Jean-Michel Dupont

Jean-Michel Dupont, né le 21 janvier 1956 à Valenciennes, est un scénariste de bande dessinée. Il est notamment l'auteur, avec le dessinateur Mezzo, du roman graphique Love in Vain[1], traduit en onze langues, couronné en 2015 par le Prix des Libraires de Bande Dessinée[2] et salué par le critique Greil Marcus dans le prestigieux The New York Review of Books[3].

Jean-Michel Dupont
Jean-Michel Dupont
Nom de naissance Jean-Michel Dupont
Alias
J.M. Dupont
Naissance
Valenciennes
Activité principale
Scénariste de bande dessinée
Distinctions
Prix des Libraires de bande dessinée
Prix "Les Étoiles du Parisien"
Auteur

Œuvres principales

Love in Vain
Les Gueules rouges
Sweet Jayne Mansfield

Jean-Michel Dupont a également été journaliste dans la presse rock et cinéma.

Biographie

Né à Valenciennes le 21 janvier 1956, Jean-Michel Dupont a étudié la communication audiovisuelle à l’Université Sorbonne-Paris-Nord. Après ses études, il travaille comme assistant de production à l’INA (Institut National de l’Audiovisuel) sur des fictions et des documentaires avant de se tourner vers la réalisation de spectacles en murs d’images.

En 1985, il co-signe notamment, avec Alain Comellec, Ici Kourou, show audio-visuel présenté au Salon du Bourget dans le pavillon du CNES (Centre National d’Études Spatiales). L’année suivante, toujours avec Alain Comellec, il réalise Les Enfants du Soleil, une découverte immersive du système solaire projetée sur la voûte du Planétarium de la Cité des Sciences et de l’Industrie, et programmée pendant plus d’un an.

En parallèle, dans les années 80, Jean-Michel Dupont est journaliste au magazine Rock[4] auquel collaborent entre autres les photographes Pierre Terrasson, Jean-Claude Lagrèze et Saddri Derradji, le dessinateur Mezzo, le scénariste Rodolphe et le chanteur/écrivain Yves Simon. Pour ce magazine, il interviewe de nombreuses figures de la new wave comme Robert Smith, Elvis Costello, Bono, Chrissie Hynde, Joe Jackson, Siouxsie, Alan Vega, Paul Weller, Billy Idol, Tom Verlaine et Nina Hagen. Il rencontre aussi des artistes d’horizons musicaux divers comme Afrika Bambaata, Bryan Ferry, Brian Eno, Robert Fripp, Roger Daltrey, Stevie Winwood, Peter Tosh, Jimmy Cliff ou Chico Buarque. Sans oublier  la scène française, avec notamment Serge Gainsbourg, Alain Bashung et Téléphone.  

En 1984, avec Paul Putti, l’éditeur de Rock, il crée Photo Rock[5], premier magazine entièrement consacré à Michael Jackson, qui devient rapidement culte dans la communauté des fans et paraît pendant cinq ans.  

En 1987, avec le même éditeur, il crée Télé Séries[6], premier magazine dédié à l’univers des séries télé, auquel collaborent notamment Alain Carrazé, François Julien, Bruno Billion et Kevin Bertrand Collette. On y trouve des dossiers sur des séries cultes des sixties comme Star Trek, Le Prisonnier, Mission Impossible, Columbo ou Les Incorruptibles, et sur des séries phares de l’époque comme Miami Vice, Hill Street Blues, Dallas, Manimal ou Magnum.

Au début des années 90, avec Henri Gigoux, Jean-Michel Dupont devient rédacteur en chef de Ciné News [7], magazine dédié au cinéma de genre. L’équipe est composée d’anciens membres de Starfix, comme Hélène Merrick, Christophe Lemaire et François Cognard, et aussi, entre autres, de Philippe Rouyer, Alain Charlot, Caroline Vié, Vincent Lebrun, Julien Carbon et Bernard Joubert.

En 1995, il rejoint l’agence de communication FKGB, fondée par José Ferré, ancien rédacteur en chef de Rock, et spécialisée dans la musique, le cinéma et le jeu vidéo. Pour M6, client de l’agence, il assure pendant cinq ans la rédaction en chef de M6 Ciné et M6 Fantastique[8], deux magazines vendus en kiosque avec un film en DVD.

Parallèlement, à partir de 1998, Jean-Michel Dupont écrit pendant trois ans dans la nouvelle formule de Starfix, animée par l’équipe française de Lucasfilm Magazine. Dans une rubrique intitulée La Colonne à Maurice, il se livre à une analyse critique souvent acerbe des affiches de films en salles. Il collabore également aux pages cinéma de Canal + le magazine des abonnés, et à Science-fiction magazine, dirigé par Alain Névant et Henri Lœvenbruck.

En 2000, toujours au sein de l’agence FKGB, Jean-Michel Dupont travaille comme concepteur-rédacteur pour le cinéma sur des lancements de films, ainsi que dans les secteurs de la communication numérique et de la communication opérationnelle. Puis il poursuit cette activité en free-lance pour se consacrer davantage à des projets personnels.

En 2004, il assure la conception éditoriale de l’exposition La Commune de Paris à l’Hôtel de Ville[9], présentée par Les Amies et Amis de la Commune de Paris 1871 et la Mairie de Paris. L'habillage graphique et visuel de l'exposition est signée par Alain Frappier et l'affiche par Guy Peellaert.

En 2005, Jean-Michel Dupont écrit un roman, L’Heure blême[10] (Éditions Le Manuscrit), histoire d’un road-trip en corbillard, entre Paris et Lisbonne, propice à l’introspection pour son protagoniste en proie à des obsessions morbides.

En 2009, sous le pseudonyme de J.-M Goum, il publie chez Casterman son premier roman graphique, Les Nuits assassines[11],[12], dessiné par le Coréen Byun Ki-hyun. Un polar fantastique dont Pascal Ory écrit dans Lire que « l’histoire aurait pu être signée Ramuz ou Giono dans leur veine la plus sombre ». De son côté, sur France Inter, Marie Colmant salue un récit « haletant et fascinant » tandis que L’Écran fantastique décrit l’ouvrage comme « une saga brûlante et glacée où l’on se perd comme dans les profondeurs d’une forêt obscure ».

À la même époque, Jean-Michel Dupont collabore avec la chaîne de cinéma TCM Cinéma. Pendant cinq ans, il conçoit et rédige les textes de présentation des cycles thématiques présentés à l’antenne, notamment des portraits de stars ou de cinéastes, ainsi que des résumés commentés de tous les films programmés. Il travaille également sur l’habillage visuel et éditorial des chaînes Cartoon Network et Boomerang.

En 2014, avec le dessinateur Mezzo, il sort Love in Vain (Glénat)[1],[13], portrait du bluesman Robert Johnson et chronique de la vie quotidienne dans le Mississippi ségrégationniste des années 1930. Dans la préface, Lawrence Cohn, historien du blues et producteur musical, qualifie l’ouvrage de « véritable chef-d’œuvre, tant par la qualité du dessin que de la narration ». Un enthousiasme partagé par Augustin Trapenard dans Le Grand Journal de Canal + qui présente Love in Vain comme « la meilleure BD de la rentrée littéraire »[14],[15], tandis que Jean-Claude Loiseau, dans Télérama[16],[17] le juge « Magistral ». Salué par de nombreux médias généralistes, comme France Inter[18], France Info[19], Libération[20], Le Figaro[21], ou encore Le Monde qui l’inclut dans sa short-list des huit meilleurs romans graphiques de l’année[22], l’ouvrage est également adoubé par la presse spécialisée, notamment Rock & Folk, Radio Nova, Soul Bag[23] et Jazz Magazine.

En 2015, Love in Vain est couronné par le Prix des Libraires de Bande Dessinée [24], et par le Prix Littéraire des Lycéens d’Île-de-France(93)[25],[26]. Il figure également en sélection du Festival d'Angoulême 2015, du Prix de la BD Fnac et du Grand Prix de la Critique ACBD. La même année, à Angoulême, Jean-Michel Dupont est commissaire et rédacteur de l’exposition Le Démon du blues[27] qui s’intéresse au traitement visuel de l’univers du blues dans la bande dessinée. Outre le travail de Mezzo pour Love in Vain, y sont présentées des planches et des illustrations de Robert Crumb, Steve Cuzor et Frantz Duchazeau [28],[29].

Dans la foulée, Love in Vain est traduit en onze langues, notamment en anglais[30], en allemand[31], en espagnol[32] et en japonais. Pour la parution de l’édition anglaise, chez Faber & Faber, le journaliste Nick Kent écrit « Love in Vain revisite de manière ambitieuse et inventive le destin maudit de Robert Johnson avec des mots et des images qui raviront autant les puristes que les touristes du blues »[33]. De son côté, Greil Marcus, autre légende de la critique rock, encense l’ouvrage dans le prestigieux The New York Review of Books : « C’est un travail d’érudits du blues qui savent aussi donner la part belle à leur imagination (…) Avec leur approche poétique, Mezzo et Dupont en disent plus sur la violence du monde raciste dans lequel vivait Robert Johnson que d’autres livres plus factuels »[3]. Un enthousiasme partagé par les magazines musicaux Mojo, Uncut, Blues Blast[34]et Downbeat[35], ainsi que par The Clarion-Ledger[36],[37], plus grand quotidien du Mississippi.

En 2017, Jean-Michel Dupont et Mezzo partent dans le Mississippi, sur les traces de Robert Johnson, pour y tourner Mississippi Ramblin’ [38],[39], un documentaire réalisé par Nicolas Finet. Salué par Lawrence Cohn et le folkloriste William Ferris, le film est présenté au Clarksdale Blues Film Festival[40] et au New Orleans French Film Festival[41].  

La même année, Jean-Michel Dupont signe Les Gueules rouges (Glénat)[42],[43],[44] avec le dessinateur Eddy Vaccaro. Située en 1905, dans Nord de la France, l’intrigue raconte une rencontre imaginaire entre des mineurs de charbon et des Indiens du cirque de Buffalo Bill. Sorte de western au pays de Germinal, Les Gueules rouges est aussi une chronique sociale et politique dont la précision documentaire est louée dans L’Histoire[45] et sur France Culture par Pascal Ory qui qualifie l’ouvrage de « émotionnellement et historiquement fort ». De son côté, Pierre Serna le présente dans l’Humanité[46] comme «une vraie pépite d’humanité et de fraternité », tandis que sur la radio belge La Première -RTBF, Jacques de Pierpont parle d’un « western magistral doublé d’une chronique réaliste très bien documentée ». Quant au quotidien belge Le Soir , sa chronique sur Les Gueules rouges se conclut en ces termes : « Rarement une bande dessinée aura rendu avec autant de justesse et d’émotion la condition des gueules noires et la lutte des classes »[47].

Sacrée meilleure BD de l’année 2017 à la cérémonie des Étoiles du journal Le Parisien[48],[49], Les Gueules rouges reçoit également le Prix Littéraire des Lycéens d’Île-de-France (78)[50],[51],[52]. L’ouvrage figure par ailleurs en sélection du Prix Château de Cheverny de la bande dessinée historique, du Prix Première de la RTBF et du Prix du Jury œcuménique de la bande dessinée[53].

À Valenciennes, où se déroule l’intrigue des Gueules rouges, la Mairie présente Valenciennes 1905 : des Indiens dans la ville, une exposition dont Jean-Michel Dupont assure le commissariat et la conception éditoriale[54]. En regard des planches d’Eddy Vaccaro, y sont notamment montrés des vestiges du passage de Buffalo Bill dans la ville, exhumés des archives municipales, ainsi qu’une évocation de la vie quotidienne des mineurs au début du XXe siècle, réalisée avec le concours du Centre Historique Minier de Lewarde.  

Toujours en 2017, Jean-Michel Dupont réalise l’adaptation de la traduction française du troisième volet de Hip Hop Family Tree[55] (Papa Guédé), la saga culte de l’Américain Ed Piskor. Deux ans plus tard, en 2019, il est aussi traducteur du troisième volet.

En 2019 et 2020, Jean-Michel Dupont est membre du jury du Prix « Bulles d’Humanité »[56], présidé par l’historien Pierre Serna et qui récompense la meilleure BD citoyenne de l’année.

En 2021, avec le dessinateur Roberto Baldazzini, il signe Sweet Jayne Mansfield[57], roman graphique consacré à Jayne Mansfield, mythique sex-symbol du cinéma hollywodien, disparue tragiquement en 1967. L’ouvrage est publié par Glénat, dans la collection 9½ dirigée par le scénariste et historien du cinéma Noël Simsolo et préfacé par Jean-Pierre Dionnet qui le présente sur France Culture en ces termes : "Un livre totalement parfait, l'un des livres de l'année. Un ouvrage quasiment vital qu'il faut absolument lire" [58]. Même enthousiasme dans Paris Match qui salue "une passionnante BD sur le paradoxe d'une femme libre et émancipée, mais bridée par le sexisme hollywoodien"[59], ainsi que dans l'édition française de Rolling Stone où Denis Roulleau évoque un "ouvrage qui conte sans racolage le parcours cabossé de la plus futée des blondes idiotes d'Hollywood "[60]. Antoine de Caunes, quant à lui, juge l'ouvrage "remarquable" et reçoit les auteurs dans son émission Popopop sur France Inter[61], tout comme Anne-Laure Gannac en Suisse sur la RTS[62], tandis que le critique BD Mathieu Van Overstraeten en fait l'éloge dans sa chronique sur la RTBF[63].

Depuis plusieurs années, Jean-Michel Dupont travaille avec Mezzo sur un roman graphique, en forme d’odyssée musicale, autour de la vie de Jimi Hendrix, dont le premier tome est annoncé pour 2022.  

Œuvres

Roman

Bande dessinée

Traducteur

  • Hip Hop Family Tree - Tome 3, de Ed Piskor (Papa Guédé, 2017) (adaptation)
  • Hip Hop Family Tree - Tome 4, de Ed Piskor (Papa Guédé, 2019) (traduction / adaptation)[55]

Distinctions

  • 2015 : Prix des Libraires de Bande Dessinée pour Love in Vain[2]
  • 2015-2016 : Prix Littéraire des Lycéens d’Île-de-France (93) pour Love in Vain[25]
  • 2017 : Prix « Les Étoiles du Parisien » (meilleure BD) pour Les Gueules rouges[48]
  • 2017-2018 : Prix Littéraire des Lycéens d’Île-de-France (78) pour Les Gueules rouges[50]

Expositions

  • 2004 : La Commune de Paris à l’Hôtel de Ville (conception éditoriale) – Paris, Hôtel de Ville[9]
  • 2015 : Le Démon du blues (commissariat d’exposition et conception éditoriale) – Théâtre d’Angoulême[27]
  • 2017 : Valenciennes 1905 : Des Indiens dans la ville (commissariat d’exposition et conception éditoriale) – Bibliothèque de Valenciennes[54]

Références

  1. Love in Vain, (lire en ligne)
  2. « Le prix des libraires BD décerné à l'album « Love in Vain » », sur Les Echos, (consulté le )
  3. (en) Marcus, « https://www.nybooks.com/articles/2020/12/03/robert-johnson-devil-nothing-to-do-with-it/ », The New York Review of Books, (ISSN 0028-7504, lire en ligne, consulté le )
  4. « ROCK & PRESSE : Chrono Presse musicale Fr (Mike Lécuyer) », sur www.web2000.bluesfr.net (consulté le )
  5. « PHOTO Rock n°1, Février 1984 - On Michael Jackson's footsteps », sur onmjfootsteps.canalblog.com, (consulté le )
  6. « TELE SERIES no:10 01/12/1987 | Musée de la presse », sur museedelapresse.com (consulté le )
  7. « Ciné News », sur www.moviemags.com (consulté le )
  8. « M6 FANTASTIQUE no:5 | Musée de la presse », sur museedelapresse.com (consulté le )
  9. « Exposition La Commune de Paris 1871 à l'Hôtel de Ville », sur www.commune1871.org (consulté le )
  10. L'heure bleme - Jean-Michel Dupont - Le Manuscrit - Grand format - Le Hall du Livre NANCY (lire en ligne)
  11. « Critique de la bande dessinée Les Nuits assassines | BoDoï, explorateur de bandes dessinées - Infos BD, comics, mangas » (consulté le )
  12. Philippe MAGNERON, « Nuits assassines (Les) Les nuits assassines », sur www.bdgest.com (consulté le )
  13. « LOVE IN VAIN - Robert Johnson Comics » (consulté le )
  14. « Love in Vain, ça part fort ! », sur Soul Bag, (consulté le )
  15. Augustin Trapenard, « Le Grand Journal de Canal + - "La BD de la rentrée" », sur www.facebook.com, (consulté le )
  16. Jean-Claude Loiseau, « Critique Love In Vain », sur telerama.fr, (consulté le )
  17. « La bédéthèque idéale #74 : Mezzo et Dupont sur les traces de Robert Johnson », sur Télérama (consulté le )
  18. « Les Amours vaines de Robert Johnson du 26 novembre 2014 - France Inter », sur www.franceinter.fr (consulté le )
  19. « Le Blues de Mezzo et Dupont », sur Franceinfo, (consulté le )
  20. Guillaume Tion, « Robert Johnson, blues à la diable », sur Libération (consulté le )
  21. « Le pacte diabolique de Robert Johnson », sur LEFIGARO (consulté le )
  22. « Nos romans graphiques de l'année », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
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  62. RTS / Émission "Vertigo" / Anne-Laure Gannac, « L'invité: Jean-Michel Dupont, "Sweet Jayne Mansfield" - Radio », sur Play RTS, (consulté le )
  63. RTBF - Émission "6-8" / Mathieu Van Overstraeten, « Chronique "Sweet Jayne Mansfield" », sur YouTube, (consulté le )
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