Abancourt (Oise)

Abancourt () est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Abancourt.

Abancourt

La mairie-école.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de la Picardie Verte
Maire
Mandat
Jean-Louis Dor
2020-2026
Code postal 60220
Code commune 60001
Démographie
Gentilé Abancourtois, Abancourtoises
Population
municipale
635 hab. (2018 )
Densité 106 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 41′ 52″ nord, 1° 45′ 57″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 222 m
Superficie 6,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Abancourt
Géolocalisation sur la carte : Oise
Abancourt
Géolocalisation sur la carte : France
Abancourt
Géolocalisation sur la carte : France
Abancourt

    Ses habitants sont appelés les Abancourtois.

    Géographie

    La commune d'Abancourt se situe à l'extrémité ouest du département de l'Oise, en bordure du département de la Seine-Maritime.

    Elle est accessible :

    La gare.

    Hydrographie

    La Bresle prend sa source à Abancourt et s'écoule vers le nord-ouest à travers le plateau de Formerie pour se jeter dans la Manche au Tréport. Ce fleuve côtier est long de 68 à 72 kilomètres selon les sources[1] et traverse les départements de l'Oise, de la Somme et de la Seine-Maritime.

    Écarts et lieux-dits

    Hennicourt, la Montagne et Ménival.

    Communes limitrophes

    Habitat

    En 1999, 59,4 % des résidents de la commune étaient propriétaires de leurs logements (contre 60,4 % pour le département) et 34,4 % étaient locataires (contre 35,8 %)[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 874 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 36 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Climat de la Picardie

    Données météorologiques dans l'Oise de 1961 à 1990[16]
    MoisJanFévMarAvrMaiJuiJuiAoûSepOctNovDécAnnée
    Températures minimales (°C) 1 1,1 2,7 4,4 7,6 10,3 12,2 12,2 10,4 7,7 3,9 1,8 6,3
    Températures maximales (°C) 5,6 6,5 9,4 12,4 16,2 18,9 21,0 21,3 18,9 14,8 9,4 6,5 13,4
    Températures moyennes (°C) 3,3 3,8 6,0 8,4 11,9 14,6 16,6 16,7 14,7 11,3 6,7 4,2 9,8
    Ensoleillement (h) 52,6 81,3 114,0 165,6 199,0 209,7 215,4 207,8 151,5 113,7 74,4 47,5 1637,9
    Pluviométrie (mm) 59,2 48,3 55,0 48,1 53,6 61,8 57,4 57 68 71,8 81,2 70,2 731,5

    Urbanisme

    Typologie

    Abancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,4 %), prairies (28,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), zones urbanisées (9,4 %), forêts (5,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Mentions d'Abencort en 1146, Abencurtis en 1148, Hebencurt en 1148, Abencurt en 1150 et 1152, Habencourt en 1180, Abencourt en 1337, 1454 et au XVIe siècle.

    Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Abancourt-la-Montagne[24].

    Histoire

    Époque romaine

    Tuiles et amphores trouvées sur la chaussée antique de ce village (au musée de Beauvais). - Près du hameau de la Montagne, au lieu ou on suppose qu'il a existé un camp ou un établissement de cette époque, poteries rouges très fines, amphores, tegulae hamatae et incurvae, carreaux ayant près de 50 centimètres de côté. - Église paroissiale moderne. On remarque sur l'ancienne voie romaine, au milieu du village, un tilleul qui a six|mètres de circonférence; on présume qu'il a remplacé une borne milliaire ou peut-être un monument celtique[25].

    Moyen Âge

    À partir du XIVe siècle, Abancourt était le siège d'une seigneurie. Un Jean et un Adrien d'Abancourt sont, l'un après l'autre, seigneurs de cet Abancourt au début du XVe siècle[26].

    Époque contemporaine

    La gare d'Abancourt avant 1909.

    La ville fut rebaptisée Abancourt-la-Montagne à la Révolution[27]. Entre 1791 à 1823, la commune est rattachée à Romescamps. En 1823, Abancourt est détaché de Blargies, mais Hennicourt lui est rattaché[28].

    En 1867, le bourg est desservi par le chemin de fer, avec la création de la gare d'Abancourt sur la ligne Amiens - Rouen, puis est reliée au Tréport et à Paris en 1873-1875.

    Pendant la première guerre mondiale, une compagnie de prisonniers de guerre allemands stationne à Abancourt en août 1917. Des messages signalent parfois des évasions de prisonniers[29].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Abancourt fait partie de la communauté de communes de la Picardie Verte qui correspond à l'ensemble des communes des cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille en Beauvaisis, ainsi que certaines communes du canton de Songeons.

    La commune fait également partie du Grand Beauvaisis, l'un des seize pays à constituer le Pays de Picardie.

    En 2008, la commune participe également à divers regroupements communaux[30] :

    • SIVOM d'électrification de Formerie ;
    • Syndicat des eaux de Blargies ;
    • Syndicat intercommunal du regroupement scolaire de Abancourt, Blargies, Boutavent-la-Grange.

    Tendances politiques et résultats

    Lors des élections européennes de 2019, le Rassemblement National réalise un score de 51,35 % des voix, contre 23,34 % au niveau national. la République en Marche y réalise un score de 13,06 % des voix contre 22,41 % au niveau hexagonal.

    Le parti Debout la France réalise un score avec 8,11 % contre 3,51 % au niveau national. Les autres partis y réalisent des scores inférieurs à 7 %, en dessous de leurs scores nationaux[31].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        André Prin    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2001 Nicole Lefevre    
    2001 2008 Emmanuel Potvin DVG  
    2008 En cours
    (au 1er mai 2014)
    Jean-Louis Dor LC Retraité de la fonction publique
    Président de la CC de la Picardie verte (2014[32]
    → 2020)

    Réélu pour le mandat 2020-2026[33]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2018, la commune comptait 635 habitants[Note 6], en diminution de 0,63 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    615677700666664609598594595
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    569583596555567538531546602
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    558629603529509507519527593
    1990 1999 2005 2010 2015 2018 - - -
    582567625646647635---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007
    Pyramide des âges à Abancourt en 2007 en pourcentage[37].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,0 
    5,7 
    75 à 89 ans
    7,7 
    9,6 
    60 à 74 ans
    10,0 
    20,7 
    45 à 59 ans
    20,3 
    23,9 
    30 à 44 ans
    21,5 
    15,6 
    15 à 29 ans
    19,0 
    24,5 
    0 à 14 ans
    21,5 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[38].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    La commune possède[Quand ?] deux écoles primaires[39].

    Économie

    En 2008, la commune compte un bar-tabac, une boulangerie et une épicerie qui se trouvent sur la rue principale.

    À la gare, un hôtel-restaurant faisant également bar-tabac se tient à la disposition de la clientèle.

    Une salle des fêtes est aussi disponible à la location.

    Culture locale et patrimoine

    L'église.

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame (XIXe siècle).
    • Chapelle d'Hennicourt, construite par la famille Galopin-Mabille en 1856, restaurée en 2008[40].

    Héraldique

    Les armes d'Abancourt se blasonnent ainsi :

    De gueules à la jumelle ondée en bande d'argent, accompagnée, en chef, d'une couronne de laurier d'or, au franc-quartier d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « d'Abancourt », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes

      Références

      1. 68 km sur le site du SANDRE, 71 km selon l'EPTB d'Aumale, 72 km d'après le Petit Larousse, l'Encyclopédie Encarta et Pierre-Jean Thumerelle dans son article consacré au fleuve.
      2. Recensement INSEE 1999
      3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
      6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
      9. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      10. « Orthodromie entre Abancourt et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
      11. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      12. « Orthodromie entre Abancourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
      13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      16. Relevés météorologiques d'Abbeville, Somme (80), de 1961 à 1990 (infoclimat.fr)
      17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      25. Source : [Répertoire archéologique du département de l'Oise. Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département par M. Emmanuel Woillez, 1862.]
      26. Source
      27. http://www.geneaguide.com/onomastique/revolution/REVOL01.HTM
      28. untitled
      29. Commandement d'étapes de Gravelines. Journal des marches et opérations. Période de janvier à septembre 1917, p. 90.. :https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/.
      30. ASPIC : Abancourt (consulté en janvier 2008)
      31. « Abancourt : Découvrez les résultats des élections Européennes 2019 », sur LCI (consulté le ).
      32. « Jean-Louis Dor élu président de la CCPV », sur http://www.leparisien.fr (consulté le ).
      33. Pierre-Emmanuel Reger, « Jean-Louis Dor a été réélu maire d’Abancourt : Jean-Louis Dor est maire d'Abancourt depuis 2008. Il a été réélu mardi 26 mai 2020 par le nouveau conseil municipal », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
      34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      37. « Evolution et structure de la population à Abancourt en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
      38. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
      39. Liste des établissements du premier degré, sur le site de l'Académie d'Amiens
      40. « Abancourt (Hennicourt) : Fin des travaux - La chapelle débute une nouvelle vie », Le Réveil - édition Bresle - Oise - Somme, (ISSN 1779-3769).
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