Guern

Guern ([gɥɛʁn][1]) est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Guern

La mairie.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Pontivy Communauté
Maire
Mandat
Joseph Le Bouédec
2020-2026
Code postal 56310
Code commune 56076
Démographie
Gentilé Guernate
Population
municipale
1 310 hab. (2018 )
Densité 28 hab./km2
Population
agglomération
42 209 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 01′ 53″ nord, 3° 05′ 26″ ouest
Altitude Min. 67 m
Max. 188 m
Superficie 47,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pontivy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pontivy
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Guern
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Guern
Géolocalisation sur la carte : France
Guern
Géolocalisation sur la carte : France
Guern
Liens
Site web Site officiel de la commune

    Ses habitants se nomment les Guernates (du breton Gwernad).

    Géographie

    Plan de la commune.


    La commune est située au nord-ouest du département du Morbihan, dans le Pays de Pontivy. Sa superficie est de 4 701 hectares. La commune, de forme étirée, atteint 11 km dans sa plus grande extension selon un axe est-ouest. Elle est traversée du nord au sud par la Sarre, un affluent du Blavet.

    Les communes limitrophes sont au nombre de sept : Séglien au nord, Locmalo à l'ouest, Bubry au sud-ouest, Melrand au sud, Bieuzy au sud-est, Le Sourn à l'est et Malguénac au nord-est.

    Le bourg occupe une position centrale. L'habitat est dispersé. Les villages les plus importants sont Quelven et Locmeltro. En 1896, le bourg comptait 320 habitants et le village de Quelven 280 habitants.


    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 044 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontivy », sur la commune de Pontivy, mise en service en 1968[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 968,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952 et à 36 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[12], à 12 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Guern est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontivy, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 1,2 % 54
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 33,0 % 1548
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 7,9 % 369
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 30,6 % 1438
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 2,4 % 112
    Forêts de feuillus 6,3 % 295
    Forêts de conifères 6,9 % 324
    Forêts mélangées 11,6 % 544
    Forêt et végétation arbustive en mutation 0,2 % 9
    Source : Corine Land Cover[20]

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous la forme Guern en 1125[21], puis sous la forme Guaier en 1315.

    Le nom en breton de la commune est Gwern.

    Guern est issue du mot breton Gwern lui-même issu du mot gaulois verno que l'on retrouve toujours en Gallois sous la forme Gwernin signifiant aulnes ou aulnaie, mais en breton, gwern peut également signifier le "marais", l'un n'excluant pas l'autre, l'aulne étant un arbre qui aime beaucoup l'humidité, et qu'on trouve fréquemment au bord des marais. Le toponyme pourrait également provenir d'un hagionyme portant le même nom[22]. Le cartulaire de Redon mentionne l'église paroissiale de Guern à partir de 836[23]. La paroisse primitive est placée sous le titre de saint Pierre (saint Paul lui étant adjoint après l'incendie de l'église en 1782) mais le lieu-dit Cranhuern rappelle peut-être l'habitude de consacrer un lieu secondaire de la paroisse à son éponyme[24].

    Guern est un toponyme très fréquent en Bretagne.

    Histoire

    Moyen-Âge

    La paroisse de Guern englobe la trève de Le Sourn et de Locmeltro et fait partie des 75 paroisses et trèves de la vicomté de Rohan[25].

    Révolution française

    En 1790, la paroisse est érigée en commune du canton de Melrand, district de Pontivy. En 1801, elle est rattachée au canton de Pontivy[26].

    Le XIXe siècle

    Hélène Jégado, surnommée la « Brinvilliers bretonne », alors qu'elle est cuisinière chez Le Drogo, curé de Guern, empoisonne en utilisant de l'arsenic, entre le 28 juin et le 7 octobre 1833, le curé ainsi que sa nièce, son père, sa mère, et sa propre tante et sa sœur Anne Jegado. Ils meurent après d'horribles souffrances. Les médecins de l'époque n'y voient que du feu. Ils pensent à une épidémie de choléra, les symptômes pouvant prêter à confusion. Hélène est considérée comme une miraculée

    La commune est amputée en 1869 d'une partie de son territoire pour la création de la commune de Le Sourn. Sa superficie passe ainsi de 5 286 hectares[27] à 4 701 hectares.

    En 1897, les surfaces cultivées occupaient 2 900,34 hectares dont 2 292,14 hectares de terres labourables, 501,73 ha de prés et 106,47 ha de jardins. Les principales cultures étaient par ordre d'importance décroissant le seigle (1 147 hectares), le sarrasin (825 ha), l'avoine (284 ha), les pommes de terre (65 ha), le chanvre (27 ha) et le froment (12 ha). La population bovine s'élevait à 3 545 individus dont 275 bœufs de travail, 60 taureaux et 805 vaches. On dénombrait 1 200 ruches sur la commune[28].

    La Belle Époque

    En 1907 la comtesse Vefa de Saint-Pierre qui visite cette année-là le Canada, y rencontre notamment la famille Kervinio[Note 6], originaire de Guern et installée à Saint-Claude (Manitoba) ; elle écrit : « Arrivés il y a trois ans avec 600 francs, quatre enfants petits. Défriché 24 hectares. Troupeau, matériel, vaut 7 500 francs (...). Enchanté, ne retournera jamais en Bretagne. Possède 63 hectares de terres »[29].

    Économie

    Secteur primaire

    Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Guern, observées entre 1988 et 2010, soit sur une période de 22 ans[30].

    198820002010
    Nombre d’exploitations agricoles1356748
    Équivalent Unité de travail annuel (UTA)1857677
    Surface agricole utile (SAU) (ha)2 5582 5502 170
    Superficie en terres labourables (ha)2 3402 3401 966
    Superficie toujours en herbe (ha)210209153
    Nombre d’exploitations ayant des vaches laitières863621
    Vaches laitières (nombre de têtes)1 7451 1991 003
    Nombre d’exploitations ayant des poulets de chair et coqs2255
    Poulets de chair et coqs (nombre de têtes)137 592118 503206 001

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Le Mouel Pierre   Laboureur
    1791 1792 Lavenant Vincent    
    1792 1793 Le Beller Olivier    
        Le Rouzic    
        Postic    
    1806   Le Mouël Louis    
    1833 1859 Le Cam Joseph   Cultivateur. Sujet d'une chanson en breton relatant ses voyages à Paris pour solliciter des crédits afin de reconstruire la tour de Quelven.
    1859 1863 Le Mouël Julien    
    1863 1869 Bigouin Louis-Mathurin    
    1869 1878 Kervégant Joseph-Marie    
    1878 1896 Philippe Jacques    
    1896 1907 Kervégant Alexis    
    1907 1919 Le Cam Louis    
    1919 1947 Bellec Julien    
    1947 1965 Le Pimpec Mathurin    
    1965 1989 Le Goff Eugène    
    1989 2001 Yves Pérez    
    2008
    Réélu en 2014 et 2020[31]
    En cours Joseph Le Bouédec    

    Lieux et monuments

    Sites naturels

    Maisons et autres établissements

    Vestiges préhistoriques et antiques

    • Les colonnes ou stèles de Locmeltro

    Ces pierres sont situées à l'intérieur de l'enclos de la chapelle de Locmeltro. Elles auraient été déplacées et, en tout cas, christianisées au plus tard au milieu du XIXe siècle.

    Si on retient l'hypothèse qu'elles aient été des colonnes itinéraires à l'époque romaine, elles étaient alors probablement situées au bord de l'ancienne voie du territoire des Vénètes[32], allant de Vorgium (Carhaix ?) à Darioritum (Vannes). On envisage maintenant que cette voie traversait la commune de Guern au sud du hameau[33], puis continuait à l'est vers les alentours de Ménorval (Mané-er-Val).

    La plus grande colonne, bien qu'anépigraphe et sans décors, semble en un seul morceau et mesure environ 3 mètres de haut. Elle serait « du vingt-troisième lieue » depuis Vannes, selon Seymour de Ricci[34]. L'autre colonne serait en deux fragments, dont le plus petit a été évidé pour servir de bénitier[35], à l'entrée de la chapelle.

    On envisage aussi que ces monolithes aient plutôt été des stèles protohistoriques[36], avant un remploi antique ou plus récent.

    Châteaux & manoirs

    Édifices religieux

    À la basilique, qui date du XVe siècle, une foule de fidèles se rassemble le pour prier et brûler des cierges devant la statue de la Vierge qui s'ouvre en trois panneaux évoquant la vie du Christ. Puis ils se rendent à la fontaine, dont l'eau est réputée remédier à la stérilité.

    • L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, datant du XVe siècle, est reconstruite en 1788 par Julien Pichot, ingénieur des Ponts et Chaussées à Pontivy, après un incendie, et restaurée au XIXe siècle. Elle est notamment flanquée, côté Sud, d'un porche à baldaquin, et abrite une statue en bois polychrome de la « Vierge allaitant » (Notre-Dame de Joie) datée du XVIe siècle[38].
    • La chapelle de Saint-Jean 1585.
    • La chapelle Saint-Meldéoc de Locmeltro XVIe siècle et sa fontaine.
    • La chapelle Boderel XVIIIe siècle.
    • La chapelle Saint-Gilles XVIIe siècle.
    • La chapelle Saint-Salomon.
    • La chapelle de Guermeur.
    • La croix de cimetière de Guern.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

    En 2018, la commune comptait 1 310 habitants[Note 7], en diminution de 4,17 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5002 2373 0583 0793 3863 4683 3273 6193 564
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 2803 2293 3412 6542 7092 7342 7662 7462 677
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7872 8632 7142 5242 5752 6552 4662 4402 144
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 8961 6701 5551 5341 4091 3981 4451 4511 368
    2017 2018 - - - - - - -
    1 3061 310-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2016, on recensait 668 hommes et 657 femmes à Guern. La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était la suivante :

    • 50,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,9 %, 15 à 29 ans = 12,2 %, 30 à 44 ans = 16,8 %, 45 à 59 ans = 23,5 %, plus de 60 ans = 30,5 %) ;
    • 49,6 % de femmes (0 à 14 ans = 16,6 %, 15 à 29 ans = 11,5 %, 30 à 44 ans = 16,0 %, 45 à 59 ans = 19,2 %, plus de 60 ans = 36,8 %).
    Pyramide des âges en nombre d'individus à Guern en 2016 [43].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    3 
    90 ou plus
    16 
    55 
    75 à 90
    89 
    146 
    60 à 74
    137 
    157 
    45 à 59
    126 
    112 
    30 à 44
    105 
    82 
    15 à 29
    75 
    113 
    0 à 14
    109 

    Personnalités liées à la commune

    Louis Dacquay (env. 1890 - env. 1960), immigrant au Canada.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Jean Mathurin Kervinio, né le à Guern, époux de Marie Marguerite Dacquay [née le à Guern], décédé le à Saint-Claude (Manitoba).
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Erwan Vallerie : L'Art & la manière de prononcer ces sacrés noms de lieu de Bretagne, Le Chasse-Marée / Armen, 1996, page 99.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pontivy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Guern et Pontivy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pontivy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Guern et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pontivy », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    21. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France: Formations non-romanes ; formations dialectales, page 1036.
    22. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Éditions Jean-Paul Gisserot, , p. 71.
    23. Cartulaire de l'Abbaye Saint-Sauveur de Redon, Volume 1, Association des amis des archives historiques du diocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo, , p. 62.
    24. Erwan Vallerie, Communes bretonnes et paroisses d'Armorique, Beltan, , p. 41.
    25. Hervé Du Halgouet, La vicomté de Rohan et ses seigneurs, R. Prud'homme, , p. 97.
    26. Michèle Bourret, Le patrimoine des communes du Morbihan, Flohic éditions, , p. 727.
    27. Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, nouvelle édition, tome 1, page 328
    28. revue Mein ha Tud no 19, page 36, article d'après une enquête géographique et historique consultée aux archives départementales du Morbihan
    29. Claire Arlaux, Une Amazone bretonne - Vefa de Saint-Pierre, éditions Coop Breizh, Keltia Graphic, Spézet, 2000.
    30. « Recensement agricole 2010 - Principaux résultats par commune », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt (consulté le ).
    31. « Municipales à Guern. Joseph Le Bouédec a été réélu maire pour un second mandat », sur Ouest-France, (consulté le ).
    32. Selon la Table de Peutinger (Segm. I, 2, o).
    33. 48° 02′ 27″ N, 3° 08′ 51″ O .
    34. Cf. Seymour de Ricci, « Répertoire épigraphique de la Bretagne occidentale, et en particulier du département des Côtes-du-Nord », dans Société d'émulation des Côtes-du-Nord. Bulletins et mémoires, 35, Saint-Brieuc, 1897, p. 279 (en ligne).
    35. Voir une image du bénitier sur t4t35.fr
    36. Cf. Patrick Galliou et al., préface de Jean Leclant, Le Morbihan, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, 2009, p. 143 (Carte archéologique de la Gaule : Pré-inventaire archéologique, 56) (ISBN 978-2-87754-238-8).
    37. Notice no PA00091251 et Notice no IA00010510, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Louis Chauris, « Impacts de l'environnement géologique sur les constructions dans la région de Pontivy au cours de l'histoire », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, t. 88, , p. 16.
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. « Population par sexe et âge à Guern en 2016 » (consulté le ).
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