Lapeyrouse-Fossat

Lapeyrouse-Fossat est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Lapeyrouse-Fossat

Le château de Lapeyrouse.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des coteaux du Girou
Maire
Mandat
Corinne Gonzalez
2020-2026
Code postal 31180
Code commune 31273
Démographie
Gentilé Lapeyrousiens
Population
municipale
2 854 hab. (2018 )
Densité 301 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 34″ nord, 1° 31′ 02″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 215 m
Superficie 9,49 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pechbonnieu
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Lapeyrouse-Fossat
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Lapeyrouse-Fossat
Géolocalisation sur la carte : France
Lapeyrouse-Fossat
Géolocalisation sur la carte : France
Lapeyrouse-Fossat
Liens
Site web http://www.lapeyrouse-fossat.fr/

    Ses habitants sont appelés les Lapeyrousiens et les Lapeyrousiennes.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Lapeyrouse-Fossat se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 11 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à km de Pechbonnieu[3], bureau centralisateur du canton de Pechbonnieu dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Castelmaurou (2,1 km), Saint-Geniès-Bellevue (2,6 km), Saint-Jean (3,1 km), Saint-Loup-Cammas (3,1 km), Rouffiac-Tolosan (3,2 km), Montberon (3,9 km), Garidech (4,0 km), Pechbonnieu (4,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Lapeyrouse-Fossat fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[5].

    Lapeyrouse-Fossat est limitrophe de cinq autres communes.

    Carte de la commune de Lapeyrouse-Fossat et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Lapeyrouse-Fossat[6]
    Montberon Bazus
    Saint-Loup-Cammas
    Saint-Geniès-Bellevue Castelmaurou

    Transports

    La ligne 76 du réseau Tisséo relie le centre de la commune à la station Argoulets du métro de Toulouse.

    Géologie et relief

    La plus grande ville à proximité de Lapeyrouse-Fossat est la ville de L'Union située au sud-ouest de la commune à 5 km.

    Au nord, la zone essentiellement agricole dotée de grandes propriétés foncières et de terres de bonne valeur agronomique, correspondant à la plaine alluviale du Girou. Au sud, le secteur vallonné du territoire communal s'est progressivement urbanisé autour des anciens hameaux (Belloc, Engorp, Le Fossat, le village), et le long des principales voies de communication. Il reste quelques enclaves agricoles disséminées sur un parcellaire très petit.

    Hydrographie

    La rivière le Girou est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Lapeyrouse-Fossat.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 744 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[12] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : le « bois de Preissac » (107 ha), couvrant 4 communes du département[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Lapeyrouse-Fossat est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[22] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,6 %), zones urbanisées (32,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %), forêts (7,5 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Lapeyrouse-Fossat est un village ancien puisque déjà mentionné en 1254 comme fief de la baronnie de Castelmaurou, institué par l'évêque de Toulouse en faveur de Raimond de Castelnau. Le village a une double origine. Il a été formé des mots Lapeyrouse et Fossat, qui autrefois formaient deux communes distinctes, mais qui ont été réunies en une seule le . Il reste peu de vestiges de cette époque, hormis deux châteaux de style moderne, dont l'un du XVIIIe siècle.

    À noter l'existence de trois sites archéologiques recensés à ce jour par le service régional de l'archéologie et pour lesquels une protection dans leur état actuel se justifie. Il s'agit de la station gallo-romaine de Barranquet : une concentration significative de mobilier antique a été relevé en ce lieu. Les nombreux fragments d'éléments de construction et de décoration laissent entrevoir un important établissement rural ; de la station gallo-romaine de Bourrasse : une station antique caractérisée par des briques, des tuiles à rebord, des moellons de marne et de nombreux fragments de céramique ; des indices gallo-romains de Jouaninet : au nord-ouest de Jouaninet, une parcelle a livré des briques et quelques tegulae.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[28],[29].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la deuxième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes des Coteaux du Girou et du canton de Pechbonnieu (avant le redécoupage départemental de 2014, Lapeyrouse-Fossat faisait partie de l'ex-canton de Montastruc-la-Conseillère).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1965 Étienne Lacourt    
    1965 1984 Jean Saint-Geniez    
    1984 2001 Valère Chiodo    
    mars 2001 mars 2020 Alain Guilleminot[30] DVD [31] Ingénieur
    mars 2020 En cours Corinne Gonzales    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[32].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2018, la commune comptait 2 854 habitants[Note 7], en augmentation de 3,29 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    291256360399478686648642639
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    604595625595551562565533512
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    508507493421422385412443485
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    4936078941 2951 5962 0562 3732 6862 753
    2018 - - - - - - - -
    2 854--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[37] 1975[37] 1982[37] 1990[37] 1999[37] 2006[38] 2009[39] 2013[40]
    Rang de la commune dans le département 117 104 88 83 76 76 75 78
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé...) ont encore une place importante mais tendent à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque étant dans son aire urbaine.

    Enseignement

    Lapeyrouse-Fossat fait partie de l'académie de Toulouse.

    Lapeyrouse-Fossat dispose d'un groupe scolaire[41] : école maternelle et d'une école élémentaire, l'école Georges Brassens, située 1 chemin Jamebru. Elles font partie de l'académie de Toulouse.

    Manifestations culturelles et festivités

    Lapeyrouse Fossat confectionne chaque année la plus grande tarte aux fraises au monde (22 m²) avec des fraises du pays (500 kg de fraises). C'est à la force des bras que cette tarte géante de presque une tonne est acheminée à travers tout le village. Chaque année une trentaine de bénévoles participent à la confection de cette délicieuse tarte et des milliers de personnes viennent la déguster.

    Foyer rural, loisir et culture,

    Sports

    Chasse, pêche, basket-ball, football, tennis, rugby à XV[42], floorball[43], équitation,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Coteaux du Girou[44], (SITROM), et du syndicat de traitement DECOSET.

    La déchèterie la plus proche se situe sur la commune de Garidech.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L’église de l’Assomption (1516 et XIXe siècle)

    Cette église a été reconstruite sur les vestiges d’une église plus ancienne. Son premier clocher date de 1530. Pendant 270 ans aucun entretien notable de l’édifice n’a été effectué. Après les troubles révolutionnaires, une restauration d’ensemble s’est imposée. Elle a été menée à bien, de manière très lente, entre 1829 et 1848. Elle constitue une quasi-reconstruction. Ce bâtiment est édifié en brique rouge de la région. La façade avec un clocher-mur percé d'arc en mitre.

    L’intérieur a été réaménagée par les soins d'Auguste Virebent, notamment la galerie la chaire de nombreux socles de statue et surtout le groupe au dessus du maître Autel l'Asssomption de Marie. Son fils Gaston est l'auteur du chemin de croix en céramique. Le maître-autel en arbre polychrome date de 1777.

    Le Château de Lapeyrouse (XVIIIe et XIXe siècles)

    Le château est construit dans un immense parc planté d’arbres aux essences variées, comparables à ceux du Jardin des plantes. Aux XVIIIe et XIXe siècles, le château occupe une place essentielle dans la vie du village et constitue la tête d’une exploitation de plusieurs centaines d’hectares qui dépasse largement les limites de la commune, avec trois ensembles approximativement semblables : le groupe Lapeyrouse-Castelmaurou, l’ensemble de Buissaison au nord du territoire communal et le domaine situé sur la commune de Bazus. En 1901, monsieur Louis de Bazelaire de Saulcy, d'une famille d'origine lorraine, directeur de la Société Générale à Toulouse, en fait l’acquisition. Le château est la propriété de son petit-fils, M. de Rimonteil de Lombarès jusqu’en 2006.

    Le monument aux morts
    Kiosque à musique

    Personnalités liées à la commune

    Buste de Picot de Lapeyrouse
    Muséum de Toulouse

    Héraldique

    Son blasonnement est : Parti, au premier d'azur à la lettre P capitale d'argent, au second aussi d'azur au besant d'or, soutenu d'un croissant d'argent ; le tout sommé d'un chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Lapeyrouse-Fossat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Lapeyrouse-Fossat et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Lapeyrouse-Fossat et Pechbonnieu », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Lapeyrouse-Fossat », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station météofrance Toulouse-Blagnac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Lapeyrouse-Fossat et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lapeyrouse-Fossat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF le « bois de Preissac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    23. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    30. Emmanuel Haillot, « Lapeyrouse-Fossat. Alain Guilleminot fait rimer tranquillité et projets », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Résultats municipales 2020 à Lapeyrouse-Fossat », sur lemonde.fr (consulté le ).
    32. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Lapeyrouse-Fossat, consultée le 27 octobre 2017
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. http://www.lapeyrouse-fossat.fr/enfance-jeunesse/groupe-scolaire.html
    42. http://www.lapeyrouse-fossat.fr/infos-pratiques/quotidien/annuaire/search/83.html
    43. « Les Griffons d'OC ».
    44. http://www.cc-coteaux-du-girou.fr/vie-quotidienne/les-ordures-menageres
    • Portail des communes de France
    • Portail de la Haute-Garonne
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.