Jean-François Portarrieu

Jean-François Portarrieu est né le 14 octobre 1965 à Aucamville. Ses grands-parents puis ses parents y ont tenu pendant quarante ans le restaurant des Pins, situé route de Fronton. Durant sa jeunesse, il pratique le cyclisme (et décroche un titre de champion des Pyrénées junior)[1], ainsi que le rugby, qu'il pratique aussi avec l'équipe du XV Parlementaire.

Il est marié et père d'un enfant.

En janvier 2016, après une rencontre avec Emmanuel Macron à la Grande-Motte, Jean-François Portarrieu rejoint son parti La République en marche[1]. En 2017, il brigue un mandat politique pour la première fois, en se présentant aux élections législatives dans la 5^e circonscription de la Haute-Garonne.

Il est élu député le 18 juin 2017, avec près de 67 % des voix au second tour face à un candidat du Front national[3]. Il succède ainsi à Françoise Imbert dans cette circonscription du Nord toulousain.

A l'Assemblée nationale, il siège au sein de la commission des Affaires étrangères.

Chargé par Stanislas Guerini de rédiger un accord électoral avec Jean-Luc Moudenc pour les élections municipales de 2020, Jean-François Portarrieu est désigné chef de file de La République en marche à Toulouse et figure à ce titre sur la liste de large rassemblement « Aimer Toulouse »[4]. Élu le 28 juin 2020 comme conseiller municipal et conseiller métropolitain de Toulouse Métropole[5]. Il préside la commission Prospective et Contractualisation[6] et est désigné co-président du groupe politique majoritaire de Toulouse Métropole[7].

Il est nommé au Conseil d'Orientation des Infrastructures, instance d'expertise inscrite dans la Loi d'Orientation des Mobilités, et installé par le ministre délégué auprès de la ministre de la Transition écologique, chargé des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, le 11 mars 2021[8]^,[9].