Dolomieu (Isère)

Dolomieu est une commune française située dans le département de l'Isère, région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Dolomieu.

Dolomieu

Dolomieu, la fontaine, le monument aux morts et l'école primaire.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté de communes Les Vals du Dauphiné
Maire
Mandat
Delphine Hartmann
2020-2026
Code postal 38110
Code commune 38148
Démographie
Gentilé Dolomois[1]
Population
municipale
3 176 hab. (2018 )
Densité 238 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 36′ 39″ nord, 5° 29′ 52″ est
Altitude 400 m
Superficie 13,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Tour-du-Pin
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Tour-du-Pin
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Dolomieu
Géolocalisation sur la carte : Isère
Dolomieu
Géolocalisation sur la carte : France
Dolomieu
Géolocalisation sur la carte : France
Dolomieu
Liens
Site web www.dolomieu.fr

    Historiquement rattachée à la province royale du Dauphiné et plus précisément positionnée dans la partie orientale du plateau de l'Isle Crémieu, la paroisse de Dolomieu devenue ensuite une commune en 1789 est adhérente à la communauté de communes Les Vals du Dauphiné depuis le et dont le siège est fixé à La Tour-du-Pin, également chef lieu de l'arrondissement.

    Dolomieu est la commune natale de Déodat Gratet de Dolomieu (1750-1801) célèbre géologue et minéralogiste qui a découvert la dolomie et a laissé son nom seigneurial au massif des Dolomites en Italie du nord.

    Ses habitants sont dénommés les Dolomois[2].

    Géographie

    Situation et description

    Dolomieu est une localité du Nord-Isère, située à 7,5 km au nord de l'agglomération de La Tour-du-Pin et à km au sud de Morestel. Son altitude varie de 260 m à 454 m avec une altitude moyenne de 350 mètres qui lui permet de dominer la vallée du Rhône au nord et la vallée de la Bourbre au sud, la mairie se situant à 410 m.

    Le bourg, à l'aspect encore très rural, présente la caractéristique d'abriter encore de très nombreuses maisons au caractère dauphinois, avec leurs toits à quatre pans en tuiles écailles et bordés de coyaux[3].

    Le centre de la commune se situe (par les voies routières) à 63 km du centre de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et à 75 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère ainsi qu'à 350 km de Marseille et 532 km de Paris[4].

    Communes limitrophes

    Plan de Dolomieu et des communes limitrophes

    Géologie

    La commune se situe en lisère des Terres froides septentrionales situées au sud-est de son territoire et le plateau de l'Isle Crémieu, situé plus à l'ouest. Il s'agit d'un ensemble de collines molassiques dont la géologie se rapproche de celle du Bugey. Le secteur est également parsemé de blocs erratiques lié à la présence du glacier des Alpes durant la préhistoire.

    Climat

    La partie septentrionale du département de l'Isère est formée de plaines au climat tempéré, de bas plateaux et de collines au climat un peu plus rude.

    Du fait d'un relief peu accentué dans ce secteur, les masses d'air venues du nord et du sud circulent aisément. Quelques brouillards peuvent cependant persister dans les campagnes avoisinantes durant les périodes froides.

    Voies de communication

    Le territoire communal est situé en dehors des grands axes de circulation. Le hameau de Morthelaize, situé à moins de trois kilomètres du bourg, est traversé par la RD16, route départementale qui relie Morestel à La Tour-du-Pin.

    Transports routiers

    Pour un article plus général, voir Réseau interurbain de l'Isère.

    Le territoire communal de Dolomieu est desservi par une ligne régulière d'autocars départementaux :

    La ligne d'autobus LTP01 Dolomieu - Montcarra - La Tour-du-Pin permet de se rendre au marché de la Tour du Pin[5].

    Autres transports

    La gare ferroviaire la plus proche de Dolomieu est la gare de La Tour-du-Pin, située à moins de cinq kilomètres du centre de la commune. Cette gare SNCF est desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes.

    Urbanisme

    Typologie

    Dolomieu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Tour-du-Pin, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[9] et 38 657 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

    La commune bénéficie d'un plan local d'urbanisme intercommunal institué par la communauté de communes des Vals du Dauphiné[14]. Elle adhère également au Syndicat Mixte de Traitement des Ordures Ménagères (SITOM) qui fédère, sur quatre Départements (Isère, Rhône, Ain et Savoie) huit Etablissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI)[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,9 %), terres arables (24,9 %), zones urbanisées (21,5 %), forêts (13,7 %), prairies (3,1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Dolomieu, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[18].

    • Couvérier
    • le Fournier
    • Drue
    • Ratabœuf
    • le Rivier
    • Au Bois
    • le Michoud
    • le Peillet
    • Vignozet
    • la Chapite
    • Morthelaize
    • la Frette
    • Petite Frette
    • le Buisson
    • Vinard
    • Berre
    • Lancelot
    • Sibuet
    • les Léchères
    • Retanière
    • Véronin
    • Montcorbet
    • le Mollard
    • Janin
    • Guinet
    • Croix Drogue
    • Rompay

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de Dolomieu est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[19].

    Terminologie des zones sismiques[20]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3Sismicité modéréeaccélération = 1,1 m/s2

    Toponymie

    La cité était dénommée Doloimeiacum et in vico qui vocatur Doloimepacus au VIIe siècle, puis Dolomeium au XIIIe siècle. Le nom serait lié à l'évolution du nom d'un domaine gallo-romain portant le suffixe « -acum » et d´un nom propre non identifié[21].

    Selon Jean Filleau, auteur d'un Dictionnaire toponymique des communes de l'Isère, le nom de Dolomieu pourrait provenir du celte « doliacos », signifiant promontoire ou de « Lomiacus », (dérivant de ulmus), signifiant le pays des ormes[22].

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Préhistoire et Antiquité

    Au début de l'Antiquité, le territoire de la tribu gauloise des Allobroges s'étendait sur la plus grande partie des pays qui seront nommés plus tard la Sapaudia (ce « pays des sapins » deviendra la Savoie) et au nord de l'Isère. Les Allobroges, comme bien d'autres peuples gaulois, sont une « confédération ». En fait, les Romains donnèrent, par commodité le nom d'Allobroges à l'ensemble des peuples gaulois vivant dans la civitate (cité) de Vienne, à l'ouest et au sud de la Sapaudia.

    Moyen Âge et Temps modernes

    Le sceau delphinal de Charles de France, alors premier des dauphins de Viennois de la maison de France.

    Durant l'époque médiévale, un château-fort se situait au hameau des Crollières et fut probablement construit au cours du XIe siècle. Vers 1270, ce château fut le siège d'une châtellenie, ou mandement, de la baronnie de La Tour-du-Pin, mais très disputée par les Comtes de Savoie.

    Le traité de 1355, conclu entre le Comte Amédée VI, et le dauphin Charles, fils du de France roi Jean II le Bon mit fin, du moins en droit, à toute contestation, et le château de Dolomieu, ainsi que les domaines en dépendant, devinrent alors terre delphinale.

    Au début du XVIIe siècle, les châtelains de Dolomieu qui avaient reçu cette terre de la part de la couronne de France portent définitivement le titre de « Seigneur de Dolomieu », transformé plus tard en celui de « Marquis de Dolomieu. » Il s'agit de la famille Gratet qui pris dés lors le nom de Gratet de Dolomieu[23]. Cette famille portait également le titre de comte de Saint-Paul, seigneur de Thuellin et de Saint-Didier[24].

    Époque contemporaine

    La commune a longtemps été liée à l'industrie textile, jusque dans les années 1970.

    Politique et administration

    Monument aux morts et Hôtel de ville de Dolomieu

    Administration municipale

    En 2020, le conseil municipal de Dolomieu est composé de vingt-trois membres (douze femmes et onze hommes) dont une maire, cinq adjoints au maire et trois conseillers municipaux délégués[25].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
        André Rojon    
        Gilbert Rivier    
    1966 1977 Martin Jung    
        René Malley    
    mars 1989 mars 2001 Maurice Claudel    
    mars 2001 novembre 2002 Jean Monnet    
    décembre 2002[26] mars 2014 Patrick Bourdaret    
    mars 2014 juillet 2020 André Bejuit Divers Gauche Retraité de la fonction Publique
    juillet 2020 En cours Delphine Hartmann   Infirmière
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Dolomieu est jumelée avec la commune d'Agordo dans la région Vénétie en Italie, depuis le . Ce jumelage a été réalisé par Renzo Gavas, maire de la commune d'Agordo, et Patrick Bourdaret, maire de Dolomieu. L'objectif est de "consolider la connaissance et l'amitié entre les deux communes, dans l'esprit d'un lien historique ayant pour protagoniste l'illustre Déodat Gratet de Dolomieu.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2018, la commune comptait 3 176 habitants[Note 2], en augmentation de 4,65 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2421 4081 3441 6222 0062 1242 2022 2362 292
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2242 2402 3522 4872 5602 5272 5112 4002 279
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1912 0882 0161 7851 7151 6011 5021 3221 307
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 2561 2831 3481 6622 1352 3692 7352 7873 025
    2017 2018 - - - - - - -
    3 1673 176-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population est maintenant composée de nombreux habitants, travaillant dans les villes de la région, notamment Lyon, Chambéry, Grenoble.

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble et compte trois écoles dont deux écoles publiques (l'école élémentaire Elie Cartan et l'école maternelle Charles Perrault) et une école privée (l'école privée des Forges - Sacré-Cœur)[31].

    Équipement sportif et culturel

    La commune gère une médiathèque et un stade. Dolomieu compte un club de football, créé en 1938, l’Union Sportive Dolomoise (USD)[32].

    Presse écrite

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité à la communautés de communes et du canton ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Cultes

    Église Saint-Paul de Dolomieu

    La communauté catholique et l'église Saint-Paul de Dolomieu (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Sainte-Anne qui est, elle-même, rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[33].

    Économie

    Secteur agricole

    Au niveau local, l'association Terraval'D traite des questions agricoles et rurales sur le territoire des communes adhérentes de la communauté des Vals du Dauphiné en lien la Chambre d'Agriculture de l'Isère. Il s'agit d'une organisation mettant en placeun lieu de rencontre entre les agriculteurs, les élus et les partenaires socio-professionnels afin de « confronter les idées, faciliter les projets voire porter des projets collectifs apportant un "plus" pour les acteurs et pour le territoire »[34].

    Culture locale et patrimoine

    Château de Dolomieu

    Château de Buffières

    Le château des seigneurs de Dolomieu, enregistré aux Monuments historiques, sous le nom de Château de Buffières date du XVIIe siècle. L'écrivain et historien local Éric Tasset le présente comme un château typique de la région[35].

    L'édifice, rénové au XXIe siècle, est inscrit partiellement au titre des monuments historiques par arrêté du (façades et toitures ; à l'intérieur : pièces principales avec cheminées, escalier en ferronnerie ; bâtiment des écuries)[36].

    Monument aux morts

    Le monument aux morts de Dolomieu a été inauguré le dimanche [37]. D'une facture très simple et dépouillée il se présente sous la forme d'un pilier commémoratif constitué par une colonne quadrangulaire avec la représentation d'une flamme à son sommet avec comme inscription principale : « Dolomieu à ses enfants morts pour la France »[38].

    Autres lieux et monuments

    • Église paroissiale Saint-Paul :
    Édifice religieux de rite catholique construit entre 1865 et 1868 et consacré par l'évêque de Grenoble Le . Elle a été construite sous la forme d’une basilique à trois nefs sans transept. A droite du chœur, le clocher s'élève à 39 mètres dont 17 mètres de flèche. La grande nef a 48 mètres de longueur, 10 mètres de largeur, et 12 mètres 50 de hauteur[39].
    • Café de la Place (place de la Mairie), de 1873, classé par le Guide des cafés historiques et patrimoniaux d'Europe[40].
    • Maison natale du mathématicien Élie Cartan et dont le père était maréchal-ferrant dans le bourg.
    • Butte du château de Crolière.

    Patrimoine naturel

    Le secteur de l'étang de Dolomieu et du ruisseau du Pissoud situé dans la partie méridionale du territoire communal a été classé en ZNIEFF. Du fait de son isolemment celle-ci héberge une espèce devenue rare dans la région, l’écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes)[41], classée comme espèce en danger par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)[42] .

    Patrimoine et tradition orales

    Carte linguistique du Dauphiné : Le dauphinois est un dialecte arpitan parlé dans le nord du Dauphiné

    Langue régionale

    Au niveau linguistique, le territoire de Dolomieu et de l'ensemble du Nord-Isère se situe dans la partie centrale du domaine historique des patois dauphinois, laquelle appartient au domaine de la langues dite francoprovençal ou arpitan au même titre que les parlers savoyards, vaudois, Valdôtains, bressans et foréziens[43],[44].

    L'idée du terme, « francoprovençal », attribué à cette langue régionale parlée dans la partie centre-est de la France, différente du français, dit langue d'oil et de l'occitan, dit langue d'oc est l'œuvre du linguiste et patriote italien Graziadio Isaia Ascoli en 1873 qui en a identifié les caractéristiques, notamment dans le Grésivaudan, les pays alpins et la vallée de l'Isère, depuis sa source jusqu'à sa confluence avec le Rhône.

    Personnalités liées à la commune

    Élie Cartan

    Personnalités historiques nées à Dolomieu :

    Déodat Gratet de Dolomieu

    Déodat Gratet de Dolomieu (1750, Dolomieu - 1801, Curbigny, Saône-et-Loire) est un aristocrate issu de la maison de Dolomieu, qui participa à l'expédition d'Égypte dirigée par le général Bonaparte. Son frère aîné Adolphe de Gratet, fut le dernier à porter le titre de marquis de Dolomieu[45].

    Déodat est surtout connu comme le géologue dont le nom fut donné à un minéral (la dolomite), à une roche (la dolomie), et donc par extension à massif montagneux des Préalpes (les Dolomites) où ces roches sont particulièrement remarquables[46],[47].

    Toujours en référence à ce scientifique, le nom de Dolomieu a également été attribué à un cratère volcanique situé au sommet du Piton de la Fournaise sur l'île de La Réunion[48]. Le nom scientifique d'une espèce de poissons d'eau douce, Micropterus dolomieu, est également lié à ce scientifique[49] ainsi qu'une rue de Paris[50].

    Autres personnalités

    Héraldique

    Dolomieu (Isère) possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 03/06/11.
    2. Site habitants.fr, nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 29 décembre 2020.
    3. Site dolomieu.fr présentation de la commune, consulté le 29 décembre 2020.
    4. Site annuaire-mairie, page sur les Distances des grandes villes avec Dolomieu
    5. Site dolomieu.fr, page sur la ligne de bus marché, consulté le 31 décembre 2020.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de La Tour-du-Pin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. Site dolomieu.fr, page sur le PLUI, consulté le 29 décembre 2020.
    15. site dolomieu.fr, page sur le SITOM, consulté le 29 décembre 2020.
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. Site géoportail, page des cartes IGN
    19. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
    20. Site henrysuter.ch, page sur Dolomieu, consulté le 30 décembre 2020
    21. Site sudoc.abes.fr, fiche sur le livre "Dictionnaire toponymique des communes de l'Isère", consulté le 8 janvier 2021.
    22. Les seigneurs de Dolomieu, par Joannès Chetail, Revue Évocations, AD38, PER970/1, 1945-1948.
    23. Google livre "Dictionnaire de la noblesse" de Franc̜ois Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, consulté le 30 décembre 2020.
    24. Site http://www.dolomieu.fr/le-conseil-municipal.html, page sur le conseil municipal de Dolomieu, consulté le 29 décembre 2020.
    25. http://www.dolomieu.fr/conseil/pv021213.htm
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Site dolomieu.fr, page "les écoles", consulté le 29 janvier 2020.
    31. Site usdolomoise.com, page "Notre Histoire", consulté le 30 décembre 2020
    32. Site de messe-infos, page sur la paroisse Sainte-Anne, consulté le 27 décembre 2020.
    33. Site dolomieu.fr, page "Pour un projet de territoire", consulté le 31 décembre 2020.
    34. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 678.
    35. « Château », notice no PA00117370, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Site monumentsmorts.canalblog.com, page sur le monument aux morts de Dolomieu, consulté le 29 décembre 2020.
    37. Site monumentsmorts.univ-lille.fr, page sur le monument aux morts de Dolomieu, consulté le 29 décembre 2020.
    38. Site dolomieu.fr, page sur l'église de Dolomieu, consulté le 29 décembre 2020.
    39. Site patrimoineaurhalpin.org, consulté le 20 décembre 2020.
    40. Site inpn.mnhn.fr,page sur la ZNIEFF 820030995, consulté le 31 décembre 2020
    41. Fiche Austropotamobius pallipes de la Liste rouge de l'UICN.
    42. Site cosmovisions.com, page sur la langue dauphinoise, consulté le 16 novembre 2019
    43. Site electriccafe.org, page "Un peu de géographie", consulté le 16 novembre 2016
    44. Site brionnais.fr, page sur Dolomieu, consulté le 29 décembre 2020.
    45. Site leprogres.fr, article "De monsieur de Dolomieu aux sommets des Dolomites", consulté le 30 décembre 2020.
    46. Site ledauphine.com, article "Le berceau des Dolomites mis en vente sur Internet", consulté le 30 décembre 2020.
    47. Enis Rockel, Z'histoires de la Réunion, Télé Réunion, 10 août 2007.
    48. Site mdc.mo.gov, page "Vive le dolomieu", consulté le 30 décembre 2020
    49. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, p. 436.

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

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