Fournival

Fournival est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Fournival

Église Notre-Dame.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Olivier Coulon
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60252
Démographie
Gentilé Fournivaliens, Fournivaliennes
Population
municipale
525 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 02″ nord, 2° 23′ 04″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 159 m
Superficie 11,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Fournival
Géolocalisation sur la carte : Oise
Fournival
Géolocalisation sur la carte : France
Fournival
Géolocalisation sur la carte : France
Fournival

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes de la commune de Fournival.

    Fournival est une commune située à 67 km au nord de Paris, 22 km à l'est de Beauvais, 33 km à l'ouest de Compiègne et à 48 km au sud d'Amiens[1].

    Topographie et géologie

    La commune de Fournival se situe sur une partie légèrement accidentée du plateau picard, où le dénivelé ne dépasse pas 80 mètres. Son point culminant est situé en bordure de la commune de Saint-Remy-en-l'Eau à 159 mètres d'altitude sur la route départementale 55. Le terrain est entaillé de plusieurs vallons dont la pente s'oriente vers le sud vers la vallée de l'Arré (vallée du Metz), où se trouve le point le plus bas, à 84 mètres au-dessus du niveau de la mer. La vallée de Bulles, à la limite occidentale du terroir, se dirige vers la Brêche sur la commune homonyme. Les pentes de ces reliefs délimitent le plateau en plusieurs interfluves tel la « Montagne de Clermont » ou la « Montagne Jacqueline ». Le village s'étend entre 116 et 135 mètres, le hameau du Plesseret entre 126 et 145 mètres, la Gloriette entre 88 et 146 mètres et la ferme de l'Argilière à 135 mètres d'altitude[2]. Fournival se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].

    Hydrographie

    La commune de Fournival n'est traversée par aucun cours d'eau permanent. Les nombreux vallons alimentent par ruissellement la rivière de l'Arré, affluent de la Brêche lui-même sous-affluent de la Seine par l'Oise. Un château d'eau a été bâti au hameau du Plesseret[2]. Les zones les plus basses du territoire au sud sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4]. Il subsiste quelques puits anciens dans le village qui puisaient de l'eau dans la craie.

    Voies de communications et transports

    La commune est traversée par deux routes départementales : la D 55 et la D 101. La route départementale 55 reliant Saint-Just-en-Chaussée à Sainte-Geneviève traverse la commune du nord au sud par la rue du Château-d'Eau au hameau du Plesseret, puis le village par la rue des Avesnes en direction d'Étouy. La route départementale 101 de Bulles à Estrées-Saint-Denis traverse le village d'ouest en est par la Grande-Rue puis le hameau de la Gloriette avant de rejoindre Saint-Remy-en-l'Eau. Plusieurs voies communales rejoignent les villages voisins de Le Mesnil-sur-Bulles, de Le Metz et Bizancourt. Les hameaux du Plesseret, de la Gloriette et de la ferme de l'Argilière sont raccordés entre eux par un réseau de petites routes quadrillant le territoire communal[2].

    De 1876[5] à 1939, la commune de Fournival était desservie par une halte au hameau du Plesseret sur la ligne La Rue-Saint-Pierre-Saint-Just-en-Chaussée. Cette voie reliait la ligne Paris-Nord - Lille à la ligne Rochy-Condé - Soissons. Le trafic voyageurs cessa le 15 mai 1939[6]. Le 12 novembre 1954, le tronçon entre Bulles et Saint-Just-en-Chaussée fut définitivement déclassée au trafic de marchandises circulant sur la ligne[7]. Il subsiste toujours l'ancienne gare, transformée en habitation, et le tracé de l'ancienne ligne est repris par des chemins. La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Remy-en-l'Eau à km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille, mais demeure peu desservie et les usagers se dirigent souvent vers la gare de Saint-Just-en-Chaussée, à km au nord[1].

    La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par la ligne de transports interurbains 32 reliant Beauvais à Saint-Just-en-Chaussée ainsi que par deux lignes de transports scolaires : l'une vers les établissements de l'agglomération de Clermont, la seconde vers le collège Louise-Michel de Saint-Just-en-Chaussée[8]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[9]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal mise en place avec les écoles de Saint-Remy-en-l'Eau et Valescourt s'arrête dans les différents hameaux de la commune[10].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 20 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 52 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

    Le sentier de grande randonnée 124 ou GR 124 fait incursion par la commune par la vallée de Bulles.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 701 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[17] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[18],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 20 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[21] à 10,6 °C pour 1981-2010[22], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[23].

    Milieux naturels

    Hormis les espaces bâtis couvrant 36 hectares pour 3 % de la surface communale, le territoire comprend plus de 80 % d'espaces cultivés sur 898 hectares ainsi que 46 hectares de vergers et de prairies. Les espaces boisés représentés au nord par le bois de Mont, à l'ouest par le bois de la Herse, au sud par le bois du Pendant et à l'est par le bois de la Passion ainsi que par de nombreux bosquets situés au fond des vallées. Ils couvrent 12 % du terroir sur 130 hectares[24],[2]. Le bois de Mont et la vallée de Bulles constituent une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[25], ainsi qu'un corridor écologique potentiel[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Fournival est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[27],[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,8 %), forêts (9,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (2,6 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[33].

    Hameaux et lieux-dits

    L'essentiel de l'espace bâti se concentre au chef-lieu. La commune possède deux hameaux et un écart : les hameaux du Plesseret et de la Gloriette respectivement au nord et à l'est ainsi que la ferme de l'Argilière au sud-ouest[2].

    Morphologie urbaine

    Le village et les différents hameaux sont bâtis selon la forme de villages-rues c'est-à-dire en bordure d'un axe unique[2].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 9 décembre 2012[34] Pierre Desandère UMP[35] Décédé en fonction
    Sept 2013 Juin 2020 Joël Dumont   Retraité de la fonction publique
    Réélu pour le mandat 2014-2020[36]
    Juin 2020 En cours Olivier Coulon Sans étiquette Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

    En 2018, la commune comptait 525 habitants[Note 7], en augmentation de 6,06 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    578513537510502522502514504
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    448440475398412406430414395
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    373352358314322293300287283
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    306280263289478501485483481
    2013 2018 - - - - - - -
    495525-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (12,7 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,8 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 52,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,1 %, 15 à 29 ans = 21,3 %, 30 à 44 ans = 21,3 %, 45 à 59 ans = 25,6 %, plus de 60 ans = 11,8 %) ;
    • 47,2 % de femmes (0 à 14 ans = 21,1 %, 15 à 29 ans = 20,7 %, 30 à 44 ans = 18,9 %, 45 à 59 ans = 25,6 %, plus de 60 ans = 13,6 %).
    Pyramide des âges à Fournival en 2007 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    3,5 
    75 à 89 ans
    6,6 
    8,3 
    60 à 74 ans
    7,0 
    25,6 
    45 à 59 ans
    25,6 
    21,3 
    30 à 44 ans
    18,9 
    21,3 
    15 à 29 ans
    20,7 
    20,1 
    0 à 14 ans
    21,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Lieux et monuments

    Carte postale de la gare vers 1907.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[14].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 2 janvier 2017)..
    3. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Fournival », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    5. Marc Gayda, André Jacquot, Patricia Laederich et Pierre Laederich, Histoire du réseau ferroviaire français, op. cit., p. 138 et 145.
    6. Marc Gayda, André Jacquot, Patricia Laederich et Pierre Laederich, Histoire du réseau ferroviaire français, op. cit., p. 154-156 et 188.
    7. Journal Officiel de la République Française du 13 novembre 1954, page 10 676.
    8. « TranÉvêque céphalophore Msports en commun à Fournival (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
    9. « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    10. « Regroupement pédagogique intercommunal Saint-Remy - Fournival - Valescourt », sur Oise mobilité (consulté le ).
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    14. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    17. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    18. « Orthodromie entre Fournival et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Fournival et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Fournival », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Larris et Bois de Mont, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    26. « Corridors écologiques potentiels sur la commune de Fournival », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    34. « Le maire Pierre Desandère est décédé », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    35. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    36. « Le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284, , p. 29 (ISSN 1144-5092).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. « Évolution et structure de la population à Fournival en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    42. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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