Blargies
Blargies est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Blargies | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC de la Picardie verte | ||||
Maire Mandat |
Olivier Hernequé 2020-2026 |
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Code postal | 60220 | ||||
Code commune | 60076 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
527 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 52 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 40′ 24″ nord, 1° 45′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 185 m Max. 227 m |
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Superficie | 10,05 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Grandvilliers | ||||
Législatives | 2e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
La commune de Blargies se situe à l'extrémité ouest du département de l'Oise, en bordure du département de la Seine-Maritime, sur un relief de plateau, entaillé par une vallée sèche en amont de la source de la Bresle. Son altitude varie entre 185 et 227 mètres, soit un dénivelé de 42 mètres[1].
La commune est desservie par les routes départementales suivantes :
- RD n°316, qui traverse le territoire et notamment le centre bourg du nord au sud,
- RD n°70, qui se connecte à Secqueville dans sa partie est,
- RD n°7, qui traverse le territoire communal au niveau de l’extrémité nord-est,
- RD n°67, constituant la limite ouest du territoire de communal.
Elle est traversée par les lignes de chemin de fer Paris-Beauvais-Le Tréport et Amiens -Rouen, mais la gare la plus proche est celle Abancourt, jouxtant la commune.
Communes limitrophes
Lannoy-Cuillère | Abancourt | Romescamps | ||
Criquiers | N | Moliens | ||
O Blargies E | ||||
S | ||||
Formerie | Bouvresse | Monceaux-l'Abbaye |
Hameaux et écarts
La commune comprend plusieurs hameaux : Belleville, Redderies, Secqueville, ainsi que d'écarts (Petit Moliens, le Vallabonnet)[1].
- Panneau d'entrée de Secqueville
- Paysage de Belleville
Hydrographie
Le village compte trois mares :
- celle de Belleville, rénovée en 2018[2] ;
- celle de Secqueville ;
- une mare près de la salle des fêtes.
Une quatrième mare existait à l'emplacement du parking situé face au syndicat des eaux[3].
Voies de communication et transports
La commune est accessible :
- Par la route : D 919 (ex-route nationale 319).
- Par le train : gare d'Abancourt TER Normandie (Ligne Amiens - Rouen) et TER Picardie (Ligne Amiens - Rouen (Ligne Épinay - Le Tréport).
- Par avion : à 35 km de l'aéroport de Paris Beauvais Tillé.
Logement
En 1999, 83,3 % des résidents de la commune étaient propriétaires de leurs logements (contre 60,4 % pour le département) et 34,4 % étaient locataires (contre 11,8 %)[4].
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique
- Données générales
Ville | Ensoleillement (h/an) |
Pluie (mm/an) | Neige (j/an) | Orage (j/an) | Brouillard (j/an) |
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Médiane nationale | 1 852 | 835 | 16 | 25 | 50 |
Formerie[6] | 1650 | 657 | 17 | 18 | 54 |
Paris | 1 662 | 637 | 12 | 17 | 8 |
Nice | 2 724 | 733 | 1 | 27 | 1 |
Strasbourg | 1 693 | 665 | 26 | 28 | 51 |
Brest | 1 530 | 1 210 | 7 | 12 | 76 |
Bordeaux | 2 035 | 944 | 3 | 31 | 69 |
- Climat de la Picardie
Mois | Jan | Fév | Mar | Avr | Mai | Jui | Jui | Aoû | Sep | Oct | Nov | Déc | Année |
Températures minimales (°C) | 1 | 1,1 | 2,7 | 4,4 | 7,6 | 10,3 | 12,2 | 12,2 | 10,4 | 7,7 | 3,9 | 1,8 | 6,3 |
Températures maximales (°C) | 5,6 | 6,5 | 9,4 | 12,4 | 16,2 | 18,9 | 21,0 | 21,3 | 18,9 | 14,8 | 9,4 | 6,5 | 13,4 |
Températures moyennes (°C) | 3,3 | 3,8 | 6,0 | 8,4 | 11,9 | 14,6 | 16,6 | 16,7 | 14,7 | 11,3 | 6,7 | 4,2 | 9,8 |
Ensoleillement (h) | 52,6 | 81,3 | 114,0 | 165,6 | 199,0 | 209,7 | 215,4 | 207,8 | 151,5 | 113,7 | 74,4 | 47,5 | 1637,9 |
Pluviométrie (mm) | 59,2 | 48,3 | 55,0 | 48,1 | 53,6 | 61,8 | 57,4 | 57 | 68 | 71,8 | 81,2 | 70,2 | 731,5 |
Urbanisme
Typologie
Blargies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48 %), prairies (39,6 %), forêts (6,7 %), zones urbanisées (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
L'inspecteur des manufactures de l'arrondissement d'Aumale fait utilisation du terme de "Blergy" pour parler de cette ville en 1726[15].
Histoire
- Première Guerre mondiale
La commune de Blargies, située à l'arrière du front pendant la Grande Guerre, a été le lieu d'implantation d'un important dépôt de matériel de l'armée britannique, d'un hôpital militaire britannique et de deux prisons militaires réservées aux soldats du Commonwealth dans lesquelles deux mutineries eurent lieu[16],[17].
L'armée britannique aménagea d'importants stockages ferroviaires à Abancourt, Blargies-Nord (dépôt de munitions) et Blargies-Sud (dépôt du Génie), qui faisaient du secteur jusqu'à Romescamps un nœud ferroviaire majeur des armées alliées[18].
Le cimetière militaires britannique de Blargies a été créé en 1917 et a servi de lieu d'inhumation jusque 1919[19],[20],[21].
Le village et le camp britannique ont été bombardés par l'armée ennemie le [20].
Blargies reçut la Croix de guerre 1914-1918 le [22]
Héraldique
Blason | D'azur à saint Martin à cheval d'or; au chef ondé cousu de gueules chargé de trois croisettes d'argent[23]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Formerie[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Grandvilliers.
Intercommunalité
Blargies fait partie, comme quatre-vingt-huit autres communes, de la communauté de communes de la Picardie Verte qui correspond à l'ensemble des communes des cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille- en-Beauvaisis, ainsi que certaines communes du canton de Songeons.
La commune fait également partie du « Grand Beauvaisis », l'un des seize pays a constituer le « Pays de Picardie ».
En 2018, la commune participe également à divers regroupements communaux :
- Syndicat d'énergie de l'Oise
- Syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de Blargies
- Syndicat intercommunal de regroupement scolaire de Abancourt, Blargies, Boutavent-la-Grange[25].
Liste des maires
Population et société
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2018, la commune comptait 527 habitants[Note 2], en diminution de 0,94 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
- Pyramide des âges en 2007
La population de la commune était relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (25,1 %) était en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune était supérieure à la population féminine (50,2 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était , en 2007, la suivante :
- 50,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,3 %, 15 à 29 ans = 15,4 %, 30 à 44 ans = 27,5 %, 45 à 59 ans = 16,7 %, plus de 60 ans = 22,1 %) ;
- 49,8 % de femmes (0 à 14 ans = 17,6 %, 15 à 29 ans = 16,4 %, 30 à 44 ans = 23,1 %, 45 à 59 ans = 14,7 %, plus de 60 ans = 28,2 %).
Enseignement
La commune possède[Quand ?] deux écoles primaires[37] et une bibliothèque[réf. nécessaire].
Petite enfance
La commune se dote en 2018 d'une maison d’assistantes maternelles, ayant une capacité d’accueil de 12 enfants[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Martin, où se trouve une statue équestre de saint Martin de Tours datant du XVIIe siècle, en bois polychrome, restaurée en 1961[39]. Elle contient un orgue de campagne, acquis en 1865 à un facteur d’orgues des Andelys et restauré en 2018[40] ; À cette occasion, la nef a été remise en peinture[41]. Une coquille Saint Jacques ayant été retrouvée dans l'Eglise en fait une possible halte pour les Chemins de Saint Jacques [42]
- Le cimetière militaire britannique de Blargies. Dans ce cimetière reposent : 182 soldats britanniques, 1 australien, 1 néo-zélandais, 7 sud-africains, 46 indiens et 1 soldat des Indes occidentales[16].
- Tombes de travailleurs chinois
- Tombes de la Seconde Guerre mondiale.
Personnalités liées à la commune
- René Tréboute, né le à Blargies, officier aviateur, résistant du réseau Alliance, Mort pour la France à Rastatt (Bade-Wurtemberg) le , exécuté par les Nazis après avoir été arrêté par la Gestapo près de Volvic en septembre 1943. Il a été décoré de la Médaille de la Résistance[46],[47].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Blargies sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Blargies (60076) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Espac'urba, « Rapport de présentation de la Carte communale » [PDF], sur http://picardieverte.com, (consulté le ), p. 5.
- Pierre-Emmanuel Reger, « La mare de Belleville va être aménagée à Blargies (Oise) : Blargies (Oise) possède trois mares dont celle de Belleville. La municipalité va y prévoir des aménagements », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- P.E.R., « La mare de Belleville va être aménagée », Le Réveil, édition Bresle Somme Oise, no 3531, , p. 19.
- Recensement INSEE 1999
- Données de la station de Beauvais, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
- Données de la station de Beauvais, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
- Relevés météorologiques d'Abbeville, Somme (80), de 1961 à 1990 (infoclimat.fr)
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- A.N., F/12/1368.
- « Cimetière militaire britannique de la 1ère guerre mondiale », Patrimoine, Mairie de Blargies (consulté le ).
- « John Braithwaithe : un des 5 soldats néo-zélandais fusillés au cours du conflit », Mémoires des soldats fusillés pour l'exemple, Monuments aux morts pacifistes, (consulté le ).
- Colonel Le Hénaff et capitaine Henri Bornecque (préf. général Gassouin), Les chemins de fer français et la guerre, Paris, Librairie Chapelot, , 276 p. (lire en ligne), p. 228-236 sur Gallica.
- « Le dépôt de Blargies », L'armée anglaise dans l'Oise, Picardie 1939-1945 - Aisne-Oise-Somme - Guerre-Occupation-Libération, (consulté le ).
- Élíe Julien, « Blargies : il y a 100 ans, le premier Indien était enterré ici : Durant la Première Guerre mondiale, la petite commune du nord de l’Oise a accueilli de nombreux ressortissants du Commonwealth. Plusieurs dizaines sont décédées ici », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) « 2nd mutiny at Blargies? », sur http://www.trench-art.net/, (consulté le ).
- Journal officiel du 8 avril 1922, page 3817.
- https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=18713
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Outil de recherche de la base BANATIC, consulté le 19 mai 2018
- L'article dans Le Réveil du 27 mars 2008 mentionne que le mandat de Gérard Decorde a duré 31 ans.
- « Vos élus du canton de Grandvilliers », Tous les élus, sur http://www.oise.fr/le-conseil-departemental (consulté le ).
- « Gérard Decorde siège au conseil depuis 1971 : Gérard Decorde siège au conseil depuis 1971 », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3636, , p. 17 « L’ancien maire sait de quoi il parle. A 77 ans, il entame sa cinquantième année de mandat au service de la collectivité. Son père Maurice Decorde a été maire du Fossé, commune rattachée à Forges-les-Eaux, pendant 37 ans. « J’allais sou-vent avec lui aux manifestations et j’aimais bien cela », confie-t-il. Puis, son beau-père Gaston Buisson a été à la tête de Blargies de 1947 à 1967. ».
- Hebdomadaire Le Réveil du 27 mars 2008
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Patrick Périmony et trois adjoints élus », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 13.
- Pierre-Emmanuel Reger, « Olivier Hernequé est le nouveau maire de Blargies : Troisième adjoint de Patrick Périmony, Olivier Hernequé a été élu maire de Blargies ce lundi 25 mai à la salle des fêtes de Blargies (Oise) », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Blargies en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Liste des établissements du premier degré, sur le site de l'Académie d'Amiens[réf. incomplète].
- Élie Julien, « Blargies : une maison d’assistantes maternelles pour le grand bonheur du village : La commune va agrandir une récente acquisition pour louer les lieux à trois assistantes maternelles. L’ouverture de l’établissement est prévu pour septembre », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Statue équestre : Charité de saint Martin », notice no PM60000328, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Avec les amis de Saint-Martin : Premier concert pour l’orgue rénové : Les bénévoles ont organisé des manifestations durant trois ans pour permettre la rénovation de l’orgue de la commune », Le Bonhomme picard, no 3498, , p. 9.
- Pierre-Emmanuel Reger, « Les travaux de la nef et l’orgue inaugurés en janvier à Blargies (Oise) : Les membres de l’association des Amis de Saint-Martin de Blargies (Oise) sont satisfaits. Les travaux de la nef et la restauration de l’orgue seront inaugurés en janvier 2018 », Le Réveil, édition Bresle - Oise - Somme, (lire en ligne, consulté le ).
- « Les chemins du Mont Saint Michel », sur www.lescheminsdumontsaintmichel.com (consulté le ).
- MemorialGenWeb.org - Blargies : monument aux morts
- Julien Guéry, « 9h50 le matin en direct de Blargies », France 3 Hauts-de-France, (lire en ligne, consulté le ).
- « BLARGIES Il ouvre son école d’équitation », sur Le Courrier Picard (consulté le ).
- « Pour René Tréboutén né à Blargies, mort pour la France : Le résistant René Tréboute a été exécuté d'une balle dans la nuque par les Nazis le 24 novembre 1944 », Le Bonhomme picard, édition Breteuil - Crèvecœur, no 3550, , p. 14.
- « La municipalité rend hommage au résistant René Tréboute », Le Réveil, édition Bresle - Oise - Somme, no 3606, , p. 19.
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