Jean Leloup

Jean Leclerc, né le à Sainte-Foy (aujourd'hui fusionnée à la ville de Québec)[1], et mieux connu sous le pseudonyme de Jean Leloup, est un auteur-compositeur-interprète canadien. Éclectique, il a touché divers genres musicaux, offert des vidéoclips audacieux, en plus d'étendre son champ d'activité au cinéma, à la télévision et à la littérature.

Pour les articles homonymes, voir Jean Leclerc et Leclerc.

Jean Leloup
Jean Leloup aux FrancoFolies de Montréal en 2003 par le photographe Victor Diaz Lamich
Informations générales
Surnom John the Wolf, Dead Wolf, Johnny Guitar, Johnny Welltiper, Massoud Al-Rachid, Roi Ponpon, J-Lo
Nom de naissance Jean Leclerc
Naissance
Sainte-Foy, Canada
Activité principale Auteur-compositeur-interprète
Activités annexes Acteur, cinéaste, écrivain
Genre musical Rock alternatif, pop rock, folk rock
Instruments Guitare, basse, batterie
Années actives Depuis 1983
Labels Audiogram, Grosse Boîte, Roi Ponpon
Site officiel www.roiponpon.ca

Biographie

Premières années

Né à Sainte-Foy en 1961[2] de parents québécois, Jean Leclerc a grandi en Afrique, plus précisément au Togo et en Algérie. C'est durant cette période de sa vie que la culture et le mode de vie de sa terre d'accueil l'influencent et on en retrouvera la marque plus tard dans plusieurs de ses chansons.

Il apprend la guitare en écoutant la musique des Rolling Stones, les Beatles et Jimi Hendrix. Il est aussi influencé par des icônes colorées de la musique française comme Jacques Dutronc, Jacques Higelin, Serge Gainsbourg et Michel Polnareff[3].

Il se fait remarquer au Festival international de la chanson de Granby en 1983 et il participe à l'opéra-rock Starmania en 1986, dont il se distanciera vite en raison de son caractère « propret ». Optant pour le nom de scène de Jean Leloup (surnommé John the Wolf par les fans et par lui-même), il apparaît sur scène à Montréal à la fin des années 1980. Dès le début de sa carrière, il fait des vagues avec ses chansons aux textes provocateurs[3].

Débuts et succès

En 1989, il lance son premier album Menteur et produit deux vidéoclips pour les chansons Alger et Printemps été. La pièce Bar danse sera même diffusée dans certaines émissions de radio. L'artiste renie aussitôt cet album dont il n'aime pas les arrangements. Il ne joue pratiquement jamais les chansons qui le composent en spectacle après 1989, à l'exception d'Alger et de Printemps été. Leloup se fait aussi remarquer par les entrevues peu sérieuses qu'il accorde aux journalistes[3].

En 1990, Jean Leloup enchaîne avec un second album, L'amour est sans pitié. Après des débuts modestes, l'album connaît des ventes importantes à la suite du lancement d’une chanson intitulée 1990, qui ne figure pas sur l'album original. Elle y est ajoutée au pressage suivant. 1990, qui fut un succès de l'année 1991, avait été composée lors du déclenchement de l'offensive alliée en Irak, ce qui constituait la première guerre du Golfe. Un clip tourné par le DJ montréalais James Di Salvio va contribuer au succès de cette chanson, qui va même acquérir une certaine notoriété en France et dans certaines discothèques aux États-Unis[3]. L'amour est sans pitié contient plusieurs succès, tels les pièces titres, Cookie, Rock and roll pauvreté, Nathalie et Isabelle. Cette dernière est appuyée par un autre vidéoclip remarqué, réalisé par Di Salvio, tourné en partie à New York et mettant en vedette le comédien Julien Poulin. L'amour est sans pitié est un succès en dehors du Canada, notamment en France, aux Pays-Bas, en Belgique et au Japon.

Expérimentations musicales

Après le succès considérable de L'amour est sans pitié, la carrière de Leloup tombe dans un long hiatus. Il s'écoule six années avant la parution de son troisième album, maintes fois recommencé. Le Dôme paraît en 1996. Dans le premier extrait, Le monde est à pleurer, Leloup se moque lui-même de ce long processus en lançant d'entrée de jeu : « after one year, after two years: John The Wolf! ». Le dôme est un succès critique et commercial incontestable[4], Jean Leloup maniant habilement les genres et ayant encore une fois recours à une pléiade de personnages divers[4]. Le rythme de ses compositions sur Le Dôme ralentit un peu et les chansons deviennent ainsi plus "planantes". Il sort aussi plusieurs clips vidéos pour les chansons Le monde est à pleurer et Johnny Go qu'il co-écrit avec E.P. Bergen et James Di Salvio bien avant la sortie de BV3. Leloup surfe une année sur le succès d'Edgar (une chanson sur Edgar Allan Poe), Sang d'encre ou encore l'énorme succès I Lost My Baby.

En 1997, Jean Leloup fait partie du collectif Bran Van 3000, créé par son ami James « Bran Man » Di Salvio et E.P.. Leloup prête sa voix à Forest, et le premier disque de Bran Van 3000, Glee est dédié à « John The Wolf ».

En 1998, Jean Leloup fait paraître Les Fourmis, un album qui allie nouvelles compositions et versions live d'anciens morceaux quelque peu modifiés. Les chansons en spectacle sont tirées de prestations au défunt bar d'Auteuil, à Québec[3].

Les performances sur scène de Jean Leloup, tantôt en spectacle intimiste, tantôt en version « Big Band », attirent des foules en délire[5],[6]. Il est reconnu pour ses spectacles intenses, même si certains ont été plus sobres[7]. Toutefois il est reconnu pour être une personne enflammée sur scène, remaniant ses succès selon son humeur et son inspiration[8].

« Fin » de Jean Leloup

À la fin 2002, Jean Leloup publie son cinquième album, La Vallée des réputations. Il indique quelques mois plus tard que c'est son dernier album. L'écriture se fait plus intimiste, par exemple dans le morceau Les Remords du commandant, ou encore dans le succès Balade à Toronto. Enregistré en collaboration avec des musiciens africains, l'auteur-compositeur penche même du côté du jazz en adaptant, pour conclure l'album, Petite Fleur de Sidney Bechet.

Leloup se retire officiellement le à Saint-Jean-sur-Richelieu. Ayant orchestré la journée de son suicide scénique, il demande à ses admirateurs de lui proposer une mort. Elle s'officialise avec la sortie de son film posthume La Mygale Jaune sur le coffret Exit. Entre des extraits de spectacle, on y montre le chanteur allant brûler les symboles les plus représentatifs de sa carrière : son haut-de-forme et sa guitare Jazzmaster 1959 originaux.

À partir de 2004, les activités de Jean Leloup se font sous le nom de Jean Leclerc (son véritable nom). Au mois d', il annonce un retour en musique le 20 septembre de la même année. Pour l’exercice, Leclerc s'associe au groupe Porn Flakes le temps d'une chanson intitulée Les Corneilles qui est alors diffusée sur les stations de radio québécoises et qui paraît sur l'album Porn Flakes[9]. Il collabore également avec Anik Jean sur son premier album, Le Trashy Saloon, paru le [10]. Entre-temps, il complète le conte philosophique Noir destin que le mien (anciennement : Le Tour du monde en complet) un projet en cours depuis plusieurs années. Il est finalement publié le aux éditions Leméac. Leclerc utilise le nom du personnage principal et narrateur de l'histoire, Massoud al Rachid, comme nom de plume[11].

Le , Leclerc diffuse sur son site web une nouvelle chanson, intitulée Mexico, et proclame : « Leloup est mort, vive Jean Leclerc ». Par voie de communiqué, il annonce du même souffle la sortie de l'album Mexico le . Il s'agit d'un album concept relatant la fuite vers le sud d'une femme et de son enfant après le meurtre de son mari violent. Il sort ensuite Tangerine, une chanson qui fait allusion à la déesse Tangerine de l'amour et au rock 'n' roll. Il diffuse également un troisième extrait de l'album, Cowboys groove, le pour les admirateurs abonnés à sa liste de diffusion. Son album Mexico, qui s'est vendu à plus de 60 000 exemplaires en six mois, a aussi été publié en version 33 tours par le label indépendant Grosse Boîte. Il existe seulement 535 exemplaires de cette édition limitée.

Retour de Jean Leloup

Jean Leloup rebondit à Montréal le .

Le , il fait un spectacle au Colisée de Québec devant 6 500 personnes dans lequel il crée un spectacle multidisciplinaire, qu'il appelle pow-wow, mêlant rock, danse contemporaine, univers amérindien etc. Les critiques sont pour la plupart très mauvaises voire massacrantes[12],[13],[14],[15]. Elles relatent les insultes que Jean Leloup a lancées au public parce qu'il le trouvait trop peu dynamique. Les critiques soulignent que l'artiste a toujours eu cette attitude particulière sur scène[13]. Considérant qu'il est allé trop loin et constatant le tollé suscité par sa performance, il fait ses excuses au public quelques jours plus tard déclarant « j'ai mal réagi ! »[15].

Son album Mille excuses milady est sorti en magasin le sous son ancien nom de scène « Jean Leloup »[16]. Lors de sa présence à l'émission Tout le monde en parle, diffusée sur les ondes de Radio-Canada lors de la saison 2009, il explique le retour de son ancien nom par un simple oubli. En effet, selon ses dires, il avait complètement oublié qu'il avait « tué » Jean Leloup pour faire place à Jean Leclerc. De toute façon, comme il a lui-même dit : « Ben, de toute façon, c'était drôle. »

En 2012, il effectue une tournée de plusieurs festivals au Québec, dont un retour au Festival d'été de Québec[17], où il interprète ses plus grands succès pour célébrer ses 25 ans de carrière[18]. La tournée est un franc succès tant au niveau des critiques que de l'abondance des foules faisant oublier le fiasco du pow-wow du Colisée.

Le , soit un jour avant la date initialement prévue et le lendemain de la diffusion de son passage à l'émission Tout le monde en parle, paraît À Paradis City, premier album studio en six ans qu'il déclare avoir écrit sur une période de dix ans[19].

En mai 2019, sort L'Étrange Pays[20].

Œuvre

Discographie

Collaborations

Apparitions et projets télévisuels

L'émission a été désignée par plusieurs titres dont L'univers fantastique de Jean Leloup et Herbert au pays de Kunderwald.

Dans le plat pays de Kunderwald vit l'expert comptable Herbert, 45 ans, l'homme le plus moyen du monde. Herbert mène une existence rigoureusement réglée entre le bureau et la maison. Il partage celle-ci avec son épouse, avec qui il entretient des rapports cordiaux et nullement passionnés, ce qui le remplit d'aise. Tout semble donc réglé une fois pour toutes. Cependant, un jour, une longue suite d'aberrations transformeront l'existence d'Herbert en véritable cauchemar...

L'émission devait être diffusée le dans la série Les Beaux Dimanches. Or, Radio-Canada a décidé de la retirer de l'horaire à la toute dernière minute. L'explication de Radio-Canada :

« Vous n’êtes pas sans ignorer (sic) que Jean Leloup est un artiste qui se distingue par son originalité, mais aussi par la façon virulente qu’il a de dépeindre la société. Le contenu de « L’Univers fantastique de Jean Leloup » ne fait pas exception et certaines scènes ont été jugées trop violentes ou trop osées pour être diffusées à une heure et à un soir d’écoute familiale risquant ainsi de heurter la sensibilité de certaines personnes[22]. »

Une entrevue avec Jean Leloup donne quelques explications plus précises :

« J'ai fait quelque chose d'éclaté, c'est une histoire bien compliquée », risque Leloup, moins bavard que la veille. Au terme d'un échange décousu, on finit par apprendre qu'on y croise entre autres une fille qui passe son temps à se suicider et un couple préoccupé par leurs relations sexuelles inexistantes. « Le contraste est très drôle, assure Leloup, mais les producteurs ont eu peur que ça encourage au suicide... »

Leloup ressort ses crocs : « C'est l'hypocrisie des médias et l'absence de sens de l'humour qui encouragent au suicide. Les télés du monde entier sont en train de mettre le couvercle sur tous les sujets brûlants. On y passe des émissions tellement plates, tellement chiantes, qui ne sont tellement pas vraies que tous ceux qui ont un peu de sentiment humain sentent qu'ils se font bourrer. Ou bien ils se sentent anormaux. Les kids qui ne ressentent pas tous les beaux sentiments qu'on leur montre à la télé se sentent honteux et épouvantablement merdiques. »

Visiblement échaudé d'avoir frappé le mur de la censure, Leloup parle de ce projet avec détachement. Les producteurs ont pris les choses en main et on devrait voir les résultats l'hiver prochain. Le scénariste lui-même ne sait pas trop à quoi s'attendre. « Je ne l'ai pas encore vu, avoue-t-il. J'espère juste que ça ne ressemble pas à Virginie[23] ! »

Quelques nouvelles de Jean Leloup a finalement été diffusée le . La version télédiffusée dure 46 minutes et il y est bien question de suicide et d'un couple préoccupé par ses relations sexuelles inexistantes.

Apparitions et projets cinématographiques

Littérature

Distinctions

  • Vainqueur du Festival de la chanson de Granby (1983)[3]
  • Prix Félix :
    • interprète masculin de l'année (nomination, 1989)
    • révélation de l'année (nomination, 1989)
    • vidéoclip de l'année, pour Alger (nomination, 1989)
    • album rock de l'année, pour Menteur (nomination, 1990)
    • interprète masculin de l'année (nomination, 1991)
    • Spectacle rock de l'année, Jean Leloup et la Sale affaire (nomination, 1991)
    • Vidéoclip de l'année, pour Cookie (nomination, 1991)
    • interprète masculin de l'année (nomination, 1992)
    • vidéoclip de l'année, pour 1990 (nomination, 1992)
    • interprète masculin de l'année (nomination, 1997)
    • auteur ou compositeur de l'année (lauréat, 1997)
    • album de l'année - rock pour Le Dôme (nomination, 1997)
    • chanson populaire de l'année pour I Lost My Baby (nomination, 1997)
    • vidéoclip de l'année pour Johnny Go réalisé par James Di Salvio (nomination, 1997)
    • spectacle de l'année - auteur-compositeur-interprète pour Comme vous avez de grandes dents (nomination, 1997)
    • interprète masculin de l'année (nomination, 1999)
    • auteur ou compositeur de l'année (lauréat, 1999)
    • album de l'année - meilleur vendeur pour Les Fourmis (nomination, 1999)
    • album de l'année - rock pour Les Fourmis (lauréat, 1999)
    • chanson populaire de l'année pour La vie est laide (nomination, 1999)
    • vidéoclip de l'année pour La vie est laide (lauréat, 1999)
    • spectacle de l'année - auteur-compositeur-interprète pour Jean Leloup au printemps (lauréat, 1999)
    • interprète masculin de l'année (nomination, 2003)
    • auteur ou compositeur de l'année (nomination, 2003)
    • album de l'année - rock pour La Vallée des réputations (lauréat, 2003)
    • album de l'année - meilleur vendeur pour La Vallée des réputations (nomination, 2003)
    • chanson populaire de l'année pour Balade à Toronto (nomination, 2003)
    • album de l'année - alternatif pour Mexico (lauréat, 2007)
    • chanson populaire de l'année pour Tangerine (nomination, 2007)
    • interprète masculin de l'année (nomination, 2009)
    • auteur ou compositeur de l'année (nomination, 2009)
    • album de l'année - rock pour Mille excuses milady (lauréat, 2009)
    • interprète masculin de l'année (lauréat, 2015)[25],[26],[27]
    • auteur ou compositeur de l'année (lauréat, 2015)[25],[26],[27]
    • album de l'année - meilleur vendeur pour À Paradis City (nomination, 2015)[25],[26],[27]
    • album de l'année - choix de la critique pour À Paradis City (lauréat, 2015)[25],[26],[27]
    • album de l'année - rock pour À Paradis City (lauréat, 2015)[25],[26],[27]
    • chanson de l'année pour À Paradis City (lauréat, 2015)[25],[26],[27]
    • album folk de l'année pour L'Étrange Pays (lauréat 2020)[28]
    • Album de l'année - Meilleur vendeur (nomination 2020) [28]
  • Prix Félix industriel :
    • réalisateur de disque de l'année pour Le Dôme réalisé par Jean Leloup (nomination, 1997)
    • pochette de disque de l'année pour Le Dôme réalisé par Jean Leloup, Yves Archambault, Tchi & Christophe Chatverre (nomination, 1997)
    • réalisateur de disque de l'année pour Les Fourmis réalisé par Denis Wolff, Jean Massicotte & Jean Leloup (lauréat, 1999)
    • pochette de l'année pour Les Fourmis réalisé par Benno Russell, Christophe Chatverre, Jean Leloup, Jean-François Vézina & Tchi (nomination, 1999)
  • Vidéogala
    • artiste masculin de l'année pour le vidéoclip Cookie (lauréat, 1991)

Notes et références

  1. « Grosse Boîte / Artiste / Jean Leloup », sur www.grosseboite.com (consulté le )
  2. Nadia Murray, Le principe de la mygale : les mutations de l'ethos dans l'œuvre de Jean Leloup, Québec, , 163 p. (lire en ligne), p. 1
  3. « Jean Leloup | l'Encyclopédie Canadienne », sur www.thecanadianencyclopedia.ca (consulté le )
  4. André Ducharme, « Leloup : drôle de lièvre », L'actualité, .
  5. Denise Martel, « Le show de Leloup: toute une fête! », Le Journal de Québec,
  6. Marie-Christine Blais, « Leloup au Métropolis : les moments parfaits », La Presse, .
  7. Sylvain Cormier, « On n'a pas fini de crier au Leloup », Le Devoir, .
  8. Isabelle Simard, « Complètement délirant ce Jean Leloup ! », Le Canada français, .
  9. Couture François, « Les Porn Flakes : Dans le bon vieux temps, ça se passait d’même », sur Voir.ca (consulté le )
  10. « Québec Info Musique | Jean Leloup », sur www.qim.com (consulté le )
  11. Stéphane Despatie, « Jean Leclerc : Comme si Voltaire avait pris de l’acide », sur Voir.ca (consulté le )
  12. Valérie Lesage, « Chou Leloup ! », Le Soleil, (lire en ligne).
  13. Alexandre Vigneault, « Jean Leloup: le grand chef joue au dictateur », La Presse, (lire en ligne).
  14. David Desjardins, « Leloup se moque de nous », Voir, 31 août 2008.
  15. Isabelle Houde, « Spectacle controversé au Colisée Pepsi : Jean Leloup s'excuse », Le Soleil, 15 septembre 2008.
  16. « Jean Leloup offre Mille excuses Milady », Le Devoir, (lire en ligne)
  17. « Festival d'été de Québec: Leloup, la belle affaire », Le Devoir, (lire en ligne)
  18. Kathryne Lamontagne, « Le "récital classique" de Jean Leloup », Le Journal de Montréal, 6 juillet 2012.
  19. « Marcher avec Jean Leloup jusqu’À Paradis City », Le Devoir, (lire en ligne)
  20. ICI Radio-Canada, « Un nouvel album au naturel pour Jean Leloup », Radio-Canada (consulté le )
  21. « Jean Leloup – Jouisseland », Vimeo
  22. « Commentaires de Radio-Canada »,
  23. Ma petite entreprise par Alexandre Vigneault dans VOIR, 28 septembre 2000
  24. Massoud Al Rachid, Noir destin que le mien, Montréal, Leméac, , 96 p. (ISBN 9782760932746)
  25. « Archives 2015 – », sur ADISQ (consulté le )
  26. « Gala de l'ADISQ: Jean Leloup couronné », sur La Presse, (consulté le )
  27. Zone Arts- ICI.Radio-Canada.ca, « Jean Leloup et Ariane Moffatt couronnés au 37e Gala de l'ADISQ », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
  28. « PalmarèsADISQ - Jean Leloup - Album: L'étrange pays », sur PalmarèsADISQ (consulté le )

Annexes

Bibliographie

  • Jacques Lanctôt, Jean Leloup – Biographie, éditions des Intouchables, Montréal, 2016 (ISBN 9782895495468), 238 p.
  • Nadia Murray, Jean Leloup : Le Principe de la mygale, coll. « Trajectoire », éditions L'Instant même, Longueuil, 2020 (ISBN 978-2895024453), 222 p.

Liens externes

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