Feuquières (Oise)

Feuquières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Feuquières.

Feuquières

La verrerie Saverglass, la principale entreprise de la commune.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
Jean-Pierre Estienne
2020-2026
Code postal 60960
Code commune 60233
Démographie
Gentilé Feuquièrois, Feuquièroises
Population
municipale
1 377 hab. (2018 )
Densité 113 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 51″ nord, 1° 50′ 51″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 211 m
Superficie 12,24 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Feuquières
(ville-centre)
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Feuquières
Géolocalisation sur la carte : Oise
Feuquières
Géolocalisation sur la carte : France
Feuquières
Géolocalisation sur la carte : France
Feuquières

    Ses habitants sont appelés les Feuquièrois.

    Géographie

    Localisation

    Paysage urbain de la rue Marie-Baurieux.

    Feuquières est un bourg picard située sur une plaine ondulée d'altitude voisine des 200 m. inclinée selon un axe Nord / Sud-Est, en direction de la vallée du petit Thérain et située au nord-ouest du département de l'Oise et de la région Picardie, à 29 km au nord-est de Beauvais et à 15 km au sud-ouest d'Aumale.

    Feuquières est située dans l’entité géomorphologique du « Plateau Picard » et plus spécifiquement dans la « Picardie Verte ».

    Communes limitrophes de Feuquières
    Broquiers Sarcus
    Brombos
    Saint-Arnoult Omécourt Hautbos

    Voies de communication

    La commune est traversée par les routes départementales no 7 provenant de Marseille-en-Beauvaisis et d'Abancourt et no 124 provenant de Grandvilliers et de Formerie. Cette dernière constitue l'axe principal de la commune et support un trafic journalier moyen important, en 2015 de 2151 véhicules dont 10,9 % de poids lourds[1]

    Elle est desservie par une halte ferroviaire, la gare de Feuquières - Broquiers, qui la relie à Beauvais sur la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 852 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Feuquières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Feuquières, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[18] et 2 804 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,5 %), prairies (15 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), zones urbanisées (6,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), forêts (0,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le nom de Feuquières signifie « Pays des fougères[25] ».

    Histoire

    Le monument aux morts.

    Feuquières était le siège d'un marquisat au XVIIe siècle[26]

    La verrerie, ancêtre de Saverglass, a été créé en 1897. Elle était exploitée en 1908 par M. Letellier[27]. On en a fêté en 2017 le 120e anniversaire[28].

    À la fin de la Première Guerre mondiale, en 1918, l'armée française réalise en 100 jours la ligne de Feuquières à Ponthoile longue de 89 km destinée à desservir le front sans être sous le feu de l'armée ennemie[29].

    Politique et administration

    La mairie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie du canton de Grandvilliers[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 101 communes.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes de la Picardie verte créée le , et qui succédait notamment au SIVOM de Grandvilliers (23 communes, créé le ).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1968 après 1968 Raymond Pesquet[31]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 1989[32] Georges Biron    
    1989 2001[33] Denis Dupont[32],[34]   Retraité de Kindy à Moliens
    Chef de corps des sapeurs-pompiers communaux (1982 → 1985)
    mars 2001 2008[35] Georges Biron    
    mars 2008[36] 3 décembre 2009[37] Gérard Renet   Artisan menuisier à la retraite
    Décédé en fonction
    22 janvier 2010[38] En cours
    (au 27 mai 2020)
    Jean-Pierre Estienne   Colonel de l’armée de terre à la retraite[35]
    Ancien directeur départemental de la Prévention routière[35]
    Vice-président de la CCPV ( 2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[39],[40]

    Distinctions et labels

    L'étang de la place du Frayer a été aménagé en promenade publique.
    La place du bourg et l'église.

    La commune fait de longue date des efforts en matière de fleurissement, reconnues dès 1967 par un premier prix départemental, puis une fleur en 2013 au concours des villes et villages fleuris, et espère obtenir une seconde fleur lors du concours de 2019[41].

    La deuxième fleur a été en fait acquise dès 2016.

    Politique de développement durable

    Le territoire communal comprend deux zonez naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[42] :

    • ZNIEFF de type I n°220014087 dite du «  Bois de Saint-Deniscourt et des Magneux » (211,27 ha). Cette ZNIEFF comprenant des chênaies-hêtraies acidoclines à houx, des pelouses-ourlets et les hêtraies calcicoles de pente, est localisée à l’extrémité sud du territoire communal et n'y couvre qu’une superficie de moins de 3 ha.
    • ZNIEFF de type 2 n°220420016 dite « Vallées du Thérain et du petit Thérain en amont de Troissereux ». Cette ZNIEFF comprend des pelouses calcicoles, des ourlets, des éboulis, des bois thermocalcicoles, des bois de pente nord, des aulnaies à sphaignes, des bois acides à myrtille et des pâtures humides oligotrophe. Sur la commune de Feuquières, le périmètre de cette ZNIEFF est exactement le même que celui de la ZNIEFF de type 1 ci-dessus.

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

    En 2018, la commune comptait 1 377 habitants[Note 7], en diminution de 8,93 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3021 3011 2921 2801 3291 2951 3311 3271 311
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2851 2311 2271 1811 1701 2481 2271 2361 052
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2031 2321 1841 0311 0391 0439601 0321 117
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1581 2381 5241 5611 3971 5501 5681 5711 574
    2013 2018 - - - - - - -
    1 5121 377-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune était relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,5 %) était en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois légèrement supérieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune était supérieure à la population masculine. Le taux (50,8 %) était du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était, en 2007, la suivante :

    • 49,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,4 %, 15 à 29 ans = 19,4 %, 30 à 44 ans = 20,5 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 16,4 %) ;
    • 50,8 % de femmes (0 à 14 ans = 24,8 %, 15 à 29 ans = 15,8 %, 30 à 44 ans = 20,8 %, 45 à 59 ans = 18,1 %, plus de 60 ans = 20,5 %).
    Pyramide des âges à Feuquières en 2007 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90  ans ou +
    0,3 
    6,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    10,2 
    60 à 74 ans
    11,1 
    19,4 
    45 à 59 ans
    18,1 
    20,5 
    30 à 44 ans
    20,8 
    19,4 
    15 à 29 ans
    15,8 
    24,4 
    0 à 14 ans
    24,8 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[47]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    La commune administre une école élémentaire publique : Jean-de-la-Fontaine.

    Autres équipements communaux

    La commune a aménagé une salle multifonction dans la caserne de l'ancien centre de première intervention des pompiers. Elle a été dénommée Salle Denis-Dupont, du nom de l'ancien maire et chef du corps des sapeurs-pompiers volontaires de la commune. Le coût de ces travaux s'est élevé à 200 000 , subventionnés à 28 % par le département, 40 % par l’État (DETR) et 24 000  par le syndicat d'énergie de l'Oise[34].

    Économie

    L'usine Saverglass, à l'entrée du bourg venant de Formerie, et le nouveau siège social de l'entreprise, au centre du cliché.

    Feuquières accueille depuis 1897 la verrerie Saverglass, spécialisée dans la production de bouteilles, carafes et flacons de luxe (1 600 salariés environ en 2016[48]), qui est l'une des entreprises titulaires du label Vallée de la Bresle - Glass Valley spécialisée dans le flaconnage de luxe. L'entreprise construit son nouveau siège social à Feuquières en 2017-18[49],[50],[51].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame des XIIIe et XVIe siècles, qui dépendait de l'abbaye Saint-Germer-de-Fly. Elle est constituée d'une longue nef bordée d’un seul bas-côté, au nord et débouchant sur un chœur formé d’une travée droite sous clocher et d’une abside à cinq pans. La nef est bâtie en appareillage en damier de grès et silex. Au XVIe siècle, trois travées sont ajoutées à l’ouest de la nef[52],[25].
    La chapelle Notre-Dame.
    • La commune comprend cinq chapelles[26] :
      • Chapelle Sainte-Anne, au cœur du bourg, datant de 1657, rénovée en 2014 par la municipalité et des bénévoles[53], [54] ;
      • Notre-dame de Bonsecours, de 1620 ;
      • Saint-Roc ;
      • Saint-Adrien ;
      • Notre-dame de Pitié.

    Personnalités liées à la commune

    Monument funéraire de Pierre Boilet, « bienfaiteur de la commune ».
    • Marie Baurieux, propriétaire d'une imprimerie pendant la Seconde Guerre mondiale, a été dénoncée par des voisins à l'occupant allemand.Elle aurait en effet imprimé des tracts de la Résistance, et a été déportée et est morte à Ravensbrück le [25],[55].
    • Manassès de Pas de Feuquières (1590-1640) marquis de Feuquières[56] ainsi que sa descendance.
    • Pierre Charles Désiré Boillet (1827-1891), « bienfaiteur de la commune ». Son imposant monumént funéraire édifié par la commune se trouve dans le cimetière.

    Héraldique

    Blason
    Inconnu.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Urba-Services, « Rapport de présentation du dossier de mise en compatibilité du PLU » [PDF], Dossier d'enquête publique, sur http://picardieverte.com, (consulté le ), p. 16.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Feuquières et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Feuquières et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Feuquières », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur insee.fr (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Sync-City international, Le Livre de la Picardie Verte : L'éergence d'un territoire 1997-2006, Communauté de communes de la Picardie Verte, , 260 p., p. 56.
    26. Daniel Delattre (préf. Jean-François Mancel), L'Oise : Les 693 communes, Grandvilliers, Editions Delattre, , 316 p., p. 111-112.
    27. Régis Gignoux, « Les verriers de la Vallée de la Bresle : un Lock-out », Le Figaro, no 252, , p. 2-3 (lire en ligne) sur Gallica.
    28. « Les habitants vont évoquer la création de la verrerie il y a 120 ans », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3513, , p. 17.
    29. Colonel Le Hénaff et capitaine Henri Bornecque (préf. général Gassouin), Les chemins de fer français et la guerre, Paris, Librairie Chapelot, , 276 p. (lire en ligne), p. 160 sur Gallica.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. « Cinquante ans de mariage pour Michelle et Guy Duda », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3504, , p. 7.
    32. « Décès de l'ancien maire Denis Dupont », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3440, , p. 7 « Denis Dupont avait été maire de 1989 à 2001, année où il a décidé de ne pas se représenter. Avant 1989, il avait été adjoint de Georges Biron ».
    33. « Ils sont deux à vouloir remplacer Denis Dupont », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Denis Dupont, maire depuis 1989, a décidé de jeter l'éponge. Particularité de cette élection : quatre conseillers sortants sont allés chercher l'ancien maire de 1983 à 1989, Georges Biron, pour prendre la tête d'une liste contre celle menée par les deux adjoints sortants, André Zyla et Marcel Honoré ».
    34. « La caserne du CPI devient une salle multifonctions », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3560, , p. 31 (ISSN 1779-3769).
    35. Catherine Guérin, « Déjà deux listes pour succéder au maire », Le Parisien, élections municipales 2008, (lire en ligne) « Georges Biron, 75 ans, maire de Feuquières depuis 2001, a décidé ne pas se représenter en mars. (...) Georges Biron n’était pas un inconnu des Feuquiérois puisqu’il a été conseiller municipal de 1965 à 1971, adjoint de 1971 à 1983 et maire de 1983 à 1989 ».
    36. Hebdomadaire Le Réveil du 27 mars 2008
    37. « Décès du maire Gérard Renet », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    38. « Jean-Pierre Estienne nouveau maire d'un conseil divisé », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    39. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Matthias Schweisguth, « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 9.
    40. Réélu pour le mandat 2020-2026 : Pierre-Emmanuel Reger, « A Feuquières, Jean-Pierre Estienne a été réélu maire pour un troisième mandat : Jean-Pierre Estienne, maire de Feuquières depuis 2010, a été réélu premier magistrat mardi 26 mai 2020 à la mairie de Feuquières (Oise) », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 2010, l’élu débute un troisième mandat à la tête de la commune ».
    41. Matthias Schweisguth, « Une deuxième fleur à l’horizon 2019 : La municipalité veut poursuivre l’amélioration du cadre de vie avec la création de petits parcs, l’aménagement des entrées de ville et de nouveaux mas », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3414, , p. 7.
    42. Urba-Services, « Rapport de présentation du dossier de mise en compatibilité du PLU » [PDF], Dossier d'enquête publique, sur http://picardieverte.com, (consulté le ), p. 14-16.
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    46. « Évolution et structure de la population à Feuquières en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    47. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    48. « Le groupe Saverglass est repris par le fonds d’investissement Carlyle : Loïc de Gromard, président du groupe Saverglass, a confirmé le jeudi 17 mars la reprise de ce dernier aux côtés du Fonds d'investissement Carlyle », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, (lire en ligne, consulté le ).
    49. « Feuquières : Le futur siège social de l’entreprise Saverglass dévoilé : Antoine Delattre, responsable de la société Saverglass, a présenté mercredi le projet du siège social de l'entreprise verrière au conseil municipal de Feuquières », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, (lire en ligne, consulté le ).
    50. Elie Julien, « Feuquières : enfin des bureaux à la hauteur du leader mondial de la verrerie : A l’occasion de la visite du nouveau préfet de l’Oise, Louis Le Franc, l’entreprise a présenté ses projets en cours : la construction de bureaux pour 180 salariés à Feuquières et l’ouverture d’une usine au Mexique », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Outre les bons résultats de la société qui produit 600 millions de bouteilles par an et en décore 110 millions, elle fait construire de nouveaux bureaux ».
    51. LP, « Feuquières : on ne fabriquera plus de flacons de parfum chez Saverglass : L’entreprise a décidé de concentrer ses capacités de production. Aucun emploi n’est toutefois menacé après ce choix de stratégie économique », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Le spécialiste mondial de la fabrication et de la décoration de bouteilles en verre haut de gamme (3 200 collaborateurs dans le monde dont 1 350 sur le site de Feuquières) a décidé de concentrer ses capacités de production pour satisfaire les demandes croissantes de sa clientèle des spiritueux et des vins ».
    52. Dominique Vermand, « Feuquières, église Notre-Dame », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
    53. « La chapelle Sainte- Anne restaurée : La commune rénove ses cinq chapelles. Une messe a été célébrée pour la première restauration a été présentée samedi 26 juillet. », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3301, , p. 5.
    54. Héloïse Kapis, « Feuquières : Chapelle rénovée, l’effort d’un homme », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    55. « Liste 302 », Livre mémorial, Fondation pour la mémoire de la déportation, (consulté le ).
    56. Seigneurs & Familles de Pas (en Artois) su racineshistoire.free.fr
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