Livarot-Pays-d'Auge

Livarot-Pays-d'Auge est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 6 254 habitants[Note 1]. Elle est créée le par la fusion de vingt-deux communes, sous le régime juridique des communes nouvelles. Les communes d'Auquainville, Les Autels-Saint-Bazile, Bellou, Cerqueux, Cheffreville-Tonnencourt, La Croupte, Familly, Fervaques, Heurtevent, Livarot, Le Mesnil-Bacley, Le Mesnil-Durand, Le Mesnil-Germain, Meulles, Les Moutiers-Hubert, Notre-Dame-de-Courson, Préaux-Saint-Sébastien, Sainte-Marguerite-des-Loges, Saint-Martin-du-Mesnil-Oury, Saint-Michel-de-Livet, Saint-Ouen-le-Houx et Tortisambert deviennent des communes déléguées.

Livarot-Pays-d'Auge
De haut en bas, de gauche à droite : le manoir de l'Isle à Livarot ; la chapelle Notre-Dame du Le Mesnil-Bacley ; le château de Fervaques ; le manoir de Bellou ; l'église des Autels-Saint-Bazile ; l'église Saint-André au Mesnil-Durand ; le château de Préaux-Saint-Sébastien.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lisieux Normandie
Maire
Mandat
Frédéric Legouverneur
2020-2026
Code postal 14140, 14290
Code commune 14371
Démographie
Population
municipale
6 254 hab. (2018)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 24″ nord, 0° 09′ 09″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 231 m
Superficie 180,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lisieux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Livarot-Pays-d'Auge
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Livarot-Pays-d'Auge
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Livarot-Pays-d'Auge
Géolocalisation sur la carte : France
Livarot-Pays-d'Auge
Géolocalisation sur la carte : France
Livarot-Pays-d'Auge
Liens
Site web livarot-paysdauge.fr

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 774 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1985 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records SAINT MICHEL DE (14) - alt : 140m, lat : 49°00'24"N, lon : 00°07'42"E
    Statistiques établies sur la période 1985-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1985 au 04-07-2021
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,7 3,5 4,9 8,1 10,6 12,6 12,7 10,4 8,1 4,4 2,2 6,8
    Température moyenne (°C) 4,4 5,1 7,5 9,5 13,2 15,9 17,9 18 15,3 12,1 7,6 5 11
    Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,4 11,5 14,2 18,3 21,1 23,2 23,3 20,3 16 10,8 7,8 15,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −19
    08.01.1985
    −14,7
    10.02.1986
    −9
    01.03.05
    −3,8
    12.04.1986
    −1
    06.05.19
    1,7
    01.06.1989
    4,8
    12.07.00
    4,5
    26.08.1993
    2,1
    19.09.05
    −3,9
    30.10.1997
    −7,6
    20.11.1985
    −10,5
    29.12.1996
    −19
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    15,8
    13.01.1993
    20,8
    27.02.19
    25,1
    30.03.21
    28,8
    19.04.18
    31
    27.05.05
    37
    29.06.19
    40,1
    25.07.19
    38,7
    10.08.03
    33,6
    04.09.05
    29,3
    01.10.11
    22,7
    01.11.15
    16,3
    16.12.1989
    40,1
    2019
    Précipitations (mm) 66,7 54,6 61,1 58,5 64,6 64,8 61 60,9 68,7 77,9 77,5 76,5 792,8
    Source : « Fiche 14634001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Livarot-Pays-d'Auge est une commune rurale[Note 4],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Livarot-Pays-d'Auge, une unité urbaine monocommunale[10] de 6 323 habitants en 2017, constituant une ville isolée[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lisieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 57 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

    Toponymie

    Livarot

    La ville de Livarot est attesté tardivement sous les formes Livarou en 1137[15] ; Livarrot en 1155[16],[17] ; Livar(r)ou en 1156 ou 1157[18] ; Livarrou en 1180[19] ; Livarroth vers 1190[20] ; Livarrout en 1198[21], Lyvarrout en 1320 [22] ; Livarroul[23], Livaroh[24], Lyvarot et Lyverrotum au XIVe siècle[25]; Liverrot en 1620[26].

    L'explication étymologique de ce nom de lieu ne fait pas l'unanimité chez les toponymistes :

    • Albert Dauzat et Charles Rostaing, se basant sur une fausse attestation Livaron de 1137 (forme et date erronées), le qualifient d'« obscur », tout en évoquant un sous-dérivé d’ivos, mot supposé gaulois désignant l'if, et le déclarant peu probable[27]. Ils reprennent peut-être en cela des hypothèses antérieures. En réalité, le terme *ivos ou *īvos n'est pas attesté et devrait comporter un astérisque.
    • Ernest Nègre, raisonnant à partir de cette même forme erronée, considère qu'il pourrait s'agir du nom de personne germanique Liubwar, suivi du suffixe -o / -onem[28] et que la finale se serait modifiée par attraction des noms en -ot. Or, François de Beaurepaire note qu'un nom de personne germanique n'est jamais employé avec ce suffixe[29].
    • Dominique Fournier réfute Livaron (cacographie attribuable à Albert Dauzat, et mal datée) et se base sur la forme réelle Livar(r)ou issue de la Chronique de Robert de Torigni pour avancer l'hypothèse du nom de personne gallo-romain Libarius suivi du suffixe d'origine gauloise -avo qui explique la plupart des terminaisons en -ou de Normandie[30].

    Pays d'Auge

    Lors de la fondation de la commune nouvelle, le , on a tout simplement rajouté le mot Pays d'Auge, région naturelle où se trouve la commune.

    Le nom du pays d'Auge est mentionné dès le IXe siècle sous la graphie Algia, forme latinisée correspondant peut-être à un dérivé d'une hypothétique racine pré-latine °alg-, en relation possible avec la notion d'humidité. Au XIe siècle, on rencontre la forme romane Alge qui deviendra ensuite Auge[31]. Ce radical pré-latin semble être également présent dans le nom de l’ancien territoire d’Augerons dans l’Eure (Algerum 1050), divisé vers le XIIe siècle en deux paroisses : Saint-Aquilin-d'Augerons et Saint-Denis-d'Augerons. Le radical °alg- pourrait représenter un élargissement d'une racine pré-indo-européenne °al- que l'on pense retrouver dans le nom de l’Algot (Alegot 1108), affluent rive droite de la Vie à Saint-Loup-de-Fribois[32].

    Histoire

    La commune est créée le par un arrêté préfectoral du [33], par la fusion de vingt-deux communes, sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du de réforme des collectivités territoriales. Les communes d'Auquainville, Les Autels-Saint-Bazile, Bellou, Cerqueux, Cheffreville-Tonnencourt, La Croupte, Familly, Fervaques, Heurtevent, Livarot, Le Mesnil-Bacley, Le Mesnil-Durand, Le Mesnil-Germain, Meulles, Les Moutiers-Hubert, Notre-Dame-de-Courson, Préaux-Saint-Sébastien, Sainte-Marguerite-des-Loges, Saint-Martin-du-Mesnil-Oury, Saint-Michel-de-Livet, Saint-Ouen-le-Houx et Tortisambert deviennent des communes déléguées et Livarot est le chef-lieu de la commune nouvelle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    [34] Sébastien Leclerc LR Conseiller général puis départemental du canton de Livarot (depuis 2004)
    [35] mai 2020 Philippe Guillemot LR Retraité, vice-président de la communauté de communes du Pays de Livarot
    mai 2020[36] En cours Frédéric Legouverneur SE Cadre supérieur à la retraite, ancien maire de Saint-Michel-de-Livet (2014-2020)
    Les données manquantes sont à compléter.
    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Livarot
    (siège)
    14371CC du Pays de Livarot12,092 028 (2018)168
    Auquainville14028CC du Pays de Livarot9,56295 (2018)31
    Les Autels-Saint-Bazile14029CC du Pays de Livarot5,5349 (2018)8,9
    Bellou14058CC du Pays de Livarot7,39135 (2018)18
    Cerqueux14148CC du Pays de l'Orbiquet5,6682 (2018)14
    Cheffreville-Tonnencourt14155CC du Pays de Livarot7,72294 (2018)38
    La Croupte14210CC du Pays de Livarot3,45116 (2018)34
    Familly14259CC du Pays de l'Orbiquet10,71117 (2018)11
    Fervaques14265CC du Pays de Livarot10,67724 (2018)68
    Heurtevent14330CC du Pays de Livarot5,86191 (2018)33
    Le Mesnil-Bacley14414CC du Pays de Livarot4,47195 (2018)44
    Le Mesnil-Durand14418CC du Pays de Livarot9,86300 (2018)30
    Le Mesnil-Germain14420CC du Pays de Livarot8,67262 (2018)30
    Meulles14429CC du Pays de l'Orbiquet16,29358 (2018)22
    Les Moutiers-Hubert14459CC du Pays de Livarot8,1339 (2018)4,8
    Notre-Dame-de-Courson14471CC du Pays de Livarot19,40368 (2018)19
    Préaux-Saint-Sébastien14518CC du Pays de l'Orbiquet3,7237 (2018)9,9
    Sainte-Marguerite-des-Loges14615CC du Pays de Livarot10,85181 (2018)17
    Saint-Martin-du-Mesnil-Oury14633CC du Pays de Livarot4,78109 (2018)23
    Saint-Michel-de-Livet14634CC du Pays de Livarot4,74163 (2018)34
    Saint-Ouen-le-Houx14638CC du Pays de Livarot5,2186 (2018)17
    Tortisambert14696CC du Pays de Livarot6,07125 (2018)21

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2018, la commune comptait 6 254 habitants[Note 6].

    Évolution de la population  [modifier]
    2014 2015 2016 2017 2018
    6 5166 4736 3926 3236 254
    (Sources : Insee à partir de 2014[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Lieux et monuments

    Auquainville

    Bellou

    Cheffreville-Tonnencourt

    La Croupte

    Fervaques

    Heurtevent

    • Manoir d'Heurtevent

    Livarot

    Le Mesnil-Durand

    Le Mesnil-Germain

    Les Moutiers-Hubert

    Notre-Dame-de-Courson

    Préaux-Saint-Sébastien

    Sainte-Marguerite-des-Loges

    Saint-Martin-du-Mesnil-Oury

    Saint-Michel-de-Livet

    Tortisambert

    • Manoir de la Varinière

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Livarot-Pays-d'Auge », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Charte de Robert de Thorigny.
    16. Pouillé de Lisieux, p. 54, 4.
    17. Charte confirmative de Goscelin Crespin et de son fils Guillaume, 1155, in « Histoire de l’abbaye du Bec », Études Lexoviennes I, 1915, p. 656.
    18. Léopold Delisle, Chronique de Robert de Torigni, abbé du Mont-Saint-Michel, Le Brument, Rouen, vol. I, 1872, p. 207; entrée concernant l'an 1137.
    19. Magni rotuli, p. 27.
    20. Charte pour Saint-André-en-Gouffern, n° 18.
    21. Magni rotul. scacc. p. 65, 2.
    22. Fiefs de la vicomté d’Orbec.
    23. Charte de Saint-André-en-Gouffern, n° 779.
    24. Charte de Saint-André-en-Gouffern, n° 300.
    25. Pouillé de Lisieux, p. 54.
    26. Carte de Le Clerc.
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 ( (ISBN 2-85023-076-6)), p. 406.
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. II, Librairie Droz, 1990, p. 865
    29. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, 1981 ( (ISBN 2-7084-0067-3)) (OCLC 9675154).
    30. Dominique Fournier, « Les noms de lieux du pays de Livarot »; vol. I : communes, anciennes paroisses, principaux cours d’eau, Éditions des Mortes-Terres, Saint-Georges-en-Auge, 2010, p. 40-42. Information reprise dans Ouest-France, 14 octobre 2010 (l'article n'est plus en ligne).
    31. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, éditions Charles Corlet, Presses universitaires de Caen, 1996, p. 23
    32. Dominique Fournier, Les Noms de lieux du Pays d’Auge (communes, hameaux, lieux-dits) ; vol. I : éléments pré-latins (gaulois ou transmis par le gaulois), coll. « Patrimoine du Pays d’Auge », supplément au no 54 du bulletin de la Société historique de Lisieux, p. 16-17.
    33. « Recueil des actes administratifs du 28 décembre 2015 », sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
    34. Christophe Lemoine, « Sébastien Leclerc élu maire de Livarot-Pays d’Auge », Le Pays d'Auge, 13 janvier 2016.
    35. Arnaud Truchet, « Livarot. Philippe Guillemot, nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
    36. « Municipales à Livarot-Pays-d’Auge. Les neuf adjoints et adjointes ont été installés », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    • Portail du Calvados
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.