Institut pour la justice

L’Institut pour la justice (IPJ) est un think tank[2] et une association française loi de 1901 qui préconise des réformes dans le système judiciaire français. Fondé en 2007[2], l'Institut s'est fait connaître par la diffusion de pétitions, notamment son « Pacte 2012 pour la Justice », qui a été remarqué à l'automne 2011[3]. Depuis octobre 2013, l'association publie deux fois par an la Revue française de criminologie et de droit pénal[4].

Pour les articles homonymes, voir IPJ.

L'association défend une vision de la société à la fois conservatrice et économiquement libérale[5].

Présentation

But

Le but statutaire de l'Institut pour la Justice est de « promouvoir une justice plus protectrice des citoyens et plus équitable vis-à-vis des victimes[6] ». L'association a pour objet, selon ses statuts[7], « l'écoute, l'orientation et le soutien aux victimes ainsi qu'à leurs familles, la promotion d'une meilleure organisation du système judiciaire et la défense des droits fondamentaux de la personne ».

L'association est présentée par Le Figaro Magazine comme une instance qui « veut redonner la parole à la majorité silencieuse, à cette France qui réclame une justice plus efficace. Mais son objectif est aussi d'être une force de propositions, afin de suggérer des réformes aux pouvoirs publics[8]. ».

Son but a été perçu de différentes manières : l'avocat et blogueur Maître Eolas conteste les objectifs de l'Institut en y voyant « une simple association de 1901 essayant de promouvoir des thèses ultra-répressives sous un vernis pseudo-scientifique[9] ». Ce point de vue est partagé par Maître Antonin Le Corno, membre du Parti socialiste, qui qualifie l'association de « groupe de pression qui n'est pas apolitique et qui fait du lobbying pour imposer des points de vue très réactionnaires[10] ». D'après lui, les vrais objectifs de l'Institut seraient d'aboutir « à moins de garanties procédurales et à plus de répression. »[10]

Maître Yves Darmendrail « se dit convaincu que l'Institut n'a d'autre but que de faire réfléchir à l'évolution de la justice »[10].

Orientation politique

L'association se revendique comme apolitique et refuse toute subvention publique pour conserver son indépendance vis-à-vis des partis politiques[6] .

Elle est considérée par plusieurs médias comme étant « à droite »[11],[12] et ayant des experts connus comme « de droite »[13]. À ses débuts, le journal Libération[14] soulignait que certains députés de gauche et le syndicat de la magistrature, lui-même classé à gauche, la qualifiait « d'association d’extrême droite ». Le syndicat de la magistrature a d'ailleurs émis en 2009 un communiqué classant les thèses de l'Institut pour la Justice comme inspirées par l'extrême-droite[15]. En 2013, le secrétaire général de l'Institut pour la Justice se retrouve sur le « mur des cons » du syndicat de la magistrature[16]. Il y est épinglé aux côtés de Philippe Schmitt, ancien soutien de l’Institut pour la Justice. La fille de ce général en retraite, Anne-Lorraine Schmitt, a été assassinée de plusieurs coups de couteau dans le RER D en 2007 par un homme qui avait déjà violé, en 1995, une passagère du RER D sous la menace d'un couteau[17]. Le général de deuxième section a porté plainte[18].

Depuis, certains journaux comme Rue 89[19] et le journal La Croix[20] considèrent l’IPJ comme proche du parti Les Républicains (anciennement UMP). Virginie Valton, vice-présidente de l'Union syndicale des magistrats, considère que les propositions de l'Institut pour la Justice « se situent entre la droite populaire et le Front national[19] ». En 2013, l'Institut pour la Justice est considéré comme une « association conservatrice par la majorité [21]» parlementaire. En 2014, Le Figaro Magazine, dans un article sur les inquiétudes suscitées par la réforme pénale, qualifie l'Institut pour la Justice de « Think tank de tendance conservatrice »[22].

Organisation

Les actions de l'Institut pour la Justice sont menées par une équipe de cinq salariés permanents[23]. L’association revendique 40 000 donateurs[24].

Collectif de victimes

L'association indique « apporter une écoute et un soutien moral[25] » aux victimes, en particulier dans le cas de dossiers ayant connu des dysfonctionnements judiciaires. L'Institut pour la Justice diffuse les témoignages des membres volontaires de son collectif de victimes. On compte notamment parmi les membres de ce collectif[25] Corinne et Joël Censier[26], dont le fils Jérémy a été tué en 2009.

L'association trouve une première notoriété lorsque Philippe Schmitt, père d'une victime de meurtre, s'associe à l'Institut en . Il quitte l'association en à la suite de désaccords sur la marche à suivre pour l'association, voyant ses propositions restées lettre morte[13].

Réseau d'experts

L'Institut pour la Justice compte une liste d'experts associés permettant d'élaborer ses projets, publications et actions. Parmi ces experts, les plus connus sont Jean Pradel, un professeur de droit, Olivier le Foll, ancien patron de la PJ parisienne[27], Jean-Yves Chevallier[13] et Jean-Claude Magendie, ancien Premier président de la cour d'appel de Paris. Il est également l'auteur du livre, Les sept péchés capitaux de la Justice française[28].

L'IPJ compte également parmi ses experts associés, le Dr Alexandre Baratta, Psychiatre et expert près la Cour d’Appel de Metz[29], les avocats Thibault de Montbrial et Stéphane Maitre[30] ou le criminologue canadien Maurice Cusson[31].

Présidents

L'association est fondée en par Marie-Laure Jacquemond et son mari, Vincent Laarman[32]. Marie-Laure Jacquemond est la première présidente jusqu'en 2009, date à laquelle elle cède sa place à Catherine Nemo, anciennement présidente-directrice générale de la revue Le Nouveau Détective. Catherine Nemo reste en poste de 2009 à 2010. À cette date Marie-Laure Jacquemond et Vincent Laarman quittent l’association[19]. Depuis, la présidence de l'IPJ est assurée par Axelle Theillier.

Actions

Auditions et pétitions

L'Institut pour la Justice a été auditionné par les pouvoirs publics, les commissions des lois de l'Assemblée nationale et du Sénat ainsi que lors des missions d'information créées dans chacune des chambres parlementaires[33]et par le cabinet du Garde des Sceaux de l'époque Michèle Alliot-Marie[34], ainsi que par les commissions des lois du Parlement[35],[36]. L'association est également invitée en 2014 par la commission ouverte du barreau de Paris sur les Droits de l’homme[37].

En novembre 2011, l’association lance sur Internet une pétition intitulée « Pacte 2012 pour la Justice ». Cette pétition médiatique s'accompagne d'un appel à signature sous forme d'une vidéo de Joël Censier, père de la victime d'un meurtre, qui estime que la justice française a failli à son fils et laissé libre le criminel[38].

Elle est critiquée, notamment par le blogueur Maître Eolas qui y voit une manipulation des faits, des chiffres et des signatures, et qui raille un « compteur bidon ». À la suite d'une plainte de l'Institut pour la justice, Maître Eolas est condamné en première instance pour injure publique et diffamation[39] avant d'être relaxé en appel le des faits de diffamation[40] puis de voir sa condamnation pour injure publique annulée définitivement par la Cour de cassation le [41]. Le Syndicat de la magistrature a également critiqué la pétition, de même qu'Alain Blanc, le président de l'Association française de criminologie[42].

L’association lance régulièrement des pétitions. En 2009, ses adhérents se sont mobilisés auprès de leur député contre les aménagements de peine de la loi pénitentiaire[43],[44],[14]. En 2011, à la suite de l’affaire Laetitia Perrais, l’association a lancé sur Internet une pétition signée par plus de 300 000 personnes demandant davantage de fermeté vis-à-vis des récidivistes[45].

Élection présidentielle de 2017

Dans le cadre des élections de la Primaire de la Droite et du Centre, l’IPJ invite le les candidats ou leurs porte-paroles à répondre de leur programme en matière de justice et de sécurité à l’occasion d’un forum consacré au thème « récidive, terrorisme, victimes, comment sortir d’une Justice sinistrée ? »[46]. Les sept participants, dont Philippe Houillon[47], député et porte-parole de François Fillon, Jean-François Copé, Dominique Perben[48], porte-parole d’Alain Juppé, Eric Ciotti[49], porte-parole de Nicolas Sarkozy, Antoine Beauquier[50] porte-parole de Jean-Frédéric Poisson, Jérôme Grand d'Esnon[51], porte-parole de Bruno Le Maire et Nathalie Kosciusko-Morizet[52] répondent aux questions de Philippe Bilger, du général Bertrand Soubelet, des avocats Gilles-William Goldnadel, Thibault de Montbrial et Guillaume Jeanson, porte-parole de l’Institut Pour la Justice. Les candidats ont notamment été interrogés sur des sujets tels que la défense des victimes et l'avancée de leurs droits juridiques[53] afin de les inciter à s’engager sur ces questions.[54].

A la suite de cet événement, l’IPJ a lancé le site internet « 2017 pour la Justice »[55].

Sondages

L'Institut pour la justice a créé un Observatoire Institut CSA-Institut pour la Justice pour mesurer l'opinion publique sur des questions d'actualité de justice pénale ainsi que sur les propositions de l'IPJ[56],[57],[58],[59],[60],[61].

Requête

En , la requête en annulation pour excès de pouvoir, déposée au Conseil d'État par l'Institut pour la Justice, contre la circulaire de politique pénale de Christiane Taubira est rejetée[62].

En , l'Institut pour la Justice dépose un recours auprès du Premier ministre pour demander une meilleure indemnisation des avocats de parties civiles bénéficiant de l'aide juridictionnelle[63]. L'association estime qu'il y a une "rupture d’égalité entre la rétribution versée aux avocats de la défense et celle des avocats œuvrant pour les victimes"[64].

Publication d'études ou de rapports

L'association publie certains rapports sur la délinquance en général, ou ses coûts pour la collectivité, repris par certains médias français[65],[66].

Web TV

En 2012, le lancement d’une web TV[67] permet de diffuser les discours des intervenants présents aux conférences, débats et colloques organisés par l’Institut pour la Justice. En , à l'occasion du forum "Présidentielle 2017", l’ancien Président Nicolas Sarkozy[68] et Bruno Le Maire[69] ont notamment réalisé des vidéos pour l’Institut pour la Justice afin de défendre leur programme en matière de justice et de sécurité.

En 2017, l’Institut pour la Justice entreprend la réalisation d’une série d’entretiens filmés avec des parlementaires, des magistrats, des avocats, des médecins et des responsables associatifs sur plusieurs sujets sur lesquels il se mobilise. A l'occasion de la campagne pour les élections présidentielles, l'IPJ rencontre plusieurs candidats ou porte-paroles tels que Dominique Raimbourg, Porte-parole de Benoît Hamon[70].

Dans le cadre de la campagne pour les élections législatives 2017, l'IPJ effectue une série de rencontres avec des candidats dont Juliette Méadel[71] et Georges Fenech[72].

Colloques

Le , l’IPJ organise un colloque à la Maison de la Chimie de Paris sur la délinquance des mineurs avec comme intervenants le Dr Roland Coutanceau, le commandant de police Mohammed Douhane, le criminologue Alain Bauer, la directrice du service juridique de la ville de San Francisco à la division Famille et Enfance, Me Kimiko Burton ainsi que Céline Berton, la secrétaire générale du Syndicat des commissaires de la Police nationale[73].

Le , l'Institut pour la Justice organise un colloque au Sénat intitulé « Quels juges pour quelle justice ? »[74]. L'IPJ réunit différents acteurs de la chaîne pénale dont Olivier Boisteaux, président du Syndicat indépendant des commissaires de police et Béatrice Penaud, secrétaire générale adjointe de FO-Magistrats et vice-présidente du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Pontoise. Yves-Marie Cann de l'Institut CSA, présent au colloque, rend public pendant l'événement un sondage qui montre notamment que 77 % des Français trouvent que la justice fonctionne mal[75].

Les 13 et , l'Institut pour la Justice organise un colloque international à la Sorbonne autour du thème : Une justice pénale rénovée, fondée sur la criminologie moderne[76]. Ces deux journées de débats et d'échanges sous la houlette de l'IPJ regroupent des praticiens et des théoriciens du droit comme l'Ombudsman fédérale des victimes d'actes criminels au Canada, Sue O'Sullivan, les professeurs Jean Pradel, André Varinard ou Maurice Cusson, les magistrats Jean-Claude Magendie et Cécile Petit, mais également des criminologues canadiens comme Jean Proulx et Jean-Pierre Guay ou français comme Alain Bauer et Martine Herzog-Evans[77].

Le , l'Institut pour la Justice organise un colloque au Sénat intitulé « L'Union européenne, nouvel acteur de la justice pénale ? »[78]. Plusieurs personnalités du monde judiciaire et policier y participent dont l'avocat général Philippe Bilger, Me Christophe Ayela, Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie-Officiers et les députés Dominique Raimbourg (PS) et Jean-Paul Garraud (UMP)[79].

En 2011, l’association organise un colloque sur le droit des victimes[80], à l’Assemblée nationale.

En , dans le cadre du débat autour de la réforme pénale, l'IPJ a organisé un colloque qui a eu lieu à l'Assemblée nationale, sous le parrainage du Vice-président de la Commission des lois, Philippe Gosselin. Quatre experts ont présenté leur propositions d'amélioration du système judiciaire. Le Professeur Jean Pradel, Jean-Claude Magendie, Francis Casorla et Stéphane Maître sont intervenus devant un public composé d'élus, de collaborateurs parlementaires, et de juristes[81]

Publications

Depuis octobre 2013, l'association diffuse deux fois par an sa Revue Française de Criminologie et de Droit Pénal où plusieurs personnalités du monde juridique et judiciaire telles que Jean Pradel, Martine Herzog-Evans, Marc Trévidic, Jean-Claude Magendie ou Jean-François Gayraud sont invités à commenter l'actualité juridique, politique et pénale. Sa spécificité est de proposer aux praticiens et théoriciens du droit d'échanger sur des questions de criminologie et de droit pénal[82].

L’association diffuse des études sur des sujets d’actualité qu’elle publie sur son site internet[83],[84],[85].

Le secrétaire général de l'Institut pour la justice, Xavier Bébin, a publié Quand la justice crée l'insécurité aux éditions Fayard en 2013[86].

Liens externes

Références

  1. Revendication de l'IPJ
  2. Camille Poloni, « "Réforme pénale: la nouvelle croisade de la droite contre Taubira », sur Rue89,
  3. « Une pétition du Net pour réformer la justice », sur lefigaro.fr,
  4. Bibliographie nationale française
  5. « De SOS Education à la « santé naturelle », voyage dans la galaxie conservatrice des Laarman », Le Monde, (lire en ligne)
  6. « Présentation de l'IPJ », sur Institut pour la Justice
  7. « Statuts », sur Institut pour la Justice
  8. Le Figaro Magazine, Ghislain de Montalembert, 24/05/2013, p.42
  9. « Le combat d'Eolas contre "l'Institut pour la Justice" », sur Arrêt sur images,
  10. « Censier, la vidéo qui trouble », sur larepubliquedespyrenees.fr,
  11. « cette association plutôt classée à droite. » in « Une pétition du Net pour réformer la justice », sur lefigaro.fr,
  12. « Des candidats défilent devant le très droitier Institut pour la justice », sur L'Express,
  13. « Un Institut pour la Justice très adroit », sur Libération.fr,
  14. « Loi pénitentiaire : un débat sous l’influence des groupes de pression sécuritaires », Communiqués de presse, sur Syndicat de la Magistrature,
  15. « Tollé autour du « mur des cons » du Syndicat de la magistrature », sur Le Point.fr,
  16. « Anne-Lorraine Schmitt, la bataille d'un père », FIGARO, (lire en ligne, consulté le )
  17. « Syndicat de la magistrature : qui sont les "cons" qui ont porté plainte ? », LCI, (lire en ligne, consulté le )
  18. « Institut pour la Justice, hold up de droite sur les victimes », sur Rue89,
  19. « La controverse Institut pour la Justice gagne du terrain », sur la-croix.com,
  20. « Le gouvernement veut afficher son unité sur la récidive », sur http://fr.reuters.com/,
  21. Guillaume de Dieuleveult, « Pourquoi la réforme pénale inquiète les policiers et les magistrats », Le Figaro Magazine, no 21863,
  22. « Une pétition sécuritaire s'emballe sur la toile », sur Libération.fr,
  23. Nouvel Obs, 02/08/2012, p.77
  24. « Notre collectif de victimes », sur Institut pour la Justice
  25. La République des Pyrénées, le 21/12/2011
  26. Jean-Marc Leclerc, « Une pétition du Net pour réformer la justice », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
  27. Les 7 pêchés capitaux de la justice française de Jean-Claude Magendie, sur le site des éditions Léo Scheer
  28. « Alexandre Baratta », sur www.atlantico.fr
  29. « Procès d’Alain Penin : «Peut-être que j’aurais dû parler de ces pulsions que j’avais» », sur www.nordeclair.fr,
  30. Ghislain de Montalembert, « Quand les citoyens montent au créneau », Le Figaro Magazine, , p. 42
  31. Benoît Collombat, « Derrière SOS Education, le business de la santé naturelle », sur France Culture, (consulté le )
  32. [PDF]« Rapport Léger », sur justice.gouv.fr,voir liste des organismes auditionnés en annexe IV, page 59
  33. Site du Ministère de la Justice, « archives de la concertation »
  34. Liste des personnes auditionnées par le rapporteur de la loi pénitentiaire à l'Assemblée nationale, M. Jean-Paul Garraud, sur le site de l'Assemblée nationale
  35. Liste des personnes auditionnées par le rapporteur de la loi visant à amoindrir le risque de récidive au Sénat, M. Jean-René Lecerf, site internet du Sénat
  36. Compte-rendu du débat Quelles perspectives pour le projet de réforme pénale?, page de la Commission ouverte des Droits de l'homme sur le site de la Maison du barreau
  37. Recentrer la Justice sur sa mission première de protection des citoyens
  38. AFP, « Condamné pour « injure publique » et « diffamation » Maître Eolas ferme son compte Twitter », sur Le Monde, (consulté le )
  39. Justice : l'avocat Maitre Eolas condamné en correctionnelle, valeursactuelles.com, 6 février 2017
  40. « Tweets contre l'Institut pour la Justice : Maître Eolas totalement relaxé en cassation », sur Libération.fr,
  41. Julie Brafman, « Ce qui se cache derrière l'Institut pour la justice », sur Slate, (consulté le )
  42. « Le gouvernement veut atténuer la loi pénitentiaire », sur Le Monde.fr,
  43. « Les citoyens se lancent dans le lobbying », sur Le Figaro.fr,
  44. « Récidive : les Français réclament la sévérité », sur Le Figaro.fr,
  45. Primaire de la droite & justice pénale : ces candidats qui s’engagent à faire avancer le droit des victimes
  46. Philippe Houillon, porte-parole de François Fillon au Forum Présidentielle 2017 organisé par l'Institut pour la Justice
  47. Dominique Perben, porte-parole d'Alain Juppé, au Forum Présidentielle 2017 organisé par l'Institut pour la Justice
  48. Eric Ciotti, porte-parole de Nicolas Sarkozy au Forum Présidentielle 2017 organisé par l'Institut pour la Justice
  49. Antoine Beauquier, porte-parole de Jean-Frédéric Poisson au Forum Présidentielle 2017 organisé par l'Institut pour la Justice
  50. Jérôme Grand d'Esnon, porte-parole de Bruno Le Maire, au Forum Présidentielle 2017 organisé par l'Institut pour la Justice
  51. Nathalie Kosciusko-Morizet au Forum Présidentielle 2017 organisé par l'Institut pour la Justice
  52. Primaire de la droite & justice pénale : ces candidats qui s’engagent à faire avancer le droit des victimes
  53. Justice : le match Fillon-Juppé
  54. 2017 pour la Justice
  55. « Le Carrefour du 6/7 du 24 mai », sur France Inter,
  56. « Les Français pour une justice plus sévère, selon un sondage », sur Le Figaro,
  57. « Taubira présente en Conseil des ministres sa réforme pénale controversée », sur http://tempsreel.nouvelobs.com/,
  58. « Pour 9 Français sur 10, la justice est difficile à comprendre », sur www.lemonde.fr,
  59. « Les Français favorables aux tribunaux correctionnels pour mineurs », sur http://www.lexpress.fr/,
  60. Article du Figaro du jeudi 27 février 2014, site du groupe des radicaux de l'Assemblée nationale
  61. L’institut pour la justice se prend une tôle devant le Conseil d’État
  62. « Un recours pour mieux indemniser les avocats des parties civiles », sur La-croix.com,
  63. « AJ : l’Institut pour la justice dépose un recours pour revaloriser la rétribution des avocats de parties civiles », sur http://www.dalloz-actualite.fr/,
  64. « Le crime et la délinquance en France coûteraient 150 milliards d'euros », sur l'expansion.fr,
  65. « Combien coûte la délinquance ? », sur RMC.fr
  66. Web TV de l'IPJ
  67. Nicolas Sarkozy présente son programme en matière de justice pénale et de sécurité à l'occasion du Forum "Présidentielle 2017" organisé par l'Institut pour la Justice
  68. Bruno Le Maire présente son programme en matière de justice pénale et de sécurité à l'occasion du Forum "Présidentielle 2017" organisé par l'Institut pour la Justice
  69. Rencontre de l'Institut pour la Justice avec le député et Président de la Commission des lois Dominique Raimbourg, porte-parole de Benoît Hamon, candidat à l'élection présidentielle
  70. Rencontre de l'Institut pour la Justice avec Juliette Méadel, ancienne Secrétaire d’État chargée de l'aide aux victimes
  71. Rencontre de l'Institut pour la Justice avec Georges Fenech, président de la commission d'enquête relative aux moyens mis en œuvre par l’État pour lutter contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2015
  72. Colloque : Justice des mineurs : que faut-il faire?
  73. « Colloque : Quels juges pour quelle justice ? », sur www.institutpourlajustice.org
  74. « La justice est "difficile à comprendre" pour les Français », sur http://www.europe1.fr/
  75. « Colloque : Rénover le droit et la procédure pénale », sur www.institutpourlajustice.org
  76. « « La criminologie est plus près que jamais de sa reconnaissance et de son application dans la réalité » (Alain Bauer) », sur www.aef.info,
  77. « Colloque de l’Institut Pour la Justice « L’Union européenne, nouvel acteur de la Justice pénale française ? » », sur www.institutpourlajustice.org,
  78. « « Le système judiciaire français est moribond », affirme l'avocat Christophe Ayela lors d'un colloque de l'Institut pour la justice », sur http://www.aef.info/,
  79. « Une association de victimes réclame le droit de faire appel », sur Le Parisien.fr,
  80. Actes du Colloque tenu à l'Assemblée nationale le 5 avril 2018, Revue française de criminologie et de droit pénal
  81. Lancement de la Revue française de criminologie et de droit pénal
  82. Institut pour la Justice, « Études de l’IPJ » (consulté le )
  83. « La délinquance coûte 115 milliards chaque année », sur Le Figaro.fr,
  84. « Une évaluation contestée du coût de la délinquance », sur la-croix.com,
  85. Quand la justice crée l'insécurité
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