Frettecuisse

Frettecuisse est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Frettecuisse

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Agnès Facquet
2020-2026
Code postal 80140
Code commune 80361
Démographie
Population
municipale
75 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 55′ 28″ nord, 1° 48′ 46″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 143 m
Superficie 5,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Frettecuisse
Géolocalisation sur la carte : Somme
Frettecuisse
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Frettecuisse
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Frettecuisse

    Géographie

    Description

    Frettecuisse est un village rural picard du Vimeu située à une quarantaine de kilomètres au sud-est du Tréport et de la Manche,. à 5,5 km au sud-ouest d'Oisemont , à 30 km (dont 12 sur autoroute) au nord d'Abbeville, à 13 km au nord-ouest d'Hornoy-le-Bourg et à 39 km à l'ouest d'Amiens.

    Le village est desservi par les RD 29a et RD 29b

    Communes limitrophes

    Géologie, hydrographie, relief

    Le sol est assez perméable. Sous la couche végétale, se trouve une couche de marne[1].

    Deux petits vallons partagent le territoire en trois bandes relativement parallèles. Ces deux dépressions, partant d'Andainville, viennent aboutir et se confondre au lieu-dit le Val au Puit, près de Vergies[1].

    L'eau se trouvait à la fin du XIXe siècle dans une nappe phréatique à environ 46 m de profondeur, dans une marne reposant sur des terrains argileux. Le territoire ne comporte aucun cours d'eau[1].

    Hameaux et écarts

    Frettecuisse comprend un hameau : le Fay, partagé entre les deux communes de Vergies et Frettecuisse.

    Urbanisme

    Typologie

    Frettecuisse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (99,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,4 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), prairies (9,4 %), forêts (0,7 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    On trouve Fracta coxa en 1146 par Thierry, évêque d'Amiens dans le cartulaire de Sélincourt. Frate cuisse est nommé en 1301, dans un pouillé[9], ou Frecequisse en 1301, puis Fracte Cuisse en 1477, Frecque Cuisse en 1557 et Fretteville en 1761[10].

    Frettecuisse s'est également écrit Frette-Cuisse[11]. Son étymologie est inconnue.

    Le Fay évoque un lieu planté de hêtres.

    Histoire

    Avant la Révolution française

    Durant l'époque féodale, jusqu'au XVIe siècle, Frettecuisse dépend[10] :

    Aux XVIIe et XVIIIe siècles, Frettecuisse souffre de la misère. En effet, les roturiers qui possèdent des terres doivent payer, en plus des impôts royaux, les traites, le cens, la dîme, la corvée... qui sont dus à la commanderie[Laquelle ?].

    La coutume locale, rédigée en 1507, était la même que.ceUe de Saint-Maulvis[10].

    Époque contemporaine

    Les cahiers de doléances de la paroisse sont consultables sur le site des archives départementales.

    Une.épidémie enleva le tiers de la population en 1790[10].

    Frettecuisse possède une école en 1707.

    Sous la Deuxième République, en 1849, comme dans toutes les communes de France est intauré le suffrage universel masculin, qui permet à la totalité des citoyens masculins de plus de 21 ans de voter. Le droit de vote des femmes ne leur est reconnu qu'en 1945.

    En 1899, le cheptel communal se monte à 50 chevaux, 200 bovins dont 120 vaches laitières, 80 moutons, plus de 80 porcs et 6 chèvres[1]. A cette époque, la commune compte trois hameaux, le Fay, qui exste toujours, Le Fay-Frettecuisse a alors 66 habitants. Sa jumelle, Le Fay-Vergies a, en commun avec elle, une chapelle et une école en 1899. Les deux hameaux disparus depuis sont[1] :

    • le Moulin qui possède, en 1899, neuf habitants, descendants du meunier dont le moulin est disparu ;
    • « Écoreau », une ferme de deux habitants, sur la route de Liomer à Oisemont. C'était autrefois une maison des Templiers dont la chapelle sert de grange en 1899[10].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouvait jusqu'en 2009 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. De 2009 à 2016, elle est intégrée à l'arrondissement d'Abbeville, avant de réintégrer le l'arrondissement d'Amiens[12]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Oisemont[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Poix-de-Picardie.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la petite communauté de communes de la Région d'Oisemont (CCRO), créée au .

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

    Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[14],[15]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[16], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[17].

    La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [18].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[19]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Janine Leroy    
    mars 2008[20] 2014 Jean-Pierre Becquet DVD  
    2014[21] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Agnès Facquet   Réélu pour le mandat 2020-2026[22]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2018, la commune comptait 75 habitants[Note 3], en augmentation de 5,63 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    232224231201237234238247242
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    218211221223211219197178172
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    185167160143112108108108105
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    10497113927968727274
    2018 - - - - - - - -
    75--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population est « tombée » de plus de moitié en un siècle (entre 1850 et 1950), remarquable exemple d'exode rural.

    Enseignement

    L'ancienne école.

    En matière d'enseignement primaire, les enfants du village relèvent du regroupement pédagogique concentré organisé à l'école publique d'Oisemont, destinée à accueillir 300 élèves. La compétence scolaire est mise en œuvre par la communauté de communes Somme Sud-Ouest[26].

    Manifestations culturelles et festivités

    L'association Zic en brousse a organisé le son premier festival de musique au Fay, apprécié de 400 spectateurs environ[27].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Notre-Dame du XVIIe siècle et restaurée en 1758[10]. surplombe la rue du village menant à l'extérieur, vers l'actuel cimetière, Saint-Maulvis et Le Fay.
    Le clocher de l'édifice présente une particularité devenue rare : sa charpente complète en bois, depuis le sol, un peu comme les églises « en bois debout » de Norvège et Roumanie. Un autre village, au moins, a encore son clocher construit avec une telle charpente : Dreuil-Hamel. En 1908, des historiens locaux signalaient un clocher semblable, celui d'Orival.
    En 1908, on décrivait l'édifice de la manière suivante : l'église était « ornée de contreforts et d'un larmier gothique au nord; son abside est à trois pans; un clocher carré en charpente, couvert en ardoises, s'élève sur la façade. A l'intérieur, il n'y a qu'une nef, voûtée en bois recouvert d'enduit[10]. ».
    • Croix de mission avec les attributs d'artisans locaux d'autrefois. La tenaille et l'échelle pour descendre le corps du christ, symboles de la passion.
    • Vestiges de la chapelle des Templiers[29],[30],[31]. Les templiers ont possédé au lieudit Écoreaux cette chapelle fondée en 1334 par Gilles de Rivière, seigneur de Rivière et de Frettecuisse. La fondation fut confirmée par son fils Raoul. Les ruines sont classées aux monuments historiques depuis 1926. Une aquarelle d'Oswald Macqueron la présente en meilleur état[32],[10].
    • Chapelle funéraire des familles Leclercq-Bully-Poiret, datée de 1895, entourée d'ifs taillés, placée sous la protection de saint Joseph, route du Fay[32].
    • Circuit pédestre dit du « Bois de la Faude » (13,5 km, 4 h 30) qui passe dans le village.
    La Faude, une sorcière, hantait le bois, renommé pour les maléfices réservés aux promeneurs[33].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Pierre-Louis Limichin, Le canton d'Oisemont, histoire et archéologie, Inval-Boiron, édit. Vague Verte, collection Jusant, , 177 p. (ISBN 978-2-913924-93-2)
    • Répertoire des Noms de Famille de la Somme en 1849, René Boyenval, René Debrie, René Vaillant, 232 pages, Éditions ÉKLITRA, Amiens, 1972
    • Département de la Somme, Documents pour servir à l'histoire de la Révolution française, t. IV : Etats généraux de 1789 : Elections – Rédaction des cahiers, Amiens, T. Jeunet, , 482 p. (lire en ligne), p. 176-185.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Notice historique et géographique réalisée par l'instituteur, M. Beaugeois, 1899, Archives départementales, Amiens
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Jacques Garnier, Dictionnaire biographique du département de la Somme, t. I : De Aaron-le-Fontaine à Luzière-lès-Conty, Paris et Amiens, Imprimeries de J.B. Dumoulin et Lemer, coll. « Mémoires de la société des antiquaires de Picardie, troisième série », , 528 p. (lire en ligne), p. 408 sur le site des archives départementales de la Somme.
    10. P. L. Limichin, Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, vol. III : Arrondissement d'Amiens : cantons d'Oisemont, Picquigny, Poix et Villers-Bocage, Amiens, Yvert & Tellier, coll. « Société des antiquaires de Picardie », , 721 p. (lire en ligne), p. 82-88, lire en ligne sur Gallica.
    11. Au XIXe siècle.
    12. « Arrêté du Préfet de région du 23 décembre 2016 portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme », Recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-France, no 200, , p. 321 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    15. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    16. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    17. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
    18. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
    19. « Les maires de Frettecuisse », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    20. « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    22. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Émilie Da Cruz, « Une cantine et une maternelle pour 2018 à Oisemont : Les projets de la communauté de communes de la région d’Oisemont seront repris par la nouvelle Intercommunalité. Entre autres, la construction d’équipements scolaires », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Le festival Zic en Brousse à Frettecuisse a rassemblé 400 personnes : Spectateurs et artistes étaient ravis de se retrouver autour d’un événement musical. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Frettecuisse, canton d'Oisemont, d'après nature, 24 avril 1870 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    29. « Chapelle des Templiers à Ecoreaux », notice no PA00116163, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Ancienne chapelle des Templiers dans l'enclos de la ferme des Correaux, commune de Frettecuisse (canton d'Oisemont), d'après nature, 19 août 1868 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    31. « A) Ecoreau. Chapelle des Templiers. - Héliogr. Dujardin. - Extrait de "La Picardie historique et monumentale". B) Aumâtre. Nef de l'église. - Héliogr. Dujardin. - Extrait de "La Picardie historique et monumentale". », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    32. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 89 (ASIN B000WR15W8).
    33. Amaury Legrand, « Plus de 80 km de chemins pour découvrir Hallencourt et sa région : Été oblige, le beau temps est de retour. L'occasion de (re) découvrir, à pieds, en VTT ou à cheval, les quelque 80 km de chemins autour d'Hallencourt. Entre Vimeu et Ponthieu, ces balades permettent de connaître un peu mieux le patrimoine local et sa flore », L'Informateur - L'Éclaireur, (lire en ligne, consulté le ).
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