Dargies

Dargies est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Dargies

La chapelle de Réderie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de la Picardie verte
Maire
Mandat
Charly Lefebvre
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60194
Démographie
Population
municipale
250 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 42′ 06″ nord, 1° 59′ 23″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 189 m
Superficie 14,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Dargies
Géolocalisation sur la carte : Oise
Dargies
Géolocalisation sur la carte : France
Dargies
Géolocalisation sur la carte : France
Dargies
Liens
Site web dargies.fr

    Géographie

    Localisation

    Hameaux et écarts

    Dargies est constitué d’un centre bourg et possède le hameau de Rederie, ainsi qu’un écart (la Briqueterie).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 814 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Dargies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,6 %), prairies (15,1 %), forêts (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), zones urbanisées (2,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

    Plaque commémorative des morts des deux guerre mondiale, fixée sur la chapelle de Réderie.
    • D'après "Ce canton où nous vivons - Grandvilliers" Editions Delattre 1981"
    • Différents noms de ce pays : Argies, Dargys en 1236, Argiez en 1277, d'Argies, Argioe en 1213, Dargioe en 1206 et Dargeium? Dargies appartenait à une maison illustre, vers les 8 et 9e siècles, par ses alliances et par les services qu'elle rendit au royaume ; Charles d'Argies, maître de la chevalerie devint connétable de France en 821, sous Louis le Débonnaire, il était considéré comme le plus vaillant guerrier de son temps, il était allié à la maison de Soissons.
      La maison de Dargies tenait rang parmi les plus illustres de Picardie avant le XIIe siècle. Charles, seigneur de Dargies était duc connétable de France sous François I. Son fils Hugues de Dargies fut également connétable sous Louis VI le Gros. La branche aînée de cette maison s'éteignit dans la personne de Jeanne de Dargies.
      • 12e siècle Hugues de Dargies, l'un des descendants, fut aussi connétable, sous Louis le Gros vers 1110. Après lui parait en 1194, Beaudoin de Dargies, dont le fils aîné Simon, épousa Elisabeth de la maison de Mello.
      • 13e siècle Renaud fils de celui-ci eut en même temps les seigneuries de Dargies et de Catheux par son mariage, vers 1240, avec Jeanne de Breteuil, héritière de la chatellerie de Catheux.
      • 14e siècle Gobert, fils aîné de Renaud laissa ses terres à Jeanne , sa fille aînée qui épousa successivement Hugues, comte de Soissons, Jean de Clermont, fils de Robert de France et petit-fils de Saint Louis et Hugues de Chatillon , seigneur de Leuze, Condé, Aubigny et autres communes. Jeanne de Chatillon, l'un des enfants de cette troisième alliance eut en partage la terre de Dargies qu'elle apporta en mariage à Jacques de Bourbon, Comte de la Marche et de Ponthieu, pair et connétable de France. Le roi Charles VI qui chérissait ce seigneur et l'appelait son cousin, le nomma le 26 juillet 1377, grand bouteiller de France et ensuite 1er président de la Chambre des Comptes. Pierre de Bourbon, seigneur des Préaux, son fils, eut après lui la terre de Dargies qui à défaut d'héritier passa à la maison d'Offémont.
        Edouard III, Roi d'Angleterre, qui ravageait le Beauvaisis en 1346, ayant éprouvé un échec à Beauvais, passa devant le château de Dargies qu'il incendia ainsi que le village. Cela se passait le 22 août 1346, juste 4 jours avant la bataille de Crécy. Le château entièrement rasé ne fut pas rétabli. Il se trouvait près de l'église. Il existait un deuxième château sur la voirie que l'on appelait "chemin de pierre". Le village et la forteresse médiévale, qui se trouvait à proximité de l’église, avaient été incendiés par Edouard III d’Angleterre en 1346 – L'église dédiée à Saint-Martin a été remaniée plusieurs fois et a été reconstruite au XVIe siècle. C’est un édifice intéressant car exemplaire de l’architecture qui prévalait alors dans la campagne picarde, où les moyens étaient souvent limités.
      • 15e siècle Henri VI, roi d'Angleterre, ayant confisqué les terres, en fit présent à Hugues de Lannoy, maître des arbalestriers et celui-ci les vendit en 1429 à Jacques de Crèvecoeur, Seigneur de Thoix, père du Maréchal de Querdes.
      • 16e siècle Il semble que Imbert de Bartenay, sieur de Bouchaye, possédait en 1553 la seigneurie de Dargies ; sa fille Françoise parut cette année là en qualité de Dame de ce lieu au procès verbal de la coutume d'Amiens.
      • 17e siècle François de Riencourt, Seigneur d'Orival, acheta les terres de Dargies 102000 écus en 1647. Il n'y a pas trace d'autres familles jusqu'à la révolution.
        La commune compte un hameau appelé Réderie. Ce hameau comptait 70 habitants vers 1850. Le lieu dit de la briqueterie, emplacement d'une ancienne briqueterie est un écart de ce hameau. Il y avait près de cet écart, une ferme appelée Chantemerle. On la trouve désignée dans certains écrits sous le nom de Cantus Merula. Cette ferme fut démolie vers 1780. On trouvait au 19e siècle dans l'étendue du pays, un moulin à vent, 2 fours à chaux, une briqueterie. La population partageait son temps entre l'agriculture et la fabrication des bas de laine.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs - Données tirées des Archives Municipales en septembre 2020
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1802 1821 Jacques François Léon Fortin   maire
    1822 1834 Jean-Baptiste Joseph Desbureaux   maire
    1834 1848 Célestin Senente   maire
    1849 1854 Claude Rosier Godefrin   maire
    1855 1865 JNicolas Paul Alavoine   maire
    1865 1871 Casimir Delahaye   maire
    1871 1877 Zéphir Auguste Gravet   maire
    1878 1892 Gustave Léopold Nemorin Fortin dit Léopold Fortin   maire
    1892 1919 Eugène Alphonse Desmarest   maire
    1919 1924 Louis Eugène Alavoine   maire
    1924 1935 Victor Villet   maire
    Mai 1935 octobre 1935 Liebert Mille   maire
    octobre 1935 1938 Victor Villet   maire
    1938 1945 Arthur Leleu   maire
    1945 1947 Arthur Prevost   maire
    1947 1950 Arthur Leleux   maire
    1950 1971 Gaëtan Polleux   maire
    1971 1995 Pierre Bal   maire
    1995 2008 Jacques Villet   maire
    2008 En cours Charly Lefebvre   maire réélu pour les mandats 2014-2020, 2020-2026

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

    En 2018, la commune comptait 250 habitants[Note 6], en stagnation par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    551582605571654664664624581
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    548520512513480433435410407
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    364322316294323313300301294
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    296274247242217219237241251
    2018 - - - - - - - -
    250--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (53,5 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 53,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,2 %, 15 à 29 ans = 15,5 %, 30 à 44 ans = 20,2 %, 45 à 59 ans = 18,6 %, plus de 60 ans = 25,6 %) ;
    • 46,5 % de femmes (0 à 14 ans = 13,4 %, 15 à 29 ans = 17 %, 30 à 44 ans = 23,2 %, 45 à 59 ans = 15,2 %, plus de 60 ans = 31,2 %).
    Pyramide des âges à Dargies en 2007 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    11,6 
    75 à 89 ans
    9,8 
    14,0 
    60 à 74 ans
    21,4 
    18,6 
    45 à 59 ans
    15,2 
    20,2 
    30 à 44 ans
    23,2 
    15,5 
    15 à 29 ans
    17,0 
    20,2 
    0 à 14 ans
    13,4 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle du XIXe siècle à Réderie[27].
    • Eglise Saint-Martin de Dargies
    • Chapelle Sainte Restitute dans le cimetière de Dargies

    Personnalités liées à la commune

    • Commune d'origine de la grande lignée de savants : les Becquerel.
    • Dans la commune, est né le 23/02/1769 Jean-Baptiste Joseph Desbureaux qui a servi dans les armées de Bonaparte de l'an IV à l'an VIII en qualité de chirurgien de 1re classe[réf. nécessaire].

    Sobriquet

    La tradition orale a transmis le blason populaire (suplitchet ou nom j'té en picard).

    « Chés eurteus ed Darji » ( Les taureaux de Dargies )[28].

    Héraldique

    Blason
    D'or à neuf merlettes de gueules ordonnées en orle[29].
    Détails
    Armes de la famille d'Argies (ou de Dargies).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Dargies et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Dargies et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Évolution et structure de la population à Dargies en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    26. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    27. Daniel Delattre (préf. Jean-François Mancel), L'Oise : Les 693 communes, Grandvilliers, Editions Delattre, , 316 p., p. 97.
    28. François Beauvy, Dictionnaire picard des parlers et traditions du Beauvaisis, coll. Éklitra - liméro LXIII, Imp. Mutualité agricole de l'Oise,(1990), (ISBN 2-85706-020-3).
    29. « 60194 Dargies (Oise) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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