Vensac

Vensac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Vensac

La mairie et le monument aux morts de Vensac

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Lesparre-Médoc
Intercommunalité Communauté de communes Médoc Atlantique
Maire
Mandat
Jean-Luc Piquemal
2020-2026
Code postal 33590
Code commune 33541
Démographie
Population
municipale
1 003 hab. (2018 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 23′ 56″ nord, 1° 02′ 24″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 30 m
Superficie 34,00 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Saint-Vivien-de-Médoc
(banlieue)
Aire d'attraction Lesparre-Médoc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Médoc
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Vensac
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Vensac
Géolocalisation sur la carte : France
Vensac
Géolocalisation sur la carte : France
Vensac
Liens
Site web www.vensac-medoc.com

    Géographie

    La commune se situe à la pointe du Médoc. Elle est bordée à km à l'ouest par l'océan Atlantique, derrière un cordon dunaire dénué de constructions puis une pinède-chênaie de 2 000 ha trouée de quelques champs. À l'est s'étendent les vignes, de part et d'autre de la ligne de chemin de fer Bordeaux-Le Verdon. La surface encore humide mais drainée laisse apparaître de rares étangs. Vensac est traversée à l'est par la route départementale D1 (route de Saint-Vivien), issue de la départementale D1215, puis en son centre par la D101, dite route de la Lande puis La Graouse, pour rejoindre km plus loin la route des Lacs. La Gironde s'écoule 10 km à l'est. Elle forme avec la commune de Saint-Vivien-de-Médoc, l'unité urbaine de Saint-Vivien-de-Médoc[1].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 881 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1984 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records VENSAC DAVID (33) - alt : 6m, lat : 45°23'42"N, lon : 01°02'18"W
    Statistiques établies sur la période 1984-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1984 au 31-07-2015
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,6 2,7 4,4 6,4 9,9 12,6 14,1 14 11,5 9,4 5,5 3,4 8,1
    Température moyenne (°C) 6,4 7,2 9,6 11,8 15,5 18,3 20,1 20,2 17,6 14,5 9,6 7 13,2
    Température maximale moyenne (°C) 10,1 11,8 14,9 17,1 21,1 24,1 26,1 26,4 23,8 19,6 13,8 10,7 18,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −16
    16.01.1985
    −9
    11.02.1986
    −10
    01.03.05
    −4
    21.04.1991
    1
    14.05.10
    4,5
    02.06.1997
    6
    04.07.1990
    5
    30.08.1986
    3
    28.09.10
    −3
    25.10.03
    −7,5
    21.11.1993
    −8,5
    17.12.09
    −16
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19
    06.01.1999
    24
    23.02.1990
    26,5
    20.03.05
    32
    30.04.05
    34
    30.05.01
    38,5
    26.06.11
    39
    18.07.06
    40,5
    04.08.03
    35
    07.09.06
    30,5
    02.10.11
    23
    02.11.05
    21,5
    16.12.1989
    40,5
    2003
    Ensoleillement (h) 99,9 115,1 177,1 192,7 226,7 245,7 255,9 244,5 210,6 148,4 99,3 85,6 2 101,3
    Précipitations (mm) 88,9 63,3 60,5 71,1 63,9 59,5 47,3 50,7 73,4 102,5 113,4 107,5 902
    Source : « Fiche 33541001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Vensac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Vivien-de-Médoc, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[11] et 2 792 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lesparre-Médoc, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,8 %), prairies (15,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,7 %), zones urbanisées (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), cultures permanentes (3,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %), zones humides côtières (1,2 %), zones humides intérieures (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Vensac (ou Bensac, Benssac[20] conformément à la prononciation gasconne) est mentionnée dès le XVe siècle sur les cartes, sous les traits d'un plateau entouré de lagunes sablonneuses et de marais ponctués de pins maritimes, derrière un cordon dunaire[21]. Une voie romaine, qualifiée comme telle par la mémoire collective, laisse imaginer une activité humaine remontant au moins à l'antiquité. Cette voie, nommée « chemin de la Reyne », traverse le marais de la Perge au Gua, puis continue en ligne droite jusqu'à la Graouse (selon un cheminement bordé au sud puis partiellement repris par la ligne à haute tension et appelé chemin rural n° 21 de la Reine), avant de poursuivre vers Grayan-et-l'Hôpital d'où elle rejoint la route du littoral. Son nom, aussi connu sous l'Aleyreyne, proviendrait d'une légende évoquant l'accouchement d'une reine sur une large pierre creusée par la voie, au lieu-dit Peyrereyne.

    Des premières installations matérielles chrétiennes ne reste que l'église romane Saint-Pierre, datée pour une part du XIIe siècle (abside), complétée au XVIIe siècle par une nef ornée de décorations polychromes et d'une flèche. Une activité agricole locale accompagnait les pêcheries installées tout autour des nombreux étangs, il en subsiste un moulin à vent de meunier daté du XVIIIe siècle qui restera exploité jusqu'en 1939.

    Vensac était le fief de deux seigneuries, celle de Sarsins (ou Cercins) à l’ouest et celle de Tastes. Cette dernière disposait, non loin du Gua, d'une maison fortifiée avec douves et trois tours avec créneaux[22], qui lui permettait de contrôler les échanges entre le Haut et le Bas-Médoc.

    Les dunes qui bordent le littoral de la commune ont enseveli l’ancien village d'Artigue-Estremeyre au XVIIe siècle[23].

    Au XVIIIe siècle, on comptait les villages de Gaudin, Le Treuil, Les Arrestieux, Panissas, Les Gahets[24]… et les dunes dénommées Piquey de la Moulineyre, des Hougasses, de l'Estremeyre et de Coutet.

    En 1856 apparaissent les premiers travaux de drainage sous la supervision de François Chambrelent, chargé du développement de la sylviculture en Gironde. Ces aménagements réduiront de manière significative le nombre de pêcheries et l'élevage, deux activités prépondérantes jusqu'alors. La naissance d'une forêt mêlant feuillus et résineux amènera l'apparition d'une population de gibiers abondante. À partir des années 1960 les polycultures s'effacent inexorablement devant la forêt, les parcelles sont abandonnées au profit de quelques constructions supplémentaires.

    Héraldique

    « Parti, au premier d'argent aux trois pins de sinople fûtés d'argent sur une terrasse d'or sommée d'une mer d'azur, au second d'azur au moulin d'argent ouvert de sable accosté de deux grappes d'argent sur une terrasse de sinople ; le tout au chef de gueules chargé d'un lion léopardé d'or sommé de l'inscription « Vensac » en lettres capitales de sable ; à la champagne d'argent chargée de seize rais de sinople divergeant du chef à la pointe sommée d'argent. »

    Dessin originel

    Le dessin originel du blason est une composition paysagère contemporaine non blasonnable. Le blason vectoriel est une reconstitution alliée à une simplification permettant le blasonnement et le respect des codes héraldiques. Le paysage urbain a été remplacé par le moulin du XVIIIe siècle de la commune, figure du tourisme local, accosté de deux grappes évoquant l'activité viticole. La champagne d'argent à seize rais remplace le dessin paysager des vignes. Cette version est ouverte aux améliorations.

    Politique et administration

    La mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Gilberte Guéguen    
    mars 2001 En cours Jean-Luc Piquemal   Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2018, la commune comptait 1 003 habitants[Note 5], en augmentation de 7,04 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8068387188899959609941 0601 089
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0671 0561 0351 0201 1321 1641 1841 1551 087
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 054987882781760713679583706
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    641662620680658694762772932
    2017 2018 - - - - - - -
    9861 003-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité économique concerne principalement les secteurs du vin et du tourisme. Des sociétés de services gravitent autour d'un noyau artisanal, avec la présence d'une pépinière et d'un paysagiste. Un marché aux saveurs a lieu durant la période estivale.

    Viticulture

    Vensac abrite cinq exploitations viticoles produisant du vin de Médoc : Château David, Château de Taste, Château Les Artigues, Clos Fourest et Château Le Bernardot.

    Tourisme

    La commune accueille les visiteurs par trois campings, de une à quatre étoiles, et quelques gîtes ruraux.

    Commerces

    • Une supérette magasin d'alimentation.

    Équipements, services et vie locale

    • La supérette.

    Manifestations et vie locale

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • Croix de mission, colonne monumentale avec statue métallique de la Vierge.

    L'église paroissiale

    L'église, dédiée à saint Eutrope de Saintes et à saint Pierre est d'origine romane. Elle date du XIIe siècle, avec une rénovation au XIIIe siècle. L'église avait la forme classique d'une croix latine avec chevet semi-circulaire et voûté en cul-de-four. Au XVIIe siècle les bas-côtés sont ajoutés au nord et au sud, pour donner la forme rectangulaire que l'on trouve aujourd'hui.

    L'église Saint-Pierre

    A l'extérieur, la seule partie romane qui subsiste est l'abside, formée de sept pans : deux pans avec fenêtres aveugles, qui correspondent au choeur, et cinq avec fenêtres, qui correspondent au chevet.

    • Chaque pan est divisé horizontalement en trois parties par deux cordons.
    • Les chapiteaux des colonnes qui séparent les pans ont une décoration végétale, malheureusement assez dégradée.
    • La corniche est supportée par une série de modillons, dont trois, sur les pans sud sont figurés. Les autres sont sans décoration.

    L'intérieur de l'église est décoré avec des peintures murales et la majorité des colonnes de la nef et du transept sont peints, comme à l'époque romane.

    La nef
    • Quelques chapiteaux romans. Parmi les chapiteaux figurés on trouve des classiques de l'art roman : le lion bi-corporé ; une bête avec tête humaine ; un homme avec les oreilles d'âne et des têtes humaines grimaçantes. La décoration végétales est aussi classique et typique de la fin du XIIe siècle.
    Chapiteaux avec décoration figurée
    Chapiteaux avec décoration végétale
    • Les murs des bas-côtés nord et sud sont décorés par une série de peintures murales. Malheureusement ces peintures ont besoin d'une restauration. Les trois peintures qui sont en le moins mauvais état sont illustrées dessous.
    • Les vitraux du chevet de l'église sont l’œuvre du maître-verrier bordelais Marcel Feur et datent de 1924.
    Les vitraux du chevet
    • Décor de l'église
      • Le font baptismal est creusé dans un bloc de pierre et décoré avec des cannelures verticales. On trouve des fonts semblable en Charente, Charente-Maritime et en Gironde. Ils datent presque tous du XVe siècle.
      • Le confessionnal de l'église date, très probablement du XVIIIe siècle
      • Le Chaire à prêcher en bois est enroulée autour d'un colonne du côté nord de la nef.
      • le mémorial aux morts de la première guerre mondiale porte les noms des 29 hommes de Vensac morts dans la période 1914-1918.
    • contiennent d'autres illustrations.

    Patrimoine civil

    Moulin de Vensac
    • Moulin de Vensac : moulin tour à vent du XVIIIe siècle à visiter. Toutes les pièces sont d'origine et il fabrique de la farine pendant les visites, qui est à la vente pour les visiteurs. Patrimoine en bon état de conservation[29].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. [UU202033106-saint-vivien-de-medoc Insee, Unité urbaine 2020 de Saint-Vivien-de-Médoc]
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 de Saint-Vivien-de-Médoc », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    17. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Titres gascons
    21. Histoire de la commune sur le site internet - Article.
    22. Jacques Baurein, article 2.IV, p. 247.
    23. Auguste Pawlowski, Géographie historique des côtes charentaises (ainsi que du Médoc et Bas-Poitou), 1998 (compilation d’articles parus de 1901 à 1908).
    24. Jacques Baurein, article 2.IV, p. 246.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Moulin de Vensac
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