Saint-Pierre-de-Côle

Saint-Pierre-de-Côle est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Pierre.

Saint-Pierre-de-Côle

L'église Saint-Pierre-ès-Liens de Saint-Pierre-de-Côle.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Périgord-Limousin
Maire
Mandat
Franck Besse
2020-2026
Code postal 24800
Code commune 24485
Démographie
Population
municipale
425 hab. (2018 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 20″ nord, 0° 47′ 36″ est
Altitude Min. 119 m
Max. 237 m
Superficie 19,85 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Thiviers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thiviers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Pierre-de-Côle
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Pierre-de-Côle
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Saint-Pierre-de-Côle
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Pierre-de-Côle
Liens
Site web saint-pierre-de-cole.fr

    Géographie

    Généralités

    La Côle à Saint-Pierre-de-Côle.

    Saint-Pierre-de-Côle est une commune du Périgord vert, elle est traversée du nord-est au sud-ouest par la rivière la Côle, un important affluent de la Dronne.

    Situé en distances orthodromiques à 25 kilomètres au nord de Périgueux, à onze kilomètres au sud-ouest de Thiviers et à égale distance à l'est de Brantôme, le bourg est implanté à l'intersection des routes départementales 78 et 68.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Pierre-de-Côle et des communes avoisinantes.

    Saint-Pierre-de-Côle est limitrophe de six autres communes. Au nord-est, son territoire est distant d'environ 500 mètres de ceux de Saint-Romain-et-Saint-Clément et Thiviers.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 938 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[7] et qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 63 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pierre-de-Côle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thiviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,8 %), zones agricoles hétérogènes (33,1 %), prairies (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %), mines, décharges et chantiers (1,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de Saint-Pierre-de-Côle fait référence à l'apôtre saint Pierre[20] et à la Côle, la rivière qui l'arrose[21].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Peir de Còla[22].

    Histoire

    La première mention écrite connue du village apparaît à la fin du XIIe siècle sous la forme Sanctus Petrus de Cola[21].

    Au XIIIe siècle, Saint Pierre de Côle était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[23].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Pierre de Colle[24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Pierre-de-Côle est rattachée, dès 1790, au canton de Thiviers qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[25].

    Intercommunalité

    Au , Saint-Pierre-de-Côle intègre dès sa création la communauté de communes du Pays thibérien. Au , celle-ci est dissoute et ses communes  hormis Sorges et Ligueux en Périgord  rejoignent la communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac[26] qui, en prend le nom de communauté de communes Périgord-Limousin[27].

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[28],[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    (1844 ou avant) 1852 Antoine Pierre Prosper Deplaigne    
    1852 1855 Charles Clugniac    
    1855 septembre 1863 Du Verneuil[Note 6]    
    septembre 1863 (entre 1872 et 1874) Antoine Pierre Prosper Deplaigne    
     ? janvier 1874 Maury (fils)    
    janvier 1874 mai 1879 (Jacques) Charles Clugniac    
    mai 1879 (1880 ou 1881) François Queyroy   Boucher
    janvier 1881 mai 1884 Pierre Maury    
    mai 1884 mai 1908 Louis Du Verneuil (fils)    
    mai 1908 mai 1912 Pierre Chavanou   Instituteur en retraite
    mai 1912 (1918 ou 1919) Alexandre Amblard[Note 7]    
    (1918 ou 1919) décembre 1919 Pierre Chavanou   Conseiller municipal faisant fonctions de maire
    décembre 1919 (1919 ou 1920) Pierre Chavanou   Instituteur en retraite
    (1919 ou 1920) avril 1920 François Lacour   Adjoint faisant fonctions de maire
    avril 1920 mai 1935 François Lacour[Note 8]   Négociant
    mai 1935 septembre 1941 Henri Barbut   Négociant
    octobre 1941 septembre 1945 Jean-Marie Hellier du Verneuil   Administrateur de biens
        [Note 9]?    
    mai 1953  ? Roger Tallet SFIO  
        [Note 9]?    
    (1965 ou avant) 1969 Maurice Desthomas   Retraité
    août 1969 mars 1983 Jean Dubain    
    mars 1983 mars 1989 Charles Colin    
    mars 1989 mars 2001 René Buis    
    mars 2001 mars 2008 Jean Dubain   Retraité
    mars 2008 avril 2014 Gérard Fleurat-Lessard SE[30] Retraité des assurances
    avril 2014[31]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Franck Besse    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Pierre-de-Côle relève[32] :

    Démographie

    Les habitants de Saint-Pierre-de-Côle sont les Pétrus-Coliens.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2018, la commune comptait 425 habitants[Note 10], en diminution de 11,46 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8881 0168869851 0481 0761 0289321 030
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9851 0691 1481 1441 1551 1981 1251 048995
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    923942909798799698726716605
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    558539507490464448445445478
    2017 2018 - - - - - - -
    430425-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Analyse

    Après un maximum de 1 198 habitants atteint en 1881, la population de la commune est passée sous le seuil des 1 000 habitants à la fin du XIXe siècle et n'a cessé de décroître de 1936 à 2007. Une légère remontée s'est amorcée depuis.

    Économie

    Emploi

    En 2015[36], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 193 personnes, soit 41,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-huit) a augmenté par rapport à 2010 (dix-neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,6 %.

    Établissements

    Au , la commune compte cinquante-trois établissements[37], dont vingt au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'industrie, neuf dans la construction, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[38].

    Entreprises

    En 2015, l'entreprise Recymap s'installe sur la commune, en bordure de la route menant de Doumarias à Vaunac, dans un vallon asséché en temps normal ; elle s'occupe du recyclage des matières plastiques principalement collectées dans les déchetteries du département[39]. En , elle est mise en liquidation judiciaire et le site reste avec de nombreux déchets stockés à l'air libre, dont certains peuvent s'envoler lorsqu'il y a du vent[39]. L'ancien propriétaire comme le mandataire judiciaire n'ont pu assainir le site, faute de moyens financiers suffisants[39]. Début , un épisode de fortes pluies entraîne l'inondation du vallon et donc du site : certains déchets se trouvent alors déplacés dans les parcelles environnantes[39], et par ruissellement se trouvent emportés jusqu'à la Côle qui coule en contrebas, à environ 450 mètres vers l'ouest[40]. Selon une annonce de la préfecture, une grande partie des déchets a été transférée vers des installations classées et les trente tonnes restantes devraient être évacuées fin juin 2021[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Bruzac (ruines du), XIIe, XVe et XVIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1948[42], visitable[43]. Il s'agit en fait des ruines de deux châteaux sur le même site
    • Chapelle des Ladres, XVe siècle, inscrite depuis 1948, propriété privée[44]
    • Église Saint-Pierre-ès-Liens, romane des XIe et XIIe siècles, inscrite depuis 1926[45]

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Démissionnaire.
    7. Devient maire en mai 1912 à la suite du désistement de Louis Duverneuil. Pendant sa mobilisation de 1915 à 1918, c'est son adjoint François Lacour qui a fait fonctions de maire.
    8. Refuse un nouveau mandat en mai 1935, permettant ainsi à Henri Barbut de devenir maire.
    9. Registres de délibérations municipales absents de 1945 à 1965
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Coquille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Pierre-de-Côle et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Pierre-de-Côle et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 244-245.
    21. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 360-361.
    22. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 3 avril 2014.
    23. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
    24. « St Pierre de Colle » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2013)..
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. [PDF] « Arrêté no 2016/095 portant modification des statuts de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand », Préfecture de la Dordogne, 14 décembre 2016, p. 165-169.
    27. [PDF] « Arrêté no 24-2017-10-23-002 portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017, p. 170-172.
    28. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
    29. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 24 novembre 2020.
    30. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 28.
    31. À Saint-Pierre-de-Côle, Sud Ouest édition Périgueux du 9 avril 2014, p. 21.
    32. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. Dossier complet - Commune de Saint-Pierre-de-Côle (24485) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
    37. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    38. Dossier complet - Commune de Saint-Pierre-de-Côle (24485) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
    39. Valentin Larquier et Serge Simorre, « Des déchets à l'abandon, des riverains en colère », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 13.
    40. « Les riverains lancent une pétition », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 13.
    41. « Les derniers déchets plastiques de Recymap bientôt évacués », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 13.
    42. « Ruines du château de Bruzac », notice no PA00082889, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 13 mars 2011.
    43. Châteaux de Bruzac sur le site richesheures.net
    44. « Chapelle des Ladres de Bruzac », notice no PA00082888, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 13 mars 2011.
    45. « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00082890, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 13 mars 2011.
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