Latour-de-Carol

Latour-de-Carol (La Tor de Querol en catalan) est une commune française, située en Cerdagne, dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Latour-de-Carol

Début de la ligne ferroviaire de Cerdagne et de ses « petits trains jaunes » à Latour-de-Carol.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Cerdagne
Maire
Mandat
Cécile Houyau
2020-2026
Code postal 66760
Code commune 66095
Démographie
Gentilé Carolans
Population
municipale
431 hab. (2018 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 27′ 57″ nord, 1° 53′ 23″ est
Altitude Min. 1 209 m
Max. 2 080 m
Superficie 12,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Latour-de-Carol
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Latour-de-Carol
Géolocalisation sur la carte : France
Latour-de-Carol
Géolocalisation sur la carte : France
Latour-de-Carol

    Ses habitants sont appelés les Carolans et les Carolanes.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Latour-de-Carol se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[1].

    Elle se situe à 86 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 47 km de Prades[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Enveitg (2,2 km), Ur (4,0 km), Dorres (4,6 km), Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes (5,4 km), Bourg-Madame (5,7 km), Palau-de-Cerdagne (8,4 km), Porta (8,5 km), Estavar (8,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Latour-de-Carol fait partie de la région de la Cerdagne, une haute plaine à une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'étend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomètres entre Mont-Louis et Bourg-Madame[5].

    Communes limitrophes de Latour-de-Carol[6],[7]
    Porta
    Enveitg
    Guils de Cerdanya
    (Espagne)
    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 1 209 à 2 080 mètres[8].

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[9].

    Hydrographie

    Le Carol, affluent en rive droite du Sègre, traverse la commune du nord au sud.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 8,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 11,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 684 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Léocadie », sur la commune de Sainte-Léocadie, mise en service en 1981[15]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,7 °C et la hauteur de précipitations de 567,3 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 86 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[19], à 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[21].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[22],[23]. Dans ce cadre, la commune fait partie [24]. Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[25],[26].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[28].

    • « capcir, Carlit et Campcardos », d'une superficie de 39 688 ha, présentent de nombreux habitats naturels alpins (pelouses, landes) et des milieux rocheux majoritairement siliceux. Le site héberge certaines espèces d'intérêt communautaire : Botrychium simplex, Ligularia sibirica pour les plantes, Desman des Pyrénées et Loche pour les animaux[29] et au titre de la directive oiseaux[28]
    • « capcir,Carlit etCampcardos », d'une superficie de 39 760 ha, recèle une grande diversité d'habitats naturels se traduiant par un patrimoine ornithologique remarquable puisque le site accueille la plupart des espèces caractéristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (Gypaète barbu, Circaète Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pèlerin), les galliformes (Lagopède, grand Tétras) ou les espèces forestières (Pic noir) et de milieux plus ouverts.[30].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[31] : la « vallée du Carol » (2 929 ha), couvrant 3 communes du département[32] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[31] : la « Basse Cerdagne » (3 916 ha), couvrant 12 communes du département[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Latour-de-Carol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[34],[35],[36]. La commune est en outre hors attraction des villes[37],[38].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35,3 %), forêts (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,5 %), prairies (11 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,6 %), mines, décharges et chantiers (4,1 %), zones urbanisées (3,3 %), terres arables (0,6 %)[39].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Latour-de-Carol est divisé en plusieurs hameaux, tous situés à proximité de la vallée du Carol. Ceux-ci sont, du nord au sud : Quers, Riutès, Latour-de-Carol et Iravals. On trouve également des hameaux plus isolés : San Pere de Sedret, au sud-ouest d'Iravals, et Salit au nord-est de Riutès[6].

    Logement

    La commune de Latour-de-Carol compte, en 2009, 486 logements. Parmi ceux-ci, 40,2 % sont des résidences principales, 48,6 % sont des résidences secondaires et 11,2 % sont vacants. 63,4 % des ménages de Latour-de-Carol sont propriétaires de leur résidence principale[40].

    Voies de communication et transports

    Le train jaune s’arrête en gare de Latour-de-Carol - Enveitg, gare internationale, entre les réseaux français et espagnol, située sur la commune voisine d'Enveitg. Elle possède trois écartements de voie différents : 1 000 mm (Ligne de Cerdagne), 1 435 mm (SNCF) et 1 668 mm (RENFE)[41].

    De nombreuses lignes du réseau régional liO desservent la commune : la 560 (Porté-Puymorens - Perpignan), la 562 (Latour-de-Carol - Puyvalador) et la 566 (Latour-de-Carol - Porté-Puymorens).

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est la Tor de Querol[42] ; les habitants sont els Querolans.

    Le hameau de Carol qui a donné son nom à la tour (aujourd'hui disparue) se situe plus haut dans la vallée, au nord-ouest sur la commune de Porta[6].

    Histoire

    Les premières traces d'habitation datent de 600 av. J.-C. et se trouvent à l'emplacement du hameau d'Iravals. Le peuplement s'est déplacé à partir du XIIIe siècle autour du hameau de Latour-de-Carol, délaissant en partie Iravals[43].

    Le , la commune de Porta est créée par détachement de Latour-de-Carol[44].

    Politique et administration

    La mairie.

    À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[45]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 28 août 1793 Bonaventure Moreno Vigo    
    28 août 1793 1795 Gil Duran    
    1795 1799 Étienne Rabat    
    1799 1800 Paul Garreta    
    1800 décembre 1807 Laurent Vigo    
    janvier 1808 janvier 1810 François Garreta    
    janvier 1810 juin 1811 Augustin Vernis    
    juin 1811 janvier 1816 Étienne Rabat    
    janvier 1816 décembre 1819 Quentin Isern    
    décembre 1819 4 mars 1831 Bonaventure Vigo Grau    
    4 mars 1831 août 1831 Étienne Rabat    
    août 1831 22 décembre 1831 Jacques Vernis    
    22 décembre 1831 21 février 1838 Étienne Garreta    
    21 février 1838 10 avril 1848 Paul Duran    
    10 avril 1848 22 juillet 1849 Quentin Yzern    
    22 juillet 1849 25 avril 1852 Paul Puig    
    25 avril 1852 8 juin 1858 Paul Duran    
    8 juin 1858 4 septembre 1870 Laurent Vigo    
    4 septembre 1870 20 septembre 1877 Augustin Garreta    
    20 septembre 1877 31 décembre 1877 Étienne Vernis    
    31 décembre 1877 21 janvier 1878 Thomas Vivès    
    21 janvier 1878 20 juin 1880 Augustin Garreta    
    20 juin 1880 18 mai 1884 Jean Barrère    
    18 mai 1884 7 avril 1910 Adolphe Ramonatxo    
    7 avril 1910 17 mai 1925 Jacques Vernis    
    17 mai 1925 8 novembre 1942 Joseph Naudon    
    8 novembre 1942 18 mai 1945 Pierre Monné    
    18 mai 1945 31 octobre 1947 François Marti    
    31 octobre 1947 21 mars 1964 Antoine Astor    
    21 mars 1964 19 mars 1971 Jacques Churet    
    19 mars 1971 11 mars 1983 Charles Churet    
    11 mars 1983 29 février 1984 Jean Delcor    
    29 février 1984 25 mars 1989 Francis Bosom    
    25 mars 1989 23 juin 1995 René Fourcade    
    23 juin 1995 2008 Albert Truno    
    mars 2008 21 février 2014 Marcel Peytavi[46],[47]   Ancien proviseur du lycée Joffre (Montpellier)
    mars 2014 En cours Cécile Houyau[48]    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1359 1365 1378 1515 1553 1709 1720 1765 1774
    90 f91 f26 f8 f3 f81 f95 f1 122 H1 156 H
    1789 - - - - - - - -
    223 f--------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1365 : dont 8 f pour Sainte-Eulalie et 5 f pour Yravals ;
    • 1378 : dont 4 f pour Ques, 5 f pour Ruitès, 3 f pour Sainte-Eulalie et 6 f pour Yravals ;
    • 1515 : dont 2 f pour Ques, 1 f pour Ruitès et 1 f pour Yravals ;
    • 1553 : pour Sainte-Eulalie ;
    • 1720 : pour la vallée de Carol ;
    • 1774 : 1156 H ou 109 f, dont 71 f pour Latour-de-Carol seulement, 33 f pour Carols et 5 f pour Iravals.

    Le hameau de Sainte-Eulalie est aujourd'hui sur la commune d'Enveitg et celui de Carol sur la commune de Porta[6].

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

    En 2018, la commune comptait 431 habitants[Note 8], en augmentation de 1,65 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0731 2951 3181 4631 5011 635660761661
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    695704734776631574615602540
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    548556529538554627570474383
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    359359381390364367386410421
    2018 - - - - - - - -
    431--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[52] 1975[52] 1982[52] 1990[52] 1999[52] 2006[53] 2009[54] 2013[55]
    Rang de la commune dans le département 95 104 99 112 117 118 115 116
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    L'école communale.

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Latour-de-Carol et Enveitg. Latour possède une école primaire avec section maternelle et élémentaire entre le CE2 et le CM2, et Enveitg accueille l'école élémentaire pour le CP et CE1[56]. L'école est située au sud du bourg.

    Le secteur du collège est Bourg-Madame[57].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale : 26 décembre[43] ;
    • Fête communale : 15 août[43].

    Sports

    Latour-de-Carol est un passage prévu lors de la 15e étape du Tour de France 2021 (Céret-Andorre-la-Vieille) à 114,1 km après le départ de Céret[58].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage est de 22 877 [59].

    En 2010, le revenu fiscal médian par unité de consommation est de 18 519 [40].

    Emploi

    L'effectif total de l'emploi sur Latour-de-Carol en 2009 est de 118 personnes, parmi lesquelles 75,1 % sont salariées. L'effectif total a diminué de 2,6 % de 1999 à 2009[40].

    En 2009, le taux d'activité des 15-64 ans est de 70,6 % et le taux de chômage de 6,1 %. La commune comprend au 17 demandeurs d'emploi toutes catégories confondues, parmi lesquels figurent 12 demandeurs d'emploi de catégorie A[40].

    Entreprises et commerces

    Église Saint-Fructueux d'Iravals

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    L'église Saint-Étienne.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé: aux 1er et 4e d'or à quatre pals de gueules, aux 2e et 3e de sable à la tour d'or, maçonnée du champ, ouverte et ajourée d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Culture populaire

    • La gare de Latour-de-Carol a été popularisée par Brigitte Fontaine dans sa chanson Lettre à monsieur le chef de gare de La Tour de Carol.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Association pour la protection du patrimoine et de la mémoire collective de Latour de Carol, André Balent et Bernadette Truno (photogr. Pierre Vinche), Latour-de-Carol, Latour-de-Carol, Mairie de Latour-de-Carol, , 39 p. (notice BnF no FRBNF37168542)
    • André Balent, « Les empreintes de Sant Quintí (Latour-de-Carol). Limites paroissiales au Moyen Âge et conflits territoriaux lors de la partition politique de la vallée de Carol (Cerdagne) en 1836-1838 », dans Roches ornées, roches dressées : Aux sources des arts et des mythes. Les hommes et leur terre en Pyrénées de l'Est. Actes du colloque en hommage à Jean Abélanet, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, (ISBN 9782354123192, DOI 10.4000/books.pupvd.4273)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[27].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Latour-de-Carol », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Latour-de-Carol et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Latour-de-Carol et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Latour-de-Carol », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 186-187.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Ste Léocadie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Latour-de-Carol et Sainte-Léocadie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Ste Léocadie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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