La Louvière

La Louvière (/la lu.vjɛʁ/ ; en wallon : El Lovire) est une ville francophone de Belgique. Elle se situe en Wallonie dans la Province de Hainaut.

Pour les articles homonymes, voir La Louvière (homonymie).

La Louvière

Héraldique
Administration
Pays Belgique
Région  Région wallonne
Communauté  Communauté française
Province  Province de Hainaut
Arrondissement La Louvière[1]
Bourgmestre Jacques Gobert (PS)
Majorité PS, ECOLO
Sièges
PS
PTB
MR-IC
PLUS & CDH
ECOLO
41
24
7
6
4
2
Section Code postal
La Louvière
Haine-Saint-Paul
Haine-Saint-Pierre
Saint-Vaast
Trivières
Boussoit
Houdeng-Aimeries
Houdeng-Gœgnies
Maurage
Strépy-Bracquegnies
Besonrieux
7100
7100
7100
7100
7100
7110
7110
7110
7110
7100
Code INS 58001
Zone téléphonique 064
Démographie
Gentilé Louviérois(e)
Population
– Hommes
– Femmes
Densité
80 820 ()
48,55 %
51,45 %
1 255 hab./km2
Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
– 65 ans et +
()
21,33 %
62,31 %
16,36 %
Étrangers 18,05 % ()
Taux de chômage 21,85 % (octobre 2013)
Revenu annuel moyen 11 294 €/hab. (2011)
Géographie
Coordonnées 50° 28′ nord, 4° 11′ est
Superficie
– Surface agricole
– Bois
– Terrains bâtis
– Divers
64,24 km2 (2005)
40,66 %
5,21 %
43,49 %
10,64 %
Localisation

Situation de La Louvière dans l'arrondissement de La Louvière et la province de Hainaut
Géolocalisation sur la carte : Belgique
La Louvière
Géolocalisation sur la carte : Belgique
La Louvière
Liens
Site officiel lalouviere.be

    La ville de La Louvière a été érigée par séparation de la commune de Saint-Vaast, officiellement signée et décidée par la loi du . La Louvière est fille de la Révolution industrielle ; c'est en effet le développement des industries lourdes (sidérurgie notamment) qui a entrainé son extension et son érection en commune distincte.

    La Louvière se situe à 50 km au sud de la capitale Bruxelles, à environ 260 km au nord-est de Paris, à 90 km à l’est de Lille, à environ 160 km à l’ouest d’Aix-la-Chapelle, à 20 km à l’est de Mons et à 30 km au nord-ouest de Charleroi. La Louvière se situe au centre d’un carrefour autoroutier européen, notamment avec la E19 (Amsterdam-Anvers-Bruxelles-Paris) et E42 (Lille-Charleroi-Liège-Francfort-sur-le-Main).

    La Louvière comptait 23 052 habitants avant la fusion des communes de 1977.

    Depuis la fusion des communes, La Louvière regroupe Boussoit, Haine-Saint-Paul, Haine-Saint-Pierre, Houdeng-Aimeries, Houdeng-Gœgnies, Maurage, Saint-Vaast, Strépy-Bracquegnies, Trivières, La Louvière et une partie de l'ancienne commune de Familleureux avec le hameau de Besonrieux.

    Géographie

    Limites de la ville

    La Louvière est composée des anciennes communes de La Louvière, Houdeng-Goegnies, Houdeng-Aimeries, Strépy-Bracquegnies, Besonrieux, Haine-Saint-Paul, Haine-Saint-Pierre, Saint-Vaast, Trivières, Maurage et Boussoit.

    Communes limitrophes de La Louvière
    Le Rœulx Seneffe
    Mons Manage
    Binche Morlanwelz

    Climat

    Le climat de la région de La Louvière est un climat tempéré océanique, comme pour l’ensemble de la partie occidentale de la Belgique, cela grâce à la proximité de l’océan Atlantique qui régule le temps grâce à l’inertie calorifique de ses eaux. Le climat peut être influencé par des zones humides et douces en provenance de l’océan, mais aussi par des zones sèches (chaudes en été et froides en hiver) en provenance de l’intérieur du continent européen.

    Climat de la région de La Louvière
    Mois J F M A M J J A S O N D Moyenne annuelle
    Températures (°C) (sous abri, moyennes) -0,4 2,7 6,4 8,5 12,9 17,7 20,6 16,9 14,3 11,2 6,9 0,2 9,8
    Précipitations (hauteur moyenne en mm) 36 100 49 54 66 72 78 76 70 70 66 46 783

    Étymologie

    La Louvière était le nom d'une ferme (La Grande Louvière, dont la Chapelle est encore visible) construite sur le territoire de Saint-Vaast, qui allait donner naissance, par la suite, à la ville actuelle de La Louvière. Ce nom est toutefois le résultat de nombreuses évolutions...

    L'abbaye d'Aulne possédait, sur les deux rives du Thiriau, d'importantes propriétés appelées dans les chartes du XIIe siècle « Menaulu » ou « Meneilut ». Ce mot roman (meigne au leu = repère du loup) est devenu en latin Luperia en 1157 et Lovaria en 1168. Le concept latin, retraduit en roman, a été transformé en « Lovière » en 1217, « Le Lovière » en 1284 pour aboutir au terme « La Louvière ». Il faut préciser qu'à l'époque, le territoire actuel de La Louvière était une parcelle de l'ancienne forêt charbonnière, constituée de bois sombres et d'une nature sauvage, endroit de prédilection pour les loups ainsi que le gibier que chassaient les seigneurs de l'époque[réf. nécessaire].

    Histoire

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    Saint-Vaast, localité du bassin houiller du Centre, comprenait plusieurs seigneuries foncières avec droit de charbonnage sur lesquelles le Seigneur du Rœulx avait haute justice. Parmi ces domaines se trouvait le fief situé à La Louvière et qui appartenait à la riche abbaye d'Aulne. Le haut justicier de Saint-Vaast avait permis d'effectuer des travaux de prospection. C'est ainsi que l'extraction de la houille a débuté dès 1390. Toutefois, l'abbaye a refusé longtemps de « laisser ouvrir sa terre », selon l'expression anciennement usitée. L'industrie charbonnière n'est donc devenue réellement productive qu'au début du XVIIIe siècle. Au fur et à mesure que les entreprises charbonnières se sont multipliées, que les moyens d'extraction se sont perfectionnés et que les formalités fiscales ont disparu, une exigence est apparue, à savoir assurer l'écoulement des produits que la consommation locale, à l'époque fort restreinte, ne pouvait épuiser. Des moyens de communication ont alors été créés, toujours plus nombreux et modernes: routes, canaux et, par la suite, lignes de chemin de fer. Attirées par la proximité de la houille indispensable à leurs activités, de nouvelles industries se sont installées à côté des charbonnages et ont ainsi créé de nouveaux débouchés.

    Sous la poussée vigoureuse des nombreuses industries qui s'y sont développées en très peu de temps, La Louvière s'est rapidement élevée vers la voie du progrès... On assiste alors à un phénomène curieux : La Louvière, toujours hameau de Saint-Vaast, est devenue de plus en plus florissante et a dépassé en importance et en activités le village dont elle dépendait. Elle était même l'objet d'intérêts municipaux plus importants que ceux prêtés à Saint-Vaast. La séparation est donc devenue nécessaire. Ce sont d'ailleurs les habitants de Saint-Vaast qui l'ont demandé, invoquant : "1° La distance qui sépare Saint-Vaast de La Louvière, 2° L'état d'abandon dans lequel laissait l'administration communale Saint-Vaast, 3° Les dépenses que les projets d'agrandissement conçus au profit exclusif de La Louvière occasionneraient, dépenses auxquelles ils pensaient que Saint-Vaast ne devait pas équitablement participer"[2]. Une loi décrétant l'érection de La Louvière en commune distincte a été votée le à la Chambre des représentants et le au Sénat et sanctionnée par le roi le [3].

    Alors qu'au début du XIXe siècle, La Louvière n'était pas même un hameau mais un simple et obscur « lieu-dit », elle prenait rang, un demi-siècle plus tard, parmi les communes les plus importantes du pays. Précisons que ce n'est qu'en 1985 que La Louvière a reçu l'autorisation de porter le titre de ville.

    C'est donc le domaine des religieux d'Aulne qui a donné son nom à la ville. Il existe par conséquent des rapports, des liens étroits, entre « La Louvière » d'aujourd'hui et « l'Abbaye d'Aulne » d'autrefois...

    C'est à La Louvière que fut fondée la maison Dewachter en 1865[4].

    Armoiries

    Les armoiries de La Louvière correspondent aux armoiries de l'Abbaye d'Aulne surchargées d'une louve, attribut particulier de la cité. Les armoiries de la nouvelle entité sont identiques à celles octroyées par Arrêté royal à l'ancienne commune le [5].
    Blasonnement : D’azur à la fasce d’argent, accompagnée en chef de trois merlettes du même, rangées, et en pointe d’une louve romaine au naturel[6].

    Personnalités liées à la ville

    L'archevêque Maurice Baudoux

    Éducation

    La ville de La Louvière est dotée d'un grand nombre d'établissements scolaires allant de l'école maternelle à l'enseignement supérieur.

    L'enseignement communal y est géré par le Département de l'Éducation de la Formation (DEF) dont les bureaux sont situés dans la Cité Administrative de la Place Communale.

    Patrimoine de la ville

    Religieux

    • Le Monastère rue Gustave Boël à La Louvière
    • La Chapelle de la Grande Louvière, à La Louvière
    • La Chapelle Notre-Dame-aux-Bois, à Houdeng-Aimeries
    • La Chapelle Notre-Dame-aux-Puits, à Trivières
    • L'église St-Joseph, Place Maugrétout à La Louvière
    • La Chapelle St-Julien, à Boussoit
    • L'église St-Jean-Baptiste, à Maurage
    • L'église St-Martin, à Strépy-Bracquegnies
    • L'église St-Joseph, à Strépy-Bracquegnies

    Civil

    Le château de La Closière (dit Château Boch) (1857-1862).
    • Le château de la Closière (conçu par Joseph Poelaert)
    • Le château Boël
    • Le château Gilson
    • Ascenseur de Strépy-Thieu

    Commencé en 1982 et inauguré en 2002, il permet de franchir une dénivellation de 73,15 mètres. Il était jusqu'en 2016 le plus grand ascenseur à bateaux du monde. Il remplace désormais six ouvrages, les quatre ascenseurs à bateaux du canal du Centre et deux écluses. Il constitue la fin d'un programme de mise au gabarit de 1 350 tonnes des voies navigables belges et permet le passage de bateaux de ce gabarit entre le bassin de la Meuse et celui de l'Escaut.

    Ascenseur de Strépy-Thieu.

    Industriel

    • Ascenseurs à bateaux du canal du Centre

    Les ascenseurs à bateaux du canal du Centre sont quatre ascenseurs hydrauliques pour bateaux construits en Belgique entre 1888 et 1917. Ils permettent de compenser ensemble une dénivellation de 66 mètres. De ces quatre ascenseurs, l'un permet de rattraper une dénivellation de 15,40 mètres, les trois autres de 16,93 mètres chacun. Les ascenseurs se trouvent sur un canal de liaison entre le bassin de la Meuse et l'Escaut, dénommé canal du Centre, à proximité de la ville de La Louvière, dans la province de Hainaut en Région wallonne.

    Ascenseur no 1 à Houdeng-Goegnies.
    • Bois-du-Luc

    Bois-du-Luc est l'un des plus anciens charbonnages de Belgique se situant à Houdeng-Aimeries, actuelle commune de La Louvière, et dont l'activité a cessé en 1973. La cité ouvrière a été construite entre 1838 et 1853. Le site a fait l'objet d'une réhabilitation et d'une mise en valeur culturelle (2002). Le site est classé patrimoine exceptionnel de Wallonie (1996) et a été inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO (2012).

    Muséal

    Monuments

    • La Louve
    • L'Appel
    • La Paix
    • Les Capteurs de Ciel
    • Le Loup blanc
    • L'Arbre

    Naturel

    • Réserve naturelle des étangs de Strépy

    Folklore

    À la Mi-Carême, La Louvière se réveille au son du roulement des tambours et du martèlement des sabots de ses Gilles. Issu d’une tradition vieille de 150 ans, le Carnaval du Laetare prend place dans la cité des Loups et, avec lui, trois jours d’un amusement intense autour d’un folklore chaleureux et accueillant.

    Événements

    Louvexpo

    Pour accueillir des expositions, la ville de La Louvière possède Louvexpo, un espace inauguré en 2012 sur le site de l'ancien Hall des expositions.

    Récurrents

    • Le Laetare - Carnaval de La Louvière
    • Décrocher la lune - Opéra Urbain (Événement triennal)
    • Power Festival - Festival de musique
    • Festival 5 sur 5 - Festival du cinéma documentaire
    • Fêtes de Wallonie
    • Les Rencontres d'Automne du Théâtre Action - Enragez-vous
    • Biennale ARTour - (Événement biennal)

    Isolés

    • 1935 - Exposition internationale sur le Surréalisme
    • 2001 - Visite princière, Parade des allumeurs
    • 2002 - Inauguration de la réfection du Bois-du-Luc, inauguration de l'ascenseur de Strépy-Thieu
    • 2003 - Visite royale
    • - Parade de Noël de RTL
    • 2012 - Durant l'année entière, La Louvière est métropole culture de la Communauté française de Belgique
    • - Parade de Noël de RTL
    • - Réouverture du Théâtre de La Louvière

    Loisirs

    Cinéma

    • Le Stuart

    Musique

    • Conservatoire de La Louvière

    Sport

    Démographie

    La ville de La Louvière comptait 23 052 habitants avant la fusion des communes et 81 154 habitants, 39 417 hommes et 41 737 femmes, au soit une densité de 1 263,29 habitants/km²[9] pour une superficie de 64,24 km².

    La commune de La Louvière est classée comme étant la dix-septième ville de Belgique (au ).

    Évolution démographique depuis 1846

    Les chiffres des années 1846, 1900 et 1947 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.

    • Source : DGS - Remarque: 1806 jusqu'à 1970=recensement; depuis 1971=nombre d'habitants chaque 1er janvier[10]
    Population La Louvière (habitants) :
    1846 1900 1947 1977 1994 2000 2002 2005 2008 2010 2012 2016 2017 2018 2019 2020
    16 726 57 594 73 901 77 859 76 907 76 568 76 533 77 013 77 616 78 071 78 774 80 430 80 740 80 464 80 564 80 926

    Politique

    Liste des bourgmestres de La Louvière

    Bourgmestres Mandat Parti
    Alfred Fagniart 1870-1872 Libéral
    Charles Nicaise 1872-1881 Libéral
    Gustave Boël 1881-1883 Libéral
    Désiré Grégoire ff 1884-1887 Libéral
    Victor Lechien ff 1888-1890 Libéral
    Augustin Gilson 1891-1896 Libéral
    Jules Mansart ff 1896-1898 PS
    Augustin Gilson 1898 Libéral
    Jules Mansart ff 1899-1903 PS
    Sylvain Guyaux fils 1904-1918 Libéral
    Victor Ghislain ff 1918-1921 PS
    Victor Ghislain 1922-1940 PS
    Camille Deberghe ff 1940 Libéral
    Raoul Goutier 1940-1942 ?
    Jean Gorain 1942-1944 ?
    Victor Ghislain 1944-1952 PS
    Fidèle Mengal 1953-1977 PS
    Léon Hurez 1977-1984 PS
    Michel Debauque 1984-2000 PS
    Willy Taminiaux 2000-2006 PS
    Jacques Gobert 2006- PS

    Amand Mairaux est considéré comme étant le fondateur de La Louvière en tant que commune mais n'a jamais été élu bourgmestre. Le jour précédant la reconnaissance de La Louvière comme commune, Mairaux meurt, en effet, frappé d'une crise d'apoplexie[11].

    Pressenti bourgmestre en 1869, Charles Nicaise n'est élu qu'en 1872. Un article injurieux rédigé par Jules Derideau envers le conseil communal paraît en 1869 et Nicaise choisit d'en assumer la responsabilité (par souci de dignité). Il démissionne alors et n'est pas élu bourgmestre. Il sort de la scène politique jusqu'aux élections suivantes, en 1872, où il est élu bourgmestre par arrêté royal, le [12].

    Camille Deberghe est un des 4 derniers conseillers communaux encore présents à La Louvière durant l'Occupation. Bien qu'élu bourgmestre, il n'en exerce jamais la fonction. Il est arrêté par les Allemands pour ses activités antinazies et est assassiné en 1944. L'ouvrage de référence Histoire et Petite Histoire de La Louvière ne le renseigne pas dans les bourgmestres officiels[13],[14].

    Il est considéré, en dépit de sa démission entre 1940 et 1944 sous l'Occupation, que Victor Ghislain est resté le seul bourgmestre de La Louvière entre 1921 et 1952[15]. Raoul Goutier (1940-1942) et Jean Gorain (1942-1944) sont des « bourgmestres » mis en place par l'occupant nazi après la mort de Camille Deberghe mais il ne leur a pas été reconnu le statut officiel de bourgmestre ou de bourgmestre faisant fonction.

    Composition du collège communal

    Le , lors des élections communales, le parti socialiste, mené par le bourgmestre Taminiaux, perd la majorité absolue qu'il détenait depuis 1977 dans la ville de La Louvière et depuis 1922 dans la commune de La Louvière.

    Résultats des élections de 1994
    Parti Voix Sièges (sur 41)
    PS 16 569 (44,13 %) 21
    PRL 5 723 (15,24 %) 6
    FN 5 420 (14,43 %) 6
    PSC 5 383 (14,33 %) 6
    Ecolo 2 523 (6,72 %) 2
    Résultats des élections de 2000
    Parti Voix Sièges (sur 41)
    PS 22 581 (55,99 %) 29
    PSC 5 260 (13,04 %) 5
    PRL-MCC 4 960 (12,29 %) 5
    Ecolo 2 851 (7,06 %) 2
    Résultats des élections de 2006
    Parti Voix Sièges (sur 41)
    PS 17 969 (41,71 %) 20
    MR 7 218 (16,75 %) 7
    cdH 5 958 (13,83 %) 6
    Front Nat 3 693 (8,57 %) 3
    Ecolo 2 822 (6,55 %) 2
    UDSC 2 504 (5,81 %) 2
    PTB+ 1 826 (4,24 %) 1
    Résultats des élections de 2018[16]
    Parti Voix Sièges (sur 43)
    PS 18 750 (43,41%) 24
    PTB 6 713 (15,54%) 7
    MR-IC 5 679 (13,15%) 6
    PLUS & CDH 3 875 (8,97%) 4
    ECOLO 2 980 (6,90%) 2

    Administration

    Jumelages

    La cité ouvrière « Carrés du Bois-du-Luc ».

    La ville de La Louvière est jumelée avec[17] :

    En outre, un pacte d’amitié a été officiellement signé avec[17] :

    Ces pactes d'amitié ont été signés à l’occasion des « Fêtes de la Paix » organisées par la ville de La Louvière en 1987 dans le cadre des fêtes de Wallonie où 16 villes ont signé un pacte d’amitié au terme duquel elles se sont solennellement proclamées « Villes de Paix ».

    Enfin la ville décide d’adopter le village de[17] :

    •  Șoarș (Roumanie) depuis le dans le cadre de l’opération « Villages Roumains » organisée au plan national.

    Notes et références

    1. Décret de la Région wallonne du 25 janvier 2018 modifiant les articles L1332-18 et L2212-6 ainsi que l'annexe 3 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation publié au Moniteur Belge du 5 février 2018 (Numac : 2018200534)
    2. Chambre des Représentants - Séance du 25 novembre 1868 - Érection de la commune de La Louvière - Rapport
    3. Loi du 10 avril 1869 portant érection de la commune de La Louvière, Moniteur belge du 11 avril 1869, p. 1277
    4. Le Pantheon de L'Industrie, Paris, 1891, p. 20
    5. Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 1 : Communes wallonnes A-L, Bruxelles, Dexia, , p. 471
    6. Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 1 : Communes wallonnes A-L, Bruxelles, Dexia, , p. 470
    7. « La Louviere : maires, journaliste, policiers in love(aria) », (consulté le )
    8. Association pour le progrès intellectuel et artistique en Wallonie (APIAW), p. 55-56 ; Connaître la Wallonie - Tendances diverses de la peinture en Hainaut, André Bougard, p 287
    9. http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/stat-1-1_f.pdf
    10. http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/population-bevolking-20190101.pdf
    11. Histoire et petite histoire de La Louvière volume 1, pages 170-176
    12. Histoire et petite histoire de La Louvière volume 1, pages 186-187
    13. http://connaitrelawallonie.wallonie.be/fr/lieux-de-memoire/deberghe-camille#.WRr6Q8bfPct
    14. Histoire et Petite Histoire de La Louvière volume 1, "Nos Bourgmestres"
    15. Histoire et petite histoire de La Louvière volume 1, pages 194-196
    16. « Résultats chiffrés | Elections 2018 », sur elections2018.wallonie.be (consulté le )
    17. Jumelages

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Isabelle Jacobs, Le patrimoine de La Louvière, Agence Wallonne du patrimoine, coll. « Carnets du patrimoine » (no 135), , 64 p. (ISBN 978-2-87522-176-6)

    Liens externes

    Sources


    • Portail du Hainaut
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