Jean-Louis Giovannoni

Jean-Louis Giovannoni est un écrivain et poète français, né à Paris 10e, le , d'un père infirmier-panseur corse et d'une mère aide-soignante d'origine italienne.

Pour les articles homonymes, voir Giovannoni.

Biographie

Jean-Louis Giovannoni obtient le diplôme d'assistant social en 1974. Il commence par s'occuper de personnes âgées de plus quatre-vingts ans vivant à leur domicile. Mais c'est surtout sur un secteur de soins psychiatriques pour adultes (EPS Maison Blanche (hôpital psychiatrique) qu'il va exercer, pendant plus de trente-cinq ans, son métier. Il a été élève et membre de l’équipe de la psychiatre Hélène Chaigneau (Psychothérapie Institutionnelle), décédée en 2010.

Il fonde en 1972, avec un groupe de jeunes travailleurs sociaux, la revue Champ social, publiée par les Éditions Solin. Il crée en 1977, avec Raphaële George (Ghislaine Amon), la revue Les Cahiers du double[1] qu'ils codirigent tous deux jusqu'en 1981.

Il effectue des lectures de poésie dans les prisons[1] ; tient, pendant plus de deux ans, des ateliers d'écriture avec des malades mentaux dans un groupe d'entraide mutuelle (GEM) à Reims et plus tard avec des jeunes autistes, dans le cadre d'un établissement et service d'aide par le travail (ESAT) artistique et culturel parisien. Il anime régulièrement, depuis quelques années, des ateliers d'écriture dans des écoles primaires, collèges et lycées.

De 2005 à 2007, il est membre du comité de rédaction de la revue Le Nouveau Recueil[2]. Il reçoit le prix Georges Perros en 2010 et il est président de la Maison des écrivains et de la littérature (Mel) de à [3].

De à , il est en résidence d'auteur de la Région Île-de-France au lycée professionnel Paul-Bert de Maisons-Alfort, en collaboration avec L'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort (ENVA) le Musée Fragonard et le lycée Eugène-Delacroix où il anime des Ateliers d'écriture avec les lycéens mais aussi avec le personnel et des élèves de l’École Vétérinaire ; met en place des lectures (Daniel Mesguich) et des rencontres littéraires et artistiques, ainsi qu'une exposition du peintre Stéphanie Ferrat au Musée Fragonard https://www.vet-alfort.fr/actualites-de-l-ecole/un-artiste-en-residence-a-alfort - Vidéo de la lecture du Journal d'un veau par Daniel Mesguich : https://vimeo.com/339398528

Œuvres

Récits et proses

  • La Boucherie, Éditions Œ, (supplément de la revue Sgraffite N° 11/12), Marseille, 1982.
  • L'Absence réelle, avec Raphaële George, Le Muy, France, Éditions Unes, 1986, 48 p, (notice BnF no FRBNF34868879) ; (rééd. avec des inédits de Raphaële George : Double intérieur), Éditions Lettres Vives, 2014, 127p (ISBN 978-2-914577-57-1)
  • Le Bon morceau, phot. Marc Trivier, Paris, France, prière d'insérer de Pierre Vilar, Éditions Les Autodidactes, 1992.
  • L’Élection, phot. Marc Trivier, Bruxelles, Belgique, Didier Devillez éditeur, 104 p., 1994 (notice BnF no FRBNF37120817)[4], 1996, (ISBN 978-2-87704-096-9)
  • Journal d'un veau : roman intérieur, Montolieu, France, prière d'insérer de Pierre Vilar, tirage de tête de Gilbert Pastor, Deyrolle éditeur, 1996 ; (rééd) Éditions Léo Scheer, (avec une préface inédite de l'auteur), Paris, France, 2005, (ISBN 978-2-7561-0004-3)[5],[6], 187p
  • Traité de la toile cirée, essai, Bruxelles, Belgique, Deyrolle éditeur/Didier Devillez éditeur, 1998, 104 p. (ISBN 978-2-87396-018-6)[7].
  • Le Lai du solitaire : roman intérieur, Paris, France, Éditions Léo Scheer, 2005, 150 p. (ISBN 978-2-915280-82-1) - Tirage de tête : gravure de Vincent Verdeguer[8].
  • S'emparer, (avec Des monstres et prodiges d'Ambroise Paré), Paris, France, collection : anciens modernes, Éditions 1:1, 2007, 80 p (ISBN 978-2-95190-374-6),
  • Voyages à Saint-Maur, récit, Seyssel, France, Éditions Champ Vallon, 2014, 104 p (ISBN 978-2-87673-922-2).
  • Sous le seuil, récit, Nice, France, Éditions Unes, 2016, 128 p. (ISBN 978-2-87704-167-6)
  • L'Échangeur souterrain de la gare Saint-Lazare : roman intérieur, Nice, France, Éditions Unes, 2020, 80 p. (ISBN 978-2-87704-217-8)

Poésie

  • Garder le mort, (préface de Jean-Luc Maxence), France, Paris, Éditions Athanor, collection « Jean-Luc Maxence », 80 p, 1975 et 2e édition 1976. 3e édition. in Les Choses naissent et se referment aussitôt, Le Muy, France, Éditions Unes, 1985; 4e édition, Le Muy, France, prière d'insérer de Bernard Noël, Éditions Unes, 1991, 74 p. (notice BnF no FRBNF35603782) - 5e édition avec une préface de Bernard Noël, suivi de Mère, Les Cabannes, France, Éditions Fissile, 2009, 99 p. (ISBN 978-2-916164-29-8) ; 6e édition, avec une version préparatoire et des poèmes inédits, Nice, France, Éditions Unes, 2017, 96 p.
  • Les mots sont des vêtements endormis, Le Muy, France, Éditions Unes, 1983, non pag. (notice BnF no FRBNF34855357)
  • Ce lieu que les pierres regardent (préface Roger Munier), Paris, France, Éditions Lettres Vives, coll. « Terre de poésie », 1984, 64 p, (ISBN 978-2-903721-11-4)
  • Les choses naissent et se referment aussitôt, (poèmes de 1974 à 1984), Le Muy, France, Éditions Unes, 1985, 210 p. (ISBN 978-2-87704-028-0)
  • L'Immobile est un geste, (poèmes de 1982 à 1989), Le Muy, France, Éditions Unes, 1989, 120 p. (notice BnF no FRBNF35084844)
  • Pas japonais, Le Muy, prière d'insérer de Pierre Vilar, France, Éditions Unes, 1991, 64 p.
  • L'Invention de l'espace, Castellare-di-Casinca, France, Éditions Lettres Vives, coll. « Terre de poésie », 1992, 61 p. (ISBN 978-2-903721-48-0)
  • Chambre intérieure, peint. de Gilbert Pastor, Le Muy, France, Éditions Unes, 1996, (ISBN 978-2-87704-096-9), 88 p.
  • Greffe avec ill. de Vincent Verdeguer, Draguignan, France, Éditions Unes, 1999, non pag. (ISBN 978-2-87704-116-4).
  • Danse dedans, Paris, France, Éditions Prétexte, 2005, 99 p. (ISBN 978-2-912146-23-6)[8]
  • T'es où ? Je te vois !, bilingue : français-anglais, Gigondas, France, Éditions Atelier des Grames, 2009, 68 p.
  • Ce lieu que les pierres regardent, suivi de Variations, Pas japonais et L'Invention de l'espace, préf. de Gisèle Berkman, Castellare-di-Casinca, France, Éditions Lettres Vives, coll. « Terre de poésie », 2009, 200 p. (ISBN 978-2-914577-43-4)
  • Ne bouge pas!, phot. de Marc Trivier, Bruxelles, Belgique, Éditions La Pierre d’Alun, avec un CD-audio du texte lu par l'auteur 2011.
  • Le visage volé, Poésies complètes 1981-1991 (reprenant Les choses naissent et se referment aussitôt (Sans Garder le mort+ L'Immobile est un geste et de nombreux inédits, préface de François Heusbourg, tirage de tête : une gravure Jaume Plensa, Nice, Editions Unes, 2021, 240p. (ISBN 978-2-87704-229-1)
  • Envisager, ill. de Gilbert Pastor, Castellare-di-Casinca, France, Éditions Lettres Vives, coll. « Terre de poésie », 2011, 140 p. (ISBN 978-2-914577-46-5)[9],[10],[11]
  • Issue de retour, Nice, France, Éditions Unes, 2013, 72 p (ISBN 978-2-87704-149-2)
  • Les mots sont des vêtements endormis, (rééd.), Nice, France, Éditions Unes, préface de François Heusbourg, postface de l'auteur avec des fragments inédits, 2014, 81p (ISBN 978-2-87704-155-3)
  • L'air cicatrise vite, Nice, France, Éditions Unes, 2019, 64p. (ISBN 978-2-87704-201-7)
  • Le visage volé, poésies complètes 1981-1991, préface François Heusbourg, tirage de tête : gravure de Jaume Plensa, Nice, France, Éditions Unes, 2021, 240p. (ISBN 978-2-87704-229-1)

Bibliophilie et tirages limités

  • Le Visage Volé, Trans-en-Provence, France, Éditions Unes, 1981, non pag. (notice BnF no FRBNF34738521)
  • Le Corps immobile, Trans-en-Provence, France, Éditions Unes, 1982, non pag. (notice BnF no FRBNF34852555)
  • Au fond de l'air, Trans-en-Provence, France, Éditions Unes, 1982, non pag. (notice BnF no FRBNF34855358)
  • On naît et disparaît à même l'espace, Béthune, France, Éditions Brandes, 1985, non pag.
  • La Main de Raphaële George, Béthune, France, Éditions Brandes, 1986, non pag.
  • Le Passeur, Le Muy, France, Éditions Unes, 1987, non pag. (notice BnF no FRBNF35002791)
  • Entre le sol, peintures de Ghislaine Amon, Le Muy, France Éditions Unes, 1995, non pag.
  • Enclaves envisagées, photogravures de Catherine Bolle, Lausanne/Pully, Pierre Magnenat/Éditions Raymond Meyer, 1997, 9 pl. et 3 f[2].
  • Parce que je le vaux bien (version brune et version blonde), Draguignan, France, Éditions Unes, (hors commerce) 2001.
  • Perspectives salines, avec une linogravure originale de Vincent Verdeguer, Galerie Akié Arichi, Paris, 2001.
  • L’Invitation au voyage, avec une œuvre originale de Vincent Verdeguer, Trans-en-Provence, Remarque éditions, 2002.
  • Meurtre au champ, avec une photo originale de Marc Trivier, Trans-en-Provence, Remarque éditions, 2004.
  • La convocation, avec une peinture originale de Gilbert Pastor, Trans-en-Provence, Remarque éditions, 2005.
  • Prise d’otages, avec une gravure rehaussée de Franck Charlet, Blois, Éditions du Solier, 2007.
  • Lieux glissés, avec une peinture originale d’Yves Berger, Trans-en-Provence, Remarque éditions, 2008.
  • T'es où ? Je te vois !, texte typographié en Garamond, glissé entre peau de papier, l’ensemble, relié, et inséré en un élément circulaire instable créé par Anik Vinay, Atelier des Grames, Gigondas 2009.
  • Blattes, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Éditions Pavupapri, Marcoux-le-Bas, 2010.
  • Lombric, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2012.
  • Fécondation de la figue, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2012.
  • Air sous verre, avec quatre peintures originales de Vincent Verdeguer, Éditions Arichi, Paris, 2012.
  • Ici n’a pas lieu, ill. de Stéphanie Ferrat, Nice, France, Éditions Unes, 2013, 20 p.
  • Sangsue, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2013.
  • Mouche verte, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2013.
  • Cloporte, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2013.
  • Tænia, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2014.
  • Trou d’eau, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2014.
  • Lait de puceron, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2014.
  • Mangeoire, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2015.
  • Pou de tête, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2015.
  • Morpion, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le Bas, Éditions les mains, 2015.
  • Territoires, avec des peintures originales de Stéphanie Ferrat, Approches éditions, Vitray, 2015.
  • Faim, ill. de Vincent Verdeguer, Nice, France, Éditions Unes, 2016, 24 p.
  • Oxyures, collection Les Moches, ill. de Stéphanie Ferrat, Marcoux-le-Bas, Éditions les mains, 2016.
  • Poisson d'argent, collection Les Moches, ill. Stéphanie Ferrat, Marcoux-le-Bas, Éditions les mains, 2017.
  • Nécrophores, collection Les Moches, ill. Stéphanie Ferrat, Marcoux-le-Bas, Éditions les mains, 2017.
  • Autoportrait en germe, accompagnée d'une photo de Thémis S/V, collection images, l'Atelier des Grames, Gigondas, janvier 2020
  • Incarnation, collection Atteintes, ill. de Stéphanie Ferrat, Barras, Éditions les mains, 2020.
  • Plein vol, ill. de Stéphanie Ferrat, Paris, Editions Hariki, 2021.
  • Dévorations lentes, ill. de Vincent Verdeguer, tirage limité, Nice, France, Éditions Unes, 2021.

Essais et autres textes

Textes et livres traduits

  • Ein ort im blik der steine (Ce lieu que les pierres regardent), bilingue, préface de Michel Camus, traduction de Jutta Legueil, Stuttgart, Allemagne, Verlag Jutta Legueil, 120p, 1989
  • Pasos de piedra (Pas Japonais), traduction de Sergio Avalos, Mexico, Mexique, Ediciones Monte Carmelo, 58 p, 2004
  • Variazioni su una frase di Friedrich Hölderlin (Variations sur une phrase de Friedrich Hölderlin, traduction Edoardo Costadura, avec des articles d'Edoardo Costadura et de Pierre Vilar, suivi d'un texte de Carlo Sini, in IDRA (Semestrale di Litteratura), Milano, Italia, Edidizioni Anabasi, (ISBN 88-417-9011-3), p. 79-125.
  • El Mismo y Ottro / Le Même et Autre, Antologia de la Nueva Poesia en Lengue Francesa, présentation Bernard Noël, textes : "On naît et disparaît à même l'espace, Le Bon morceau, Le Passeur, traduction en espagnol de Aurélio Asiain, p. 56-65, Ediciones El Tucan de Virginia, Mécico, 1996.
  • Invention of space (Invention de l'espace), Japanese Steps (Pas Japonais), Canada, traductions en anglais de Michael Tweed[13]
  • Mangiatoia (Mangeoire), traduction en italien de Marco Rota, gravure de Luciano Ragozzino, Ed. Il ragazzo innocuo[14], Italia, 2014
  • Cimice dei letti (Punaise de lit), traduction en italien de Marco Rota, gravure de Luciano Ragazzino, Edizione Il ragazzo innocuo, Milan, Italia, 2016
  • Tænia (Taenia), traduction en italien de Marco Rota, gravure de Luciano Ragozzino, Edizione Il ragazzo innocuo, Milan, Italia, 2016
  • Dossier dans la Revue Poesia n°331, , Per scacciare la paura avec des extraits de Garder le mort et Ce lieu que les pierres regardent, présentés et traduits en Italien par Marco Rota.http://www.poesia.it/Archivio/2017/somm_10_17.html
  • Den Toten bewachen - Garder le mort , bilingue, préface d'Éric Vuillard, traduit en allemand par Christoph Schmitz-Scholemann, Coesfeld, Allemagne, Verlag, 180 p. (ISBN 978-3942788571)

Traductions

  • Le Gardeur de troupeaux, poème d'Alberto Caeiro, Fernando Pessoa, trad. du portugais par Rémy Hourcade et Jean-Louis Giovannoni, Le Muy, France, Éditions Unes, 1986, 60 p. Nouvelle traduction par Jean-Louis Giovannoni, Rémy Hourcade et Fabienne Vallin, Nice, France, Éditions Unes, 2018, (ISBN 978-2-87704-18-98)
  • Hormis tes entrailles, Miguel Hernández, choix de poèmes, trad. de l'espagnol par Alejandro Rojas Urrego et Jean-Louis Giovannoni, Draguignan, France, Éditions Unes, 1989, 56 p.
  • Poèmes jamais assemblés d'Alberto Caeiro, Fernando Pessoa, trad. du Portugais par Jean-Louis Giovannoni, Isabelle Hourcade, Rémy Hourcade et Fabienne Vallin, Nice, France, Éditions Unes, 2019, 56 p. (ISBN 978-2-87704-20-86)

Articles

  • Jacques Ancet, Les choses naissent et se referment aussitôt, in Recueil n°4/5, éditions Champ Vallon, 1986, p. 235-238.
  • Pierre Vilar, Journal d'un veau, in Le Nouveau Recueil no 39, éditions Champ Vallon, juin-août 1996.
  • Jean-Patrice Courtois, par une sorte d'emballage de la voix, in revue Théodore Balmoral N°26-27, p. 123-128, printemps-été 1997, (ISSN 0297-1011)
  • Martine Bercot/Anne Henneton, Jean-Louis Giovannoni in Dictionnaire des Lettres Françaises, le XXe siècle, p. 493-494, La Pochothèque, 1998
  • Edoardo Costadura, Pour dérouler la toile de Jean-Louis Giovannoni, in Le Nouveau Recueil no 53, Éditions Champ Vallon, p. 160-170, Dec. 1999- Février 2000,.
  • Jean-Pierre Sintive, L'attente palpable ; Lionel Destremau, Petit partage de la toile cirée ; Valérie Rouzeau, On ne voulait pas de corps; Ariane Dreyfus, La Bordure ; Cédric Demangeot, Le veau vomit le poète ; Emmanuel Laugier, Une espèce de peau mince ; Patrick Wateau, C'est entendu, in L'Atelier Contemporain no 1, p. 311-353, printemps-été 2000 (sans ISBN)
  • Pierre Vilar, « Jean-Louis Giovannoni », in Dictionnaire de Poésie de Baudelaire à nos jours, PUF, 2001 (ISBN 978-2-130509-40-0), p. 299-300.
  • Arno Bertina, « Les coudées franches (à propos de Jean-Louis Giovannoni) » in Singularités du sujet, huit études sur la poésie contemporaine, Prétexte éditeur, collection Critique, avril 2002, p. 56-64 (ISBN 2-912146-12-7).
  • Jean-Patrice Courtois, « Les énonciations multiples de Jean-Louis Giovannoni », in Présence du sujet dans la poésie contemporaine (1980-2008), Figuration, configurations et postures énonciatives, sous la direction d'Élisa Bricco, Publication de l'Université de Saint-Étienne, p. 33-50, 2008, (ISBN 978-2-86272-598-7).
  • Franck Venaille, Giovannoni : faire le mort, in C'est nous les Modernes, collection Poésie/Flammarion, (ISBN 978-2-0812-3200-6), p. 209-210, 2010.
  • Ariane Dreyfus, La lampe allumée si souvent dans l'ombre, coll.en lisant en écrivant, Éditions Corti, (ISBN 978-2-7143-1099-6), p. 172-174, 2012.
  • Dominique Rabaté, Gestes Lyriques, coll. Les Essais, Éditions Corti, (ISBN 978-2-7143-1109-2), p. 213-214, 2013.
  • Le Matricule des anges, dossier : Jean-Louis Giovannoni, poète de l'intensif, photos d'Olivier Roller; articles d'Emmanuel Laugier + entretien avec l'auteur + un inédit (Pou de tête : " Les Moches"), p. 16-27, No 154, juin 2014 (ISSN 1241-7696)
  • Le Monde, Le feuilleton d'Éric Chevillard : Équilibres précaires , vendredi , p. 8 du Monde des Livres, 70e année - No 21598.
  • Europe, dossier Jean-Louis Giovannoni , articles de Gisèle Berkman : Que fait-il quand il écrit ? ; Christine Caillon : Sans cesse à l'essayage ; Arno Bertina : Qu'est-ce qu'un ami ?  ; entretien avec Gisèle Berkman : Lorsque j'écris je ne suis pas seul ; inédits : Pollinisation et Punaise de lit  ; p. 99-139, No 1026, octobre 2014, (ISBN 978-2-351-50067-5)
  • Le Monde, Le feuilleton d'Éric Chevillard : La vie commune, .
  • Médiapart : La sévère leçon de choses de Jean-louis Giovannoni, par Patrice Beray, .
  • Revue À L’index N° 31, , Dossier Jean-Louis Giovannoni / ARPO – Tarn en Poésie 2016 - Inédits et entretiens - articles d’Emmanuel Laugier, Bernard Noël, James Sacré, Jean-Claude Tardiff.
  • Revue des Sciences Humaines, R.S.H N°339, Jean-Louis Giovannoni, les gestes des mots, textes réunis par Gisèle Berkman, de Maurice Benhamou, Gisèle Berkman, Marc Blanchet, Anaïs Bon, Christine Caillon, Hélène Chaigneau, Isabelle Chol, Edoardo Costadura, Ludovic Degroote, Sylvie Doizelet, Antoine Emaz, Pauline Galli-Andréani, Raphaële George, Jean-Louis Giovannoni, Antoine Graziani, François Heusbourg, Hélène Laplace-Claverie, Emmanuel Laugier, Anne Maurel, Daniel Mesguich, Bernard Noël, Angèle Paoli, Nicolas Pesquès, Véronique Pittolo, Dominique Rabaté, Antonio Ramos Rosa, Marco Rota, François Trémolières,Pierre Vilar, Eric Vuillard, (photos de Fabienne Vallin, Matthieu Giovannoni, Rachel Erlich-Giovannoni, Vincent Verdeguer), Villeneuve-d'Ascq, Presse Universitaire du Septentrion, octobre 2020.

Entretiens

  • Revue Prétexte numéro ultimum, Entretien décroisé[15] avec Arno Bertina, été-automne 1999.
  • Arno Bertina, L'externement abusif, entretien, in inculte no 16, revue littéraire et philosophique, 2008, p. 34-42 (ISBN 978-2-916940-06-9).
  • Anciens-modernes, entretien enregistré autour de la musique de György Ligeti avec Danielle Cohen-Lévinas, Colloque : Ligeti autrement, Centre de documentation de la musique contemporaine[16], 2008.
  • Écrire c'est visager, entretien avec Nolwenn Euzen[17], 2008.
  • Gisèle Berkman, « Les mots ne contiennent pas assez », entretien, in Rue Descartes no 65, Revue du Collège international de philosophie, thème Clair/Obscur, PUF, 2009, p. 84-97, (ISBN 978-2-13-057320-3).
  • Entretien et lecture , enregistré à la Librairie de Divan, avec Gisèle Berkman[18], 1er oct. 2009.
  • Revue secousse No 8 (revue en ligne), entretien enregistré avec Anne Segal et Gérard Cartier[19], novembre 2012.
  • Entretien avec Gisèle Berkman, enregistré au séminaire de Gisèle Berkman au Collège international de philosophie (CIPh) sur le thème : Que peut encore l'écriture ?[18], .

Lectures et Adaptations

Notes et références

  1. Dupont Pascal, « Le nouveau cercle des poètes », sur L'Express.fr, (consulté le ).
  2. « Jean-Louis Giovannoni », sur Bibliothèque cantonale universitaire, Lausanne (consulté le ).
  3. Cecile Mazin, « Jean-Louis Giovannoni devient président de la MEL », sur actualitte.com, (consulté le ).
  4. Emmanuel Laugier, Le Matricule des Anges, N°009, octobre-novembre 1994, « L'Election - Jean-Louis Giovannoni », sur Le Matricule des Anges (consulté le )
  5. Xavier Person, Le Matricule des Anges, N°016, juin-juillet 1996, « Journal d'un veau - Jean-Louis Giovannoni », sur Le Matricule des Anges (consulté le )
  6. Michèle Bernstein, Libération du 14 mars 1996, « La chronique de Michele Berstein : Au bonheur des veaux.Jean-Louis Giovannoni, Journal d'un veau. Deyrolle, 118 pp., 89 F. », sur www.liberation.fr (consulté le )
  7. Dominique Grandmont, L'Humanité, 16 octobre 1998, « Duel dans la boue des mots », sur L'Humanité (consulté le )
  8. Emmanuel Laugier, Le Matricule des Anges, N° 064, Juin 2005, « Le Lai du solitaire - Jean-Louis Giovannoni », sur Le Matricule des Anges (consulté le )
  9. Nelly Carnet, « Jean-Louis Giovannoni », sur Temporel.fr, (consulté le )
  10. Joël Kerouanton, « Envisager de Jean-Louis Giovannoni », sur Poezibao, (consulté le )
  11. Anne Bernou, « Gilbert Pastor et Jean-Louis Giovannoni », sur Poezibao, (consulté le )
  12. Le Matricule des Anges, N°076, septembre 2006, « Traité de physique parantale - Jean-Louis Giovannoni », sur Le Matricule des Anges (consulté le )
  13. Voir sur le site Pensum.
  14. Voir sur le site de l'éditeur.
  15. Voir sur pretexte.perso.neuf.fr.
  16. Voir sur le site du Cdmc.
  17. Posté sur le site grande menuiserie.
  18. Posté sur le site grande menuiserie.
  19. Voir sur revue-secousse.fr.

Voir aussi

Site

Sur l'auteur

Liens externes

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