Féneyrols

Féneyrols est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Féneyrols

Château de Féneyrols.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron
Maire
Mandat
Christian Galland
2020-2026
Code postal 82140
Code commune 82061
Démographie
Gentilé Féneyrolais, Féneyrolaise
Population
municipale
144 hab. (2018 )
Densité 9,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 07′ 54″ nord, 1° 49′ 14″ est
Altitude Min. 114 m
Max. 422 m
Superficie 14,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quercy-Rouergue
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Féneyrols
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Féneyrols
Géolocalisation sur la carte : France
Féneyrols
Géolocalisation sur la carte : France
Féneyrols
Liens
Site web feneyrols.fr

    Ses habitants sont appelés les Féneyrolais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Féneyrols se trouve dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Elle est située sur les derniers contreforts sud-ouest du Massif central. Son bourg, rive droite, est dans le Rouergue, tandis que la rive gauche est en Albigeois. C'est une commune limitrophe du département du Tarn.

    Elle se situe à 47,5 km de Montauban, préfecture du département, et à 19,8 km de Septfonds, bureau centralisateur du canton de Quercy-Rouergue dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie de la Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Carte géologique de la commune de Féneyrols.
    • 7 : Quaternaire récent à actuel. Remplissage des dépressions karstiques (limons) et cailloutis des vallées sèches suspendues (cailloutis à matrice argilo-sableuse)
    • 9 : Alluvions fluviatiles actuelles et récentes d'âge compris entre 11430 - 0 BP : sables micacés, argiles tourbeuses et silteuses grises (Holocène)
    • 12 : Alluvions würmiennes des terrasses inférieures des rivières et alluvions anciennes des rivières : graviers, galets siliceux, limons, sables grisâtres à fines passées argileuses grises et jaunes (Pléistocène supérieur)
    • 68 : Schistes carton, marnes et calcaires à Hildoceras (Formation de Penne) surmontés par des marnes et argiles noirâtres (Formation de Lexos)(Toarcien inférieur à moyen)
    • 69 : Calcaires à pectens : calcaires bioclastiques gris et roux. Formation de la "barre à Pecten" (Pliensbachien supérieur)
    • 70 : Argilites et marnes grises à noires à Gryphaea cymbium. (Pliensbachien supérieur)
    • 71 : Calcaires gréseux et marno-calcaires à brachiopodes et ammonites (zones à Jamesoni et Davoei) (Pliensbachien inférieur)
    • 73 : Calcaires lithographiques à joints marneux (Sinémurien)
    • 74 : Calcaires cargneulisés à la base, calcaires micritiques à microrythmes, calcaires oolitiques et calcaires gréseux au sommet. (Sinémurien-Lotharingien)
    • 75 : Brèches, cargneules, calcaires dolomitiques vacuolaires, dolomies marneuses litées. (Hettangien supérieur)

    Hydrographie

    La commune est traversée par l'Aveyron sur 2,08 km. Le réseau hydrographique communal comprend un autre petit cours d'eau, rive droite, le ruisseau de Coudiés et deux autres, rive gauche, les ruisseaux de Caumont et Bayolle.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 849 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ginals », sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 914 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[11] à 14 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité


    Urbanisme


    Typologie

    Féneyrols est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (33,1 %), terres arables (10,5 %), prairies (7,6 %)[18],[Carte 1].

    Hameaux et lieux-dits

    Cette commune est composée de trois villages (présence d'une église et non d'une chapelle) : Carrendier, Féneyrols et Quergoale, et d'une multitude de hameaux, Nazons, Lauzeral, Le Raoussou.

    Voies de communication

    La commune est traversée par trois voies routières départementales orientées ouest-est : au nord,la D114; au sud, la D958, rive droite, voie historique et la D115, rive gauche, reprenant le tracé de l'ancienne voie ferrée, enfin la D102 relie la D958 à la D115 en traversant le bourg et l'Aveyron.

    Les voies communales

    - N°1 de Carrendié à Féneyrols - N°1ter dit emb sur la Raoussou - N°3 de Quergoale à Saint Antonin - N°6 de l'église à Féneyrols

    Les chemins ruraux

    - de Féneyrols à Déroucat (rive droite, le long de la rivière) - de Féneyrols à Arnac - de Coudiés à Féneyrols - de Saint Antonin à Arnac - d'Arnac à Vinayre - de Quergoale à Coudiés - de Raoussou à Favars et à Reygade - de Quergoale à l'Espinasse - des Amouroux à Féneyrols

    - N°1 de sol priou à Féneyrols - N°2 de Raoussou à Coudiés - N°5 de Féneyrols à Grezels-bas - N°6 de Saint Antonin à Féneyrols

    - dit de Bateau - dit de Canabal - dit du Goutal - dit Boudet - dit de Falguières - dit de Coustaloux - dit de Coudiés - dit de Montatech - dit de la Jouanande - dit de Raoussou - dit de Combes - dit de Ségalar - dit de Gorse - dit de Lauzeral

    Toponymie

    La commune prend son nom de l'ancien français fenil signifiant foin, ou fenal signifiant faneur, donnant dans le Midi le diminutif fenayrol ou fenayroux.

    Histoire

    Antiquité

    Un site d'habitat de l'époque celtique est attesté entre le village et l'église.

    Moyen-Âge

    En 818, l'église Sainte Marie de Quergoale est attaché à l'abbaye de Saint-Antonin.

    Le lieu de Féneyrols est attesté dès 1259[19].

    En 1281, la baronnie de Féneyrols est attribuée par le roi Philippe le Hardi à Géraud IV de Cazaubon, avec droits de pesade[20] ainsi que droit de haute et basse justice[21].

    En 1282, la comtesse Anne de Cazaubon épouse Ratier II de Castelnau des Vaux, et lui apporte en dot la baronnie de Milhars.

    Le 12 mars 1295, Géraud de Cazaubon mourut sans enfant, et sa succession échut à Raymond de Castelnau, petit-fils de Anne de Cazaubon.

    Le 28 mai 1313, Raymond de Castelnau transige avec les consuls de Saint-Antonin, et établit de concert avec eux les limites des lieux de Carrendier, Cargoale et Fénayrols

    En 1335, Hélipx de Castelnau, fille de Raymond de Castelnau et de Germaine de Fontanes épouse Guillalmon de Lafon et lui apporte en dot les terres de Cargoale et de Féneyrols, en paréage avec sa sœur Héléne.

    En 1337, Hélène de Castelnau des Vaux dite La dame de Milhars, fille ainée de Raymond de Castelnau et de Germaine de Fontanes, épouse Arnaud IV de Bérail.

    Durant la guerre de Cent Ans, Féneyrols est occupée par les Anglais de 1352 à 1354 puis en décembre 1358 et libérée en février 1359 par les Saint-Antoninois.

    Le 28 mai 1359, les familles de Bérail et de Lafon transige la seigneurie de Féneyrols. La famille de Lafon gérera Féneyrols jusqu’en 1763.

    En 1362, Jean I de Lafon, fils de Guillalmon, épouse Anne de Rabastens. Le 12 décembre, Fénayrols tombe au pouvoir des Anglais, pour trois mois seulement.

    Jean II, Ratier, Olivier, Pons et Arnaud de Lafon se succèdent.

    En 1450, Jean de Bérail, co-seigneur de Féneyrols et Quergoals décède sans postérité et lègue à Raymond de Cazillac, parent du côté maternel, son nom et ses armes [22]

    Temps modernes

    Fin XVIIe, Marie-Renée le Genevois, petite-fille de François II de Cazillac rachète la baronnie de Cazillac, qu'elle léguera à sa mort en 1721 à sa nièce Marie-Jeanne Voisin épouse de Chrétien François de Lamoignon de Basville, président du Parlement de Paris.

    En 1766, Marie-Anne de Foucaud-Villars, veuve de Rey de Saint-Gery achète 360 000 livres à monsieur de Lamoignon, les terres et rentes d'une partie de Féneyrols, qu'elle revend un an plus tard à Antoine de Rous.

    Époque contemporaine

    Féneyrols a disposé d'une gare, toujours visible[23], sur la ligne de Lexos à Montauban-Ville-Bourbon fermée en 1955 puis déferrée.

    Politique et administration

    Élections municipales

    Liste des maires successifs[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1842 1848 Joseph Palaprat    
    1848 1852 Jean Bes    
    1852 1858 Joseph Palaprat    
    1858 1879 Jacques-Émile Rous    
    1879 1884 Jean-Pierre Malroux    
    1884 1887 Jacques-Émile Rous    
    1887 1919 Germain Rous    
    novembre 1919 1925 Victor Cézerac    
    mai 1925 1953 Émile Rous de Feneyrols    
    avril 1953 1965 Gaston Rivière    
    mars 1965 1971 Gervais Laurent    
    mars 1971 2004 Denis Denayrolles    
    mars 2004 2020 Brigitte Audouard    
    mars 2020 En cours Christian Galland    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2018, la commune comptait 144 habitants[Note 4], en diminution de 8,86 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    560601758759792773741734743
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    794755725685648653656627620
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    580569528442395375355342294
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    238185176136141166174175159
    2017 2018 - - - - - - -
    147144-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Fénayrols, seigneurs et consuls, par M. l'abbé Firmin Galabert 1894.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ginals - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Féneyrols et Ginals », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ginals - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Féneyrols et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. E. Cabie, Droits et possessions du comte de Toulouse dans l'Albigeois au milieu du XIIIe siècle, Paris, Picard, , P. 120
    20. FÉNAYROLS SEIGNEURS ET CONSULS par M. l'Abbé Firmin GALABERT, 1894
    21. Monographie sur le village castral de MILHARS (Tarn) aux limites de l’ALBIGEOIS, du ROUERGUE et du QUERCY
    22. bull. soc. des études littéraires, scientifiques et artistiques du Lot 1904 Fasc.2
    23. « Gare de passage : Féneyrols », sur Massif central ferroviaire (consulté le )
    24. http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=17063
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Château », notice no PA00095748, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Calvaire », notice no IA00065443, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Dossier d’inventaire fondamental établi en 1979, 1989 par BONGIU AUREL, UFFLER ANNE MARIE
    32. « Église paroissiale Saint-Julien », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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