La Chapelle-Faucher

La Chapelle-Faucher est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir La Chapelle et Faucher.

La Chapelle-Faucher

Le chevet de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Dronne et Belle
Maire
Mandat
Sylviane Née
2020-2026
Code postal 24530
Code commune 24107
Démographie
Gentilé Chapellois
Population
municipale
404 hab. (2018 )
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 18″ nord, 0° 45′ 10″ est
Altitude Min. 114 m
Max. 213 m
Superficie 18,40 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brantôme en Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
La Chapelle-Faucher
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
La Chapelle-Faucher
Géolocalisation sur la carte : France
La Chapelle-Faucher
Géolocalisation sur la carte : France
La Chapelle-Faucher
Liens
Site web lachapellefaucher.fr

    Géographie

    Généralités

    La Chapelle-Faucher est une commune du nord de la Dordogne traversée d'est en ouest par la Côle, un important affluent de la Dronne.

    Situé 21 kilomètres au nord de Périgueux et 8 kilomètres à l'est de Brantôme, le bourg est traversé par la route départementale 3 et se trouve à moins d'un kilomètre de la route départementale 78.

    Communes limitrophes

    Carte de La Chapelle-Faucher et des communes avoisinantes en 2015.

    La Chapelle-Faucher est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 951 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 62 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Faucher est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (36,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,5 %), terres arables (4,7 %), prairies (1,5 %), zones urbanisées (1,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de La Chapela Fouchier[20].

    Histoire

    Au XIIe siècle, un moine nommé Fulchurius bâtit un édifice religieux[21]. Il est à l'origine du nom du village[21] qui s'appellera successivement Chapelle Fulchurius, puis La Chapelle Fulchier, La Chapelle Fouchet sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, et aujourd'hui La Chapelle-Faucher.

    Au XIIIe siècle, La Chapelle-Faucher et Jumillac-le-Petit étaient deux des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[22].

    Pendant la Guerre de Cent Ans, le Prince Noir incendia le village qui resta inoccupé une centaine d'années [21].

    En 1569, l’armée des protestants de l’amiral de Coligny fit enfermer 300 paysans dans le château et y mit le feu en représailles aux attaques subies par l'armée protestante[23].

    En 1827, la commune de Jumillac-de-Cole (village qui s'appelle de nos jours Petit Jumilhac) fusionne avec La Chapelle-Faucher.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune est rattachée du canton de Champagnac-de-Belair  appelé dans un premier temps canton de Champagnac, puis de Champagnac-de-Bel-Air  qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Nontron[24].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[25]. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[26],[27].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    (1880 ou avant) mai 1892 Cyprien Lafont Duchassaing    
    mai 1892 (fin 1896 ou janvier 1897) Léopold Menut    
    janvier 1897 mai 1912 Jérôme Jarreton    
    mai 1912 novembre 1947 Léopold Duchassaing[Note 5]    
    novembre 1947 avril 1962 Antoine Debord    
    avril 1962 mars 1977 Fernand Ganteille    
    mars 1977 mars 2001 Jean Brudieux    
    mars 2001 mai 2020 Christian Mazière DVD[28] Retraité des travaux publics
    Conseiller général du canton de Champagnac-de-Belair (2001-2015)
    mai 2020 En cours Sylviane Née    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, La Chapelle-Faucher relève[29] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de La Chapelle-Faucher se nomment les Chapellois[30].

    Démographie de Jumillac-de-Cole

    Jusqu'en 1827, les communes de Jumillac-de-Cole et La Chapelle-Faucher étaient indépendantes.

    Évolution de la population
    de Jumillac-de-Cole
    1793 1800 1806 1821
    267258227238
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[31])

    Démographie de La Chapelle-Faucher

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2018, la commune comptait 404 habitants[Note 6], en diminution de 1,7 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    493440440544900923861882877
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    901919921882869861881851852
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    733725701553622603580517493
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    464477478445398399379386419
    2018 - - - - - - - -
    404--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    La fusion des deux communes en 1827 a abouti à un apogée autour de 900 habitants qui a duré environ un demi-siècle (maximums : 923 habitants en 1836 et 921 en 1866). C'est ensuite un lent déclin qui continue au début du XXIe siècle avec le plus bas niveau enregistré en 2006 (372 habitants).

    Cultes

    L'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption dépend du diocèse de Périgueux et Sarlat.

    La chapelle orthodoxe Notre-Dame de la Sainte-Trinité dépend de l'Église syriaque orthodoxe antiochienne.

    Économie

    Emploi

    En 2015[35], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 181 personnes, soit 42,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (seize) a augmenté par rapport à 2010 (douze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-quatre établissements[36], dont onze au niveau des commerces, transports ou services, six dans la construction, six dans l'industrie, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[37].

    Entreprises

    Dans le secteur de l'industrie, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Barbarie » (fabrication de palettes) située à La Chapelle-Faucher se classe en 22e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 10 407 k€[38]. Tous secteurs confondus, elle figure parmi les cinquante premières de la Dordogne, en termes de chiffre d'affaires à l'exportation, se classant 24e avec 2 102 k€[39].

    Tourisme

    À compter du et pour une durée de cinq ans, La Chapelle-Faucher est déclarée commune touristique, en même temps que cinq autres communes de la communauté de communes Dronne et Belle : Bourdeilles, Brantôme en Périgord, Mareuil, Saint-Crépin-de-Richemont et Villars[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Pendant sa mobilisation, d'août 1914 à début 1919, c'est son adjoint, Louis Bouthiers, qui a fait fonctions de maire.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Chapelle-Faucher et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Chapelle-Faucher et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Le nom occitan des communes du Périgord - La Chapela Fouchier sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 septembre 2021.
    21. Panneau d'information à l'extérieur de l'église, à côté du portail
    22. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
    23. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, page 161, Éditions Ouest France, 1987
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    26. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 août 2020.
    27. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
    28. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 7.
    29. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    30. Fiche commune La Chapelle-Faucher, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Jumillac-de-Cole », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Faucher (24107) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
    36. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    37. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Faucher (24107) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
    38. « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
    39. « Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 33.
    40. Préfecture de la Dordogne, « Arrêté no 2016-0159 du prononçant dénomination commune touristique 6 communes membres CC Dronne Belle », Recueil des actes administratifs de la Dordogne normal no 3, août 2016, p. 272-274.
    41. Ermitage Saint-Colomban
    42. Notice no PA00082479, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. [PDF] DIREN Aquitaine - Site de Las-Fons
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