Landes-Vieilles-et-Neuves

Landes-Vieilles-et-Neuves est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Landes-Vieilles-et-Neuves

Mairie
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Christine Moreau
2020-2026
Code postal 76390
Code commune 76381
Démographie
Gentilé Landais
Population
municipale
134 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 16″ nord, 1° 37′ 49″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 230 m
Superficie 7,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Landes-Vieilles-et-Neuves
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Landes-Vieilles-et-Neuves
Géolocalisation sur la carte : France
Landes-Vieilles-et-Neuves
Géolocalisation sur la carte : France
Landes-Vieilles-et-Neuves
Liens
Site web http://www.landesvieillesetneuves.eu

    Localement, le nom de la commune est toujours précédé de « Les » mais le nom officiel n'a pas d'article.

    Géographie

    Localisation

    La commune est constituée d'un ensemble de hameaux agricoles normands. Le nord du territoire communal se trouve dans la Basse Forêt d'Eu.

    Elle est située sur un plateau de 200 à 232 m. d'altitude, comprenant des ravines descendant vers la Méline, affluent du fleuve côtier la Bresle.

    Landes-Vieilles-et-Neuves se trouve à 42 km au sud-est de Dieppe, cinquante kilomètres au sud-ouest d'Amiens et 55 km au nord-est de Rouen. Elle est située à dix kilomètres d'Aumale et quinze kilomètres de Neufchâtel-en-Bray.

    Communes limitrophes de Landes-Vieilles-et-Neuves
    Saint-Léger-aux-Bois Richemont
    Marques
    Le Caule-Sainte-Beuve Nullemont

    Hameaux et écarts

    La commune comprend plusieurs hameaux : Vert-Bois, Rougemare, Vieilles-Landes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 895 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Forges », sur la commune de Forges-les-Eaux, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 827,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le département de la Somme, mise en service en 1922 et à 38 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Landes-Vieilles-et-Neuves est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,3 %), forêts (28,1 %), prairies (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Commune instituée par la Révolution française issue de l'unification des Vieilles-Landes et des Neuves-Landes[21], et qui portait le nom de Lalande en 1793, Les Landes en 1801. Elle prit ultérieurement son nom actuel de Landes-Vieilles-et-Neuves[22].

    Le français lande est issu du gaulois landa et désigne une terre infertile, ce que devait être la caractéristique du lieu.

    Baril essart est l'ancien nom des Vieilles Landes[23].

    Histoire

    Une hachette en silex poli a été trouvée aux Vieilles-Landes en 1868 semblant indiquer une occupation préhistorique du site[24].

    Selon l'abbé Cochet[24], « Les Landes formaient autrefois deux paroisses, dont l'une s'appelait les Vieilles-landes et l'autre les Landes-Jeunes ou Neuves »

    L'ancienne gare des Landes-le-Caule, devenue une habitation.

    La gare des Landes-le-Caule, situé aux Landes-Vieilles-et-Neuves en limite du Caule, était desservie de 1906 à 1947 par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique Aumale-Envermeu des Chemins de fer départementaux de la Somme (bien que située en Seine-Maritime).

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie de 1802 à 1952 du canton de Blangy-sur-Bresle, année où elle intègre le canton d'Aumale[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Gournay-en-Bray.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la petite communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prescrit que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, celle-ci a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle, dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25],[26]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1823 1837 Charles Antoine Boutillier    
    1837 1840 Jean-Louis Foulon    
    1840 1848 Joseph Noël Cossard    
    1848 1852 Barthélémy Deniel    
    1852 1882 Doctrové Boutillier    
    1882 1884 Désiré Lefevre    
    1884 1897 Charles Delaquaize    
    1897 1908 Achille Lefevre    
    1908 1911 Julien Aubruchet    
    1911 1924 Albert Heurtevent    
    1924 1929 Achille Leroy    
    1929 1944 Evode Sageot    
    1944 1945 Victor Petit    
    1945 1956 Raymond Mamier    
    1956 1976 André Villier    
    1976 1995 Jean Dhermy    
    1995 mars 2014[27] Alain Blondin[28]    
    mars 2014[29],[30] En cours
    (au 27 mai 2020)
    Christine Moreau   Directrice d'école à Aumale
    Réélue pour le mandat 2020-2026[31]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2018, la commune comptait 134 habitants[Note 6], en diminution de 2,19 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    279249210265362352325315319
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    298260263260242225217208178
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    185182180162179190171202180
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    162149147105148132123134138
    2018 - - - - - - - -
    134--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'église.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Lambert, aux Jeunes-Landes, constituée de trois volumes emboîtés décroissants, et terminé par un chevet plat.
      La nef est construite en brique rouge et le chœur en galandage (mur constitué de briques posées sur champ). Le côté nord de la nef date du XVIIe siècle et le côté sud du XVIe siècle. La charpente est datée de 1531 et une des corniches est ornée d'une vigne chargée de feuilles et de raisins[24].
      La cloche est datée de 1526[35].
    • Château des Landes
    • Vestiges de l'ancien site de lancement de V1, en Basse Forêt d'Eu[36],[37].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Forges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Landes-Vieilles-et-Neuves et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Forges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Landes-Vieilles-et-Neuves et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 80 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Guy Chartier. Les toponymes des Xe et XIe siècles relatifs aux défrichements sur le territoire de l'actuelle Seine-Maritime. In: Annales de Normandie, 47e année, n°1, 1997. Etudes médiévales. Page 35.
    24. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 184, lire en ligne sur Gallica.
    25. « Histoire et patrimoine aux Landes-Vieilles-et-Neuves », sur https://www.landesvieillesetneuves.com (consulté le ).
    26. M. Coffin, G. et L. Gaudefroy, Promenade géographique historique touristique en Pays de Bray et en Vallée d'Yères, Tome VI. Editions Bertout (ISBN 2-86 743 196-4) page 179 : Maires des Landes
    27. Vincent Beny, « Municipales 2014 : Divorce aux Landes-Vieilles-et-Neuves : A 30 jours du 1er tour des élections municipales 2014, petit tour d’horizon des différentes forces en présence. L’ambiance sera tendue dans quelques communes du canton d’Aumale », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Réveil du 27 mars 2008.
    29. « Le renouveau… pour bientôt : Les Landes-Vieilles-et-Neuves. Christine Moreau, directrice d'école à Aumale, a présenté officiellement ses colistiers », Paris Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Canton d’Aumale : les premiers résultats et commentaires : Le premier tour des élections municipales livre ses premiers résultats. Surprise aux Landes Vieilles et Neuves où la liste d'Alain Blondin ne glane aucun siège », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Petite surprise aux Landes-Vieilles-et-Neuves avec l’élection dès le 1er tour de la liste complète conduite par Christine Moreau ».
    31. « Christine Moreau réélue à l’unanimité aux Landes-Vieilles et Neuves : Elue pour la première fois maire en 2014, Christine Moreau a retrouvé son siège. Elle sera secondée par Nathalie Blondin et Jacky Parisy », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Cloche », notice no PM76000965, base Palissy, ministère français de la Culture.
    36. « Les 21 sites de l'itinéraire de randonnée historique et de mémoire Read more at http://www.v1histoireetpatrimoine.fr/pages/les-sites-de-l-itineraire.html#D5d2rqmiasTSOsvT.99 », Histoire et patrimoine V1 en vallées de la Bresle et de l'Yères (consulté le ).
    37. Norbert Dufour et Christian Doré (préf. Daniel Pégisse), L'enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde guerre mondiale, Luneray, Éditions Bertout, , 295 p. (ISBN 2-86743-179-4, lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
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