La Salvetat-sur-Agout

La Salvetat-sur-Agout (occitan : La Salvetat d'Agot) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir La Salvetat et Agout (homonymie).

La Salvetat-sur-Agout

Vue générale de La Salvetat-sur-Agout.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc
Maire
Mandat
Francis Cros
2020-2026
Code postal 34330
Code commune 34293
Démographie
Gentilé Salvetois
Population
municipale
1 136 hab. (2018 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 06″ nord, 2° 42′ 14″ est
Altitude Min. 663 m
Max. 1 087 m
Superficie 87,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
La Salvetat-sur-Agout
Géolocalisation sur la carte : Hérault
La Salvetat-sur-Agout
Géolocalisation sur la carte : France
La Salvetat-sur-Agout
Géolocalisation sur la carte : France
La Salvetat-sur-Agout
Liens
Site web https://lasalvetatsuragout.fr

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc dans la zone que l'on appelle les Hauts cantons de l'Hérault. Elle est limitrophe du département du Tarn.

    Communes limitrophes

    La Salvetat-sur-Agout est limitrophe de sept autres communes dont quatre dans le département du Tarn[1].

    Carte de la commune de La Salvetat-sur-Agout et de ses proches communes
    Communes limitrophes de La Salvetat-sur-Agout[1]
    Lacaune
    (Tarn)
    Nages
    (Tarn)
    Lamontélarié
    (Tarn)
    Fraisse-sur-Agout
    Anglès
    (Tarn)
    Le Soulié Riols

    Lieux-dits et écarts

    Carte postale de l'arrivée du courrier (fin XIXe - début XXe siècle)

    La commune est la deuxième du département de l'Hérault en superficie, avec 8 755 hectares. Elle comprend de nombreux hameaux et quelque 139 lieux-dits, dont les principaux sont :

    • Arifat
    • Ayalet
    • Baliere
    • Baquier
    • Barthèses (les)
    • Barthézou
    • Belbèze
    • Bellevue
    • Belot
    • Beluguet
    • Besses Basses
    • Besses Hautes
    • Biquery
    • Bonabou
    • Bonneval
    • Bouldouires (les)
    • Bouriotte (la)
    • Broutille (la)
    • Burguet (le)
    • Cabanot
    • Cabrials
    • Cacavel
    • Cambarot
    • Cambou (le)
    • Camp del Tour
    • Camparut
    • Camporel
    • Camperdut
    • Canalasse (la)
    • Cantarane
    • Cas
    • Casteillet (le)
    • Caumezelles
    • Cavalié
    • Cabille
    • Cité de Marcouls
    • Citou
    • Cledelle (la)
    • Col d’Empy
    • Colombier
    • Combe Birot
    • Combe du Faux
    • Combe Rouge
    • Combecanden
    • Combesalat
    • Combette(la)
    • Combres
    • Condax
    • Couffignet
    • Cournut (le)
    • Coutelieres (les)
    • Crouzet (le)
    • Croye (la)
    • Dévès (le)
    • Dévèze (la)
    • Dévezel (le)
    • Douvieres (les)
    • Drayes (les)
    • Farguettes (les)
    • Faubourg Campemar
    • Faure
    • Félicien
    • Font Blanche (la)
    • Font Cabrials
    • Font dal roc
    • Font Rouge (la)
    • Fontalbes
    • Fonts (les)
    • Fournas (le)
    • Gache (la)
    • Gachette (la)
    • Gamelas
    • Gazel (le)
    • Gibou
    • Gieussels
    • Gorse Basse (la)
    • Gorse Haute (la)
    • Goudal
    • Goursolles (les)
    • Goutin fabre
    • Goutin pere
    • Goutine de Maur
    • Goutinemale
    • Grualgues
    • Gruasse (la)
    • Gua de la Vergne
    • Gua des Brasses
    • Guillou Bas
    • Guillou Haut
    • Jammou
    • Jasse (la)
    • Jasse de Sécun (la)
    • Jasse du Banès (la)
    • Jean Andrieu
    • Label
    • Laffachadou
    • Lanau
    • Larénas
    • La Roussille
    • Lassoubs
    • Lattes (les)
    • Layrolle
    • Lignères basses
    • Lixirié
    • Lunel
    • Madrague (la)
    • Maldinier
    • Malescalier
    • Marcouls
    • Mas d’Azais
    • Mégès
    • Meriat
    • Mirelac
    • Montblanc
    • Moulières
    • Moulin du Trou
    • Moutouse (la)
    • Nayriel
    • Ondes (les)
    • Padou
    • Pagès
    • Paillé de Bastide
    • Pastourel
    • Pause (la)
    • Pautru (la)
    • Pesseplane
    • Pesses (las)
    • Peyral (le)
    • Peyralade
    • Peyrebesse
    • Peyremale
    • Pioussourne (la)
    • Piquestelle
    • Pistre
    • Plaine de Cas
    • Plamelot
    • Planacan
    • Planchers (les)
    • Pode (la)
    • Pradelles de Cas (les)
    • Prat del Fau
    • Prat Tancat
    • Pré du Rey
    • Pré grand (le)
    • Primaube (la)
    • Querelle
    • Rajal (le)
    • Raziades (les)
    • Rebondin
    • Rec (le)
    • Reganard
    • Renquiere
    • Renteille
    • Resclause(la)
    • Rescol
    • Rey (le)
    • Rieu (le)
    • Rieu Blanc
    • Rieumajou
    • Roubillouse (la)
    • Roussille Basse (la)
    • Roussille Haute (la)
    • Roussolp
    • Roussolp petit
    • Roy
    • Sagne de Gos
    • Salvetat (la), village
    • Saujas le Bas
    • Saujas le Haut
    • Sénégas
    • Serayac
    • Serre (le)
    • Sidobre
    • Soult (le)
    • Suquet (le)
    • Tane (la)
    • Tautas (le)
    • Taverne (la)
    • Tenèle (la)
    • Triby (le)
    • Vaissiere
    • Valiere
    • Végende (la)
    • Verdier (le)
    • Vergne Escure
    • Vergne Redonde
    • Vernech
    • Vernets
    • Verniole
    • Vialanove
    • Vidals (les)
    • Violette (la)
    • Vivié (le).

    Hydrographie

    La commune est arrosée par l'Agout qui forme le lac de la Raviège et ses affluents la Vèbre et le ruisseau de Vernoubre ainsi que l'Arn un affluent du Thoré.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 8 755 hectares ; son altitude varie de 663 à 1 087 mètres[2].

    Voies de communication et transports

    Accès avec la route nationale 607, ainsi qu'avec les transports en commun Hérault Transport.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 417 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cambon-et-Salvergues », sur la commune de Cambon-et-Salvergues, mise en service en 1998[8]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 9,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 477,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 52 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 14,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[17]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[18],[19].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de l'Arn »[21], d'une superficie de 1 456 ha, dont le site est réduit au lit mineur du cours d'eau , concerne trois espèces aquatiques : Loutre, Moule perlière et Écrevisse à pattes blanches[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[23] :

    • la « tourbière de la Moutouse » (19 ha), couvrant 2 communes du département[24] ;
    • les « tourbières de Planacan, Verdier et de la Jasse » (100 ha), couvrant 2 communes du département[25],
    • la « vallée de l'Arn (et tourbière de Baïssescure et du Bourdelet) » (461 ha), couvrant 5 communes dont quatre dans l'Hérault et une dans le Tarn[26] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 5],[23] :

    • les « bois, landes, pelouses et zones humides des environs du lac du Laouzas » (7 053 ha), couvrant 5 communes dont deux dans l'Hérault et trois dans le Tarn[27] ;
    • le « massif du Somail » (23 004 ha), couvrant 11 communes dont dix dans l'Hérault et une dans le Tarn[28] ;
    • les « sagnes du plateau d'Anglès et bassin versant de l'Arn » (9 725 ha), couvrant 10 communes dont deux dans l'Hérault et huit dans le Tarn[29];
    • les « zones humides des Monts de Lacaune » (10 888 ha), couvrant 9 communes dont une dans l'Hérault et huit dans le Tarn[30].

    Urbanisme

    Typologie

    La Salvetat-sur-Agout est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[31],[32],[33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,3 %), prairies (25,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), eaux continentales[Note 7] (3,1 %), zones urbanisées (1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme ecclesiam de Salvetas en 1102[37].

    De salvetat, équivalent occitan de sauveté, évolution du bas latin salvitatem, soit « lieu d'asile ». Ces sauvetés ou salvetats étaient des villes nouvelles où l'on pouvait trouver refuge ou asile. Ces asiles étaient habituellement organisés par une autorité ecclésiastique, à partir du XIIe siècle, essentiellement dans le Midi de la France.

    Histoire

    Le peuplement de la commune remonte au Xe siècle, là où se trouvent la chapelle de Saint-Étienne de Cavall et le vieux pont des pèlerins sur la Vèbre. Pour des raisons de sécurité, les habitants s'installent au XIIe siècle au piton rocheux plus haut, un lieu de refuge fortifié, ce qui explique le nom de La Salvetat. Guillaume de Jourdain (Guillaume Jordan de Cornouailles) depuis la tour médiévale du Cazal défendait les remparts, mais ce seigneur fait en 1311, cession, rémission et donation à Pierre IV Roger, abbé de l'abbaye Saint-Pons de Thomières avec Arnaud de Roquecefières de tous les droits et fiefs qu'ils avaient sur le château et le terroir de La Salvetat. En 1317, cet abbé-évêque inféoda certains biens de la Bastide[38].

    On entrait en ville par une des trois portes : la Poterne, le Carretal et la Portanelle. Malgré ses défenses, la ville a été prise et le château et les remparts détruits et reconstruits plusieurs fois au cours de l'histoire, notamment au temps des Cathares et à l'époque des guerres de religion.[réf. nécessaire]

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « Société républicaine » en 1793[39].

    La commune portait le nom de La Salvetat ou La Salvetat-d'Anglès. Le , la Salvetat prend le nom de La Salvetat-sur-l'Agout[40]. Par le décret du , la commune prend le nom de La Salvetat-sur-Agout[41].

    Héraldique

    Les armes de La Salvetat-sur-Agout se blasonnent ainsi :

    « de gueules à une tour d'argent ajourée et maçonnée de sable, sommée de trois donjons d'or aussi maçonnés de sable, celui du milieu plus haut que les autres, le tout posé sur une rivière d'azur »[42]

    .

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[43],[44].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de l'arrondissement de Béziers de la communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc et du canton de Saint-Pons-de-Thomières.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1875   Auguste Roque    
    1878   Léopold Azaïs    
    1880   Emile Gros    
    janvier 1990 2008 Francis Cros PS Conseiller général du Canton de La Salvetat-sur-Agout (1992-2015)
    Ancien président de la communauté de communes
    mars 2008 2020 Thibault Estadieu DVD  
    2020 En cours Francis Cros    

    Population et société

    Démographie

    Ses habitants sont appelés les Salvetois. Au dernier recensement, la commune comptait 1136 habitants.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 8132 9193 1773 6493 9863 8454 0094 1744 260
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 0353 7773 8963 6683 6563 5483 6013 3203 124
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9992 8412 7112 2002 1041 9491 9191 6771 506
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 5321 3611 1151 1741 1531 1181 1941 2041 112
    2017 2018 - - - - - - -
    1 1411 136-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Service public

    Police municipale, caserne de sapeurs pompiers. En 2011 elle emploie 24 agents de la fonction publique territoriale[47].

    Enseignement

    La Salvetat-sur-Agoût fait partie de l'académie de Montpellier.

    La commune dispose d'une école maternelle et élémentaire.

    Santé

    Culture et festivités

    Cuisine languedocienne, Moments musicaux de La Salvetat-sur-Agout[49], festival de la poésie sauvage[50], festival country...

    Activités sportives

    Chasse, pétanque, randonnée pédestre, Orient'Raid, pêche, sports nautiques[51],

    Économie

    Tourisme

    Entreprise

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le village a fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France », mais n'est plus labellisé à ce jour.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • André Cablat, Condax, commune de la Salvetat-sur-Agoût du XVIe au XXe siècle, [La Salvetat-sur-Agoût], [Communauté de communes de la Montagne du Haut Languedoc héraultais], coll. « Mémoire de la Montagne du Haut Languedoc Héraultais », [1998], 131 p.
    • Michel Cros, Histoire de La Salvetat-sur-Agoût, [La Salvetat-sur-Agoût], [Communauté de communes de la Montagne du Haut Languedoc héraultais], coll. « Mémoire de la Montagne du Haut Languedoc Héraultais », [1998], 88 p.
    • Noélie Guiraud, La Salvetat-sur-Agoût, notre parler : mots et expressions d'origine ancienne, [La Salvetat-sur-Agoût], [Communauté de communes de la Montagne du Haut Languedoc héraultais], coll. « Mémoire de la Montagne du Haut Languedoc Héraultais », [1998], 71 p.
    • Aimé Guiraud, La Salvetat-sur-Agoût mon pays : la vie de tous les jours dans un village du Haut-Languedoc vers 1920, Montpellier, office départemental d'action culturelle de l'Hérault, coll. « Aires » (no 1), , 120 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Cambon-et-Salvergues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre La Salvetat-sur-Agout et Cambon-et-Salvergues », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Cambon-et-Salvergues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. Chiffres clés de la commune
    48. https://lasalvetatsuragout.fr/vie-locale/anciens-retraite/inauguration-maison-de-retraite/
    49. https://lasalvetatsuragout.fr/culture/moments-musicaux/
    50. https://lasalvetatsuragout.fr/culture/poesie-sauvage-2017/
    51. https://lasalvetatsuragout.fr/loisirs-et-sports/nautisme/
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