objektoj.
  13. « Le Musée de l'Esperanto de Gray - Ville de GRAY », sur www.gray.fr (consulté le )
  14. Ludovic-Rodo Pissarro, peintre espérantiste
  15. (en) Humphrey Tonkin, Esperanto, Interlinguistics, and Planned Language, University Press of America, (ISBN 978-0-7618-0847-3, lire en ligne)
  16. « Umberto Eco et le pressentiment de l’échec de la démocratie linguistique – Commission Espéranto-Langues » (consulté le )
  17. « Commémoration de l’année Zamenhof à l’UNESCO - Espéranto-France », sur esperanto-france.org (consulté le )
  18. Joël Bienfait, Le croyant Hitler, Editions Atramento
  19. (en) Frank W. Hoffmann et William G. Bailey, Mind & Society Fads, New York, Haworth Press, , 285 p. (ISBN 978-1-56024-178-2, OCLC 23901342, LCCN 91004079), p. 116

Bibliographie

  • La fiche d’information (Z1) : SAT-Amikaro, 67, avenue Gambetta, 75020 PARIS.
  • L’homme qui a défié Babel, par René Centassi (eo) et Henri Masson ; avant-propos de Louis Christophe Zaleski-Zamenhof, Éditions Ramsay ; (ISBN 978-2-7475-1808-6) ; 2002
  • André Cherpillod, Zamenhof et le judaïsme, La Blanchetière, Courgenard, 1997.
    • (eo) André Cherpillod, Zamenhof kaj judismo, La Blanchetière, Courgenard, 1997.
  • André Cherpillod, L.L.Zamenhof, datoj, faktoj, lokoj, La Blanchetière, Courgenard, 1997.
  • Lionel Dupuy, Jules Verne espérantiste ! Une langue internationale pour une œuvre atemporelle, éd. SAT Amikaro, 2009
  • Robert Phillipson, La domination de l'anglais un défi pour l'Europe, p. 255 et s., Libre et Solidaire, 2019
  • Ulrich Lins, La dangera lingvo, UEA 2016, nouvelle édition actualisée, première édition en espéranto et allemand, 1973, traduit en japonais, italien, russe, coréen etc.

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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