Jau-Dignac-et-Loirac

Jau-Dignac-et-Loirac est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Jau.

Jau-Dignac-et-Loirac

Le site du Phare de Richard vu du ciel.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Lesparre-Médoc
Intercommunalité Communauté de communes Médoc Atlantique
Maire
Mandat
Christian Boura
2020-2026
Code postal 33590
Code commune 33208
Démographie
Gentilé Jovisiens
Population
municipale
960 hab. (2018 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ 32″ nord, 0° 57′ 24″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 14 m
Superficie 41,23 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Nord-Médoc
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Jau-Dignac-et-Loirac
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Jau-Dignac-et-Loirac
Géolocalisation sur la carte : France
Jau-Dignac-et-Loirac
Géolocalisation sur la carte : France
Jau-Dignac-et-Loirac
Liens
Site web http://www.jau-dignac-loirac.com/

    La commune appartient à l'arrondissement de Lesparre-Médoc et au canton de Saint-Vivien-de-Médoc.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Jau-Dignac-et-Loirac est située dans le Sud-Ouest de la France. Plus précisément dans le Médoc (Gironde), bordant l'estuaire de la Gironde sur sa rive gauche, à environ 30 km au sud de la pointe de Grave, 15 km à l'est des plages de l'océan Atlantique et à 80 km au nord de Bordeaux dans le département de la Gironde et la région de la Nouvelle-Aquitaine(anciennement Région Aquitaine).

    La commune s'étend sur 41,2 km2 et compte 973 habitants au dernier recensement de la population. Avec une densité de 23,9 habitants par km2, Jau-Dignac-et-Loirac a connu une nette hausse de 13,9% de sa population par rapport à 1999.

    Entouré par les communes de Valeyrac, Queyrac et Saint-Vivien-de-Médoc, Jau-Dignac-et-Loirac est situé à 6 km au nord-est de Queyrac la plus grande ville à proximité.

    La commune de Jau-Dignac-et-Loirac fait partie de la Communauté de communes Médoc Atlantique[1].

    Communes limitrophes

    Les communes de Barzan, Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet, Mortagne-sur-Gironde et Floirac sont sur la rive droite de l'estuaire de la Gironde[2].

    Hydrographie

    Situé à 13 mètres d'altitude, le Ruisseau des Douze Pieds est le principal cours d'eau qui traverse la commune.

    Climat

    Le climat de Jau-Dignac-et-Loirac est de type océanique aquitain. Il se caractérise par des hivers doux et humides (gelées rares) et par des étés plutôt lumineux et secs dans l'ensemble[3]..

    Le brouillard est peu fréquent (même si des bancs de brume sont rencontrés, même en été, près des zones marécageuses, humides notamment).

    La neige est très rare.

    Le risque orageux est modéré.

    Le risque de phénomènes tourbillonnaires est élevé par rapport au reste du pays.

    La fréquence des fortes chaleurs est normale (une dizaine de jours par an).

    L'ensoleillement est plutôt important.

    Urbanisme

    Typologie

    Jau-Dignac-et-Loirac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].

    La commune, bordée par l'estuaire de la Gironde, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[9]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux maritimes (42,8 %), prairies (31,9 %), zones humides côtières (7,3 %), terres arables (6,8 %), cultures permanentes (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), forêts (1,8 %), zones urbanisées (0,6 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie Urbaine

    La commune comporte les villages de Jau, Dignac, Loirac et le Centre. La mairie, l'église et les commerces sont situés au Centre.

    Toponymie

    Jau-Dignac-e-Hloirac en occitan.

    Histoire

    Moyen Âge

    Dès le VIe siècle, le développement du Christianisme dans les villages entraîne la fondation de paroisses rurales, autour d’une église et d’un cimetière. C’est ainsi qu’ont été constituées les trois anciennes paroisses.

    La plus ancienne est celle de Jau, dédiée à saint Pierre vers la fin du VIIe siècle. De cette paroisse matrice se séparent entre les VIIIe et Xe siècles deux autres paroisses, celle de Dignac dédiée à saint Pierre et celle de Loirac dédiée à saint Romain.

    Au village de Goulée est érigée dans le courant du XIIIe siècle la Chapelle Saint-Siméon [13], sur l’emplacement d’un site archéologique dont l’occupation remonte à l’époque gallo-romaine.

    En 1599, Henry IV, par un édit royal, confie au Flamand Bradley, l’assainissement systématique des marais du Bas-Médoc. Cependant c’est le Duc d’Epernon , Sieur de Lesparre et nouveau propriétaire en 1633 de la Sirie de Loirac qui, au cours du XVIIe siècle, avec le concours des Flamands Alsen, Gorie et Batten, donne un véritable essor aux travaux entrepris.

    Révolution Française et Empire

    Après la révolution, par décret de l'Assemblée Constituante du [14], la structuration locale se réorganise, la commune se substitue aux paroisses.

    Dès 1791, les trois anciennes paroisses sont alors réunies en une seule commune : «Jau-Dignac-et-Loirac», avec élection d'un maire commun. Si cette réunification se révèle bénéfique dans bien des domaines, il subsiste toutefois un esprit de «clocher».

    Pendant ce temps, avec le concours (notamment financier) de l'Archevêque Donnet (qui deviendra Cardinal en 1852) et la connivence de la majorité des conseillers municipaux, les Loiracais outrepassent leur droit. Ils démolissent leur église et entreprennent la construction d'une église plus grande, au point de jonction des trois anciennes paroisses, avec l'arrière-pensée que celle-ci devienne l'église succursale, donc principale.

    Epoque Contemporaine

    En 1844, cette église est achevée, mais le nouveau conseil municipal n'y autorise pas la pratique du culte. Toutes les autorités civiles et religieuses veulent en finir avec ces querelles de clocher d'autant qu'une partie de la population n'est pas hostile au projet de cette église centrale.

    Sur proposition de l'Archevêque, le Ministère de l'Instruction Publique et des Cultes, décrète le , que l'église de Loirac, soit érigée en succursale, un vicaire est nommé et le culte y est autorisé. Par un nouveau décret du , les églises de Jau et de Dignac sont supprimées et le , la Commission des Monuments Historiques en permet la démolition. Les cimetières des trois églises sont désaffectés mais conservés en place pour respecter le souhait des familles. Jau-Dignac-et-Loirac forme alors une seule commune avec une seule paroisse. Cette église centrale est placée sous l'invocation de saint Paulin de Nole. Le mobilier des anciennes églises y est transporté et les cloches des trois anciennes paroisses sont remontées dans le clocher. Ce clocher a servi de sommet d'un triangle pour l'établissement de la carte d'État-major en 1864 et ce sont les cloches de Jau-Dignac-et-Loirac qui ont sonné dans le Médoc la fin de la dernière guerre mondiale.

    Politique et administration

    La commune est en zone de revitalisation rurale

    Liste des maires

    La Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1791 1791 Rullo    
    1791 1793 Jacques Liquard    
    1793 1795 Jean Martin    
    1795 1801 Pierre Richard    
    1801 1808 Pierre Petit    
    1808 1817 Jean Bert    
    1817 1828 Théodore Dubosq    
    1828 1830 Comte Desgardière    
    1830 1863 Jean Bebel    
    1863 1864 Charles Laumont    
    1864 1870 Jean Chevreau    
    1870 1871 Jean Goudineau    
    1871 1876 Jean Chevreau    
    1876 1876 François Lacher    
    1876 1881 Jean Goudineau    
    1881 1884 Léon Chiche    
    1884 1904 Théophile Guarry    
    1904 1904 Ulysse Guiraud    
    1904 1906 Ludovic Chevreau    
    1906 1919 Ulysse Guiraud    
    1920 1926 Olivier Pillot    
    1926 1935 Janbier Cazeau    
    1935 1946 Charles Landureau    
    1946 1953 Robert Baron    
    1953 1955 Albert Bertrand    
    1955 1971 Raymond Bergey    
    1971 1983 Denyse Pintat    
    1983 1995 Pierre Coutreau    
    1995 2003 Jany Sarrazin    
    2003 2008 Serge Lafond    
    2008 2014 Gino Cecchini    
    2014 2020 Gilles Coutreau    
    2020 En cours Christian Boura    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Les habitants sont appelés les Jovisiens[15].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17]. En 2018, la commune comptait 960 habitants[Note 2], en diminution de 4,86 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5941 0681 3621 5191 6081 7071 7301 7871 798
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8051 7471 7301 7471 8251 8801 8791 8261 749
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5931 6331 5391 2751 2901 2111 2429461 050
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    9469098088038368669789941 010
    2013 2018 - - - - - - -
    1 009960-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Événements notables réguliers :

    • 3e week-end de juin : Fête du village ;
    • Juillet/Août : fête du phare de Richard, Marché Gourmand, Fête du Port de Richard et la Nuit des Carrelets.

    Sentiers de petite randonnée

    • Boucle du Phare de Richard
    • Circuit de la Chapelle: Randonnée de découverte du patrimoine par le site archéologie de la Chapelle et le Port de Goulée.
    • Boucle des trois Paroisses: randonnée de découverte historique de la commune par les trois anciennes et typiques paroisses de Jau, Dignac et Loirac.

    Économie

    En 2015, Jau-Dignac-et-Loirac compte 101 entreprises implantées sur son territoire, dont 41 entreprises de commerces et services soit 40,6%

    La commune de Jau-Dignac-et-Loirac compte, en 2015, 25 entreprises de 1 à 9 salariés (soit 24,8%) et 1 entreprise de plus de 10 salariés (soit 1%).

    Agriculture

    • Zone viticole du Médoc.

    Commerces

    • Épicerie générale
    • Salon de coiffure

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église paroissiale Saint-Paulin est située au Centre.
    • Le Phare de Richard en réalité deux phares.
      Le Phare de Richard c’est en réalité deux phares.
      Le premier, en pierre, a été construit en 1843, mis en service en 1845 et remplacé parce que trop petit (18 mètres) par une tour métallique dès 1871. Cette tour métallique mesurait 31 mètres et a servi jusqu’en 1953, date à laquelle des bouées lumineuses situées directement sur le chenal de navigation l’ont remplacé. En 1956, la phare métallique est détruit pour des raisons de sécurité avant la mise en vente du domaine. En 1984 un groupe de jeunes du village décide de nettoyer les lieux envahis par la végétation. Le Maire de l’époque, soutient l’initiative et la commune rachète le phare. Depuis sa rénovation, le site est géré et entretenu par les bénévoles de l’Association Communale du Phare de Richard.
    • Port de Richard
    • Le site archéologique de « La Chapelle Saint Siméon» se situe sur la commune de Jau-Dignac-et-Loirac, sur la rive gauche de l'estuaire de la Gironde et à environ 950m des berges du fleuve. Il apparaît sur un ancien îlot de l'estuaire : le « hameau de Goulée[20] ». Les vestiges mis au jour attestent d'une occupation du site depuis l'antiquité. Ce site archéologique a été découvert en 2000 à la suite de travaux agricoles. Durant l'été 2000, une opération de sauvetage permettant d'estimer le potentiel archéologique du terrain a été menée par une équipe de l'INRAP.[21] Cette intervention, comprenant une série de sondages et tranchées, s'est réalisée sur une superficie de 6 840 m2 environ. Un décapage de surface, mené aux alentours d'un sarcophage mis au jour à la découverte du site, a permis de reconnaître l'emprise d'un bâtiment funéraire. Par la suite, d'autres tranchées ont été ouvertes dans plusieurs directions afin de mesurer l'étendue du site. En 2001, une campagne de fouille a permis de mettre au jour une surface de 300 m2 correspondant à l'emprise d'une chapelle. La fouille de ce site, prolongée de 2003 à 2005 sous forme de d'opération programmée triennale et de 2007 à 2009, fait l'objet d'un chantier école, permettant ainsi à de nombreux étudiants de venir chaque année acquérir des techniques de fouilles propres à l'archéologie et à l'anthropologie[22].
    • Le Monument aux morts
    • Les carrelets


    Sentiers de petite randonnée

    • Boucle du Phare de Richard
    • Circuit de la Chapelle: Randonnée de découverte du patrimoine par le site archéologie de la Chapelle et le Port de Goulée.
    • Boucle des trois Paroisses: randonnée de découverte historique de la commune par les trois anciennes et typiques paroisses de Jau, Dignac et Loirac.

    Héraldique

    Blason
    D’argent au phare constitué d’une bâtisse de gueules ouverte et ajourée d’acier au naturel, essorée d’or, et d’une tour aussi de gueules ajourée de sable, sommé d’une lanterne du champ mouvant du chef, aux buissons de sinople chargeant le bâtiment en pointe, le tout soutenu d’une crevette contournée de gueules posée en fasce, à la grappe de raisin de pourpre feuillée de sinople brochant en abîme, à la filière soudée aussi d’or*[23].
    Détails
    * Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : or sur argent.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 1, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne) : article 2.VI, pages 252–254, article 2.VII, pages 254–255 et article 2.VIII, pages 255–257.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Village de Jau-Dignac-et-Loirac ».
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. « CLIMAT JAU-DIGNAC-ET-LOIRAC ».
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    10. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. « Jau-Dignac-et-Loirac : Site Archéologique de "La Chapelle Saint Siméon" », sur www.sitelachapelle.fr (consulté le ).
    14. « Administration, justice et droit administratif ».
    15. « habitants.fr ».
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. « Présentation du site archéologique de « La chapelle » ».
    21. « La Chapelle : un site archéologique majeur du Bas-Médoc ».
    22. « Commune de Jau-Dignac-et-Loirac (Médoc) », sur www.jau-dignac-loirac.com (consulté le ).
    23. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=11392
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