Les Gets

Les Gets [le ʒɛ] est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Les Gets

Les Gets depuis le mont Chéry.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Bonneville
Intercommunalité Communauté de communes du Haut-Chablais
Maire
Mandat
Henri Anthonioz
2020-2026
Code postal 74260
Code commune 74134
Démographie
Gentilé Gêtois(es)
Population
municipale
1 227 hab. (2018 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 09′ 38″ nord, 6° 40′ 15″ est
Altitude Min. 900 m
Max. 1 820 m
Superficie 29,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Évian-les-Bains
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Les Gets
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Les Gets
Géolocalisation sur la carte : France
Les Gets
Géolocalisation sur la carte : France
Les Gets
Liens
Site web Lesgets.com

    Elle a obtenu le label « commune touristique » en raison notamment de la présence d'une station de sports d'hiver, reliée au grand domaine des Portes du Soleil.

    Géographie

    Le village se trouve au niveau du col des Gets, séparant la vallée d'Aulps au nord de celle de Taninges au sud.

    Situé en moyenne montagne (1 200 m), dans le massif du Chablais, le village est très arrosé. Les précipitations venant de l'ouest sont en effet encore chargées de leur eau en arrivant dans le nord des Alpes puisqu'elles n'ont pas été arrêtées par le Massif central.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    La Côte-d'Arbroz Morzine
    N
    O    Les Gets    E
    S
    Taninges Verchaix

    Urbanisme

    Typologie

    Les Gets est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,4 %), prairies (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), zones urbanisées (5,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La première mention des Gets remonte à 1275 avec Giz[7]. On trouve ensuite vers 1344 la forme Giez[7]. Au XIVe siècle, d'après la monographie d'Hippolyte Tavernier, on trouve les formes Gez, Gietz, Gyets[7],[8]. La graphie de la commune s'écrit Lou Zhé selon la graphie de Conflans ou encore Los Jèts selon l'ORB[9].

    Le toponyme qualifiant l'habitat et le milieu pastoral aménagé dérive probablement du bas latin, gistum qui désigne simplement un habitat pastoral ou un abri temporaire pour l'homme et les troupeaux en bonne saison, c'est-à-dire au sens ancien un gîte[7].

    Mais il y a eu très tôt confusion avec l'activité de débardage hivernale qui consistait à jeter ou lancer des bois, c'est-à-dire gîter ou getter en ancien français, du haut des fortes pentes environnantes. Le mot « get(s) » désigne en francoprovençal un couloir par lequel on descend les bois coupés[8]. D'où l'hypothèse d'une filiation pour qualifier les pentes environnantes et de manière générique la montagne avec l'activité de getee en ancien français que l'on peut traduire par « jet ; abattis, coupe »[7]. Le professeur Charles Marteaux relève en 1918, que le verbe ancien français getter dérive du verbe classique jactāre qui a évolué en jettare[8], celui-ci donne plus tard en savoyard get désignant un « couloir pour la descente du bois en montagne », reprenant le sens donné par l'historien Hippolyte Tavernier, auteur d'une monographie sur les Gets (1886)[8]. Charles Marteaux considère qu'il s'agit de la même origine que pour la forme féminine du toponyme, La Giettaz[8].

    Le "gîte des Gets" désignait le lieu générique où l'on récupérait les bois jetés en amont. En réalité, il y avait évidemment plusieurs lieux d'atterrissage ou "gistes" (au sens second) correspondant à autant de couloirs ou trajets de lançage. En été, le partage des pâturages, initialement de statut indivis en manse puis en consortage ou association régulée, a amené l'existence de plusieurs gîtes au sens premier, ou étendues privées qui se sont nommés indifféremment gites ou gets au pluriel. Les dénominations hivernales et estivales ont fini par se confondre au sein du monde paysan qui parvenait à concilier par l'ordre du calendrier des travaux et par des pratiques de compensation ces activités parfois antagonistes. Le contexte de la mention du toponyme médiéval ou moderne permet à l'archiviste de préciser à quelle catégorie, habitat montagnard pastorale ou montagne d'exploitation forestière, appartient le mot employé[réf. nécessaire].

    Remarquons que les auteurs de Lieux en mémoire de l'alpe (1993) font une autre proposition exclusive, mais similaire à la première mentionnée, pour ce dernier toponyme, il désignerait « les espaces libres devant les chalets où l'on rassemble les troupeaux » qui se "jettent" ainsi à la pâture du giste[10].

    Histoire

    Pâturages des Gets tels qu'ils existaient au début du XXe siècle.
    L'érosion des sols, début du XXe siècle.

    La vallée de l'Arve semble habitée, dans sa partie nord, dès le Néolithique[11].

    Période médiévale

    Dans une monographie sur la commune, Maurice Bergoënd rappelle que « D'aucuns affirment que les premiers habitants des Gets furent des juifs »[12], l'historien et géographe Paul Guichonnet ajoutant qu'ils ont pu croire que le nom de « Les Gets » venaient de « Les Juifs »[13]. Les deux auteurs précisent que cette légende est récente et qu'il ne repose sur aucun fait historique[12],[13].

    Maurice Bergoënd indique que la première mention des Gets remonterait à la fin du XIe siècle[14]. Sa première mention remonte à la période 1135 et 1140, dans une charte de l'abbaye d'Aulps. Parmi les confins cités, on cite la Crête qui domine les Gets[15]. Entre 1135 et 1185, une autre charte du même fonds d'archives mentionne « la chapelle et le cimetière » des Gets dans le règlement d'un litige entre l'abbaye d'Aulps et le prieuré bénédictin de Contamines[16]. La principale activité des Gets, avant de devenir un village touristique (station de ski en hiver), était l'agro-pastoralisme ainsi que la valorisation du bois utilisé comme matériau de construction et combustible.

    Période contemporaine

    Les Gets devient une station de sport d'hiver. Elle est la première en France à s'équiper d'un télésiège en 1947[17].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1995  ? Denis Bouchet    
    mars 2001 mars 2008 Alain Boulogne ... ...
    mars 2008 En cours Henri Anthonioz ... ...
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

    En 2018, la commune comptait 1 227 habitants[Note 2], en diminution de 2,46 % par rapport à 2013 (Haute-Savoie : +6,11 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    1 1581 5071 3331 3441 5451 5641 2141 2801 262
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    1 3061 2761 1841 2221 2101 1251 1501 0901 002
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    908853828819747765831857986
    1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 - -
    1 0971 2871 3521 3321 2541 2601 227--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • . La 7e étape du Tour de France du centenaire passe par la côte des Gets, classé en 3e catégorie, juste avant de descendre vers Morzine. La côte fut franchie en tête par Richard Virenque lors de son échappée victorieuse.
    • 2004 : Championnats Mondiaux de VTT.
    • 24 au  : Ebouelle Contest 6 : cet événement sportif spectaculaire réunit des riders confirmés pour une compétition freestyle ski et snowboard[22].
    • 24-25- : Pass'Portes du Soleil.
    • 20 au  : Ebouelle Contest 7.
    •  : Festival international de la musique mécanique.
    •  : Championnats de France de VTT.
    • 4 au  : Édition finale de l'Ebouelle Contest, la 8e du nom.
    • . La côte des Gets est grimpée lors de la 7e étape du critérium du Dauphiné, franchie en tête par Yury Trofimov.
    • et 2017 : Étape Crankworx
    •  : Étape La Grande Odyssée
    • . La côte des Gets, classée en 3e catégorie, est grimpée lors de la dernière étape du critérium du Dauphiné, franchie en tête par Julian Alaphilippe.

    Économie

    • Immobilier : 6 556 €/m2, moyenne 2007.

    Tourisme

    Les Gets est l'une des 48 communes classées « commune touristique » du département[23]. La station a obtenu plusieurs labels : « Famille Plus Montagne »[24] ; « Stations villages de charme » ; « Stations grands domaines » ; « Village de charme » et « Montagne douce »[25], ainsi que. Elle fait partie également des stations françaises ayant le label Top of the French Alps (TOTFA)[25].

    En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 16 188 lits touristiques répartis dans 2 670 établissements[Note 3]. Les hébergements se répartissent comme suit : 1 077 meublés ; 4 résidences de tourisme ; 21 hôtels ; un établissement d'hôtellerie de plein air et 9 centres ou villages de vacances/auberges de jeunesse[26].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église de la Nativité-de-Marie des Gets.
    • L'orgue de l'église. Installé depuis sa restauration en 1994, cet instrument de musique mécanique, classé monument historique, est un orgue philharmonique automatique, unique en Europe, de 1 000 tuyaux (violons, flûtes, voix humaines, clarinettes, trompettes...) possédant un carillon et un métallophone.
    • Château de Cuar (attesté)
    • Maison forte des Gets (attesté)

    Patrimoine culturel

    • Le musée de la Musique mécanique qui expose d'anciens instruments mécaniques de musique du XIXe siècle.
    • L'exposition d'automates de la collection Roger et Gallet : des automates, réalisés chaque nouvelle année entre les années 1930 à 1950 et présentés dans les vitrines du faubourg Saint-Honoré puis exposés dans les vitrines des magasins des plus grandes capitales du monde. Après avoir été abandonnée pendant de longues années (à Mantes-la-Jolie et chez Sanofi), et grâce à l'effort de l'association de la musique mécanique, la collection entière, composée de 93 éléments, est présentée depuis 1994.

    Des films ont été tournés sur le territoire de la commune. Ainsi, à titre d'exemple, on peut citer :

    • Roger Vadim (1928-2000). Fin 1938, il a 10 ans lorsque son père décède à Morzine. En septembre 1939, sa mère, lui et sa sœur Hélène, s'installent en location dans une ferme du hameau des Folliets. Aux Gets, il fait la rencontre de son ami Yves Robert, le futur metteur en scène. Toute sa vie, il resta fidèle aux Gets où il tourna certains extérieurs de ses films Les Liaisons dangereuses, L'Amour fou et Hellé et où il venait avec Marie-Christine Barrault à la fruitère des Perrières. En 1992, il achète une ancienne ferme au Plan-Ferraz[27].
    • Le film La Première Étoile réalisé par Lucien Jean-Baptiste est tourné au Gets. En partie autobiographique, il raconte avec tendresse la découverte de la neige par une famille antillaise.
    • Les Edelweiss est un téléfilm français réalisé par Stéphane Kappes avec Claire Keim, Marie-Anne Chazel et Edouard Montoute. Une avant-première a été diffusée aux Gets avec la présence de Marie-Anne Chazel ().

    Espaces verts et fleurissement

    En 2014, la commune obtient le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris[28].

    Personnalités liées à la commune

    Sportifs de renom de la station :

    Héraldique

    Les armes des Gets se blasonnent ainsi : D'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d'un griffon, le tout du même.

    Adopté en 1975. La commune a repris les armes de la famille de Bénevix, avec l'accord des descendants.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 593-597, « Gets (Les) », 561-566, « Le canton de Taninges ».
    • Maurice Bergoënd, Les Gets au fil des siècles : Monographie, , 64 p. (ISBN 978-2-402-20373-9, lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    3. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[26].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. D'après Henry Suter, « Les Gets », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
    8. Charles Marteaux, « Sur le sens et l'étymologie de quelques noms de lieux savoyards », Recueil des travaux de l'Institut de géographie alpine, vol. 6, nos 6-2, (lire en ligne), p. 144.
    9. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 14
      préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    10. Hubert Bessat et Claudette Germi, Lieux en mémoire de l'alpe : toponymie des alpages en Savoie et Vallée d'Aoste, ELLUG, , 229 p. (ISBN 978-2-902709-82-3, lire en ligne), p. 149.
    11. Bergoënd, 1962, p. 6 (lire en ligne).
    12. Bergoënd, 1962, p. 9 (lire en ligne).
    13. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, lire en ligne), p. 89.
    14. Bergoënd, 1962, p. 8 (lire en ligne).
    15. Delerce (A.), Recherches sur le chartrier d'Aulps, Reconstitution, édition et commentaire des chartes d'une abbaye cistercienne de montagne (1097 - 1307), thèse de l'EHESS, 2009, volume 2, p. 262-263, n° 21.
    16. ibid., p. 278, n° 41.
    17. La Grande encyclopédie, Éditions Larousse, 1976, vol. 18 p. 10184.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. Ebouelle Contest sur le site officiel de l'Office du Tourisme des Gets
    23. « Communes touristiques et stations classées de tourisme », Accueil du portail > Tourisme > Territoires, sur site de la Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services - site entreprises.gouv.fr, (consulté le ). [PDF] « Liste des communes ou regroupement bénéficiant de la dénomination de commune touristique ou de groupement de communes touristiques ».
    24. « Famille Plus » (consulté le ).
    25. « Les Gets », sur site france-montagnes.com (consulté le ). Pour le critère Top of the French Alps : Lire en ligne.
      France Montagnes est une association qui regroupe des acteurs du tourisme de montagne en France.
    26. « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
    27. Hebdomadaire Le Messager du 17 février 2000
    28. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
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